Biographie amoureuse Chap II " Femmes, femmes femmes"

- Par l'auteur HDS Bisoumidomi -
Auteur homme.
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Récit libertin : Biographie amoureuse Chap II " Femmes, femmes femmes" Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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Biographie amoureuse Chap II " Femmes, femmes femmes"
--- Chapitre II ---

Après mes premières armes avec Mireille qui avait parfait mon éducation dans le
domaine des jeux amoureux, je me mis à assidûment courtiser les filles de mon âge. Je
me rendit rapidement compte qu'il existait maintenant un décalage entre leurs envies,
leurs désirs de jeunes filles et ce que j'attendais moi d'elles. Mais que voulez vous
je craquais pour un nombre presque infini de minois, de paires de fesses également.

Les hommes sont caractérisés par un ego souvent disproportionné, et sur le plan des
conquêtes féminines ils ont tendance à idéaliser. Au bout du compte quand on parle de
femmes entre hommes tous n'ont connus que des filles superbes à la plastique
irréprochable, au tour de taille idéal.
Ce n'est pas mon cas, je n'idéalise pas mes conquêtes, j'ai connu de très jolies
filles, mais j'ai connu des filles qui avait eu moins de chance ou dont la plastique
laissait a désirer et certaines avaient des paquets de kilos en trop. Mais pour moins
cela n'importe pas, ce qui compte c'est l'envie de prendre et de donner du plaisir.

La beauté la plastique certes sont souvent un plus, mais au bout du compte j'ai pris
souvent bien plus de plaisir avec des filles disons communes, alors que je me suis
ennuyé avec des gamines superbes. Je reste intimement persuadé qu'une jolie fille,
sait qu'elle a des atouts, une fille moins gâtée par la nature compensera par souvent
plus d'audace, et parfois elles ont tellement envie de plaire qu'elles accèdent à
toutes nos demandes là ou de jolies filles refuserait.

Pour moi il n'y a pas de filles belles ou moins belles, il y a des filles qui aiment
vraiment les jeux de l'amour sans tabou, d'autres qui s'y plient car elle ne peuvent
pas faire autrement mais s'en passerait bien. Étrangement dans cette dernière
catégorie on trouve une forte proportion de jolies femmes. En plaisantant je dis
souvent mon type de femme c'est « celle qui dit oui ».

Quand je fais un retour sur mes années passées je n'arrive pas à comprendre ce qui
peut attirer une femme chez moi. Je n'ai pas le physique, du moins je ne pense pas
être l'idéal masculin de ces dames. Peut être est ce une question de persuasion, il
est vrai que j'arrive assez facilement par la discussion à expliquer les choses, a
démystifier souvent. Est ce çà la clef? Honnêtement je ne sais pas. Surtout si l'on
fait un rapide tour d'horizon j'ai eu des amantes dont l'age allait de 18 à plus de 60
ans, des femmes de tous horizons, de races différentes et de statut social très
différent alors quoi? Comment? Pourquoi? Cela reste véritablement un mystère. Faisons
exception de celles qui furent a moi pour une heure ou une nuit dans le cadre de
parties dites fines.
Il faut envisager également la question du nombre de mes conquêtes. Certes les femmes
qui ont compté véritablement mes mains suffisent pour les dénombrer. Par contre pour
savoir le nombre de femmes que j'ai tenu dans mes bras, là je suis bien incapable de
donner un chiffre, si je tente une estimation je dirais en incluant les maîtresses
d'un instant largement plus de 100. Ce n'est pas une gloire, je n'en parle pas trop en
fin de compte et puis quel intérêt? Le constat est pourtant amusant.

Tout le temps que je passais dans mes études, tout ce temps fut émaillé de rencontres
avec quelques filles dont j'ai encore le souvenir.
Naturellement la première que j'ai conquis, car Mireille m'avait choisi et m'a croqué.

Fabienne, petite toute menue la peau mate, des cheveux noirs et un regard d'un brun
profond, de tes jolis yeux pailletés d'or. Des seins elle n'en avait guère. Malgré mes
heures de pratique avec Mireille, je dois dire que le moment ou enfin je me trouvais
seul avec Fabienne fut exquis. J'avais le cœur battant a tout rompre. Depuis un moment
nous étions ensemble et nous avions déjà épuisé le registre des baisers, des caresses
parfois plus que coquines, nous étions arrivés a plusieurs reprise au bord de l'extase
par nos caresses mais jamais encore nous n'avons franchi le pas.
Ce samedi là dans sa chambre, les parents absents,Fabienne était chaude comme de la
braise, je l'avais senti au premier baiser. Habituellement elle ne me laissait la
caresser qu'au travers de son chemisier et là elle me laissa glisser ma main par
l'échancrure. C'est un délice de sentir la peau chaude et palpitante de celle qu'on
désire ardemment. Et là je sentais battre son cœur sous ma main.
Quand je refermais mes doigts sur son téton elle laissa aller sa tête en arrière et
poussa un petit gémissement, sa main ne restait pas inactive et elle se glissait dans
la ceinture de mon pantalon. Jamais elle n'avais osé. Nos bouches se dévoraient, nos
mains découvraient les recoins jusque là interdits. Mon sexe était dressé, ses doigts
me touchèrent, cela fit l'effet d'une décharge électrique et mon sexe durcit encore
plus.
Elle me regardait amoureusement, nous n'osions pas parler. Je commençais a défaire les
boutons du chemisier, je m'attendais d'un moment à l'autre à un veto. Mais rien ne
vint entraver ma progression, pire elle remontais mon t-shirt pour me l'ôter. Le
chemisier était un souvenir, son petit soutien gorge noir c'est elle qui le dégrafa et
le jeta sans vergogne au sol.
Nous étions torse nu tous les deux, maintenant a genoux sur son lit. Je caressai ses
épaules tandis que nos bouches se soudaient a nouveau. Je fut surpris par la douceur
de ses mains sur mon dos et ma poitrine et surtout par l'effet que cela produisait en
moi. Je laissais mes lèvres descendre dans son cou, elle se laissait faire, puis je
couvrais de baiser l'espace entre ses deux petits seins avant de déposer des baiser
sur les pointes durcies.
Nous nous regardions, un feu brûlait dans ses prunelles, de toute évidence nous avions
dépassé le point de non retour, nous ne pouvions plus arrête là. Elle commençait a
défaire ma ceinture et moi j'avais retroussé sa petite jupe, pétrissant ses fesses un
moment avant de glisser mes doigts sous l'élastique de sa culotte. Sous mes doigts je
sentais sa toison puis descendant plus loin la blessure moite de sa chatte, mon doigt
descendait dans la fente et la moiteur fit place à l'humidité.
Fabienne tout comme moi était dans un état d'excitation intense. Moi je me demandais
si j'arriverais à ne pas gicler avant d'arriver au port. Et je failli bien partir
quand elle finit par baisser mon pantalon et mon slip laissant bondir mon sexe. Elle
n'eut aucune hésitation et me prit dans sa main et doucement elle la laissait glisser
décalottant mon sexe gonflé a cet instant j'ai cru que j'allais partir, je senti une
goutte monter le long de ma verge et perler au bout du gland. En quelques instants
nous étions nus.
Fabienne c'était allongée, agenouillé prés d'elle je caressais son corps, elle
continuait a masser ma queue doucement. Mes doigts s'emparaient de sa chatte humide,
elle ouvrait les cuisses me laissant œuvrer a ma guise. Mes heures passées avec
Mireille et ses conseils furent utiles, doucement avec mes pouces j'écartais les
grandes lèvres ouvrant le sillon rose et humide de son sexe, et humide il l'était,
luisant, brillant. J'écartais les lèvres pour voir le petit bouton qui trônait a la
jonctions. Fabienne tressaillait et poussait de petits gémissements très excitants au
fur et à mesure de mon exploration. Je me penchais mes lèvres touchèrent son sexe
elle poussa un petit cri, qu'elle sentait bon, c'était poivré, piquant j'adorais son
odeur. Ma langue se mit a explorer son sexe, cette fois Fabienne se mit a gémir ses
mains étaient posées sur ma tête accompagnant mes mouvements, Elle était vraiment
humide, trempée même et j'ajoutais ma salive à sa rosée. Son clitoris était gonflé et
saillait de plus en plus, la pointe de ma langue l'agaçait tirant de Fabienne des cris
de plus en plus marqués. Ma queue tendue me faisait mal et frottait contre le drap.
Elle fut soudain beaucoup plus humide alors que ses hanches roulaient. Elle me tirait
sur la tête maintenant et dit ce seul mot « Viens ». Je me plaçais entre ses cuisses,
mon sexe dur contre sa chatte trempée. Elle m'avait enlacé et me regardais
amoureusement. Mon sexe butait, Fabienne n'avais jamais connu d'homme avant moi, me
rappelant des conseils de Mireille je faisait le plus doucement possible. Mes mains
enserraient son visage, je poussais lentement. Ses yeux grands ouverts était une
invitation à aller de l'avant. Elle poussa un cri et je senti mon sexe la pénétrer, il
était brûlant et palpitait autour de ma queue dure. Fabienne avait fermé les yeux.
Elle croisa ses jambes autour de mes reins et je commençais à aller et venir lui
soutirant de petits cris. Ses doigts se crispaient sur mon dos, puis se furent ses
ongles qui me labouraient. Son sexe était étroit et je sentais monter mon plaisir, je
ralentissais le mouvement, mais je pénétrais plus profondément en elle Maintenant je
glissais dans une gaine trempée et brûlante, je sentais les contractions sur mon sexe
ajoutant leur massage au va et viens. Je ne pouvais plus me retenir J'allais me
retirer quand elle serra ses cuisses et dans un souffle me dit « non reste » ces mots
furent le signal et je giclais dans son ventre qui s'affolait. A cet âge inutile de
dire que les réserves sont importantes et je me vidais littéralement en elle tout en
prenant sa bouche dans un baiser des plus fougueux. En me retirant je constatais que
mon sexe était quelque peu rougi, Fabienne était vierge elle ne l'avais jamais caché.
Et elle avait pris du plaisir pour cette première fois ce qui est somme toute très
rare, je crois qu'elle le doit aux leçons de ma première maîtresse. Et c'est vraiment
comblée qu'elle vint se blottir dans mes bras. Ces instants je ne les oublie pas, je
ne les ai jamais oubliés et je m'étonne moi même en faisant cet effort de mémoire pour
écrire ces instants passés, de la netteté des faits.

J'avoue que j'ai pris du plaisir avec Fabienne, mais la comparaison avec ce que
j'avais connu avec Mireille mon initiatrice donnait a cette dernière un sacré
avantage. C'est donc un peu déçu en fin de compte que je ressortais de cette étreinte.
Je pensais être amoureux et que Fabienne serait la femme de ma vie.. Je compris un
couple de mois plus tard que ce ne serais pas le cas. J'avais flashé sur une autre
minette et elle sur un autre gars.

J'eus ainsi quelques belles aventures voir mésaventures, comme cette blonde plutôt
potelée dont j'ai oublié le prénom qui un soir en sortie de boite avait décidé de me
faire une vraie pipe, comme une grande. Bien installé dans la voiture ma première
d'ailleurs, la belle me gobais la queue avec un certain art je dois dire, m'aspirant
me léchant le gland, me reprenant dans sa bouche bien profondément, tandis que je lui
pétrissait les seins d'une main. J'aime prendre du plaisir mais je n'aime pas que mes
partenaires soient désagréablement surprises et sentant venir la conclusion de cette
pipe fort agréable je tentais de la prévenir en éloignant sa tête pour qu'elle ne
prenne pas toute l'averse sans crier gare. A cet instant elle leva les yeux et
continuait de plus belle a me pomper, je laissais donc faire et ce qui devais arriver
arriva, je giclais non pas dans sa bouche mais littéralement dans sa gorge car la
belle y allant de bon cœur m'avalait complètement. Il faut dire à sa décharge que
nous avions pas mal bu, sans doute la cause de son comportement kamikaze.. Mais ce fut
violent et bref.. J'avais a peine fini de frissonner en me vidant qu'elle se vidait
l'estomac sur mon pantalon.. La sensation de chaleur pour le moins intéressante.. fut
quand même gâchée par l'odeur et le gâchis sur le siège de la voiture.. La honte sans
doute mais ce fut la dernière fois que je j'eus le plaisir de m'amuser avec elle.
Parfois ce fut moi qui me tapait une honte sans nom.. un soir de fête j'avais branché
une superbe petite brune, très typée bronzée a souhait, pas froid aux yeux de superbes
petits seins bien fermes sous un maillot moulant, pas le moindre sous vêtement de ce
côté.. Je vis rapidement qu'il n'y avait rien non plus sous sa jupe. Encore une fois
le whisky avait coulé à flot et j'avais fait le plein il faut bien l'avouer, Karine
aussi, je me souviens de son prénom car nous avons fait quelques mois de concert.
C'était notre première, fois elle ne fut pas glorieuse mais ne jeta aucune ombre sur
les suivantes. J'ai toujours préféré le costume trois pièce au jean/basket.. Et la
cravate j'étais habitué à cette tenue.. qui ne déplaît pas aux femmes loin de là.. le
décontracté ça plaît mais le look un peu chic est sans doute rassurant et il colle
plus a mon physique en fait. Karine avait donc craqué et en grande fille elle sentait
bien que les roulages de pelle et autres amuses bouche ne suffirait pas à nous
calmer.. Autant elle que moi avions envie d'un peu de sport..
Main dans la main nous nous éclipsons vers le parking désert, ma voiture est là nous
tendant les coussins en plus une R16 TS à l'époque c'était plutôt pas mal.. En moins
de temps qu'il ne faut pour le dire Karine est sur la banquette la jupe retroussée sa
motte toute épilée à ma disposition, mon pantalon sur les chevilles histoire d'être a
l'aise.. une séance de coups de langue la met dans tous ses états.. L'alcool aidant
nos inhibitions étaient largement tombées.. il est vrai que pour ma part je n'en ai
jamais eu beaucoup. Je décide qu'il est temps d'entrer dans le vif du sujet.. et là
impossible de me glisser en elle, ça résiste, je pousse a m'en faire péter la queue,
rien n'y fait. La belle sous l'emprise du scotch plus que du plaisir se laisse faire
de bonne grâce.. poussant quelques gémissements et m'agrippant par le cou.. Après
plusieurs essais j'ai enfin la présence d'esprit de jeter un œil et là je vois ma
cravate bien plantée dans sa chatte, j'étais en train d'essayer de rentrer ma cravate
en guise de capote.. J'enlevais l'objet du délit qui avait une délicieuse tache
humide et une superbe odeur.. après.. Et je pus enfin consommer la petite Karine...
et je dois dire que malgré cette mésaventure elle était enchantée de ce premier
assaut, me laissant entendre qu'elle avait rarement pris son pied comme çà..
Évidemment les mecs qui essayent d'enfiler une cravate dans leur copine.. c'est rare..
Pourtant j'en ai enfilé des choses étranges a cet endroit.. mais çà c'est pour plus
tard.

Les études terminées et le job trouvé tout deviens plus simple, on est autonome on à
son salaire, même si on est encore un peu chez les parents on est libre d'aller ou
l'on veut et de papillonner avec les filles.. Cela évite les situations gênantes..
J'ai très rarement ramené une copine à la maison en tout et pour tout 2 seulement..
mon ex femme et ma femme actuelle ce qui fait peu compte tenu du nombre de femmes
consommées. Des situations embarrassantes j'en ai pourtant connues comme la fois où,
qu'elle me pardonne ne ne me souviens pas de son prénom j'avais bien plantée sur moi
et dans son petit trou une jeune fille plus que ronde qui était déchaînée, une vraie
furie qui adorait entendre des insultes, j'avoue que ce genre de jeu m'a toujours plu
mais avec certaines j'ai eu plus de mal qu'avec d'autres. Elle me chevauchait donc me
tournant le dos, assise vraiment bien empalée sur mon sexe , je la tenais par les
cheveux lui tirant la tête en arrière la traitant de pute et de salope quand d'un coup
elle pousse un cri et se fige.. Compte tenu de la taille de ma partenaire je ne voyais
rien et je lui dit «  remue donc ton cul grosse salope » et la j'entends une voix
glaciale déclarer «  Non elle va arrêter tout de suite maman est rentrée » Je n'ai
jamais débandé aussi vite je crois.. je vous passe le savon, l'esclandre et tout..
nous étions majeurs donc rien de bien grave mais c'est franchement désagréable.


J'avais pas 20 ans mais j'appréciais énormément les femmes plus âgées et je fis la
conquête de pas mal de femmes mariées, en général de 10 ou 15 ans plus âgées, parfois
beaucoup plus puisque une de mes conquêtes avait 35 ans de plus que moi. Je ne
regrette pas du tout ces choix, jamais on ne proposait le mariage, je ne me sentais
pas coincé astreint au code de bonne conduite avec une jeune fille.. Ces femmes
n'avait qu'une envie, baiser, prendre du plaisir avec un gars plus jeune.. Je n'avais
qu'une envie prendre du plaisir et ne pas m'engager dans des choses durables. Tout le
monde était content.. L'avantage était que je changeais de partenaire presque tous les
jours.. Ne croyez pas que c'était 7/7 et 365 jours par an.. il m'arrivait de passe
des soirées seul.. ou avec des amis. Mais je dois avouer que plusieurs années de suite
furent très remplies.

Une des mes conquêtes disons mature, avait donc 56 ans, belle femme très belle et qui
prenait un soin presque maladif de son corps. Je l'avais rencontrée dans le cadre de
mes activités sportives, son mari directeur de banque avait eu envie de faire du tir
et c'était inscrit dans le club dont j'étais secrétaire. Elle avait participé à une
parie de réjouissances dont nous avions le secret, brochettes, méchoui et surtout un
bal. Franchement voir arriver Monique ( non on ne rit pas) en tailleurs, haut talon
pour venir partager nos merguez ( non pas celle là pas encore.. )était du plus haut
comique. Elle était d'une gentillesse incroyable, et nous étions au petit soins pour
elle moi surtout.. Je serais incapable de dire si elle était vraiment blonde ou brune
l'ayant vue de toutes les couleurs et comme son minou était totalement glabre je
serais bien incapable de le dire.. peut être avait elle des cheveux gris, sans doute
même mais je n'en vis jamais un seul. C'est le soir du bal ou tout se mit en branle
(si j'ose dire). Elle était venue avec son mari, fiesta annuelle du club le bal
demandait beaucoup de travail et je participais en tant qu'organisateur. Mais une
fois la fête lancée nous avions nos moments de calme.. Et Monique je dois avouer que
je tournais autour d'elle depuis un moment déjà, je sentais qu'elle appréciait le brin
de cours que je faisait. Je l'invitais à danser, elle acceptais de bonne grâce en
souriant. Un slow sinon je n'aurais jamais tenté l'invitation étant a peu prés aussi
bon danseur qu'un grizzli. Et là.. au bout d'une minute a peine je savais que je
terminerais au lit avec elle à un moment ou un autre. Elle se serrait contre moi,
m'enlaçait sans se soucier de son mari qui je dois dire soi s'en moquais soit ne
voyait rien, je compris après qu'il s'en moquais car il appréciait beaucoup plus les
jeunes hommes.. ( chose que je ne pouvais comprendre a cet époque..). Une chose est
sure Monique se plaquait contre moi , je sentais ses seins contre ma poitrine, son
ventre se frottait contre le mien et naturellement je ne sais pas résister à cela je
me mis a bander comme un cerf. Elle sentait bien évidement que je n'étais pas
indifférent. Nous étions joue contre joue quand elle me murmura «  je sent que je te
plais », je murmurais que « oui  et que j'aurais du mal a le cacher ». Elle susurra,
«  je vais aux toilettes rejoint moi dehors ».
Je ne me fis pas prier, et je m'éclipsais pour retrouver ma conquête. Je la repérais
pas loin des toilettes, dans ce cellier immense nous avions tous loisir de trouver un
endroit calme. Une pièce vide avec un petit bureau au milieu nous tendait les bras,
dans la pénombre. Elle me prit par les mains je la prenait par la taille qu'elle avait
très fine, et sans un mot elle se laissa embrasser, un baiser profond sa bouche avait
un goût sucré et fruité. Au bout d'un moment elle me regarda et me dit «  tu sais
l'âge que j'ai? Çà te gêne pas? » Je me pressais contre elle, ma queue était toujours
dure. «  tu sent comme cela me gêne » Elle rit de bon cœur, je commençais à glisser ma
main sous sa jupe «  Non pas ici, je préfère mon confort à mon age, tu est si
pressé? » Et posant sa main sur ma bosse elle ajouta «  Je ne peux pas te laisser
comme çà c'est sur.. » Elle ouvrit mon pantalon sorti mon sexe et se laissant glisser
le long de moi me prit dans sa bouche. Elle me pompait comme une folle, non pas pour
se débarrasser de la corvée mais c'était sa façon de faire, elle avait toujours les
yeux levés vers moi savourant chacune de mes mimiques guettant le moment ou j'allais
partir. Ce qui ne tarda pas et loin de se sauver ou de me finir à la main elle me
regardait la bouche ouverte mon gland sur sa langue et me fit jouir pendant que je la
regardais. Gardant tout dans sa bouche, se léchant les lèvres.. Elle avalait mon jus
avec plaisir. Puis elle se releva et vint poser sur ma bouche un baiser qui pour la
première fois me fit connaître le goût du sperme. Elle me laissa son tel et me donna
rendez vous dans la semaine qui suivait.
Revenus dans la salle, la fête continuait de battre son plein, je dansais encore une
fois avec elle et avec délice sur de la promesse de la revoir et complice d'une
étreinte plus que furtive. Je me souviens nettement qu'entre le bal et notre premier
rendez-vous l'attente fut longue. J'avais vraiment craqué pour cette femme. Son age
n'avait rien de gênant pour moi, je m'attachais qu'a mes sensations, je la désirais,
elle était attirante, un peu mystérieuse, sa plastique beaucoup de filles plus jeunes
pouvaient la lui envier. J'ai pu en juger et peut de femme peuvent s'enorgueillir d'un
tel corps a cet age. Monique était svelte, la taille fine, des seins étaient fermes
avec des tétons a se damner, j'ai toujours un faible pour les bouts de seins foncés,
long et gros. Avec Monique je me régalais ses pointes était énormes, toujours dures
très sensibles, la peau granuleuse et foncée. Elle ,ne se satisfaisait pas de caresses
mièvres, elle aimait les manipulations viriles, adorant être tirée par les bouts de
seins ou les sentir pincés voir un peu écrasés ou mordus. Monique était de celle que
ce genre de manipulations bien appliquées , menait à l'orgasme. Je passerais sur notre
premier rendez vous qui s'il fut torride n'en fut pas moins que très classique. Nous
avons passé l'après midi et la soirée a faire l'amour dans l'appartement, sur le lit,
la table, sur le sol je l'ai quittée épuisé. Elle me dit «  toi il faut qu'on se
revoie vite la manière dont tu me mange le minou c'est vraiment divin, mais tu est un
peu timide » Je cherchais en quoi j'étais timide... jeune un peu con et la grosse tête
je pensais que je baisais comme un dieu alors que j'avais beaucoup de choses à
apprendre même si je me débrouillais pas trop mal.

C'est lors de mon second rendez vous avec Monique que je connus des choses que plus
tard je ferais découvrir à pas mal de partenaires, plus curieuses que d'autres.
Le mari de Monique était absent et nous avions tous le WE pour nous éclater, j'avais
appris cette nouvelle avec enthousiasme, j'avais vraiment un faible pour cette
magnifique femme. Ne pensez pas que nos seules relations se résumait à des parties de
jambes en l'air même si invariablement nos rencontres se terminait quand même ainsi,
nous avions d'autres loisirs. Et Monique adorait s'afficher avec moi en ville,
rencontrer des amis, elle était sans honte, et provocatrice. Je ne compte pas le
nombre de fois ou elle me présentait carrément à ses amies comme son amant, elle
faisait souvent mon éloge, conseillant de prendre un jeune amant. Jamais je n'ai
profité de l'occasion pour lui être infidèle, pourtant un nombre incalculable de fois
ses amies on tenté de passer du temps avec moi. Certaines auraient été a mon goût mais
je la respectait trop pour lui faire cela. Je me suis longtemps posé la question de
mes sentiments envers elle, ce n'était pas neutre, mais nous avions la lucidité
suffisante pour savoir que l'écart d'âge nous imposait de toute façon une relation
courte. Elle était honnête et m'avais laissé libre d'avoir d'autres femmes dans ma
vie, des filles de ton âge avait elle dit. Mais tout au moins dans les premiers mois
de notre relation je préférais me consacrer totalement à elle. Je crois que malgré
tout j'étais un peu amoureux d'elle et je n'avais pas le besoin d'autres caresses que
les siennes.
Nous avions donc tout un week-end à nous.. Nous devions souper au restaurant. Monique
était gourmande et adorais les bonnes choses de la table et du sexe, j'ai appris
beaucoup de choses dans ces deux domaines avec elle. Mais elle m'avait dit de venir
en tout début de l'après midi du samedi...

Elle vint m'ouvrir la porte de son appartement en déshabillé. Noir et diaphane il ne
cachais rien de son corps il le mettait en valeur. Sans crainte d'être vue elle
restait dans l'encadrement de la porte, balançant ses hanches. «  Ça te plaît? » puis
baissant les yeux vers mon sexe qui tendait déjà mon pantalon, elle hocha la tête
s'avança vers moi et me pris dans sa main m'attirant dans l'appartement.

A peine entré je la prenais dans mes bras, je la plaquais contre le mur et nous
échangeons un long baiser tandis que mes mains la caressait.
Monique était de ces femmes qui aimait les mots crus, elle aimait qu'on lui parle
pendant l'amour. Au début j'avais eu un peu de mal avec çà mais je m'aperçus
rapidement que cela m'excitait aussi.
Je sentais ses mains fébriles ôter ma ceinture, et mon pantalon rejoignis le plancher.
Avec un petit effort, car ça ne venais pas toujours naturellement je lui dit «  Suce
moi salope » Je vis l'étincelle de plaisir dans ses yeux bleus. La bouche entrouverte,
frémissante, elle se laissait glisser le long de moi pour happer ma queue dure.
C'était un délice elle suçait d'une façon unique, assez violente allant en venant
rapidement, me prenant au fond de sa gorge.

Je ne suis pas un âne, j'ai un sexe de taille moyenne 13 ou 14 cm pas plus assez épais
. Aucune partenaire ne c'est plainte du trop peu.. parfois certaines ont fait la
grimace quand j'empruntais l'entrée de service. Deux femmes m'ont posé problème, une
jolie eurasienne dont la chatte était étroite en diable et qui préférait que je la
prenne par derrière et ma petite Camille qui se contractait tellement que cela nous
posait problème au début, mais je parlerais d'elle plus tard si j'en ai le courage.

Monique me pompait agenouillée dans le couloir, j'avais ôté mes vêtements qui se
trouvaient maintenant en vrac sur la chaise opportunément présente. J'avais maintenant
envie d'autre chose, et je ne désirais pas jouir dans sa bouche ce qui serait arrivé
si elle avait continué a ce rythme encore une minute. Je la relevais, et du pouce
j'enlevais toute la salive qui luisait sur ses lèvres, avant de l'attirer vers la
chambre. Elle se laissa aller sur le lit, après avoir ôté son déshabillé. Prenant ses
chevilles j'écartais largement ses cuisses, sa chatte sans le moindre poil avec ses
petites lèvres foncées qui dépassait largement les grandes étaient déjà toutes
luisantes. «  Tu est mouillée espèce de cochonne » Elle me regardait intensément avec
ses deux mains elle écartait les grandes lèvres ouvrant sa chatte en grand. Son bouton
était dressé et bien visible, luisant et gonflé déjà. «  Mange moi chéri , fais moi
gueuler » Monique une fois excitée devenait grossière, ordurière alors qu'elle était
la politesse même dans la vie courante. C'est vrai que la pipe qu'elle venait de me
faire lui avait fait de l'effet, elle était de cette race de femme qui prend vraiment
du plaisir à certains actes, et la fellation la mettait dans tous ses états. Souvent
quand elle m'avait pompé a fond et avalé tout mon sperme il suffisait de quelques
caresses pour qu'elle atteigne l'orgasme a son tour. Elle adorait ma langue, elle
disait que jamais aucun homme ne lui avait autant donné de plaisir de cette façon(çà
je le crois car on me l'a souvent dit après). Elle m'appelait souvent ma « langue de
velours ».
Je m'agenouillais entre des cuisses, et je commençais à lui lécher le bouton, il était
tendu, gonflé gorgé de sang, totalement décalotté comme un petit gland. Elle se mit à
onduler des hanches, à lancer le bassin en avant enfouissant mon visage dans sa chatte
béante. Monique poussait de longs gémissements entrecoupés de cris. Je glissais deux
doigts dans sa chatte qui se crispait instantanément sur cette pénétration. Elle se
redressa sur les coudes me regardant et dit «  Enfonce moi ta main !!» JE n'avais
jamais pratiqué ce genre de choses et je dois dire qu'a cet époque il était rare de le
voir dans une revue ou un film.. le fist n'avais pas la notoriété qu'il à de nos
jours. J'ai du avoir l'air niais, car elle s'énerva un petit peu.. « Mais si !! vas y
essaye.. » J'avais peur de lui faire mal mais à l'évidence mes deux doigts étaient au
large.. je fouillais son vagin palpitant, elle mouillais de plus en plus, son jus
devenait plus épais moins transparent. Je prenais un réel plaisir a la fouiller ainsi,
j'ajoutais un troisième doigt qui trouva sa place sans problème. Plus je la pistonnais
plus elle s'ouvrait. Je continuait à la bourrer de plus en plus fort, elle se cambrait
se redressait pour voir ce que je faisais. «  Défonces moi chéri, éclates moi  »
criait elle. Un quatrième doigt avait rejoint le trio..Avec mon pouce je lui massait
le clito tandis que je la pistonnais de mes 4 doigts en faisceau. J'étais de plus en
plus excité. Ma queue était tellement tendue que j'étais totalement décalotté, mon
gland frottant contre les draps j'avais beaucoup de mal a ne pas gicler. «  Ta main
enfonce là vas y toute ta main » criait elle. Je repliais mon pouce dans ma paume et
je continuais a forcer son con gluant. Elle mouillait énormément heureusement sinon
cette pénétration lui aurait causé beaucoup de souffrances. Je n'osais pas forcer
véritablement je profitais des spasmes pour gagner quelques millimètres. Elle
gémissait se tordait de plaisir et non pas de douleur, mais a cet instant j'avais du
mal a faire la part des choses.. Visiblement elle impatientait, a un moment se
mettant presque assise elle agrippa mon poignet et d'un coup sec fit pénétrer ma main
en entier en poussant un cri de bête. La sensation était incroyable. Ma main était
enserrée dans les muscles de son sexe qui palpitaient. J'étais presque poing fermé
maintenant. Monique était en transe, ses yeux retournés elle jouissait. Ma main était
vraiment compressée, relâchée au rythme de son plaisir qui venait en ondes de plus en
plus forte. Son anus lui aussi était de la partie, il s'ouvrait spas modiquement au
fil des contractions. Elle inondait le lit. Nous seulement elle mouillait mais la
pénétration pensais je la faisais pisser ( j'appris plus tard que ce n'est pas tout a
fait vrai). Je ne tenais plus.. J'étais resté coït, tout à l'action mais maintenant
j'étais trop excité... «  Jouis salope, vas y crie, je vais te gicler dessus » J'étais
agenouillé prés d'elle ma main enfoncée profondément en elle. Mais j'étais a portée
quand même.. Elle se redressa agrippant ma queue tendue et m'attire vers elle.. « 
Viens jouis dans ma bouche remplis moi la gueule » Et en a peine quelques allez retour
elle me fait gicler sur sa langue, la bouche grande ouverte, je vois les giclées qui
coulent dans sa gorge, maculent ses lèvres, ses joues ses cheveux même.. Je sent sa
chatte qui s'ouvre plus encore et je retire ma main elle pousse un cri tandis qu'un
jet d'urine s'écrase sur le sol.. Son sexe est largement ouvert, le col de l'utérus
est nettement visible, un nectar laiteux et épais s'écoule lentement vers son anus, ma
main en est couverte mon poignet porte un bracelet mousseux blanchâtre.. Monique est
en nage, elle m'attire vers elle et m'embrasse, sa bouche est encore pleine de sperme.
Elle m'avait déjà fais goutter lors de notre premier échange amoureux mais là c'est
autre chose, et loin d'être dégoutté je suis excité et je me laisse faire léchant ses
joues, ses lèvres pour recueillir ma propre semence. Je me suis surpris, mais j'ai
aimé, ceci explique peut être des choses.. une prédisposition peut être.. mais je n'ai
jamais rechigné à goûter mon sperme sur une bouche, un sexe, des doigts ou un anus.

En une seule soirée, j'avais fait deux choses qui ne m'était pas encore arrivé, le
fist qu'elle me fit découvrir et que j'apprécie toujours, partager goûter le sperme
également était une nouvelle expérience. En ce qui concerne le fist Monique m'initia
également au fist anal, qu'elle aimait beaucoup. Ce fut une de nos pratiques préférées
durant la petite année que dura notre relation. Nous nous voyons assez régulièrement
et elle n'hésitait pas à me tel dés qu'elle avait un moment et j'accourais. J'ai
vraiment adoré cette femme, je savais que c'était éphémère mais en réfléchissant
j'étais sans doute un peu amoureux. Je n'ai pas un gros effort a faire pour me
rappeler son visage, ses yeux, et cette bouche qui m'a fait défaillir tant de fois..
Monique était capable de me sucer non stop pendant des heures.. et elle c'est amusée
plus d'une fois a me faire jouir 3 ou 4 fois de suite dans sa bouche sans me laisser
de répit.

Mais Monique m'initia aussi dans un domaine que pas mal d'hommes refusent le plus
souvent. C'est cette belle femme mure qui me fit prendre conscience qu'un homme
pouvait avoir énormément de plaisir si on s'occupait de son anus.. Hé oui.. a l'époque
toucher a mon trou du cul pour parler crûment.. mais vous êtes habitués maintenant...
C'était pour moi pas envisageable.. Petit a petit Monique m'avait habitué à la
laisser me passer un coup de langue, et a remonter le long de mes couilles quand elle
me suçait, puis elle revenait mettre la pointe de sa langue dans mon cul .. J'ai eu du
mal au début à accepter surtout qu'elle prenait un malin plaisir a venir m'embrasser
juste après.. Elle avait remarqué que j'avais un léger mouvement de recul qui
l'amusait, mais j'aimais trop ses baisers pour les refuser.
Un soir donc elle s 'activait sur ma queue comme très souvent et passait de petits
coups de langue sur mon petit trou, je bandais comme un fou déjà. Je senti le bout de
son doigt qui caressais mon anus. Je tentais de repousser sa main, doucement.. Elle me
mit une tape et me dit «  Idiot, laisse toi faire fais moi confiance, décontracte
toi.. » Elle me suçait de plus belle et je sentais son doigt qui tournait autour de ma
pastille, au bout d'un instant je senti une pression et instinctivement je me
contractait. «  Laisse toi faire mon chéri tu va aimer je te promet » Pas vraiment
convaincu je décidais de laisser venir.. et si ça n'allait pas je lui dirait stop. Ce
n'est pas facile de se décontracter quand on s'attend a un truc désagréable.
La pipe était comme toujours sublime, ma queue luisait de salive, j'étais très dur, de
sa main gauche elle me serrait la base au point que mes veines saillaient, mon gland
était rouge foncé. Je sentais son doigt qui tournait autour de mon anus, puis
doucement elle commença a le faire pénétrer, je faisais des effort pour ne pas me
contracter, son doigt se mit a se promener en rond à l'orée de mon petit trou.
Conjugué à la succion de ma queue, c'était plutôt agréable, puis je me laissais aller,
son doigt commençais à me pénétrer faisant naître des sensations inconnues pas
désagréables loin de là.. Elle me pompait et son doigt me fouillait, j'avais les
doigts de pieds recroquevillés.
Au bout d'un moment je trouvais la caresse anale plus qu'agréable, en fin de compte
sentir ce doigt me fouiller faisait monter la pression.. Je n'avais encore rien vu du
moins senti car dans ce coin j'ai du mal a voir. Je voyais Monique me surveiller du
coin de l'œil avec une mine de chatte gourmande. «  C'est bon? » je répondis dans un
souffle car je commençais a perdre un peu pied. «  Bouge pas ça va être meilleur
encore ». Je n'eus pas le temps de réagir, je sentis un deuxième doigt se joindre au
premier, aucune douleur que du plaisir a cette deuxième intrusion. Ses doigts
commencèrent a s'enfoncer plus loin en moi, Monique ne me suçais plus mais gardait ma
queue serrée et décalottée, attisant mon désir par de tous petits et lents mouvements.
Alors que ses doigts me pénétraient.. Soudain ce fut un frisson intense qui me
parcourus, je ne savais ou elle avait mis ses doigts ce qu'elle touchait mais la
sensation était violente, mais idyllique . Ma queue se tendait et je sentis monter
quelque chose le long de ma tige comme si j'allais jouir mais c'était moins rapide,
plus calme. Je vis alors une grosse goutte transparente se formait sur mon gland,
goutte qui se mit a couler le long de ma queue. Un autre mouvement de ses doigts même
sensation, un écoulement presque continu naissais maintenant. Elle accentuais son
massage, je sentais l'écoulement partir de loin dans la base de ma queue, monter dans
l'urètre et s'épancher autour de mon gland. Cette foi je perdais vraiment pied,
c'était un peu comme si on étais dans l'état de l'orgasme, mais au ralenti. J'avais le
souffle court je voulais que ça dure et j'avais envie de gicler et de faire retomber
toute la pression. Au contraire elle grimpait de plus en plus, maintenant l'écoulement
provoquait de long filaments visqueux qui gouttaient sur mon ventre dévalaient le long
de ma tige, maculaient les doigts de Monique qui les yeux brillants ne perdait pas une
miette de mon plaisir. C'était infernal ment bon. Ce jeu dura longtemps, une bonne
demi heure environ. Au bout d'un moment l'écoulement devenais laiteux, ma queue
tressautais j'étais agité de convulsion tout bonnement. Je me tordais littéralement
sur le lit la suppliant de me finir. Ce qu'elle fit au lieu de me sucer elle commença
une lente traction vers le bas décalottant ma verge comme jamais, la pliant au risque
de rompre le frein, tout en appuyant son massage.. Et ce fut l'explosion, je hurlais
littéralement comme jamais quand l'orgasme arriva enfin, c'est un geyser de sperme qui
fut propulsé en l'air j'en recevais partout sur la poitrine le visage, le lit était
constellé de taches , le mur et le papier peint avait aussi bénéficié de mes
largesses.. Je n'avais jamais éjaculé aussi violemment ni en aussi grosse quantité..
J'étais incapable de bouger de dire un mot.. Monique vint poser ses lèvres sur ma
bouche et la cochonne me posa les doigts qui venaient de me fouiller sur mes lèvres,
je les pris dans ma bouche pour les sucer sans poser de question.. Elle venait de me
donner mon premier massage de la prostate et faire tomber un tabou, mon anus pouvait
servir.. a prendre du plaisir.
Nous avons renouvelé ce jeu assez souvent, et Monique m'initia à la sodomie masculine,
en me faisant goûter de petits vibro masseurs qui sur la prostate on un effet
miraculeux!! Essayez c'est si bon.

Monique fut encore une fois une maîtresse qui me fit découvrir des tas de choses, et
en analysant nos rapports, nos jeux je me suis rendu compte qu'elle me dominait assez
clairement et que j'ai beaucoup aimé çà.. Je n'en étais pas conscient mais cela a sans
doute eu son importance par la suite.

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