Un déménagement

- Par l'auteur HDS Mico79 -
Récit érotique écrit par Mico79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un déménagement Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un déménagement
Un déménagement
Ce déménagement me coute, 400km aller autant au retour et trois jours à prévoir de déplacement ; pour cela j’ai fait appel à mon beau frère (60 ans) et au fils de mon amie (28 ans) et pour l’hébergement à l’hôtel, deux chambres, l’une pour Pierrot, l’autre pour Aurélien et moi. Après le voyage et la fin de journée au travail, nous retournons à l’hôtel pour nous changer avant le repas ; une bonne douche va me faire du bien car je suis un peu cassé, peu habitué à ce genre de travaux, l’âge aidant (j’ai 66 ans).
Sans aucun complexe, je me déshabille et nu comme un ver, je me dirige vers la douche ; que cela fait du bien et comme d’habitude, quand je ressors, je suis en demi-érection ; la chaleur me procure cette situation ; j’avais oublié Aurélien qui me suit du regard, le visage coloré , encore en slip ; « à toi, profite s’en cela fait du bien « et m’allongeant sur le lit, j’en profite pour me reposer ; quand il revient, entouré de sa serviette, je constate que le tissu est bien tendu ; et à son tour il s’allonge , toujours couvert, manifestement gêné par son érection, il se met à plat ventre, mais ne me quitte pas du regard ; il faut dire que de le voir ainsi a donné de la vigueur à ma queue et c’est maintenant une belle baguette qui se dresse ; il faut reconnaitre que c’est un beau garçon, et l’érection aperçue me laisse deviner un sexe de belle facture ; et je ne suis pas insensible à un corps masculin ; bisexuel, et jouant souvent à des jeux érotiques avec ma douce , j’ai déjà eu l’occasion de faire l’amour avec un mec et si ce n’est pas mon sport favori, je ne dédaigne pas un beau corps et le sien me tente, mais le fait qu’il s’agisse du fils de mon amie me gène un peu et discrètement je me recouvre avant de m’habiller ; quand à son tour il se relève, je peux constater qu’il bande toujours et rapidement, il se refugie dans la salle de bain .
La discussion pendant le repas court sur les objets qu’ils nous restent à emballer et aussi sur notre fatigue et nos courbatures ; je constate que je ne suis pas le seul, même la jeunesse se plaint ;le repas fini, nous reprenons le chemin de la chambre ; rien de bien folichon à la télé et nous décidons de nous coucher ; Aurélien manifestement a mal au dos et je lui propose de le masser (c’est mon ancien métier) ; après une hésitation , il accepte et s’allonge en caleçon sur le lit ; manifestement le massage lui fait du bien, il se détend ; j’en profite pour descendre son caleçon et mes mains glissent jusqu’à ses fesses ; rien encore de déplacer, mais le contact de ces deux lobes bien tendus me donne envie d’aller plus loin et ma queue commence a se tendre sous son boxer ; lui aussi doit bien aimer car sa respiration à changer et à chaque passage de mes mains sur son fessier, je le sens frémir ; « Cela te fait du bien ? » une hésitation puis un petit oui ; mes mains caressent ses fesses plus hardiment, lui écartant les globes, découvrant ainsi le sillon et l’anneau, « tu aimes ?, pas de réponse « si cela te gène j’arrête… » Un petit silence puis enfin sa réponse « non continue, j’aime beaucoup » ; maintenant je bandes comme un âne, l’idée de me faire ce jeunot, et je l’espère ensuite profiter de sa queue me stimule ; mes doigts lui caressent le sillon , contournant l’anneau sans y toucher ; à chaque fois que je l’évite, Aurélien a un petit mouvement du bassin ; son envie est évidente et quand je lui dépose un peu de salive et que mon doigt frôle la corolle, il ne peut retenir un gémissement ; un oreiller sous le ventre m’offre un peu plus de facilité pour le caresser et une main s’aventure entre ses cuisses ; c’est une bite bien tendue que je rencontre ; doucement je le branle alors que mon doigt dilate l’anneau encore serré ; il n’a pas du avoir beaucoup de relation de ce style car le passage est étroit et il me faut beaucoup de salive pour l’ouvrir peu à peu ; enfin l’anneau cède et c’est deux doigts maintenant qui dilatent le conduit ; manifestement c’est pour lui agréable car il s’agite sous mes doigts et ses gémissements traduisent un début de plaisir ; « j’ai envie de ton petit cul…..tu veux ? » un grognement et son bassin qui s’avance vers mes doigts me donne l’accord ; « tu t’es déjà fait sodomiser ? » un petit non en réponse « alors détend toi, tu vas connaitre un nouveau plaisir, je te promets d’être doux » rapidement je me libère de mon boxer, et je promène mon gland sur le sillon offert ; au contact de la queue qui le caresse, je le sens se crisper « laisse toi faire , tu vas prendre ton pied « je remplace mes doigts par ma bouche et je le lèche, mouillant son anneau, à chaque passage, puis ma langue lui titille et essaie de le pénétrer ; ma main continue à lui ploter la queue, et elle reprend peu à peu sa superbe perdue au début de la dilatation ; ses boules sont pleines, gonflées, lourdes ; je reprends alors la dilatation du conduit et peu à peu celui-ci cède ; maintenant c’est mon gland qui bute sur l’entrée ; doucement j’essaie de le perforer, mais il résiste, sans doute par appréhension ; une seule solution, le surprendre ; un claque bien sonnante sur les fesses et en même temps, une forte poussée me fait franchir l’anneau récalcitrant ; un cri de surprise et de douleur , mais je continue ma pénétration malgré ses protestations ; je sais que cela lui brule les entrailles , mais je sais aussi que bientôt ses cris seront dus au plaisirs. Enfin mon bassin bute sur ses fesses « tu viens de perdre ta virginité, tu es pour un soir ma petite chose « je me suis retiré et à nouveau je le perfore ; certes fois ma queue s’enfile d’une seule poussée, le passage est fait et je le pistonne, doucement d’abord, puis de plus en plus fort, agrippé à ses hanches. Ce n’est plus la douleur, mais des gémissements de plaisirs ; ma queue coulisse facilement, encouragée maintenant par ses paroles « putain c’est bon, ta queue me défonce, vas-y prend moi encore……. » Je retiens le plus possible mon éjaculation, puis soudain je me raidis, jouissant dans ce cul vierge ; « je sens ta jute, tu me remplis, baise moi encore ……tu me fais jouir…. » . Petit à petit, je débande et bientôt je sors de ce conduit accueillant ; quand il se retourne, je constate que le drap a accueilli sa semence.
Allongé cote à cote, il semble gêné, et n’ose pas me regarder ; c’est moi qui reprend le dialogue« C’est la première fois qu’un homme te touche ?
« Non, lors d’une soirée arrosée, je me suis fait sucer et branler par un copain »« Tu as aimé ? » « Oui » « tu aurais aimé qu’il te prenne » « j’y ai pensé plus tard quand j’en ai parlé avec Delphine» « elle est au courant ? » « Oui et cela l’avait excitée et elle aurait bien voulu le voir » « surprenant » « pas tellement car elle aussi a eu des relations avec une copine » La conversation lui redonne des envies car à nouveau, il bande ; il est bien monté,20à22 cm décalottée, sa verge est large et arquée ; me penchant, je lui suce le gland, alors que ma main lui pétrie les couilles ; puis ma langue le lèche sur toute sa longueur, lui gobant au passage ses boules à nouveau pleines ; il se cambre, offrant un peu plus sa bite à mes lèvres et quant je l’engloutie, il me peut retenir un grognement de plaisir ; son méat a encore le gout de son sperme et c’est avec plaisir que je le suce ; à ma surprise il prend l’initiative et me prenant la tête, il se branle littéralement, s’enfonçant profondément ; mais je n’ai pas envie qu’il jouisse ; j’ai envie qu’à mon tour il me prenne et je me retire, m’allongeant à plat ventre « à toi de me faire jouir, j’ai envie de ta queue », en m’écartant le fesses, je lui découvre mon cul ; il ne lui faut pas longtemps pour que son gland frotte le sillon et se présente sur l’anneau ; sans hésiter il pousse pour en forcer le passage ; pas dilaté, il résiste puis d’un seul coup s’ouvre au gland ravageur ; la douleur arrive , puissante car sans s’arrêter il vient de me pénétrer jusqu’aux couilles qui battent maintenant sur mes fesses. Pour lui seul compte les coups de piston ; peu importe la brulure, qui d’ailleurs s’estompe vite pour faire place à une première vague du plaisir ; sa queue, puissante ,rageuse me défonce le cul ;’il baise un mec ; pour moi seul compte la bite qui me ramone les entrailles ; il est inexpérimenté, mais sa fougue remplace ; et le plaisir monte, monte et mes gémissements le stimule encore plus ; sa queue, énorme, me remplit, me dilatant les tissus et quand sa queue est parcourue de soubresauts et que je sens la chaleur de sa jute me remplir le ventre, un grognement puissant s’échappe de sa bouche ; longuement, tout en continuant à me pilonner le ventre il jouit, m’entrainant dans son plaisir. Enfin repu, il s’écrase sue le lit et rapidement s’endort.
Allongé, encore très excité, je repense à cette aventure ; sa queue me fait vibrer et j’espère que sa jeunesse lui permet de belles performances ; je n’ai pas envie d’en rester là ; le sucer, le faire juter dans ma bouche et me faire prendre encore et encore ; rien que d-y penser, ma queue se dresse et je me branle doucement ; je ne sais s’il a encore envie mais je le caresse, glissant doucement mes mains vers son sexe détendu ; il semble dormir et pourtant sa bite reprend de l’ampleur ; je la contemple, la cajole, la branle doucement ; sa respiration s’est accélérée, il est réveillé, mais garde les yeux fermés ; ma bouche remplace mes doigts, ma langue joue avec le gland, le méat, puis descend jusqu’aux couilles que je gobe ; sa queue est maintenant complètement tendue ,poteau plein de promesses ; tout à mes caresses, il m’oublie. Ses tétons sont dressés et mes doigts les agacent ; excités, triturés ils rougissent et durcissent ; toujours pas de réaction, il fait semblant de dormir. J’en profite et m’asseyant sur son ventre, je guide sa queue vers mon anneau ; d’une poussée, je le fait rentrer dans le conduit encore lubrifié par son sperme ; l’anneau s’ouvre sans difficulté ; je remonte, ressortant pour mieux m’empaler sur ce membre vigoureux ; sa queue me remplit, c’est un vrai bonheur et à chaque fois que mes fesses s’écrasent sur son basin, la bite enserrée percute ma prostate, déclenchant une multitudes d’onde de plaisir ; sans éjaculer cela me fait jouir à répétition ; enfin il ouvre les yeux et me faisant soulever mes fesses, enfin il se déchaine, à grand coup de bite, il me défonce « t’aime te faire enculer ! » ce n’est pas une question, mais une affirmation« Oui et de plus ta queue m’excite plus que tout, vas-y profite en, défonce moi, remplit moi, fait moi jouir ! »« C’est nouveau pour moi, mais ton cul me plait et je crois qu’il va en prendre encore plein »« Profite, je suis à toi, tu as tout la nuit pour te satisfaire et moi j’ai envie de ta queue dans mon trou, dans ma bouche »« Mico (c’est sa mère) sait que tu te fais mettre par des mecs ?
« Oui et elle a déjà assisté plusieurs fois et elle a aimé »« Tu aimes te faire mettre devant une femme, Mico ou une autre ?
« Oui j’y prends mon pied et généralement cela plait aux femmes »« Putain, j’aimerai te mettre ma queue dans le cul devant elle » « Mico ou ta femme, » « les deux, rien que pour t’enculer devant elles »« Moi aussi j’aimerais t’enculer devant elles, surtout devant la tienne » Pendant cet échange, sa main s’est emparé de ma tige et il la branle vigoureusement, me décalottant le gland au maximum, écrasant mes tétons de son autre main ; il n’en faut pas plus pour que je jute, répandant mes jets sur son ventre ; il a accélère sa pénétration et entre deux râles de jouissance, je sens son sperme qui a nouveau me remplit. Par trois fois cette nuit, il m’a possédé et ce après que je l’ai suce et avaler sa jute ; pour ma part je ne l’ai pris qu’une seule fois, mon bonheur étant surtout d’être à sa disposition. La nuit suivante fut toute aussi agitée ; sa fougue ne remplissait de bonheur, et il se plaisait à me sodomiser et sa jeunesse lui donner une résistance qui ne pouvait que me combler ; et mon cul l’a reçu cinq fois au cours de la nuit; pour ma part, c’est avec bonheur que j’ai pu lui fait l’amour et c’est fourbu que nous avons repris le chemin du retour ; avant de se quitter, il ajoutât « ce matin j’ai tout raconté à Delphine, cela l’a beaucoup excité , et elle a très envie de me voir faire l’amour avec toiA suivre

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