Tout vu à distance : Quel souvenir !

- Par l'auteur HDS Hervé_Thémis -
Auteur homme.
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Récit libertin : Tout vu à distance : Quel souvenir ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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Tout vu à distance : Quel souvenir !
Ce matin là, je fus très surpris, de découvrir dans la boite à linge, la petite culotte de Karine colmatée, exactement lorsque qu’on a fait bien fait l’amour et que sa petite chatte laisse encore couler avec abondance, durant la journée, la mouillure de son vagin, qui par nature est très humide dès qu’il est titillé et surtout, utilisé.
Ne trouvant pas mon jogging préféré pour faire du sport, je me demande où il peut bien être. Je regarde donc dans la boite à linge sale, et je le trouve au fond : ayant fait du sport, il y a 2 jours, il n’a pas eu encore le temps de passer à la machine. J’en prendrais un autre. Je range le tout et je vois la petite culotte de Karine : Celle achetée, il y a peu, et avec laquelle elle m’a aguiché. Je me dis, tiens, on n’a pourtant pas baisé depuis 3 jours, sauf hier soir. Sans savoir pourquoi, je prends sa petite culotte dans la main, et en voulant l’ouvrir, elle semble un peu collée et je constaté des traces claires, signes de sa mouillure que je connais abondante dans certains cas. Et là, il y a la dose et je me dis une simple petite excitation de la journée, ne peut pas être responsable d’autant de secrétions vaginales. Ma tête tourbillonne et mes pensées s’agitent. Qu’a-t-elle donc fait hier ? Les enfants étaient absents, elle ne travaillait pas, et moi j’étais à la firme toute la journée.
Quelques questions me permettront de savoir qu’elle n’a pas bougé de la journée de la maison. J’appellerai le centre de contrôle de notre alarme maison, qui me confirmera qu’aucune mise sous alarme n’a été déclenchée ce fameux mercredi. Je me rappelle aussi que la veille au soir, nous avons baisé, et je l’ai trouvé particulièrement ouverte, mais comme elle s’ouvre et mouille facilement, je n’avais pas prêté spécialement attention, mais sur le coup, cela m’avait surpris et j’étais passé à autre chose : mais là, maintenant je m’en souviens : sa chatte était très dilatée, et ses lèvres épaisses et rosées : elle a réclamé des grands coups de bites, bougeant d’ailleurs elle-même son cul en arrière, pour bien venir s’empaler sur ma queue, lors d’une position à quatre pattes. Le passage était fait : maintenant, j’en suis sûr, elle a baisé cet après midi à la maison, mais avec qui ? Quand ? Combien de temps ?
Le week-end, j’apprends que le jeudi suivant, elle resterait à la maison, car elle avait du rangement à faire : je trouve cela bizarre. J’appelle le centre de contrôle d’alarme, et je leur demande d’activer pour 8 jours, la connexion à distance des caméras et des micros sur mon portable. En effet, lorsque nous sommes absents, les progrès de la domotique font que l’on peut gérer plein de choses à distance, et notamment, utilisé à distance depuis un ordinateur, la télésurveillance de notre maison. Il suffit de les prévenir et mon ordinateur étant déclaré chez eux, lorsque je me connecte, il est reconnu et me donne accès à la télésurveillance. En temps normal, lorsque la maison n’est pas sous alarme, aucun appareil ne filme et n’écoute : sinon, je pense que les contrôleurs s’en mettraient plein la vue. Cela fait plusieurs années que notre maison est protégée suite à 2 tentatives de vol et notre situation professionnelle plutôt aisée, nous a amené à nous équiper depuis 1 an.
Le jeudi suivant, je me réserve une chambre dans un hôtel et m’installe devant mon ordinateur. J’ai amené du travail et je fais l’espion. Je surveille la maison et ses allées et venus. Presque toutes les pièces sont surveillées, sauf les we, salles de bain, et certains couloirs. Je la vois faire des tâches ménagères classiques, et en fin de matinée, je la vois aller de nombreuses fois entre la salle de bain et notre chambre. Elle ne met du temps à se préparer. Je ne sais pas ce qu’elle fait dans la salle de bain, mais déjà, j’image qu’elle se prépare et l’excitation monte. Son téléphone portable sonne en fin de matinée, et je l’entends dire que c’est bon pour 14h, qu’il n’y a pas de problème, et qu’elle a l’argent. Je ne comprends rien ! Je mange un sandwich le midi. Elle aussi mange. Vers 14 heures, j’entends sonner à la porte d’entrée. Je vois à l’entrée, 3 pompiers, 2 blancs, et un black. Ils rentrent.
Elles les convient à venir s’asseoir dans le salon. Je comprends qu’elle a acheté le calendrier 2012 la semaine dernière, mais qu’elle n’avait pas d’argent liquide et qu’ils devaient donc repasser. Elle ne connaissait pas le black qui n’était pas là la semaine dernière, seuls les 2autres étaient présents. Elle explique au black qu’elle a acheté un calendrier la semaine dernière, et elle avait passé du temps avec ses collèges à discuter et qu’elles avaient du les quitter rapidement, car elle devait aller chercher ses enfants, et qu’elle avait proposé qu’ils reviennent chercher leur du : le black répond, qu’il est au courant de tout : il sourit. Ma femme répond très bien, vos collèges ont été charmants, et le black répond, je n’en doute pas, moi aussi je suis charmant. Elle répond, j’imagine et leur propose un verre. Bien entendu, avec mon ordinateur, je suis la discussion sans problème et je peux zapper d’une caméra à l’autres problème. Elle va dans la cuisine et revient dans le salon. Il boive un verre. J’apprends que gars s’appelle Pierre, Eric et Samir. Karine déclare :Karine : je voudrais vraiment me faire pardonner pour la semaine dernière, de n’avoir pas pu vous payer.
Pierre : vous nous avez quand même dédommagés.
Karine : oui, mais bon, il y a les intérêts sur une semaine. Vous êtes à 3 maintenant.
Samir: oui, les collègues m’ont dit qu’il fallait récupérer un peu de sous, car il avait eu quelques problème la semaine dernière (il éclate de rire et les autres aussi), et je me suis dis, il va falloir sévir.
Karine : je comprends et c’est normal. Les calendriers sont pour vos œuvres, et ce n’est pas normal de ne pas se faire compenser lorsque les gens ne paient pas normalement.
Samir : exactement.
Eric : tout retard mérite des intérêts.
Karine se lève, et leur apporte un bière, et passe entre eux. Pierre est assis, Karine debout devant lui et courbée en avant. Il met sa main sur son genou, et comme Karine ne bronche pas, il remonte sa main doucement vers ses cuisses. Eric assis à côté, fait de même sur l’autre cuisse. Karine se redresse. Samir, assis de l’autre côté, passe la main sous sa jupe sur le devant de sa cuisse. Je vois la robe bouger dans tous les sens. Karine respire fort et gémit. La main de Samir semble s’activer.
Samir : quelle chatte, elle mouille déjà !
Eric : on ne te l’avait dit, c’est une bonne petite bourgeoise, bien vicieuse.
Pierre : et attend, t’es qu’au début. Regarde son petit cul bien rebondi.
Eric a relevé sa jupe, et baisse la culotte de Karine au niveau des cuisses. Eric lui claque les fesses.
Eric : ca c’est un bon p’tit lot dont va falloir s’occuper.
Samir : pas de problèmes les mecs, je vais vous aider, je suis là cette semaine.
Pierre : Ouah, regarde la petite culotte était déjà bien humide. Ca devait t’exciter de savoir qu’on allait repasser hein ?
Karine : Oui la semaine dernière, on s’était quitté rapidement alors.
Eric : alors tu as fait en sorte qu’on revienne cette semaine et plus tôt pour avoir plus de temps.
Karine : oui, je l’avoue, mais ca ne semble pas vous gêner.
Samir : Oh non bien au contraire.
Rapidement, la petite culotte descend jusqu’au pied, elle se met pied nus, elles lèvent les jambes, et hop, Eric balance la p’tite culotte en travers du séjour. Sa jupe enlevée elle aussi. Elle hôte son pull, et Pierre lui dégrafe le sous-gorge. La voici à poil. Les gars repoussent la table du salon, et l’allonge sur le canapé.
Karine : Venez, on va aller ailleurs.
Devant mon ordinateur, je suis en colère et en même temps, je me caresse au travers du pantalon et je bande comme un malade. Où va-t-elle aller ? Vais-je pouvoir encore tout voir ?
Je passe en mode mosaïque et je scrute l’écran : dans quelle pièce vont-il apparaître ? Ca y est. La chambre d’amis. C’est notre ancien lit qui y est, et il est super grand et très haut. Je suis content qu’elle n’ait pas pris notre chambre, on a des principes quand même. Elle s’assoit sur le bord du lit. Samir s’agenouille et lui écartes les jambes et lui lèche le minou. Il y a joute rapidement les doits entre deux.
Eric et Pierre son déjà à poil et raides les salauds. Et deux bonnes grosses queues bien épaisses. Ils sont debout à côté d’elle. Elles les sucent tantôt ensemble, tantôt alternativement.
Pierre : Ah oui, c’est encore meilleur que la semaine dernière. Oui prend là bien.
Oui, tète-moi le biberon.
Eric : A moi. Vas-y, bouffes moi les couilles. Tu les sens bien hein, elles sont bien pleines. Tu me les as vidé pas vidés la semaine dernière, mais là, on n’a le temps, hein ?
Karine (entre deux déglutitions de salives) : Ah oui, c’est bon. Elles sont bonnes vos queues. Hum, oui, mettez les bien à fond. Ahhhhrrrrr. La salive coule sur le menton.
Samir (relevant la tête) : Ah la vrai cochonne, elle mouille de partout cette garce.
C’est forcément une bonne salope. Quand elle mouille comme çà, et ouverte comme çà, c’est des vraies chiennes, elles peuvent en prendre des kilomètres de bites.
Il s’essuie la bouche avec le drap, et je vois ses doigts s’activer sur sa chatte. Je ne vois que son pouce sur le pubis, donc je pense qu’il doit bien la doigter avec le bout des doigts bien jointés et allongés. Sa main s’active et va de plus en plus vite.
Samir : attrapez-lui les jambes.
Pierre et Eric s’exécute. Du coup, elle bascule sur le dos, et se retrouve la chatte au ras du lit.
Samir : bien les mecs. Tenez-lui les jambes bien écartées. Je vais bien te la doigter celle-là.
Pierre et Samir sont à genoux à côté d’elle. Chacun lui tient une jambe fermement et bien écarté. Elle les branles et les suces entre deux. Ils se mettent à lui tripoter les nichons. Tantôt ils pincent les bouts, les fonds roulés, ou bien remue les seins dans tous les sens à pleins mains. Elle adore çà. Je change de caméra, pour tenter de mieux voir sa chatte. Samir frotte le clito de Karine de son autre main. Il appuie dessus et fait aller et venir sa main appuyée fermement sur son pubis. Le clito doit être bien travaillé car Karine ondule du bassin.
Samir : Ah tu aimes ca, comme je te la prépare bien ta chatte. Tu mouilles ma salope.
Tu vas jouir, je le sens bien. Ton clito aussi il aime çà. Vas-y lâches toi, laisses toi jouir, tu vas encore mieux t’ouvrir. Ah elle bien ouverte et bien profonde ta chatte. Tu l’entends ta chatte qui s’ouvre. Tu mouilles bien toi, dis-donc. Ton bouton aussi il durcit hein. Arrêtes de bouger autant ton bassin.
Karine : ah mais c’est trop bon, j’en peux plus.
Samir : j’arrête ?
Karine : non continue. Ah la vache. Que c’est bon, putain.
Eric : elle devient vulgaire maintenant.
Pierre : Super. C’est qu’elle en veut !
Samir : Putain, arrêtes de bouger. Hey les mecs, au lieu de lui tripoter les nibars, bloquer lui aussi le bassin, elle n’arrête pas de gigoter.
Samir s’excite à fond sur son trou de chatte et son clito. Elle tente de remuer encore du bassin.
Samir : Putain, vous me la bloquer ferme ou quoi ?
Ca y est. Son bassin est soudé au lit.
Samir : Ah voilà, putain j’en mal en main et au bras. Vas-y, mouille encore. Mais c’est pas possible ce qu’elle mouille. Ah t’aimes ca hein ? Je te le pince bien ton clito. Il est tout blanc, tout ressorti. Vas-y gueule, jouit salope.
Karine : Ahhh ouiiiiiiii. C’est bon. Encoooooorrrrrrrreeeeeeeee. Oui ! Oui ! Ca y est, je vais jouir. Arrrrrrrrrrhhhhhhhhhhh. Ouaiiiiiiiiiisssssssssssss.
Karine relâche ses muscles et on devine son corps s’affaisser.
Samir : Ah ben dis donc, je m’en serai donné du mal, mais on aura réussi.
Samir ressors ses doigts et la chatte de Karine pétouille dans un, bruit glaireux.
Samir : Ah ca, c’en est une bonne. Quelle chatte. Regardé elle reste ouvert. Elle en veut la p’tite salope.
Il s’essuie les doigts sur le drap.
Pierre et Eric se lèvent et demande à Karine de se mettre en dehors du lit et courbé en avant, elle offre son arrière train de manière obscène, et couche la moitié de son corps sur le lit. Pierre et Eric se pointent derrière elle. Il s’amuse en frappant les fesses de Karine avec leurs queues : ils se remettent à bander.
Karine (prévoyante) : il y a ce qu’il faut dans la petite armoire, là !
Pierre et Eric découvre du gel et des préservatifs. Tiens elle a du en racheter, car on en utilise parfois entre nous pour jouer, mais on n’en a pas autant habituellement.
Elle avait bien prévu son coup, me dis-je.
Pierre : Ah prévoyante la p’tite dame. Et y’a la quantité. On ne va pas avoir assez de queues pour toutes ces capotes ? Tu croyais que toute la compagnie serait venue ?
Karine : non quand même. Mais si chacun en utilise plusieurs, ca file vite.
Eric : Ah ca c’est vrai.
Eric et Pierre enfile une capote et l’enduise de gel. Pierre se met derrière, pointe sa queue sur sa chatte, et je vois la queue disparaître entièrement dans sa chatte.
J’estime la bite de Pierre à 18/19 cm, et d’un diamètre correcte. Celle d’Eric est pareille, mais elle le gland est beaucoup plus large, nettement plus large, alors que celle de Pierre part plus en pointe. Pour un premier passage, c’est mieux. J’entends juste un ah, de soulagement de Karine.
Pierre : Et bien, ca se voit que Samir est passé par là, ca rentre plus vite que la semaine dernière !
Eric : Tu trouves ?
Pierre : Non, t’as raison. Elle était autant excitée la semaine dernière.
Pierre commence à la limer. Je vois bien ses coups de bassin cogner à fond contre les fesses de Karine. Il la tient bien par les hanches pour mieux la limer. J’entends les deux peaux qui claquent. Karine gémit doucement. Ca m’excite. J’ai sorti ma queue et je me branle doucement en regardant la scène : je pourrais jouir vite, vu mon excitation, alors j’y vais lentement. Eric écarte les fesses de Karine pour que Pierre la pourfendre encore mieux.
Eric : Ah quelle vue ! Vas-y, lime-la bien. Chauffe-lui bien le minou. Allez, tringles la bien à fond.
Pierre : Ah oui, tiens, prends ! Ca va lui chauffer !
Eric : ca m’étonnerait, avec ce qu’elle mouille.
Eric écarte encore plus les fesses de Karine. La chatte reste ouverte et quand Pierre se renfonce en elle, on entend de drôles de bruits. La chatte est chaude : à mort !
Eric : Vas-y lime bien. Défonces là mec.
Pierre : Ah, ca c’est de la chatte. Elle est bien chaude, ca coulisse comme un trombone la dedans. Au bout d’une semaine, j’avais déjà oublié comme c’était bon.
T’aimes ca chéri, hein ?
Karine : Oui, c’est bon. Prends-moi bien à fond. Aïe (Eric vient de lui claquer violemment les fesses à plusieurs reprises et ses fesses ont bien remué). Arrêtes sinon je vais avoir des marques.
Pierre : Ah oui, tu veux pas que ton mari s’en rende compte que tu aimes bien te faire ramoner ta p’tite chatte à fond. T’imagines s’il et voyait en train de te faire bien mettre par 3 mecs en même temps ? On va bien faire le passage, il pourrait bien te baiser aussi ce soir !
Karine : Probablement, il rentre de déplacement ce soir.
Eric : Ca l’exciterai peut-être ton mec de te voir bien baisée comme ca, et prendre autant ton pied. Il te baise souvent ton mec ?
Karine : A peu près 3 fois par semaine.
Pierre : Ouah, t’es au dessus de la moyenne toi. C’est vraiment une bonne.
Eric : Allez, tu me laisses la place.
Samir s’est foutu à poils et regardais et écoutais ses potes. Puis il est monté sur le lit, et il s’est assit juste devant Karine, les jambes bien écartées. Karine écarquille les yeux.
Karine : Oh la vache !
Samir : Quoi ?
Karine : J’avais jamais vu un aussi gros sexe.
Je l’avais déjà remarqué à la vidéo.
Eric : Ah, Samir, c’est l’étalon de notre caserne ! Et comme il est célibataire, il ne manque pas d’exercice. Hein, mon salaud ?
Samir : Ca c’est clair. On dit que y’a des femmes qui s’enfilent des kilomètres de bites, moi ma bite, elle s’en est enfilée des kilomètres de vagins. Incroyable ce que les femmes aiment se faire baiser : elles font souvent des manières pour sauver la face, mais en réalité, toutes des chiennes !
Karine a pris la queue de Samir en main : il bande légèrement. Elle fait coulisser et dégage complètement le gland qui est un peu plus clair que le reste de sa queue. Elle fait coulisser sa main sur toute la longueur de cette tige. Puis elle prend le gland en bouche et remue doucement la tête.
Samir : c’est ca, mâchonne moi bien le bout. Salive bien dessus. Mouille bien dessus, autant que tu mouilles de ta chatte. Oui continue, c’est bien. Masses moi les couilles avec ton autre main. Karine s’exécute, mais elle bouge pas mal car Pierre la besogne toujours, pas pour longtemps.
Eric : Bon Pierre, j’aimerai bien aller au four moi aussi.
Pierre : Pas de problème. Le four est bien chaud.
Pierre retire sa queue d’un coup. La chatte de Karine pète pendant quelques secondes.
Eric : Ouah, ca va être bon. Te refermes pas ptit trou, j’arrive.
Pierre : Ptit trou ? Tu rigoles ?
Eric : Ah c’est une expression !
Eric se tiens la queue à pleine main, à la base, et il en reste des centimètres en dehors de sa main. J’ai l’impression qu’il comprime son sexe avec sa main, car l’avant de sa queue, et surtout son gland, a encore grossis. D’une main, il écarte les fesses de Karine, et tout d’un coup, vlan, il fait rentrer toute sa queue d’un coup.
On entend un mugissement sourd de Karine, qui a le bout de la queue de Samir en bouche.
Eric : Ah, fait pas ta chochotte. C’est rentré comme dans une motte de beurre bien molle.
Karine (relevant la tête) : Pouah, elle est trop grosse cette queue. J’en peux plus.
Le gland de Samir vient de ressortir de la bouche de Karine, et il est énorme, vraiment énorme.
Karine : j’en pouvais plus de la garder en bouche.
Eric : Moi qui croyait que c’était à cause de mon enfilade.
Pierre : Tu rigoles, elle est tellement lubrifiée, qu’elle n’a rien du sentir.
Karine : Ah si quand même. Ton gland est gros à toi aussi et je le sens bien au fond de mon vagin. Je me sens toute dilatée. Alors avec ce gros bambou en plus, en bouche.
J’en pouvais plus.
Eric : Et bien tu vas voir mon bambou. Écarte bien tes jambes. Allez, encore. Voilà, ca t’ouvre encore plus la chatte, et ca rétrécie la longueur de ton vagin en l’étirant bien.
Samir : Bouffes moi les couilles, lèches les bien.
Karine branle queue de Samir qui dépasse de sa tête et bouffe les grosses couilles de Samir. Je vois sa langue passer dessus, et le lécher entre les cuisses.
Samir : Ah ouais, ca c’est bon. Continue chéri.
Eric écarte un peu les jambes à son tour, pour être plus bas et empoigne la base des fesses de Karine avec le pouce et ses doigts sont sur ses fesses. Il lui remonte bien le cul, en étirant le haut des cuisses de Karine, à côté de sa chatte, vers le bas.
Puis il se met à la besogner.
Eric : Voilà, ca c’est bon. Je cogne bien le fond sa chatte. Tiens, prend çà ! Tu te fais bien mettre là. Arrêtes de bouger.
En effet, Karine remonte sous les coups de butoir d’Eric.
Eric : Pierre, viens là, grimpe lui sur le dos, et assied toi en bas de son dos, elle arrête pas de remonter dès que je la baise bien à fond.
Pierre : Pas de problème mec (une fois grimpée dessus). Voilà, elle va plus bouger là, avec 85 kg sur le dos, tu peux y aller. Tiens, en plus, je vais bien lui écarter les fesses. (Chaque main écarte largement ses fesses). Voilà, tu peux y aller maintenant.
Quelle belle vue quand même.
Eric : Voilà. Tiens, ah c’est bon là, hein ? Tu peux plus gigoter, bouger. Tu la sens bien à fond ma grosse queue. Tu le sens bien mon gros gland qui te cogne le fond de la chatte. Tiens prend à fond.
Pierre a craché sur la raie du cul de Karine et à rentré les deux pouces dans son anus.
Karine (relevant la tête) : Doucement avec mon cul. Ah oui, ahhhhhhhhhh. C’est bon oui !!!!!!!!!! Vas-y, continue, cogne bien au fond de ma chatte. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est bon……… !!!!!!!!
Eric : Ah la garce, je vais jouir, ahhh oui……. Tiens prend tout.
Ahhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrr.
Karine : Viens oui, explose en moi….
Eric a jouit.
Eric : Ah, merde, j’aurai pas du jouir si vite, mais c’était trop bon. Jamais baisé comme çà.
Pierre : Ah ben là, tu t’en ai donné à cœur joie.
Eric ressors de la chatte de Karine. Le préservatif pendouille au bout de sa queue. Il le retire, le noue proprement et le pose plus loin à terre. Il se dirige vers la salle de bain attenante.
Pierre claque les fesses de Karine puis se relève.
Pierre : Ah, ca, c’est un ptit lot qui ne manque pas de charme.
Karine se retourne sur le dos et se laisse aller.
Le cycle du temps joue son œuvre et l’heure avance.
Samir, le « drapeau » en berne descend du lit. Il enfile deux capotes sur son gros mandrin, qui a vue d’œil, doit faire au moins 22 cm de long, car avec ses deux mains autour, je vois son gland largement dépasser. Le diamètre aussi est impressionnant, mais surtout son gland, qui ressors largement du diamètre de la tige.
Il s’allonge sur le lit, et tiens son sexe dressé d’une main.
Samir : Bon Karine, on va passer aux choses sérieuses. Mais Pierre va te mettre un peu de gel encore. Pierre demande a Karine d’attraper ses jambes et de les écartes. Elle présente sa chatte : la vision est obscène, mais excitante. Le peu de poils qu’elle a, est tout mouillé, jusqu’à son anus, et ses lèvres sont bien roses, voir rouges, signe d’un laminage intensif. Pierre attrape le tube de gel, et le met à l’entrée de la petite chatte à Karine, qui est encore ouvert légèrement. Il rentre bien le bout du tube, et appuie dessus comme un malade.
Karine : Ouuuhh ! C’est froid.
Je pense qu’il a du le vider en elle, vu comment il a appuyé dessus. Pierre attrape les jambes de Karine et les montent en l’air et les secoue. Le bassin de Karine décolle du lit. Je pense qu’il veut faire couler le gel au fond de sa chatte. Au bout de quelques mouvements en l’air, je pense que ca a du couler au-delà du vagin, et que le gel doit être désormais dans son utérus.
Samir : Allez Karine, viens faire du cheval. Grimpe.
Pierre : Allez, va ! Empales toi Karine. Dis donc, Samir, elle est quand même énorme ta queue. Vous avez de la chance vous les black.
Samir : On n’est pas tous monté comme çà. Mais moi, j’ai de la chance. Enfin, ca dépend, parce que peu de femmes acceptent des sexes comme çà.
Pierre : Ca c’est clair. Mais nous, en toute cas, on en a une bonne aujourd’hui.
Karine (se positionnant au dessus de Samir) : Oui, les gars peut-être, mais là, je vais peut-être rendre mon tablier.
Pierre : Mais nonnnnnn ! Tu vas voir. Attend, quand on voit ce que tu as encaissé tout à l’heure, ca va le faire et tu vas même en redemander après.
Karine : Alors, ca, ca m’étonnerait.
Samir : Tu vas voir, Pierre a raison.
Karine descend accroupi sur le mandrin. Elle pose ses mains sur la poitrine de Samir, et ajuste son bassin. Le gland est à l’entrée de sa vulve. Karine descend lentement.
Le gland rentre doucement.
Samir : Respires bien, détends toi ! Pousse comme si tu voulais aller aux toilettes, mais pas trop fort.
Pierre : Détend ton périnée.
Samir : Voilà, le gland est rentré. Descend doucement maintenant. Respire bien à fond.
Karine : Ouhhh làlàlà. Je me sens complètement écartée. Ouah qu’elle est grosse. Ah la vache je vais jamais y arriver.
Samir : NON ! N’arrête pas. Avance-toi vers moi.
Karine n’est plus accroupie mais à genoux et courbée en avant. Samir a mis ses deux mains sur le bas du dos de Karine.
Samir : Voilà, descend maintenant.
Karine : Ah oui, c’est mieux.
Je vois les 2/3 tiers de la queue de Samir qui sont rentrés.
Karine : Ah ca y est, je l’ai à fond.
Pierre : Ah non, il en reste un tiers ma cocotte.
Samir remue le bassin pour assouplir les chairs de Karine et qu’elle se dilate lentement. Puis, je suis surpris de voir Karine qui se met à onduler le bassin elle-même.
Karine : Ah oui, là c’est bon. Hummmm. Quelle queue !
Karine se redresse doucement mais reste à genoux. Elle met à nouveau les mains sur la poitrine de Samir. Son corps est presque à la verticale. Elle bouge son bassin.
Pierre qui regarde derrière, répond, c’est mieux, mais il en reste encore un petit tiers.
Karine : j’ai l’impression de sentir ton gland contre le col de mon utérus. Ca glisse.
Ca s’ouvre.
Samir : Oui ca me comprime le gland. C’est bon putain. Vas-y. Descend à fond.
Karine : J’ose pas. Là c’est bon.
Samir : Ca sera encore meilleur après. Je le sais. T’en voudras encore.
Samir fait signe à Pierre. Pierre se positionne entre les jambes de Samir, et met les mains sur les épaules de Karine.
Samir : Respire Karine. Allez, souffle. Pousse doucement comme pour aller aux toilettes.
J’entends Karine souffler durement. Là, je vois Pierre qui appuie d’un coup sur les épaules à Karine et POUF toute la queue est rentrée, jusqu’à la base.
Karine : Ahhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!
Pierre : Ca y est, tout est rentré !
Samir : Je suis dans son utérus.
Karine et Samir ne bouge plus.
Samir : Ca va Karine ?
Karine : Oui, j’ai surtout été surprise !
Samir : Aller bouge doucement maintenant.
Karine ondule largement du bassin sur ce pied qui l’a rempli. Elle dessine de grand cercle.
Puis Karine commence des va-et-vient : tout petit. Samir attrape Karine et la ramène à lui. Il relève les jambes et c’est lui qui se met à coulisser dans cet antre chaud, bouillant, dilaté, trempé.
Je vois parfaitement cet énorme engin noir, coulissé entre les chairs blanches de ma femme. Au départ, juste quelques centimètres qui rentrent et ressortent. Mais très vite, la respiration de Karine s’accélère, ainsi que les mouvements de Samir, qui deviennent rapide et profond. Plus cela va, et plus les centimètres ressortent et rerentrent. Puis Samir s’arrêtent en laissant son pieu enfoncé à fond. Il bascule sur le côté. Karine l’aide. Il a pivoté et désormais Karine est sur le dos. Elle noue ses jambes dans le dos de Samir, ce qui a pour effet de lui faire remonter le bassin et de s’ouvrir encore plus. Samir remonte aussi son bassin. Il laisse son pieux enfoncé et donne juste des coups de butoirs. A mon avis, seuls 2 ou 3 centimètres ressortent à chaque fois : son bassin bouge peu. Il tape bien au fond. Karine respire rapidement, miaule. Par moment, il reste à fond en elle, sans bouger, en semblant juste appuyer à fond, comme pour la remplir encore plus, comme s’il voulait rentrer ses couilles en plus.
J’imagine l’état de sa chatte : sa vulve écartelée et rougis, son vagin élargis et trempé, enfin son utérus ouvert et remplis d’un énorme sexe qui ne demande qu’à la satisfaire encore plus et la faire hurler, crier de plaisir. Mais comment une femme peut encaisser autant ? Comment MA femme peut-elle encaisser autant ? Qu’elle bonne petite salope quand même.
Samir se redresse. Il sort sa queue. Il se lève. Elle est raide et énorme. Le préservatif est luisant, de gel ou de mouillure, on en sait plus. Ce qu’on peut dire, c’est qu’à l’intérieur, ce n’est pas mouillé, mais c’est trempé !
Il demande à Karine de descendre au raz du lit. Les fesses de Karine son légèrement dans le vide. Naturellement, Karine écarte les jambes. Je me dis : elle est en veut encore ?
Samir s’avance, et à nouveau son sexe rentre dans Karine, entièrement. Je noterai juste un léger rictus de Karine au moment du passage des derniers centimètres, sans doute, quand il passe au-delà de son col.
Il se met à bouger doucement, mais très vite, Karine se met à gueuler. Oui on peut dire gueuler.
Eric (qui arrive) : C’est quoi tout ce raffut.
Pierre : Samir est en train de la mettre à fond.
Eric : Ouah, j’avais encore jamais vu Samir pouvoir tous rentrer.
Pierre : Moi je ne l’ai vu faire qu’une seule fois.
Eric : Elle est vraiment bonne Karine. On a bien fait de l’amener.
Karine fatigue de maintenir ses jambes en l’air, qui redescendent.
Samir : Vous pouvez lui maintenir les jambes ?
Eric et Pierre (ensemble) : Bien sur, pas de problème.
Pierre : On va simplifier la vie à cette charmante dame.
Karine : Ah oui, c’est bon Samir. Merci les gars. Je sentais plus mes jambes. Oh, oui, oh putain, c’est bon. Quelle garce je fais quand même. J’aimerai tellement que mon mari soit là, pour me voir jouir, et partager ca avec moi. Je devrais pas.
Pierre : Tu l’aimes ton mari ? T’as pas envie de le quitter ?
Karine : Non bien sur.
Samir : Et bien c’est le plus important. Que tu l’aimes. Que tu ais des sentiments pour lui. Dis-toi que là, tu prends juste du plaisir. Ahhhh et elle est bonne ta chatte. Tiens prends. Le plus important, c’est dans ta tête. Alors, profites et prends ton pied. On est discret, tu ne seras pas emmerdé. Nous Pierre et Eric aussi sont marié ils n’ont pas l’intention de quitter leurs femmes. Et moi, ahhhh, je vais bien finir par me caser.
Eric : Oui, faut pas mélanger le cul et les sentiments. Pierre arrête de lui tripoter le clito, déjà avec ce qu’elle encaisse.
Karine : Vous avez raison les gars. Non, Pierre continue.
Pierre : Ah tu vois qu’elle aime çà.
Karine : Ah oui, j’aime çà. Allez-y. Je veux encore jouir, encore plus. Vas-y Samir.
Samir se redresse. Il maintient Karine par le haut des cuisses pour pas quelle remonte sur le lit, et qu’elle reste bien au bord. Pierre et Eric lui maintiennent les jambes bien écartelées.
Samir accélère le mouvement. Karine gueule, feule, gémit, se fait balloter les seins.
Pierre, de sa main libre, lui secoue le haut de la chatte et le clito dans tous les sens. De son côté, Samir lui tripote l’anus, car sa main est passée en dessous : j’ai changé rapidement de caméra, et j’ai vu deux doigts s’engouffrer dans son cul.
Samir la défonce à un rythme effréné. Il est en nage et transpire de partout. Je vois sa queue sortir presque complètement, seul son gland reste à l’entré écartant à chaque fois sa vulve qui se dilate, et aussi replonge dans cet antre chaud, qui ne demande qu’à se faire défoncer.
J’entends le bruit des claquements de peau : les fesses de Karine ballotent dures.
Pierre et Samir bandent à fond.
Pierre : Branle-nous Karine !
Karine lâche ses seins et attrapent les queues de Pierre et Eric : elle s’agrippe à leurs queues et les branle bien à fond.
Eric : Ah, oui vas-y, jouit, et tu vas encore me faire jouir.
Samir : Ah putain les mecs, j’en peux plus. Je vais me vider les couilles. Je vais l’inonder cette garce. Massacre-lui le clito à cette garce, qu’elle s’en rappelle.
Je vois la main de Pierre s’activer avec violence. Il pince les lèvres et clito, et tire dessus ou bien remue l’ensemble dans tous les sens.
Pierre : Ah putain la garce. Elle aime çà.
Eric pince le téton de Karine qui se trouve à côté de lui. Il le tire aussi dans tous les sens.
Samir est prêt à jouir et devient vulgaire : Karine aussi d’ailleurs.
Karine : Ah, oui j’ai mal, mais c’est bon. Ah putain, j’en peux plus. Ah que c’est bon ! Oui Samir, défonce-moi. Vas-y à fond. Lime-moi à fond.
Samir : Tiens, prend çà. T’en voulais du gros volume, et bien tu vas en avoir. Putain Pierre, massacre lui le clito je t’ai dis, ca lui fait bouger le fond de la chatte. Ah t’aimes çà, ta chatte va être un vrai garage à bites.
Samir se courbe en arrière. Ses coups de queues sont impressionnants. Comment Karine peut accepter cela. Elle va avoir des bleus au fond de la chatte (je ne sais pas si c’est possible d’ailleurs).
Samir : Tiens, prend, je vais jouir. Encaisses salope…….. !!!!!!!!!!!!!!!! Oui, Ca monte….Ahhhhhhhhhhh !
Karine : Ouiiiiiiiiii, ouiiii,ouiiiiiiiiiiiiiii. Ah viens, remplis-moi bien. Encore là, oui. Je jouiiiiiisssssss.
Pierre : Je lâche la purée….. !!!!!!!!!
Eric : Moi aussi !
Je vois les giclées de sperme arriver sur Karine et sur ses mains. Elle en prend plein sur elle et y’a quantité. Samir s’est verrouillé au fond du bassin de Karine et je devine les giclés qui arrivent dans le préservatif.
Depuis ma petite chambre d’hôtel, j’ai accéléré le mouvement de ma main, et très vite j’ai jouis à mon tour.
Karine : Ah, oui c’est chaud, c’est bon.
Après quelques secondes de relâchement, les corps de dénouent, se délient. Pierre et Eric essuie Karine avec une serviette.
Pierre : Dis donc, Karine, quand tu as jouis, j’ai senti du liquide arriver sur mes doigts. Je pense que ton clito a jouit lui aussi.
Karine : Possible, j’ai du jouir de partout. Mon bas ventre n’était qu’excitation et jouissance.
Samir sors lentement son sexe qui s’est ramollis. La chatte de Karine, ainsi libérée, se resserre lentement et crie (pète) son soulagement.
Karine : Désolé les gars.
Samir : C’est normal. Ca te chauffe pas trop ?
Karine : Un peu, mais c’était tellement bon. Bon allez, à la douche.
Après quelques minutes, je retrouve les compères à boire un verre rapidement. Karine leur donne le billet pour le calendrier, mais Pierre répond que c’est un cadeau : que c’est la moindre des choses, devant un accueil aussi sympathique. Ses collèges acquiescent.
Sur le pas de la porte : Karine : Encore merci à vous. Et pour votre discrétion.
Pierre, Eric et Samir : Vous pouvez compter sur nous (le vouvoiement est de rigueur, ils sont déjà sur la voie publique) ! Et si vous avez besoin, n’hésitez pas à nous appeler. Le numéro est sur le calendrier.
Et voilà, il est 17h, et il est temps de reprendre le cours normal de la vie. Je coupe mon ordinateur et je reste songeur : 3 heures intenses, non-stop. Quelle santé !
Vivement ce soir que je rentre à la maison.

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La femme le prends pour 1 con et le mec dit rien !!!!



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