EVEIL ET MATURITE (8) - Bertrand

- Par l'auteur HDS Midou32 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : EVEIL ET MATURITE (8) - Bertrand Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2006 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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EVEIL ET MATURITE (8) - Bertrand
EVEIL ET MATURITE (8)
CHAPITRE 8 - BERTRAND

Tantine revint toute guillerette le lendemain vers 11 heures. On déjeuna vers midi nus sur la terrasse puis on fit une petite sieste à trois, histoire de nous retrouver ensemble. Elle nous raconta exquisément toutes ses saillies avec son amant et nous fit raconter tout ce que nous avions vécu avec ce couple. Cela se termina comme il fallait s'y attendre. Tantine sur le dos les cuisses grandes ouvertes et Clélia couchée sur elle. Elles s'aimaient. Et sur elles deux j'étais couché et ma bite glissait d'un con dans l'autre, entretenant chez toutes deux un plaisir qu’elles aimaient et partageaient entre elles.

La journée de retrouvailles s'écoula paisiblement et on fit encore quelques fois l'amour avant la nuit.

Mais dès le lendemain matin Tantine parti à nouveau, et cette fois avec Clélia qu'elle conduisit voir son père qui était arrivé pour deux jours à Toulon pour affaires. C'était prévu de longue date mais je n'en étais pas moins tout triste de me retrouver seul.

Je m'échappai bien vite de cet appartement vide qui puait la solitude et me mis à marcher le long de la plage. Il y avait pas mal de vent mais c'était bon car le fond de l’air était chaud. Après un quart d'heure de marche je vis un chapeau courir à toute vitesse sur le sable vers moi. Je courus, l'attrapai et le portai vers un jeune qui courait derrière. Incroyable! C'était Bertrand, le petit ami de Clélia que j'avais rencontré sur la plage quand il couchait avec elle ! Mais lui n’en savait rien. Il ne m’avait jamais vu.

Je lui dis que je les avais vus ensemble et que Clélia était devenue ma petite amie. Il rougit un peu puis on s’assit dans le sable et il me demanda des nouvelles de Clélia. Je lui en donnai mais sans lui parler de Tantine et de tout ce que nous vivions à trois. Mais il restait sur sa faim, hésita, puis me demanda très directement si je couchais beaucoup avec Clélia. Et tout aussi honnêtement je lui répondis que oui, très souvent. On devisa un peu ensemble et je lui dis que je vivais chez Clélia mais qu'elle était partie pour deux jours et que j'y étais seul.

Il me confia que jamais il n'oublierait ce moment sur le sable avec Clélia et je lui confirmai que pour moi aussi cela resterait un moment unique. Il avait l'air de vouloir en dire plus mais de ne pas oser. Moi je regardais son corps à la dérobée et le trouvais beau. Je lui fis confirmer qu'il était seul et n'avait rien à faire puis l'invitai chez Tantine. On pourrait y parler plus à l'aise.

Arrivés sur sa terrasse j'étendis les essuies à terre et retirai mon maillot avant de m'étendre au soleil. Debout près de moi il me regarda comme paralysé et je dus insister pour qu'il fasse de même. Il s'y résigna finalement et s'étendit près de moi. On s'abandonna un moment au soleil et on devisa de tout et de rien.

Puis on se tût et il ferma les yeux. Je glissai ma main à ma pine et me mis à me caresser doucement en le regardant nu. Il était beau et avait un beau sexe au repos entre ses jambes. Ma queue se dressa lentement dans mes doigts. Je me levai alors et lui proposai de manger une pêche avec moi. Il accepta et me suivit au salon puis à la cuisine. Je choisis deux beaux fruits dans la corbeille et me retournai pour lui offrir le plus beau.

Il baissa les yeux pour prendre cette pêche et vit ma bite dressée en dessous. Il rougit très fort, la regarda un moment, puis prit le fruit que je lui tendais et glissa vers le centre de la cuisine. Il avait l'air affolé. Il mangeait sa pêche en marchant nu et en essayant sans cesse de me tourner le dos. Je me doutais de ce qui se passait. Sa bite gonflait et il en était gêné. J'approchai de lui, le pris par les épaules et lui fit faire demi tour. C'était çà ! Elle était totalement dressée dénudant partiellement son gland ! Il baissait la tête et regardait nos bites.

J'approchai encore et du bout de mon gland je touchai le sien. Il sursauta mais laissa faire. Alors je pris une queue dans chaque main et en caressai les glands l'un contre l'autre. Je le sentais trembler, pris entre le désir de fuir et celui de me sauter au cou. Je lui demandai :
- Tu nous trouves immondes ?

- Oui ! … Non !... Je ne sais pas !

- C’est bon de penser que ces deux bites ont joui dans le même con. On a ça en commun. Tu ne trouves pas que ça rend nos bites plus intimes ?

- Si !

- Et ça te plaît ?

Il hésita longuement, mais regardant toujours nos pines se caressant dans mes mains il ajouta dans un souffle :
- Oui !... Terriblement !

Je sentis que je devais aller doucement si je voulais l'avoir dans mes bras et lui dis que j'avais envie de me caresser devant lui. Il accepta et je l'emmenai dans la chambre. Je me couchai sur le lit, et bien calé dans les oreillers je repris ma bite et me caressai. Il s'assit au bord du lit et regarda ma pine grandir encore. Tout à coup une goutte apparût dans le méat. Je lui demandai :
- Toi aussi tu as ça quand le plaisir monte ? Lèches la si tu veux !

Je le vis hésiter, rougir fort, puis d'un coup il glissa à genoux à côté du lit. Il se baissa et lécha la goutte. L'instant d'après toute ma bite était dans sa bouche. Il me tétait comme un désespéré. Je lui disais comme il le faisait bien. Ma main glissa entre ses cuisses et prit possession de sa queue et de ses couilles.

Il ne me lâchait pas. Le plaisir montait en moi. Dix bonnes minutes plus tard je voulus lui arracher ma bite pour gicler hors de ses lèvres. Mais il grogna en la forçant dans sa bouche. Je ne pus me retenir et me mis à gicler. Il avalait tout avec passion. Rien ne ressortait de ses lèvres. Il buvait mon jus directement à ma queue.

Quand il eut pris mes derniers jets je m'effondrai dans les oreillers et le vis se relever en me regardant dans les yeux. Il se léchait les lèvres. Je me relevai sur les coudes et regardai son corps nu. Il était magnifique ! Il devait sentir mon désir de lui.

Un frisson le parcourut et, toujours à genoux par terre, il s'assit sur ses talons, se pencha en arrière, les cuisses écartées toutes grandes et le sexe dressé, visiblement offert à mes regards. Il me dit tout bas en me regardant dans les yeux :
- Je te plais hein ?... Tu as envie de moi ! … J’adore sentir ça !... Je veux que tu me fasses l'amour comme tu le fais avec Clélia !... Même mieux encore !... Je ne savais pas que j'étais si vicieux ! Toi aussi d'ailleurs !... J'adore ton désir ! Prends mon corps ! Fais tout ce que tu veux de moi ! Encules moi beaucoup ! Je veux sentir ta queue!... Je veux même planter ma bite dans ton cul aussi !

Je me levai et me glissai à genoux derrière lui et l'enlaçai. Je pris sa bite et la masturbai doucement en l'embrassant Bertrand dans le cou. Il s'abandonnait totalement à mes caresses.

Je me relevai et l'entraînai au lit. Je l'y couchai et, malaxant sa queue et ses couilles, posai mes lèvres sur les siennes. Il répondit follement à mon baiser puis s'arrêta essoufflé et me dis tout bas :
- Oh je veux que tu me fasses totalement l'amour ! Je veux tous tes vices et veux que tu aimes tous les miens ! Et je vais être vicieux avec toi tu sais !

- Je te veux Bertrand ! Avec tous tes vices ! Et je veux aussi que tu gicles de plaisir dans mon cul ! On a la même amie. On est déjà intime. Plus que tu ne crois même. Je l’ai prise après toi sur le sable… dans tout ton sperme.

Tu sais… Je me sens bi depuis longtemps mais n’avais jamais osé. Toi tu es l’amant de Clélia. C’est un peu comme si je couchais avec elle.

Je comprends ! Je ferai doucement ! On va vraiment faire l’amour.

Je le sentis se trémousser nu contre moi en entendant ça. Il me donnait l'impression de vouloir monter sur moi. Je roulai sur le ventre et soulevai mon cul. Il se leva et se glissa derrière moi. Je sentis son doigt se poser sur mon anus et le caresser.

- Je peux t'embrasser là ? J'en ai fort envie !

Pour toute réponse je portai mes mains derrière moi et m'écartai les fesses. L'instant d'après ses lèvres se posaient sur mon anus et quelques secondes plus tard sa langue plongeait dedans.

En me retournant je voyais sa jolie main caresser follement sa queue dressée. Alors je crachai dans ma main, attrapai son gros gland chaud et y étendis la mouille. Je glissai alors sur le ventre, cuisses bien ouvertes, et des deux mains j'écartai à nouveau mes fesses. Il ne résista pas à un appel aussi excitant. Il se coucha sur moi et toute sa bite glissa doucement en moi.

- Oh Pat! Je rêvais tellement de ça et ne pouvais en parler à personne ! Oh c'est bon ! Quel cul ! Je vais gicler en toi !

J'adorais sa bite tendue et chaude en moi. Je sentais de tout mon corps le plaisir qu'il prenait sur moi. Et il le prenait à fond, sans aucune gêne ! Il jouit comme il le fit rarement puis s'effondra sur moi et resta planté en moi jusqu'à ce qu'il reprit son souffle. En m’embrassant dans le cou il me dit encore combien ses désirs l'avaient torturé depuis des années.

Quand il glissa en bas de moi je me retournai et l'enlaçai puis repris ses lèvres. Entre deux baisers je lui dis qu'on vivrait à deux tous ses désirs. Puis ma bouche glissa sur son ventre et lui prit sa queue encore mouillée de son jus. Il ouvrit grand les cuisses et me donna tout son sexe en caressant mes cheveux.

Je lui léchai aussi ses couilles puis lui relevai les cuisses et lui embrassai longuement l'anus. Il se laissait faire avec délices, se caressant doucement la queue.

Alors je remontai à quatre pattes vers son ventre. Il regarda ma bite énorme, pendant dure sous mon ventre et me dit :
- Oh Pat ! Quelle bite !... Je comprends que Clélia l’adore ! Prends moi!

J’approchai de son cul offert et dirigeai ma bite vers son anus. Elle y glissa bien plus facilement que je ne l’avais cru. Je me penchai vers lui et l’embrassai sur la bouche. Son ventre dansait et ma bite plongeait en lui. Il était visiblement affamé d'amour avec un homme et voulait réellement en goûter toutes les possibilités. Il venait de me prendre et de gicler en moi. Maintenant il voulait m'exciter et sentir une bite en lui !

Ce fut exquis et je jouis comme un fou dans le fond de son cul. Il reçut mes jets de sperme avec ravissement. Puis on s'apaisa. Je sortis de lui doucement pour ne pas lui faire mal et on s'enlaça.

Je lui parlai alors longuement de Clélia et de sa tante Tantine, chacun jouant avec la bite de l’autre. Je lui racontai qu'elles couchaient ensemble et comment, dès le premier matin, Clélia s'était arrangée pour me faire coucher avec sa Tantine. En lui parlant je lui caressais la bite. Lui m’écoutait en triturant la mienne. C’était bon et intime.

Je lui dis que Tantine revenait dans l'après-midi sans Clélia et lui offrit qu’on se la partage et qu'on la prenne à deux. L’idée le rendait comme fou. Alors on s'endormit tous deux nus et enlacés.

Quand on s'éveilla nous étions toujours seuls. En passant ma main sur mon ventre je palpai ma queue dressée. Je glissai la main sur le sien et y découvrit la même bite dressée. Il s'éveilla et embrassa un de mes tétons avec tendresse et amour. Je sentis sa main s'emparer de ma bite nue. Il la caressa doucement puis me dit :
- J'ai encore envie de la sentir dans mon cul ! J'adore ça !

- Viens t’asseoir sur moi !

Il repoussa les couvertures, me regarda nu puis m'enjamba. Il vint poser son anus sur mes lèvres et je l'embrassai longtemps, poussant ma langue loin dedans. Il se laissait faire en me disant des cochonneries et en se masturbant. Puis il glissa vers mon ventre, tourné vers mes pieds. Je pris ma bite et la redressai verticalement et il s'assit doucement dessus. Je regardai ses fesses ouvertes, son anus gonflé et ma bite qui glissait dedans et je gémis de plaisir.

Il se mit à danser doucement sur moi en gémissant et en se tordant de plaisir sensuel. Parfois il se retournait vers moi et me regardait, le visage extasié, puis redressait la tête et gémissait à nouveau en se mouvant lentement sur moi. Je regardais ma bite énorme dans ses jolies fesses.

J'entendis un bruit de porte et su que Tantine était rentrée, mais lui ne l'entendit pas, trop occupé par sa jouissance et ses désirs enfin mis en pratique. Il avait ma bite dans le cul et s’en délectait totalement. Comme nous nous sentions bien ensemble et quelle intense complicité !

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Texte coquin : EVEIL ET MATURITE (8) - Bertrand
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