Un trio organisé - Partie 1 : Etat des lieux

- Par l'auteur HDS Ginger -
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un trio organisé - Partie 1 : Etat des lieux Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2011 dans la catégorie Plus on est
Tags : Au boulot Jambes
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Un trio organisé - Partie 1 : Etat des lieux
L'immeuble de standing est à la hauteur de l'annonce et des échanges de courriels : pas vraiment neuf, mais impeccable, parfaitement entretenu, muni d'un système d'entrée par digicode fonctionnant au milieu de la journée bien qu'il comporte un hall d'accueil avec hôtesses et gardiens, situé dans un quartier sinon huppé du moins de standing. Il faut sans aucun doute un chiffre d'affaires conséquent pour en supporter le probable prix du mètre carré et les impôts locaux. Il se dresse sur "seulement" 6 étages. Le hall est immense, preuve que l'espace n'est pas un problème, à moins que cela n'ait pour but d'impressionner les visiteurs, qu'ils soient clients, fournisseurs ou éventuels futurs collaborateurs ... "comme moi", se dit Florian.

Le flicage traditionnel n'a pas l'air de mise pour pénétrer dans l'établissement : aucune pièce d'identité n'est à laisser à l'accueil, il lui a suffi de s'annoncer en précisant avec qui il avait rendez-vous et une charmante hôtesse lui a désigné d'un large sourire un fauteuil après avoir effectué une vérification sur l'écran de son ordinateur ; cependant étant donné l'agencement des lieux il aurait eu bien du mal à s'introduire discrètement dans les locaux réservés aux bureaux ou aux salles de réunions, que ce soit au rez-de-chausée ou dans les étages.

Il s'assied, il a 10 minutes d'avance.
Après avoir répondu à plus de 300 annonces et envoyé environ 400 candidatures spontanées, c'est la 5ème entreprise avec laquelle il est finalement en contact. Il est déjà passé par le cabinet de recrutement auquel elle a confié la première étape de son processus, ceci afin d'y subir des tests psychotechniques, y rencontrer plusieurs fois un consultant et même un des représentants de l'entreprise. Ils ont ensuite été convoqués à une vingtaine - hommes et femmes - en province pendant 2 jours dans un hôtel 3 étoiles (tous frais payés) - par une psychologue en free-lance ont-ils découvert une fois arrivés sur place - pour des tests "plus fins" consistant à les opposer les uns aux autres ou par équipes sans en avoir l'air et surtout sans les prévenir des objectifs et des critères d'observation. Il doit en rester 2 ou 3 à départager ... ou à carrément tous éliminer selon ce que lui a dit la psychologue au téléphone, car il a fallu l'appeler pour connaître les résultats. D'un côté l'entreprise ne lésine pas sur les moyens et est même prête à dépenser des sommes considérables - tout est probablement relatif - pour avoir à recommencer si elle n'est pas satisfaite du résultat, de l'autre ses intervenants ont l'air bien mesquins ; seraient-ils chichement rémunérés ? Florian en doute, ce serait incohérent !

Une table propose des revues diverses, pas particulièrement passionnantes, toutes récentes, la plupart en anglais. Il jette un regard circulaire, un système de vidéo-surveillance semble contrôler les visiteurs, il choisit une revue bien sérieuse en anglais et la feuillette en faisant semblant de s'y intéresser ... alors qu'en face de lui les cuisses largement ouvertes de l'une des hôtesses l'attireraient davantage.
"C'est vraiment nous prendre pour des imbéciles", se dit-il, "toutes ces ruses et tous les conseils pour les contourner sont abondamment décrits et commentés sur internet !"

Au bout de deux minutes, n'ayant pas envie de subir un interrogatoire en règle sur le contenu d'un article qui ne l'intéresse pas, il simule la réception d'un appel téléphonique, supposé durer presque jusqu'à l'heure de son rendez-vous ; puis il rend son téléphone incapable de communiquer avec l'extérieur, d'émettre des sons ou même de vibrer. Et il fait mine de reprendre la lecture de son article.


Heureusement peu après un homme se présente à lui, pile à l'heure prévue pour le rendez-vous ; Florian est à l'heure, lui aussi. Le genre de personnage que l'on s'attend à voir en ces circonstances, la cinquantaine, cheveux plutôt courts, grisonnants, costume sombre, cravate également, pas vraiment de signe distinctif si ce n'est une calvitie naissante mais en est-ce vraiment une ... Il se présente sans malheureusement préciser son rôle plus que lors de la prise de rendez-vous par quelqu'un qui n'était comme par hasard pas sa secrétaire. Il lui sourit, lui sert la main, vigoureusement sans exagération, et le précède vers une petite salle de réunion située au rez-de-chaussée, de sorte que même l'étage de son bureau ne lui donne pas d'indication sur sa place dans l'organigramme de l'entreprise.
Ils s'asseyent face-à-face, seule une petite table les sépare. L'homme dispose probablement du dossier de Florian dans la chemise déjà posée à côté de lui et qu'il n'ouvre même pas.
Il l'entraîne dans une conversation à bâtons rompus, visiblement destinée à lui faire baisser ses gardes.
Il essaie de connaître ses goûts dans divers domaines. Lorsqu'il flirte avec la limite de l'indiscrétion, Florian le regarde systématiquement en souriant et en évitant de répondre. Mais il se retient de le pousser à lui parler lui-même de ses propres goûts, fantasmes et autres. Il sent le terrain miné et préfère ne pas réagir à la provocation, même très courtoise ; comme le dit un dicton populaire, il n'a pas souvenir qu'ils aient gardé les vaches ensemble.

Subitement, mine de rien, l'homme sort un paquet de cigarettes, demande à Florian si ça ne le dérange pas qu'il fume, celui-ci le regarde imperturbablement en adoptant sa plus belle figure de tête à claques et en souriant de plus belle sans piper mot ; son interlocuteur lui tend son paquet que Florian refuse poliment d'un geste de la main. L'homme se sert, allume sa cigarette, commence à tirer deux bouffées, semble hésiter puis, en se penchant vers Florian, lui demande sur le ton de la confidence : "peut-être préféreriez-vous un joint " ...

Comment se comporter dans ce genre de circonstances ?! Le problème c'est qu'il ne s'est pas présenté quant à son rôle par rapport à ce que serait celui de Florian s'il était recruté.
Il se dit que s'il reste à sourire béatement sans réagir, il est certain de ne pas être sélectionné. Il est pressenti pour un poste d'auditeur, ce qui implique bien entendu une certaine capacité d'écoute, mais aussi celle de savoir conduire un entretien, et ne pas rester démuni ni passif quelques soient les événements rencontrés.
Il décide de tenter le coup pour le coup.
"Seriez-vous chargé de détecter mes divers vices ? Désolé, mais je suis capable de discrétion et d'une certaine retenue ... au moins pendant quelques heures. Rassurez-vous cependant, vous les découvrirez petit-à-petit, du moins pour certains d'entre eux".
Florian laisse quelques secondes s'écouler.
"Lorsque je ferai partie de la maison", ajoute-t-il avec un large sourire.

Déconcerté par sa réponse, l'homme écrase sa cigarette par terre, réfléchit quelques instants en le regardant droit dans les yeux avant de rétorquer :
"Savez-vous que vous êtes le premier candidat à oser me parler de cette façon ?"
Florian a envie d'en profiter pour lui demander combien il en a rencontrés, mais se retient. Point trop n'en faut, la prudence lui commande de rester silencieux. D'ailleurs, cela ne présenterait aucun intérêt pour lui de le savoir.
"Vous ne répondez pas ?"
"Excusez-moi, c'était une vraie question ? J'ai pris cela pour une remarque. Comme je n'ai pas bien saisi votre position dans l'organigramme, je ne sais que répondre."

L'homme se lève, se dirige vers une armoire, l'ouvre, en sort un organigramme qu'il étale sur la table et lui montre où il se situe : il est le Directeur des Affaires Administratives, un des numéros deux de l'entreprise, et chapeaute entre autre le Directeur des Ressources Humaines. Il ne devrait pas être appelé à le superviser, mais son avis sera déterminant. Florian a le réflexe de le remercier de l'information qu'il vient de lui fournir.

Le directeur reste silencieux, délibérément. Florian attend en ne donnant pas l'impression d'être dérangé par ce silence.
Puis au bout de 2 minutes, il le rompt :
"Puis-je me permettre une question, que vous jugerez peut-être à la limite de l'indiscrétion ?"
"Je vous en prie ... nous verrons."
Il se détend visiblement : son interlocuteur prend la parole, donc se dévoile, et par conséquent lui-même reprend la main ... du moins le croit-il, ne s'attendant pas à ce que son vis-à-vis botte en touche.

"N'est-ce pas difficile de devoir faire appliquer une règlementation qu'on préfèrerait ne pas exister ?"
"Laquelle ?"
Florian fait une lègère moue pour lui montrer que sa question est pour le moins superflue.
Le directeur prend conscience qu'il s'est fait des illusions : son interlocuteur est bien plus coriace qu'il ne le pensait.
"Et si je vous disais que je ne suis pas fumeur ?"
Florian ne peut s'empêcher d'éclater de rire, puis ajoute ;
"Très fort !"
"Coriace, mais beau joueur", pense-t-il, "il m'a accordé le match nul."

Le directeur se lève alors en disant :
"Nous allons en rester là, vous allez rencontrer l'une de mes collègues, qui dirige le Département "Organisation". Il lui montre sur l'organigramme la place qu'elle occupe : son Département couvre "l'Informatique", le "Réseau" et la "Sécurité". C'est encore une des numéros deux de l'entreprise.
Il se lève pour ranger l'organigramme dans l'armoire et lui offre :
"Voulez-vous boire quelque chose en attendant son arrivée ?"
En souriant, Florian lui demande :
"Que me proposez-vous de compromettant à boire ?"
"C'est à vous de voir ! Venez il y a un distributeur à l'angle."
Ils se lèvent, quittent temporairement la salle pour se diriger vers le distributeur. Le directeur sort deux pièces de sa poche.
Florian opte sagement pour un café sans sucre, ce qui s'avère d'ailleurs être le propre choix de son hôte. Ils retournent dans la salle pour le boire en attendant l'arrivée de sa collègue qu'il a fait prévenir.


Elle arrive, jupe très courte fendue sur le devant, poitrine moyennement opulente et partiellement dénudée
, cheveux tombant à mi hauteur et un peu fous.
Florian se rend à peine compte de sa poignée de main tant son regard est subjugant. Il va falloir serrer les cuisses !
Ils s'installent face à face, mais après que la nouvelle arrivante ait repoussé la table de sorte qu'elle se trouve à côté d'eux sans les en séparer ... ce qui fait que Florian ne perd pas une miette du jeu de jambes de son interlocutrice.

La question est : s'il ignore sa féminité, elle risque de lui en vouloir sacrément, mais s'il tombe dans le piège tendu il ne sera pas retenu ... Que faire ? Il opte pour une position intermédiaire, pas vraiment neutre : tenter le plus possible de ne pas succomber à la tentation, tout en essayant de ne pas la vexer, un véritable jeu d'équilibriste !

"J'allais vous proposer un café, mais je vois que vous venez d'en prendre un, en voulez-vous un autre ?"
"Non merci, j'espère tenir le coup sans café ... mais si vous voulez en prendre un, l'odeur ne m'incommode pas ..."
"Vous ne craignez pas mon haleine", conclut-elle pour marquer qu'elle accepte le terrain de la plaisanterie "limite" ... ou pour l'y inciter ?

Sans plus attendre elle attaque technique, bien qu'il n'ait pas vocation à travailler au sein de l'un de ses services. Il la suit autant qu'il le peut, tente d'utiliser les termes adéquats, lui demande de lui expliquer ceux qu'il ne comprend pas ... car elle lui en assène sans ménagements. C'est d'ailleurs à ces moments-là qu'elle en profite pour croiser et décroiser ses jambes, faisant apparaître de superbes cuisses, une absence de slip ou string, et montrant une épilation parfaite ; Florian n'évite pas la vision, tente de rester imperturbable et concentré sur les explications reçues, bref il ne s'attarde pas sur ses mouvements sans pour autant faire le dégoûté. De son côté la directrice vérifie la concentration du candidat par des croisements de questions en rapport aux explications précédemment fournies.


Elle change de jeu, se penche pour ouvrir la chemise posée sur la table afin de consulter son dossier ... et par la même occasion discrètement son propre chemisier car il constate qu'un bouton supplémentaire est dégraphé. Ouah ! Comment s'y est-elle prise, il ne l'a pas vu faire. Il ne perd pas de temps à chercher où son soutien gorge peut bien être dissimulé, ni à peser le pour ou le contre pour savoir si ce qu'elle montre est naturel ou pas ; elle l'observe du coin de l'oeil pendant qu'elle fait mine de relire le contenu de son dossier. Il attend sagement, n'ayant effectivement rien d'autre à faire qu'observer ce qu'elle lui montre ; tourner la tête ou faire semblant de siffloter en regardant à droite et à gauche serait vexant, mal interprêté, et considéré comme signifiant qu'il n'est pas capable de faire face aux provocations féminines.
Cela dure, elle se penche pour mieux voir, se redresse légèrement, le regarde avec insistance, reconsulte son dossier. Il lui est impossible de ne pas remarquer qu'à chacun de ses mouvements, ses seins se balancent légèrement. Ils ne sont donc pas d'une fermeté exemplaire et pourraient bien être naturels ... peut-être à la rigueur un peu "gonflés". Il faut absolument qu'il trouve le moyen de tenir le coup, il lui faut une pensée, qui ne le focalise pas trop de façon à être suffisamment disponible lorsqu'elle s'adressera à lui, mais qui l'empêche de laisser paraître sa tension, mieux même qui la fasse disparaître, qui le calme. Il pourrait simplement la complimenter sur sa jolie poitrine, mais il estime ne pas être en situation de le faire.

Il a trouvé ! Il se dit que pour qu'on lui fasse subir de telles provocations - d'abord l'hôtesse à l'accueil, puis la directrice, donc dans des rôles très différents - c'est que cette entreprise doit regorger de femmes "canon" qui utilisent peut-être leur corps pour parvenir à leurs fins, S'il pouvait décrocher ce job, il risquerait de ne pas s'ennuyer !


Il en est là de ses réflexions qui l'ont laissé souriant, visiblement déterminé, quand elle le regarde subitement droit dans les yeux et lui demande s'il aimerait se trouver en face de femmes - elle insiste sur ce mot - telles qu'elle au cours de son activité.
Il reste un moment interloqué par la question, que pourrait-il bien répondre ?
Elle continue à le fixer, sa langue de mangeuse d'hommes sort imperceptiblement de sa bouche et humecte sa lèvre inférieure, de droite à gauche. Il n'avait pas bien observé son visage jusqu'à présent, à part ses yeux, il constate qu'elle est assez peu maquillée, elle doit être sûre de son corps ou en tous cas de sa capacité à dompter les hommes sans fioritures.
Il faut qu'il trouve quelque chose de pertinent à rétorquer.
"Dans l'absolu il n'y a aucune raison pour que cela me pose un problème ; mais je vous rencontre pour la première fois, c'est par la force des choses vous qui avez mené le jeu, par conséquent votre personnalité ne m'est pas suffisamment connue pour que je puisse me prononcer avec plus d'enthousiasme."
Elle sourit, ne s'attendant apparemment pas à une telle défense.

Elle lui prend une main, la pose sur sa cuisse nue et se penche vers lui, presque au point de lui efleurer le visage.
"J'aime les hommes qui ont de la personnalité. Vous me plaisez."
Il se sent gauche, dans d'autres circonstances il ne resterait pas figé comme un imbécile, droit comme un "I", mais là ... Et que doit-il faire de sa main ? La retirer, en jouant la vierge effarouchée ? Un ancien souvenir dans un cinéma alors qu'il a commis cette erreur de jeunesse (mais il était piégé car sa petite amie était assise juste à côté de lui) l'en dissuade : la fille en question - au demeurant bien plus âgée que lui et plus expérimentée - ne la lui avait pas pardonnée. Appuyer le mouvement de ses caresses sur ses mains ? Non, ce serait tomber dans le piège alors que jusqu'à présent il a su tenir son rôle.

Il opte pour la laisser faire en espérant qu'elle ne fera pas remonter ma main jusqu'à son entrejambe.
Mais justement il sent sa main remonter insensiblement, toute la peau de son corps tremble, il a la chair de poule, il est en train de devenir la proie de cette femme. Il faut trouver le moyen de l'arrêter à temps, sinon il n'obtiendrait pas le poste ... ni même la femme ! Florian ne se fait aucune illusion à ce sujet, et il conserve la tête suffisamment froide pour garder son objectif à l'esprit : ce poste, qui se joue peut-être à cet instant précis.
"Je constate que vous êtes une femme - il appuie lui aussi sur ce mot - déterminée ; nul doute que vous ferez en sorte que nous nous revoyions bientôt."

Florian a la vague impression de ne pas avoir aussi bien réussi son intervention qu'avec son premier interlocuteur.
Sa réflexion stoppe net le mouvement de la main de la femme qui lâche aussitôt la sienne. Dois-il reprendre sa liberté ? Il n'a pas à se poser longtemps la question, elle se lève, lui tend sa main en guise d'adieu, son regard est devenu froid. Il quitte lui ausi la position assise, serre la main qui lui est tendue, sans sourire, ne voulant pas paraître présomptueux par sa pseudo-victoire qu'il espère toute temporaire. Mais il n'est pas particulièrement confiant, sa dernière remarque a été un peu trop glaçante, à défaut d'être franchement glaciale."

"J'ai été enchantée de notre rencontre. Vous aurez bientôt de nos nouvelles."
Florian se dit qu'elle fait bonne figure, que tout cela c'est du "bla-bla".
La directrice le raccompagne dans le hall d'accueil. Florian s'aperçoit qu'elle a refermé deux boutons de son chemisier, que sa coiffure est en ordre et son visage parfaitement inexpressif. Elle est très douée, c'est du théâtre qu'elle aurait dû faire ! Il est vrai qu'elle y aurait peut-être moins gagné sa vie.
Son collègue n'était pas mal non plus, en faux fumeur de pétards.
"Bientôt, c'est-à-dire ?"
"Je ne suis pas le Directeur des Ressources Humaines, je vais me contenter de lui transmettre mon rapport dans la journée."
"A bientôt j'espère, alors", répond-il.
Elle lui désigne la sortie d'un regard avant de s'éclipser.

Deux semaines plus tard il reçoit son contrat d'embauche. Contre toute attente, celui-ci stipule qu'il est affecté à la Direction de l'Organisation sans indication de poste et lui octoie d'emblée un salaire 20 % supérieur à ce qu'il pouvait espérer.

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