Manon, jeune élève obéissante (4)

- Par l'auteur HDS Manon19 -
Récit érotique écrit par Manon19 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Manon, jeune élève obéissante (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Manon, jeune élève obéissante (4)
Arrivée à sa chambre, mes poignets ligotés, tenue par mon collier, il m’a ordonné de
m’allonger sur le dos. Comme si les menottes en dentelle qu’il m’avait imposées ne
suffisaient pas, à l’aide d’une sangle en cuir il les a attachés à la tête de lit, ne
me laissant de longueur que le stricte nécessaire pour pouvoir me tourner et bouger un
peu, mais guère plus. Je tremblais, non pas de peur, mais plutôt je crois d’une sorte
d’émotion débordante que j’étais incapable de maîtriser. J’étais attachée comme une
bête prise au piège, en petite tenue d’allumeuse, et mon sentiment de vulnérabilité
mouillait mes yeux.
Observant mes réactions, et vérifiant l’intérieur de mes cuisses avec sa main, il
s’est énervé de voir mes jambes l’une contre l’autre. Comme un professeur passant un
savon à de mauvaises élèves, il a haussé le ton et m’a indiqué que je ne devrais
jamais avoir les cuisses serrées en sa présence. Il précisa que cela était également
valable durant mon sommeil. Que ce soit comme cette nuit dans le même lit que lui, ou
que je sois seule chez moi dans le mien. Je devais dormir en restant toujours écartée.
« Tu devras garder tes cuisses toujours séparées l’une de l’autre de manière à obtenir
un écartement correspondant au minimum à 5 et 7 heures ». Comme je ne comprenais pas,
il a positionné mes jambes afin de mes faire comprendre, ouvrant en grand mon intimité
que seul mon string cachait encore de son regard.
- Ainsi à tout moment de la nuit, que tu sois sur le ventre, sur le dos, ou sur
le côté, si l’envie me prend je peux te baiser Manon. Tu sais, j’enseigne depuis
bientôt dix ans… Et en dix ans je ne crois pas avoir eu une élève plus sexy que toi !
Vraiment je cherche mais je ne vois pas. T’es bonne à un point ma belle, si tu te
voyais là comme ça écartée, me suppliant presque de te baiser encore une fois, ta
chatte pleine de mon sperme… Tu sais pas ce que tu es bonne salope, ah ça non, tu ne
sais pas tout ce que j’ai envie de leur faire endurer à tes gros seins lorsque je les
vois… Arrête de pointer comme ça ou je te jure que tu vas te faire mordre petite pute…
Ce serait tellement facile. Tu ne peux plus rien contre moi, tu ne peux plus te
défendre, t’es attachée à mon lit comme une pauvre chienne abandonnée… Mets-toi sur le
ventre, tu l’as cherché. Plus vite que ça. C’est un ordre. Et remue moi ton adorable
petit cul Manon, comme tu le faisais tout à l’heure en boîte de nuit pour faire
dresser toutes les bites des mecs. Oui vas-y tu es bonne, tu commences à comprendre
tout ce que tu peux faire de ton cul pour exciter les hommes, et tu devines tout ce
que je vais lui faire endurer pour te punir, mais tu ne devines qu’à peine le quart de
ce qu’il va subir salope !

On ne m’avait jamais parlé comme ça. J’avais déjà connu des compliments salaces sur
mes seins, il y a quelque temps un groupe de mecs qui me suivaient depuis un moment
m’avait même arrêté en pleine rue pour me demander mon tour de poitrine et combien je
prenais pour les montrer. Mes pointes étaient dressées sous mon pull-over, ce que ces
messieurs n’avaient pas manqué de voir, et j’en avais ressenti une profonde
humiliation mélangée à une aussi intense excitation. Quant à mes fesses j’avais pris
plus ou moins l’habitude qu’elles provoquent quelques sifflements admirateurs dès que
je mettais certaines jupes ou pantalons un peu moulant. Je dois avouer que si je
jouais alors la vierge scandalisée, ces « petites attentions » me faisaient un certain
effet tout en me rendant assez fière.
Mais rien en comparaison de ce que je ressentais à cet instant. Mon corps entier
avait envie de lui exprimer son bonheur et sa reconnaissance, allongée sur son lit
j’ondulais mon petit cul de la façon la plus érotique qui soit, mes bras toujours
solidement retenus au dessus de ma tête, les poignets liés, attachée à son lit et
amoureuse.
Il a écarté à nouveau mon string et m’a pénétré brutalement la chatte. Je me faisais
encore baisée. Et plus durement que les deux fois précédentes. Je me suis prise
plusieurs volées de fessées en souvenir parait-il des moments où je l’avais dans le
passé déçu en lui rendant de mauvais devoirs. Je m’excusais, mais cela ne l’empêcher
pas de continuer ou de remonter mes bas et de tirer les sangles de mon porte-
jarretelles pour les faire claquer plus durement sur mon derrière.
Lorsqu’il m’a demandé si j’avais enfin compris ce que c’était de se faire baiser comme
une pute, se prendre de grands coups de bite, je pouvais à peine lui répondre
tellement oui j’avais bien senti sa bite. Il a semblé freiner durant quelques minutes
ses ardeurs, tout en me gardant empalée sur son sexe, mais pour mieux martyriser mes
seins.
- Tout ton corps en redemande déjà Manon, t’es vraiment bien la grosse pute que
j’imaginais. Tu vas bien me les vider mes couilles avec ton putain d’amour chérie ! Oh
oui tu avais bien raison de t’attacher à moi, tu ne vas pas regretter, je vais te
remplir de sperme tu vas en déborder ! Car tu sais ce que tu es Manon ? Tu vas me le
dire n’est-ce pas ?
- Oui je suis une pute, ai-je murmuré honteusement excitée par mes propres
paroles, et étonnée que de de tels mots sortent de ma bouche.
J’ai joui de nouveau sans retenue, encore retournée par mes propres aveux sur mon état
de catin, tandis qu’il embrassa de nouveau ma nuque et mon visage. Mes cheveux noirs
étaient collés sur mes joues. Je n’avais jamais imaginé, non jamais, qu’on puisse me
parler de la sorte, qu’on puisse me traiter ainsi, mais oh oui, j’étais tellement
heureuse de l’entendre, tellement excitée, que ma vie toute entière avait soudainement
un goût bien plus grisant et enivrant.

Il m’a retournée. Il a pincé un de mes mamelons, j’ai crié de douleur, il aurait voulu
m’arracher de tels cris qu’il ne s’y serait pas pris autrement. J’en aurais pleuré si
je n’avais pas été surprise par la dureté de son regard et le ton de sa voix :
- Manon, cela doit te faire comprendre que je ne plaisantais pas tout à l’heure
: je te veux cuisses toujours ouvertes !
J’ai aussitôt repris la position enseignée et il a repris un air moins sévère. Il a
rattaché mon soutif, mais sans m’enfiler mes bretelle à cause mes mains entravées. Mes
deux mamelles se trouvaient à nouveau compressées, dressées et tendues vers lui.
Pourquoi leur imposait-il de nouveau cet emballage et cet emprisonnement? Voulait-il
me montrer qu’il m’habillait et me déshabillait à sa guise, que je ne disposais plus
de moi-même, que mon corps lui appartenait, qu’il faisait ce que bon lui semble de
cette jolie poitrine dont je suis si fière et que j’utilise si souvent pour allumer
les hommes mais en la gardant pour l’essentiel cachée, bien moulée sous mes petits
hauts sexy ?
Sa queue a glissé sur toute la longueur de mon ventre. Elle a visité mon nombril,
joué avec mon piercing. « Tu portes le même que toutes les petites salopes de ton âge,
c’est amusant… » a-t-il observé, avant de continuer plus haut pour se glisser sous
mon soutien gorge et placer son sexe entre mes deux seins.
- 90C ? m’a-t-il demandé
- Oui, ai-je gémi tandis qu’il me les tenait à pleine main.
- Tu sais que tu plaisais aussi beaucoup à ton prof d’éco ? On se connait très
bien lui et moi. Il aurait mis sa main à couper que tu avais un 90C. J’en étais moins
sûr, ça me semblait trop facile… Enfin, tant mieux pour lui, il gardera ses deux
mains, ça pourra toujours lui servir !
Il a comme pesé mes nichons, il a bien pris le temps de les prendre en main, de les
examiner, et les recouvrir du tissu de mon soutien gorge.
- Un beau 90C ! s’est-il exclamé en continuant de les palper mais en me
regardant dans les yeux. Manon tu as un bien joli paire pour une gamine de ton âge. Tu
aimes qu’on les admire, tu en es fière. C’est elle qui te rendra arrogante!
Il semblait attendre une réponse de ma part, mais je ne savais que lui dire. Est-ce
pour m’en rappeler la présence, qu’il a ensuite tiré avec sa main sur le collier de
dentelle et de satin entourant mon cou ? Il m’a regardé droit dans les yeux.
- Mais tu es à moi Manon. Je vais inonder tes mamelles de mon sperme avant de
t’en remplir. Mais avant réponds- moi sans mentir, même si je connais déjà la réponse
je pense... Avais-tu déjà joui comme ça auparavant ?
- J’avais jamais joui comme ça avant monsieur le professeur, ai-je dit prise que
j’étais encore du plaisir qu’il m’avait donné.
- Normal Manon, tu étais faite pour être mon objet sexuel. Tu aimes servir.
Prisonnière sous son corps et son poids d’homme qu’il me faisait sans cesse sentir, me
rappelant par la même ma fragilité, je tremblais encore de la jouissance qu’il m’avait
administré et je buvais ses paroles comme autant de caresses. Il a serré mes deux
seins l’un contre l’autre, et les a baisés comme si j’étais en plastique. Son sexe
paraissait énorme. Mes seins garderaient-ils à jamais les traces de ma soumission à
cet homme et de sa violence à me prendre ? Il me faisait mal et j’en redemandais.
Est-ce parce que j’avais toujours trouvé qu’il n’y avait rien de plus humiliant et
avilissant pour une femme que de se faire baiser sa poitrine ?
Je ressentis le besoin de me faire baiser les seins encore et encore, de me faire
maltraiter mes mamelles, de me faire traire. Je ne méritais pas mieux. J’avais
également envi de téter, de me faire remplir la bouche, de le sucer. Je me mordis la
lèvre plutôt que de rester la bouche grande ouverte à remuer ma langue pour le lui
faire comprendre. Il avait décidé de ne pas céder à mon caprice. Sa belle bite a
commencé à se vider dans mon cou et entre mes mamelles en arrosant au passage la
dentelle de mon soutien gorge. Des jets ont atteint mon menton et mon visage. J’ai
tendu ma langue, et pour me faire plaisir il est venu enfin me donner à lécher sa
belle queue encore remplie de jus!

à suivre...

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