Corine, Lucette

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Corine, Lucette Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2015 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Corine, Lucette
A peine couché, malgré mon manque de désir, Corine me dit :- Chéri j’en ai envie.
- Envie de quoi mon amour ?
- Imbécile de baiser, tout simplement.
- Pas ce soir ;Je fais comme elle des fois quand elle ne me veut pas, qu’elle préfère sa main à ma bite. Elle insiste pour avoir son ventre plein de sperme. Pour me convaincre elle sait comment faire : elle prend ma bite à pleine main pour lentement me masturber, juste pour me faire bander. Et elle s’y connaît la garce, elle sait bien me branler, elle sait à quel moment elle doit prendre la queue dans sa bouche pleine de salive. Pour mieux savourer sa prochaine victoire, elle se retourne pour mettre son abricot sur ma bouche.
Je ne sais pas résister à son odeur et son gout, surtout quand sa langue lèche mon gland. Je sens qu’aujourd’hui nous ne nous baiserons pas comme les autres fois. Je sais que je ne peux me passer d’entrer dans son ventre, comme elle sait que je voudrais en plus la sodomiser, chose qu’elle sait bien provoquer.
Elle change de place : elle est carrément sur moi. Je sens son ventre contre ma bite bien dure. Ses lèvres encore pleines du gout de ma bite sont sur ma bouche. Sa langue qui me léchait un instant avant entre contre la mienne pour un échange de salive parfaitement excitant.
- Tu sens mon con. C’est agréable de me sentir dans ta bouche.
- Et toi qui sens fort ma bite, c’est excitant de sentir mon gout et mon odeur dans ta bouche.
Nous faisons parti des couples qui volontairement ne se lavent pas les sexes avant de baiser, pour conserver justement nos odeurs et nos gouts intimes. D’ailleurs qui n’a jamais essayé de gouter son sperme ou sa cyprine ?
Finalement je vais la baiser puisqu’aujourd’hui elle en a envie. Je caresse sa poitrine comme elle aime : ses seins montrent leur reconnaissance en gonflant.
Je suis sur le coté, ma queue est dure contre son ventre. Corine la sens bien en venant s’y frotter. Nos bouches sont toujours réunies avec nos langues qui continuent une lutte implacable. Quand mes mains descendent sur son ventre elle cherche à prendre ma bite par le gland. Elle sait qu’elle ne peut me donner du vrai plaisir qu’en me touchant par là.
Moi je ne fais pas dans le détail : mes doigts sont rapidement sur sa chatte. Corine ouvre ses jambes lentement pour que j’aille sur son intimité. Ce soir j’ai envie de changer un peu. Je vais la caresser à l’envers. Mes doigts oublient sa fente pour aller directement sur son rectum. Son cul est encore sec. Dans un instant il sera très humide de cyprine.
Mon index tourne lentement autour de son entrée. Corine gémit de plaisir alors que je n’ai rien fait de spécial, juste une caresse annale.
- Branle-moi mieux que ça.
- Non, jouis d’abord par le cul.
- Alors entre au moins un doigt, sinon je me le fais.
- Pas question, c’est moi qui dirige.
Je continue ma caresse, et enfin ce que j’attendais : elle jouit dans un grand ouf, alors que je ne suis même entré dans son corps. Elle est tellement sensuelle qu’un rien la fait jouir. Ma main remonte vers son puits où mes deux doigts la caressent. Je tourne légèrement ma main pour garder mes doigts dans son con et mon pouce sur le clitoris. Elle me laisse faire un instant puis, sans que rien ne le laisse prévoir, elle jouit. Elle s’est assez tortillée pendant la masturbation qu’elle est presque en équerre par rapport en moi.
C’est à mon tour d’avoir droit à ses caresses : elle en connait un nombre incalculable. Toutes ont pour but, normalement de me faire jouir, Corine sais ne pas me faire jouir, me laisser dans une espèce de limbes en le néant et la jouissance. Elle profite de la dureté de ma queue pour s’en amuser alors qu’elle mouille de désir.
- Tu sais ce que j’aimerai faire avec toi ?
- Non.
- Baiser avec quelqu’un d’autre que toi pendant que tu me regarderais.
- Avec le voisin ?
- Pourquoi pas la voisine, je préfèrerais une fille pour que tu puisses la baiser, pour qu’on la baise ensemble.
Je suis sur elle maintenant, ma queue entre dans son puits. Je sens son intimité autour de mon sexe. Pour elle je sais que c’est bon, elle le répète sans cesse. Pour moi c’est le sommet du plaisir qui arrive. Je sens que je vais juter dans sa chatte. J’ai beau me retenir, rien à faire : je jouis. Je reste dans son vagin : j’ai de la chance, je ne débande pas. Corine en profite pour prendre son plaisir. Je reste encore : les mouvements de son vagin me font encore bander dur. Elle en profite pour à nouveau me demander de baiser en trio.
- Si tu trouve la fille qui te conviens tu me la montreras avant pour savoir si j’ai envie de la baiser.
- Je l’essaierais avant de te la montrer, si elle ne te plaît pas tant pis, je l’aurai eue dans le lit, sa bouche sur la mienne. Si elle baise bien je te la montrerai. Si elle ne te plaît pas j’en choisirais une autre et après essais je te la montrerais.
- Tu deviens une femme anormale, pleine de sensualité uniquement. Tu ne pense qu’à baiser et jouir. Si tu couche avec une autre, fais-moi le savoir. Je me branlerais en y pensant. Tu prendras une vidéo pour que je te vois faire.
- Chiche.
Le plus fort est que le lendemain soir elle me dit qu’elle sort avec une fille très bien faite qu’elles vont baiser que je verrais dès demain la vidéo.
Ce soir je me branle en imaginant ma femme baisant une autre fille. J’arrive à imaginer les pires choses : qu’elle se fait mettre un gode géant dans le cul, qu’elle en jouit plusieurs fois. Qu’elles se mettent les clitoris en contact, qu’elles se fistent. Toute la panoplie des débordements passe sous mes yeux.
Au matin elle n’est pas encore rentrée. J’en suis malade. Elle a du se faire enlever, se faire mettre sur un trottoir ou je ne sais trop, quoi.
Elle arrive vers 8 heures, pimpante le sourire aux lèvres :- Je me suis régalée toute la nuit. J’ai bien baisé. Je vais me coucher.
Je ne la revois que le soir en rentrant. Elle consent à me raconter sa nuit. Elle était avec une grande fille rousse, aux yeux verts. Sa poitrine devrait me plaire. Le seul défaut est qu’elle a un grain de beauté juste au dessus de sa chatte. A part ça, elle est savante pour faire jouir les filles, elle lui a appris plein de trucs. Entre autres lécher un cul de fille pour la faire jouir.
- Je te fais ça souvent.
- C’est pas pareil, une langue de fille est douce sur mon cul. En plus elle me branle comme je me le fais, elle me suce comme tu fais mais en mieux : une fille fait toujours ça mieux qu’un homme. Ce qui m’a beaucoup manqué c’est ta queue dure dans mon con. Et les 69 sont différents : je n’avais pas de bite dans la bouche, j’avais un clitoris mouillé. Ma bouche était pleine de cyprine comme la sienne. La première fois que j’ai jouis c’est quand elle me branlait. Elle ne fait pas comme toi en mettant deux doigts dans le trou et le pouce sur le clitoris, elle se contente de branler le bouton.
- Elle t’a branlé longtemps ?
- Tu vas voir.
Elle passe le disque de vidéo. Je vois la fille jolie comme un cœur qui l’embrasse sur la bouche, je les vois se mettre nues pour se serrer depuis les seins jusqu’au pubis. La rousse, Lucette, passe une main entre les deux corps pour arriver sur la chatte de Corine. Elle ferme les yeux, pose sa tête sur l’épaule de sa compagne. Elle se laisse aller de plaisir quand elle jouit. Lucette la couche sur le lit les jambes ouvertes, elle se plonge entre elles. Je pensais qu’elle allait la lécher : pas du tout elle recommence à la masturber. Ma femme aime tant qu’elle jouit encore.
Couchée cote à cote, les mains des deux filles sont sur les chattes : elles partagent la masturbation.
Je bande comme un âne de voir ma femme entre les mains d’une autre femme qu’elle-même masturbe le plus naturellement du monde. Bien sur Corine voit mon érection, elle sort ma bite pour me branler lentement : j’ai encore pas mal de chose à voir et à faire puisqu’elle m’annonce que Lucette vient tout à l’heure. Que nous verrons ensemble la vidéo.
Elle m’astique pour que je jouisse rapidement. Sa main passe à la vitesse supérieure. Je regarde mon sexe et sa main. Elle me branle comme rarement : je me retiens le plus possible malgré mon vœux je ne peux retenir mon sperme qui part sur sa main. Corine  elle en profite pour le lécher.
Dans la soirée arrive une élégante vêtue d’une robe bleu pas très longue. Elle embrasse Corine sur la bouche. Elle me tend simplement sa main que dans un élan de politesse je baise comme une chose naturelle. Puis Corine me présente son amante : - Voici celle qui m’a baisé la nuit dernière. Elle devrait te plaire puisqu’elle est d’accord pour un trio.
- C’est vrai nous avons fait l’amour comme j’aime avec « Ta » femme. Rassures toi, j’aime aussi baiser avec les hommes, surtout avec une autre fille.
Je reste dans mon coin, éberlué par la beauté satanique de cette fille rousse comme ce n’est pas permis. Il me semble que je serais incapable de la baiser tellement elle est sexy. Je me demande même si je pourrais bander.
Les deux filles commencent leur numéro de charme entre elles. Leur numéro de strep tease est digne d’un cabaret libertin. Il suffit que l’une enlève à l’autre un morceau de vêtement pour que l’autre en fasse autant. Elles sont vite nues. Je ne me doutais pas de la suite : j’en deviens le héros.
Elles se mettent à deux pour me mettre à poil. Si Corine me prend la bite, je sens une main de Lucette passer entre mes fesses et descendre lentement vers mon cul. Quand Corine prend ma bite pour la sucer, je sens qu’un doigt de Lucette entre dans mon cul. En guise de premier contact on peut faire mieux. Je regarde la tête de Corine qu’une main de Lucette caresse. Je passe ma main sur les hanches de Lucette qui me laisse faire. Heureusement que Corine cesse la fellation. C’est la bouche de Lucette qui me prend : elle suce moins bien que Corine, j’en suis satisfait : je ne jouirais pas immédiatement.
Elles m’entrainent en me tenant par la queue vers le lit. Elles m’installent entre elles. Je suis un pacha entourée d’une partie de son gynécée. Les têtes des deux filles sont sur mes épaules, je peux ainsi caresser les seins. J’entends le ronronnement de Lucette.
Je peux aller les branler les deux ensemble. C’est assez délicat de les masturber comme je voudrais. Leurs chattes sont mouillées comme des éponges. Je caresse le vagin de Lucette qui en gémis et je branle le bouton de ma femme qui elle aussi en redemande. J’arrive à les faire jouir pratiquement ensemble.
Maintenant j’ai deux furies qui commencent à m’astiquer pour que je bande le plus possible. Enfin je me trouve entre les cuisses de l’amante de ma femme. Elle me dirige vers l’entrée de devant. J’entre pour la limer comme j’aime. Son corps contre le mien suis tous mes vas et viens. Elle sait bien baiser. Elle sait surtout me faire retarder l’éjaculation.
Elle me fait descendre de là où je me trouve, elle me veut dans son cul. Je ne pensais jamais arriver à enculer une lesbienne. Elle s’arrange pour que la bouche de ma femme vienne la sucer. Ce doit être efficace : elle jouit rapidement en me faisant partir aussi vers le paradis des baiseurs.
Les deux filles s’amusent entre elles : si au début elles sont en 69, le temps passant leurs étreintes deviennent plus chaudes encore.
Lucette ne demande qu’une seule chose : un fistage devant pendant que sans perdre leur position Corine lui entre la main dans le cul. Leur action me fait encore bander sans doute plus fort. J’ai le choix pour me soulager ; les deux bouches les deux mains hors d’un corps de femme, et même un cul.
J’ai beau essayer, je ne reçois que des refus. Je suis obligé de me branler sous leurs yeux qui n’en perdent pas une miette. Je ne veux pas jouir rapidement, je vais très doucement, alors que les filles s’en donnent à cœur joie. Elles jouissent pratiquement sans arrêt, en poussant des cris à réveiller tout le quartier.
Elles cessent complètement fatiguées, à plat pour un moment mais heureuse des moments d’extrême défoulement. C’est encore Lucette qui vient me demander ne petite baise finale.
Je suis sous elle, elle trouve ma pine pour la mettre au cul. Elle se penche à peine en avant pour que je puisse lui caresser le clitoris qui doit être en acier, vu le nombre de fois qu’il a servi. Entrainé par l’exemple je reçois le sexe de ma femme sur ma bouche. Elle pose son cul sur ma bouche. Ma langue y pénètre lentement, comme je sais qu’elle aime.
Je me retiens à peine pour jour dans Lucette. Je la sens jouir également ainsi que ma femme.
Il devrait avoir une suite à cette baise sans morale. J’espère en tout cas. Lucette me semblais bien satisfaite en partant.

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Texte coquin : Corine, Lucette
Histoire sexe : Une rose rouge
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