Le club des cinq – 2 -Martine 3

- Par l'auteur HDS Emile Hubert -
Auteur femme.
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Récit libertin : Le club des cinq – 2 -Martine 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Le club des cinq – 2 -Martine 3
Jacky appela le soir et demanda à me parler. Au téléphone, il me proposa, enfin
plutôt, il me prévint que le samedi soir suivant (soit le surlendemain), il viendrait
à la maison avec ses acolytes pour faire ça devant mon mari, que je devait les
attendre dans la tenue habituelle et qu'il amènerait un caméscope pour que Thierry
filme nos ébats. Le souvenir des orgasmes de la semaine passée me fit perdre tout sens
moral et je me pressait de faire part à mon époux de ce qui se préparait. La douche
fut glacée et écossaise :
"Pas question ! Tout cela est finit !... bien finit ! Il n'est plus question que tu
joues les putes… ici ou ailleurs, sinon…."
La moutarde me monta au nez….
"De quoi… mon pauvre chéri ! Tu as ce que tu voulais hein ! Ah je n'étais pas assez
ceci… trop cela… pas assez sexe…. Tu vois maintenant tu as réussit, ta femme est
devenue une salope… tu as gagné je devenue un pute comme tu dis ! Tu ne vas pas t'en
plaindre c'est ce que tu voulais…. Eh bien je vais continuer… oui Jacky vas me baiser,
me niquer, m'enculer… autant qu'il voudra lui et ses potes également. Eux me font
grimper au ciel. Il y a autant de différence dans leur manière de ma faire jouir que
de différence entre la taille de la bite et la leur. Tu vois tu n'est plus au bout du
compte. Donc oui, mon petit père, il vont venir ici et tu verras ce que tu voulais
que je devienne et tu filmeras en plus…. Et tant qu'on y est réfléchis bien. C'est çà,
je continue et tu es d'accord, ou on divorce. Ne me parle pas de moyen de subsistance
surtout, je sais comment en gagner d'après Jacky les films et photos pornos paient pas
mal et puis il y a des petites fêtes bien rétribuée pour des femmes pas trop
farouches…. Tu as les cartes en main ! Et de toute façon en ce qui concerne samedi… ce
sera fête… la fête de mon cul et devant toi ! Sinon je raconte à tout le monde comment
tu as voulus que je couchaille avec un autre ! J'imagine la tête de tes parents !"
Ce n'était pas tout à fait faux. Qui avait beaucoup insisté ? Qui m'avait poussée dans
les bras de Jacky ? qui sème le libertinage récolte la débauche… na ! Devant ma
détermination il fit piteusement machine arrière. Il est clair qu'à ce moment là notre
couple avait du plomb dans l'aile. Il était évident que tôt ou tard il volerait en
éclat d'autant que cet ultimatum m'avait mise hors de moi et que les jours qui
suivirent je fus odieuse rabaissant Thierry à un sous rôle de cocu impuissant à
satisfaire la libido de se femme. L'apprenti sorcier était anéanti. La suite fut de
plus en plus humiliante. Déjà quand je parus, sur onze centimètres de talon aiguille,
soigneusement épilée (de partout), maquillée comme la reine de Saba, et ne portant que
des genre dim-up résille, je ne pus m'empêcher que si je m'était fait belle, c'était
pour mes (j'insistais sur le MES) amants. Je le forçais à me photographier ainsi
dénudée, prenant des pauses salaces. J'en rajoutais, disant que je les distribuerais à
mes admirateurs en souvenir une fois qu'ils m'auraient donné beaucoup de plaisir. Je
voulus aussi qu'il fasse des photos en plus des films. Son humiliation fut pire encore
à l'arrivée de Jacky et d'un de ses amis (l'autre avait un léger retard). En quelques
termes "choisis" Jacky confirma mes talents et tous deux expliquèrent à Thierry ce qui
m'attendais. Je buvais du petit lait…Thierry était blême…. L'ami de Jacky alla même
jusqu'à vanner Thierry en le remerciant de mettre à leur disposition "un aussi joli
petit lot que sa femme qui s'avérait être un vrai folle du cul". Il fut conseillé
vivement à mon mari de ne pas rater ni les films ni les photos car Jacky eu cette
(bonne) idée de mettre tout cela en ligne si j'étais d'accord. D'une moue la plus
sensuelle possible je donnais mon accord. Il fut convenu que mon visage serait flouté
enfin … plus ou moins. Le dernier larron arriva enfin. Quand je dis le dernier je fais
une petite erreur car il ne vint pas tout seul mais accompagné d'un autre homme.
L'explication fournie fit rire tour le monde (sauf Thierry) :
"Je me suis permis d'inviter un copain… quand il en a pour trois, il y en a pour
quatre…. On va pouvoir encore mieux régaler la gourmande…."
Négligeant Thierry, les quatre hommes s'installèrent confortablement et Jacky ordonna
:
"Excites-nous !"
Je n'avais pas prévu. Prise d'inspiration, j'allais chercher une bouteille de
champagne au réfrigérateur. Je priais le proche de la déboucher pendant que je me
caressais les seins ou leur tournais le dos en me penchant en avant, le tout bien
entendu jambes écartées. Les pantalons grossirent…. Je leur servis ensuite le
champagne buste bien penché pour que mes lolos balancent lourdement. Mon inspiration
me poussa à faire une chose incongrue, surtout devant mon mari. Une fois que tout
furent servis, je pris la bouteille et lascivement, j'introduisit délicatement le
goulot dans mon sexe et me plaçant tour à tour devant les hommes (sauf Thierry) je
leur proposais de boire à la bouteille le reste du précieux liquide. Ils acceptèrent
tous… et à chaque fois, bien sûr, je me réintroduisais le goulot dans le vagin afin
que ce dernier soit bien maculé de cyprine.
Ma mission était bien remplie… ils étaient excité… très excités…. J'en veux pour
preuve les membres bandés qu'il exhibèrent et m'invitèrent à sucer. Ce que je fis avec
plaisir et ravissement… vous rendez-vous compte quatre pines pour moi toute seule ! Ce
fut moi qui donna le signal quand agenouillée au beau milieu des quatre je réclamais
ma part de gâterie. Provocante, j'apostrophais même mon conjoint sachant que j'allais
déclancher l'orgie :
« Chéri je veux leur appartenir et qu’ils me baisent encore toute la nuit ensemble et
chacun leur tour, qu’ils jouent avec ma bouche, ma chatte et mon cul, tu vas voir
comme je me fais bien baiser par mes amis. Toi tu pourras te branler en m’entendant
jouir et hurler sous leurs coups de bite, je veux être leur salope toute la nuit et
demain avoir mal à la bouche, à ma rondelle et ma chatte …. Ne rates pas le photos
quand ils vont me traiter comme une pute, comme ça tout le monde va le savoir et
pourra le voir et ça m’exciiiiite….
J'entendis un vague "Oui Martine on va te baiser en salope toute la nuit !"
Ce fut vrai….
Je les conduisit à notre chambre ou à un, à deux, à trois, à quatre je fut prise,
retournée, emmanchée, sans arrêts je devais sucer, mes seins furent pétris sans
délicatesse, je fut baisée, enculée aussi (vous vous en doutez). Ils me prenaient en
alternant leurs places et poussant en rythme…. C’était trop bon et j'enchaînais
orgasmes sur orgasme. Je faillis même tourner de l'œil quand après m'avoir pris en
double vaginale, les deux autres testèrent l'élasticité de mon anus en s'y
introduisant à deux. Ils éjaculèrent quatre fois chacun se vidant dans tous mes
orifices et revenant à toutes les fois à ma bouche qui faisait le nettoyage et leur
redonnait de la vigueur.
Ils me laissèrent, qu'après plusieurs heures d'ébats torrides, épuisée et indolente,
raflant au passage caméscope et appareil photo. Il me fallut plusieurs jours pour me
remettre. Ils y avaient été vraiment fort…. Pendant ces quelques jours l'ambiance se
dégrada naturellement encore avec Thierry qui ne cessait de me reprocher ma conduite.
Pendant trois semaine les scènes allèrent crescendo surtout inévitablement quand je me
rendais chez Jacky pour y puise ma ration de sexe et de bonheur.
Le point de non retour fut atteint quand Jacky appela Thierry pour qu'il me fasse la
commission suivante. Le samedi soir suivante, il désirait m'emmener faire les magasins
et souhaitait que je l'attende en "petite bourgeoise bcbg".
Donc ce soir là je l’attendis, bas fumés, sous-vêtements blancs, chemisier ivoire,
tailleur gris, mes cheveux rassemblés en chignon, bien mais finement maquillée. C’est
moi qui lui ouvris, Thierry ne désirant nullement le voir. Pourtant dès son arrivée
Jacky demanda à le voir. Tout ça pour lui donner l’adresse d’un site ou il pourrait
visionner des extraits des vidéos qu’il avait faite ainsi quelques photos. Jacky fit
mine de partir, puis fit comme s’il se ravisait. S’adressant à moi il me dit :
"Finalement, j'ai changé d'avis… déshabille-toi… entièrement…. Allez vite !"
Comme à mon habitude, dès que mon amant prenait ce ton, je savais qu'il mijotait
quelque chose de bien vicieux, donc, en conséquence, je m'exécutais sans barguigner.
J'ôtais prestement la veste de mon tailleur puis le jupe. Ce fut le tour ensuite de
mon corsage. Je marquais un léger temps d'arrêts.
"Allez le reste aussi !"Je retirais mon soutien gorge et abaissait mon string.
"Le porte-jarretelles aussi… tout, je t'ai dit !"
Je roulais mes bas puis dégrafais mon porte-jarretelles et remis mes chaussure. Une
fois cet humiliant déshabillage effectué sous les yeux hargneux de mon mari et amusé
de mon amant j'attendis…nue. Jacky me dit de prendre un imper ou un manteau et me dit
:
"Allez on y va !"
Si ce n'avait été Thierry, ça aurait été moi qui aurait posé la question fatidique à
Jacky qui visiblement l'attendais avec impatience.
"Tu… tu l'emmène comme çà pour faire les magasins !'
"En fait, je l'emmène faire UN magasin…. J'emmène Martine dans un sex-shop !"
Thierry le regarda apparemment sans comprendre. Moi…oui… j'avais compris… il allait
tenir se promesse et me ramener vraisemblablement dans l'endroit ou il m'avait
exhibée, et là…. Je pouvais m'imaginer, m'attendre, me préparer à être offerte à des
inconnus. Le trouble m'angoissa, l'angoisse me tordit le ventre et mon ventre se mit à
se liquéfier quand je suivis docilement Jacky. Je n'osais pas trop poser de question.
Quand il stoppa il me pose cette simple question :
"Prête ?"
La future dépravée à ses coté répondit un oui étranglé. Il poussa la porte d'entrée du
magasin une fois mon manteau ouvert. En me retirant ce dernier, il me souffla :
"Ils sont là pour toi !"
A part le vendeur et Jacky, il y avait trois (que trois… ouf !) clients présents dans
les allées, je fut vite le point de mire, ils me matèrent tous épiant mes moindres
faits et gestes. J'ai dit trois, que trois c'était sans compter sur deux autres hommes
qui firent leur entrée avant qu'Hugo ne verrouille la porte. Sur la demande de ce
dernier, je déambulais un peu, histoire d'exposer mes seins, mes cuisses et mon
fessier que je tortille comme il se doit. La tension commença à monter m'inquiétant
encore plus.
Finalement je stoppais devant les vidéos et prit en main un dvd présentant une femme
se faisant entreprendre par plusieurs mâles. Tous les mecs s'étaient rassemblés et
m'envisageaient. Il y avait une atmosphère étrange, c'était très excitant et en même
temps angoissant de se retrouver nue dans un sex shop au milieu de sept hommes vous
convoitent. Vu les circonstances je ne sentais pas très fière. Hugo rompit le silence
pesant
"Tu es ravissante Martine !... qu'en pensent ces messieurs ?"
Il y eu synchronisme à me trouver bandante. Hugo poursuit :
" Les hommes qui sont ici, le sont pour profiter de toi. Ils ont entendu parler de toi
par Jacky et de ton attirance pour le sexe en groupe. Quand il m'a rappelé pour me
prévenir de ton visite, j'ai contacté quelques bon client…."
Prise comme de folie, je me tournais vers le groupe en disant:
"Messieurs,je suis à vous !!!"
Que vous dire… qu'ils n'attendaient que cela, qu'un mot, qu'un geste pour que je me
sente entourée, enveloppée, des mains avides musardèrent en détail sur tout mon corps,
mes seins, mes fesses, entre mes cuisses, des bouches embrassant mon cou, léchant mes
seins. Un des hommes ne pu sans doute résister plus longtemps et enfila un doigt et
fouilla mon vagin trempé de désir. Je n'étais une proie soumise qu'ils allaient se
partager comme une bande de rapaces.
J'eus vite (au moins) un doigt dans le cul et d'autres dans la chatte, mes seins
étaient durs et les pointes tendues sous les attouchements de ces obsédés qui me
roulaient des patins goulus à qui mieux mieux. Je m'abandonnais à cette folie et à ces
êtres en rut qui sortirent leurs queues. Hugo avait préparé un petit matelas, j'y fus
couchée sur le dos, cuisses grandes ouvertes, offerte et impatiente de me faire
remplir par ces bites tendues. Un homme vint sur moi et me pénètre sans efforts
tellement je mouillais simultanément et impatiemment deux queues arrivèrent près de ma
bouche. Je commençais à les sucer d'abord l'une après l'autre, mais ils me forcèrent à
les prendre les deux en même temps. Je sentis remplacer son compagnon dans mon vagin
et me limer avec ardeur. Jacky lui conseilla à voix haute offrant ainsi mon orifice
le plus secret :
"Allonges toi sur le dos, elle va s'enfiler sur toi, comme ça, si quelqu'un veut
l'enculer, il pourra facilement lui fourrer sa queue...
Aussitôt dit aussi tôt fait je m'enfonçais sur ce membre, vite des bites se présentent
à ma bouche qui les happa avec gourmandise. Ainsi penchée sur le celui qui était et
qui me triturait les seins, je sentis l'inéluctable… un gland se positionner contre
mon derrière. J'allais être sodomisée une première fois par une queue anonyme. Il
entra facilement en moi. Ceux qui ne participaient pas attendent leur tour en se
masturbant pour se garder en érection en vue de leur prestation à venir ou me tapaient
sur les joues en attendant que je m'en occupe. Bientôt outre mes trois orifices
copieusement remplis, je dus branler de mes mains les deux derniers. Cinq en même
temps… mon record, du coup, je tendis mon cul pour être encore mieux fouaillée. En
plus j'entendais Jacky et Hugo commenter mes prouesses et ma disponibilité de salope.
Il me sembla qu'un nom revenait plusieurs fois dans leur conversation : Goran. Un
enculeur remplaça l'autre, mieux membré car je le sentis passer quand il me bourra le
fion, son prédécesseur me fourra sa queue sale dans la bouche je l'embrassais avec
passion. Ils voulurent me retourner. Le principe me plut. Je m'assis sur un homme,
mon cul avala bien la queue humide de ma mouille ou ma salive. Je m'allongeais de dos
sur, il s'agrippa à mes seins. Ma chatte ouverte espérait son prochain visiteur qui
introduisit sa queue. Ce fut Hugo cette fois, pas mal monté je crois bien que n'ayant
pu voir sa trique occupée à sucer et lécher toutes celles qui passaient près de ma
bouche. Il se retira sans jouir, tant pis...un autre prit la place quand celui du
dessous éructa.
"Je jouis salope, tu es trop bonne du cul!!!!!".
Cela me déclancha tout :
« Ha oui ha ouiiiii plus fort c’est bon ouiiiiiiiii, Vos bites sont bonnes, ha oui
encoooore encooooore ouiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis… »
Excité sans doute par le spectacle et mes talents de suceuse, l'un deux me déchargea
dans la bouche, je m'enfonçais son membre à fond dans la bouche et pompais jusqu'à la
dernière goutte du jus de couilles.
Ils continuent à me baiser en alternant leur place, je suis couverte de sueur après
les avoir aussi branlé sur mes. Petit à petit, ils ont tous joui minimum trois fois
chacun, je pense, dans mon cul, ma chatte ma bouche ou sur mon corps. L'un deux qui
avait rebandé se branla au dessus de moi et se déversa sur mon visage, un autre fit
pareil sur mes seins. Cela dura pratiquement plusieurs heures durant lesquelles ils me
baisèrent et m'enculèrent tous les sept comme une salope dans tous les sens et quand
ils étaient fatigués ils me baisaient avec les godes du magasin (et pas des petits je
vous l'assure). A la fin, Jacky vint vers moi en compagnie d'Hugo et me félicita.
J'étais pleine de sperme à l'intérieur et à l'extérieur. Je me sentais sale, souillée,
avilie mais comblée, ce fut une expérience prodigieuse et bestiale de sexe, sans
délicatesse certes, mais quel pied de se sentir l'unique objet du désir de mâles en
manque. Usée, ruinée pourtant je n'espérais qu'une chose que mon amant m'organise
encore une telle orgie et même épuisée j'acceptais pourtant qu'Hugo m'encule de
nouveau avec sa grosse bite.
Dans la vie, il y a des jours qui chantent et d'autres qui déchantent… qui rit samedi,
pleurera dimanche…etc.
Le lendemain de cette folle soirée, alors que je n'en étais pas encore revenue, mon
mari se montra, et on peut le comprendre, infect. Un reproche, entraîna un invective,
une provocation entraîna des réflexions aigres-douces et vice versa et ainsi de suite.
Il eut une (enfin…) parole malheureuse du genre :
"Et si cela te plait pas, tu n'as qu'à faire ta valise !"
Il n'eut pas le temps de dire ouf. Ma réponse fut brève :
"Chiche !"
Sur ce, je me levais ramassais à la hâte quelques vêtements et courut me réfugier chez
Jacky. Il m'accueillis bien sûr et me laissa me reposer. Quand toute ma hargne fut
retombée, nous envisageâmes l'avenir. Il me conseilla de retourner vers Thierry pour
essayer de calmer les choses. Négatif… non, non et non !...j'étais fermement décidée.
Je mis même Jacky en garde. S'il ne voulait pas de moi, j'irais prendre un
appartement. A sa question brutale "Avec quels moyens… tu ne travaille pas !", ma
réponse le fut encore plus "Et avec mon cul, tu crois qu'il ne peut pas me nourrir ?".
Il éclata de rire et me lança :
"Alors là, ma belle, c'est complètement différent !"
Il me proposa un deal. Ok, il me gardait chez lui comme cela il pourrait me baiser
tout à loisir. Il gagnait assez bien sa vie pour deux. Je serais sa compagne, enfin…
disons… entre autres, puisqu'il me mettrait à la disposition de ses copains avec ou
sans lui. Je fus d'accord. En outre pour une sorte de dédommagement, je devrais me
rendre de temps à autres au sex-shop d'Hugo. Je fus encore d'accord. Ma nouvelle vie
commença auprès de mon amant qui me prenait sans discontinuer. Il avait pas mal d'amis
et de relations. Donc j'eus aussi pas mal de relations… sexuelles souvent en groupe.
Et puis il avait les visites chez Hugo. Le plus souvent, en petite tenue (bas et
talons aiguilles), il m'enfermait dans un salle de projection de films pornos et je
devais satisfaire les clients. Je compris vite que ceux-ci déboursaient (…) pour mes
prestations et qu'Hugo et Jacky se partageaient les recettes. Etais-je devenue une
vraie pute. Par complètement je crois, obsédée, certes car j'aimais le sexe sans
retenue, mais pas vraiment prostituée même si au fond de moi l'expérience me tentait.
Je pus tester…plus tard….
Un beau jour, Jacky m'averti que le soir nous irions rendre visite à un couple d'amis.
Immédiatement je pressentis une soirée échangiste. Cela l'amusa. Il me raconta
qu'effectivement un dénommé Roger partageait ses goûts et que sa femme Gisèle y
souscrivait bien volontiers puisque connue presque comme une vrai nymphomane sans
préjugé de race, ni de nombre, de genre ni de sexe …. Il appuya sur la fin de sa
phrase et je compris immédiatement qu'avec cette femme inconnue une nouvelle
expérience m'attendait. Avec ce couple nous irions ensuite en boite. Une boite tenue
par un ami à lui un certain Goran. J'avais déjà entendu prononcer ce nom et j'en
demandais plus. Jacky me renseigna sur les activités de cet endroit et de ses soirées
spéciales. Visiblement, il pensait me confier à son ami pour ces "petites fiestas
particulières". Il me raconta en détail les prestations déjà fournies par Gisèle que
je (et d'autres) allais bientôt rejoindre pour former une petite équipe de femmes
mures particulièrement délurées pour êtres jetées en pâture à des pervers et vicieux
de toute nature. Au programme partouze, gang bang, shows pornos voire plus ….
Il me demanda donc de me préparer pour cette soirée selon ses directives. Cela
simple, ce soir là il me voulait pute…. Donc minijupe moulante en cuir rouge, mini
bustier (moulant lui aussi bien sûr) ne cachant qu'une petite moitié de ma poitrine,
bas résille, talon vertigineux et semelles compensées et cela s'entend coiffée et
maquillée à l'avenant.
Jacky avait un air d'en avoir deux… j'étais à peu près certaine qu'il ne m'avait pas
tout dit. Qu'avait-il put manigancer avec son nouvel ami qui, au moins sur le plan
mœurs, ne me semblait pas plus recommandable que lui-même.
Arrivés devant la porte du couple, Jacky me fit retirer ma veste pour me laisser dans
ma tenue de catin. Ce fut une femme qui nous ouvrit. Une femme de mon âge, ou à peu
près, brune, souriante qui se présenta comme étant Gisèle. Jacky nous présenta et
Gisèle nous invita à la suivre. La grande différence entre nous deux (si l'on omet la
couleur de nos cheveux et de nos yeux) était notre tenue. Si moi, j'affichais une
tenue de fille de putain, elle par contre arborait une superbe robe du soir dos nu
jusqu'aux reins. Si de prime abord j'avais été surprise par son habillement, à la
réflexion, elle était trop tout. Trop décolletée, trop maquillée, trop avenante, trop
ondulante pour être honnête. Mon opinion était faite…nous avions ÇA dans le sang. Elle
nous conduisit à son salon ou nous attendait son mari. Une fois les présentations
faites ce dernier ouvrit le champagne et servit. Enfin, il servit deux flûtes sur les
quatre présentes. S'adressant à nous toutes les deux, il expliqua :
"Pour vous c'est après… d'abord la pipe !"
Voilà !... la soirée était lancée. Infailliblement, il fut décidé que chaque femme
sucerait le compagnon de l'autre. Les deux hommes s'assirent côte à cote sur un
canapé, et nous prîmes place agenouillée entre leurs jambes. A la tête que faisait
Jacky, indéniablement, Gisèle suçait bien. Je la voyais faire et bien que je sois plus
une oie blanche en la matière, je peux vous assurer que c'était une pro. Peut être
moins virtuose qu'elle, je n'en était pas moins coutumière de cette pratique et je pus
constater que Roger y prenait beaucoup de plaisir. A un moment, comme pour être mieux
à l'aise, tout en engloutissant entièrement le membre de Jacky elle sortit ses seins
de sa robe. Ils étaient beaux, lourd… j'eux envie de les toucher. Jacky voulut que je
fasse de même. Avec discipline j'accédais à cette demande légitime. C'est ainsi
dépoitraillées que nous tirâmes partie du meilleurs de nos chéri qui avaient un point
commun dans l'abondance de leur émission.
Cette première partie du programme étant accomplie, nous eûmes droit, nous aussi, à
notre flûte seins nus evidemment. Roger s'instaurant en grand organisateur décida :
"Allez les filles ! Gouinez vous !"
Bref, concis la demande était explicite. Gisèle me regarda les yeux brillants.
Apparemment je lui plaisais, je crois. Elle me demanda de l'aider à repousser la table
du salon. Nous allions faire cela sur le tapis devant nos hommes….
Elle passa son bras autour de mes reins, m'attira à elle, seins contre seins. Nous
restâmes un instant yeux dans les yeux ou mutuellement les yeux rivés sur la bouche de
l'autre jusqu'au moment ou sur un signe instinctif imperceptible les deux visages se
rapprochèrent et les lèvres se soudèrent l'une à l'autre. Nos langues s'enroulèrent
dans un baiser interminable. Nous bouches se séparèrent pour mieux s'unir de nouveau.
Je passais mes bras autour de ses épaules pour lui caresser la nuque et enfouir mes
doigts dans ses cheveux. En faisant ceci je lui ouvrais l'accès à mes seins dont elle
se saisit. De baisers fiévreux en embrassades goulues, de caresses en pelotage, de
sucions de tétons en introductions digitales nous nous retrouvâmes bientôt uniquement
vêtues de nos bas et allongées toutes deux sur le tapis moelleux. Sur l'exigence des
hommes, il nous fallut évoluer. Gisèle me plaça donc allongée sur le dos et se mit
tête-bêche. Ses doigts visitèrent mon sexe, les miens firent de même. Nos lèvres
aspirèrent nos bourgeons de plaisir. Un doigt, puis deux sous les souhaits des hommes
éprouvèrent la résistance de mon anus. Je lui rendis la pareille. Enfin dans une belle
complicité nous connûmes un doux moment de jouissance dont nos bouches se régalèrent.
Devant les érections de Jacky et Roger nous pensions que diverses pénétrations
allaient s'en suivre. Non pas… et Roger nous demanda d'aller nous refaire une beauté.
Je suivis Gisèle. Une fois dans la salle de bain nous nous confiâmes mutuellement que
notre interlude saphique nous avait réellement bien plut à toutes les deux. Nous nous
promîmes de recommencer avec ou sans spectateurs (en fait il y eut les deux…). Gisèle
me promit de m'enseigner, comment la fister devant comme derrière (elle tint parole
plus tard en en faisant la démonstration sur ma personne). Après un ultime baiser nous
nous recoiffâmes et nous remaquillâmes. Une fois à nouveau prêtes, nous dûmes remettre
nos vêtements. En riant grassement Jacky me prévint que "nous sortions"…Gisèle en robe
du soir et moi en pute….
Jacky m'avait dit que nous irions chez ce fameux Goran et je m'y attendais. Au lieu de
cela, à mon étonnement et aussi à celui de Gisèle sui visiblement s'attendais à la
même chose que moi, nous stoppâmes près du chantier d'un groupe d'immeuble en
construction. Les hommes descendirent et nous prièrent de faire de même. Avisant un
genre de mobile home je m'attendis au pire. Gisèle sembla aussi dépassée. Mais que
vouliez que deux femmes, en pleine nuit, avec un tel accoutrement puisse espérer autre
chose que des soucis. Nous suivîmes donc Roger qui frappa à la porte qui s'ouvrit avec
suspicion. Le "Ah vous voilà !" indiqua que nous étions attendus. Outre celui qui nous
avait ouvert et qui semblait être un genre de chef de chantier il y avait six hommes.
Six ouvriers de chantier visiblement tous étrangers trois blacks et les trois autres
peut être turc. Le chef s'adressa à Roger :
"Ok comme convenu ! Une pipe à chacun !"
Un "Allez les filles !" nous signifia de nous mettre au travail. On nous avança deux
tabourets sur lesquels nous prîmes place et en s'approchant les deux premiers se
débraguettèrent. C'est ainsi qu'à la suite je pompais deux des hommes de couleur et un
blanc. Gisèle s'occupant des autres. Ce fut relativement assez vite fait car ces
hommes, visiblement ne s'étaient pas soulagés depuis longtemps et en tout cas pas dans
bouches de petites bourgeoises voulant jouer les radasses. Nous y prîmes un plaisir
mitigé à cause de la propreté et de l'odeur non seulement du lieu, mais aussi des
bites que l'on invita à sucer. Le plaisir le plus significatif fut cérébral de nous
sentir utilisées comme des prostituées, sentiment qui fut renforcé quand le chef paya
nos services à Roger. Sinon il n'y eu que deux petits problèmes, le premier quand un
des hommes voulut me toucher les seins et le second quand une fois leur affaire
terminée les hommes entendirent remettre le couvert mais cette fois en utilisant nos
autres orifices. Il fallut toute l'autorité de leur chef pour les ouvriers entendent
raison le prétendu tarif étant au dessus de leurs moyens. J'ai le sentiment que ni
Roger, ni Jacky ne s'y serait réellement opposés.
Le trajet reprit… jusqu'au fameux bar de Goran. Là nous passâmes vite toutes deux aux
toilettes puisqu'il apparut que nous devions être de nouveau pomponnée façon cochonne.
Gisèle me confia sa formidable envie de baiser. Je n'étais pas loin de partager son
envie. Heureusement… car en compagnie de nos hommes nous entrâmes dans partie boite de
l'établissement. Là pour la première fois je vis Goran qui sans prendre plus que cela
la peine de faire connaissance avec moi outre mon prénom (j'appris plus tard que la
recommandation d'Hugo avait suffit) annonça au six inconnus présent :
"A vous messieurs… trois pour chacune… faites votre choix… la brune c'est Gisèle… la
blonde c'est Martine… choisissez !".
L'aimable assistance hésita et souhaita en voir davantage. Devant Gisèle privée de sa
robe et moi de mon top et ma jupe les hommes semblèrent hésiter derechef. Ce fut Roger
qui fit cette proposition :
"Commencez par l'une, au choix la brune ou la blonde vous vous les repasserez ensuite,
comme cela vous vous serez tapés les deux pour le prix de l'une ! Si ce n'est pas de
la promo !"
Jacky renchérit aussitôt et Goran se laissa convaincre. Trois hommes m'entourèrent se
firent sucer tout d'abord et comme il se doit. Puis ils commencèrent à user de mes
trois orifices en fonction de leurs variations, de leurs désirs et de la disponibilité
de l'un d'eux. Je pus distinguer qu'il en était de même pour ma nouvelle copine qui en
prenait gaillardement…de la pine. Bien entendu nous fûmes prises simultanément en
triple. Pour ma part j'eux trois orgasmes sous les coup de queue des ces hommes dont
je ne connaissait même pas le prénom. Une fois leur coup tiré et que tout le monde ce
fut rafraîchit Gisèle et moi permutèrent de groupe et la sarabande reprit de plus
belle jusqu'à éjaculation de ces messieurs.
Cette fois la soirée se termina vraiment. Goran s'entretint avec Roger et Jacky. A
priori, affaire fut conclue entre les trois hommes. Dès la semaine suivante Gisèle
commencerait son "service" au bar (et à l'étage). Goran souhaitait me revoir avant
pour "m'essayer" lui-même avant de me confier à ses amis (et clients). Effectivement
Jacky me ramena chez Goran ou à nouveau devant les yeux de mon amant Goran visita…. Si
il y a une chose ou Gisèle n'a pas menti c'est sur le sexe de Goran. Huuummmm quelle
bite… un peu grosse de prima abord lorsqu'elle vous défonce le derrière, mais après…un
grand moment. Satisfait de son entretien d'embauche avec mes ouvertures Goran annonça
"que c'était Ok !". Pour parfaire "mon éducation" il souhaita, avant d'organier des
soirées ou je travaillerais au bar comme Gisèle (car les néo putes devaient monter
jusqu'à extinction de la clientèle), tester ma résistance. Il voulait m'organiser une
petite réunion avec des hommes et il me demanda combien je pouvais m'en faire en une
soirée. Je lui répondis que je m'étais déjà occupée de cinq hommes plus Hugo et Jacky.
Il s'esclaffa et m'expliqua qu'il état quelqu'un de sérieux. Pour lui un vrai
gangbang, donc de ceux qu'il organisait, comptait dix hommes pas moins et en tout cas
rarement plus car au delà, parait-il que la participante était vraiment fatiguée et
que sauf exception la séance perdait de l'intérêt. Dix hommes… cela me parut énorme…
comme nombre. Faisant fi de mes craintes Jacky annonça "que ça collait" et rendez vous
fut prit. Donc la semaine suivante, dans une sorte de petite loge aménagée devant
Jacky je me mis nue. Goran ne me fit garder que mes chaussures. Avant de m'emmener il
annonça un petit additif en forme de question adressée…à Jacky :
"Tant que j'y pense, les types ont demandé si, lorsque Martine sera un peu fatiguée,
ils peuvent lui mettre une bonne petite fessée, histoire de lui redonner du cœur à
l'ouvrage…. Vu le prix qu'il paye je leur ai donné cette permission. Tu n'y vois pas
d'inconvénient naturellement ?".
Réponse….
"C'est la moindre des choses mon cher Goran !"
Voilà… sans commentaire…après tout j'en voulais, j'allais en avoir….
J'en eus….
J'avais passé un coup de fil à Gisèle avant pour savoir comment cela se passait. Elle
m'avait prévenue :
"Tu verras, dans ce moment là se sont des animaux !"
Elle n'était pas loin de la vérité car en fait ils me ménagèrent (un peu) sur les
ordres de Goran. Des doigts, des mains, des lèvres, des langues, des bites
s'emparèrent de moi. A un, deux, trois, quatre ou cinq ils me pilonnèrent par tous les
trous… alternant, changeant, se relayant, troquant mes ouvertures, mes mains, mes
seins…. Evidemment la permission accordée par Goran leur permis de satisfaire leurs
bas instincts. Je criant sous les claques assénées sans retenue en guise de petites
fessées et outre trempée de sueur, gavée, remplie de foutre c'est le cul cramoisi et
brûlant qu'en titubant je finis la séance.
Comme s'ils avaient été présents Goran et Jacky me félicitèrent. Je sus beaucoup plus
tard qu'en plus Goran avait installé un circuit vidéo qui permettait aux voyeurs de
rincer l'oeil ou d'enregistrer des vidéos destinées à des soirées privées voire à la
revente. Mon embauche fut confirmée et une soirée retenue pour trois semaine plus tard
pour un show avec Gisèle. Show (prétexte à exciter l'assistance) qui se terminerait
par une mise aux enchères….

Gisèle reprend la plume
Avant ce show annoncé et avec la permission de Roger. Je revis deux fois Martine pour
de superbes moments à deux. Finalement j'aimais bien ces instants très doux ou deux
corps de femmes s'unissaient pour se donner mutuellement du plaisir dans une fusion
charnelle délicate et délicieuse. Je crois qu'elle aussi y prit goût ce qui fit que
lors de notre représentation, les choses parurent naturelles à nos spectateurs.
Baisers, caresses, masturbation, soixante neuf s'enchaînèrent lors de notre numéro.
Goran nous avait briffées auparavant pour le final. Martine devait m'enfoncer un plug
conséquent dans le rectum et moi, munie d'un god ceinture, je dus la sodomiser
vivement. Ce fut tellement réussit qu'elle jouit sans simuler un seconde un plaisir
qui la fit geindre devant la salle de plus en plus échauffée. Vint ensuite le moment
attendu des enchères. Goran les dirigea en véritable commissaire priseur en commençant
par Martine qu'il présenta comme nouvelle embauchée. Les enchères allèrent bon train.
Pour en finir deux hommes décidèrent d'unir leurs offres afin de remporter le morceau.
Martine leur fut adjugée et elle disparut à l'étage avec les deux hommes en ayant pour
missions de les satisfaire pleinement. Pour ma part, je fus offerte à deux autres
adjudicataires qui eux aussi avaient unis leurs efforts ne regardant pas à la dépense
tant ils espérait se faire rembourser en nature. Mon cul y contribua largement….
Goran nous retint pour la semaine suivante si nos amants n'y voyaient pas
d'inconvénient. Ils n'en virent aucun d'autant que ce fut Roger qui lui souffla de
nous faire jouer le rôle de prostituée. Cette fois nous prévint-il pas de spectacle…
juste le bar… et ses clients. En outre et en aparté Goran me demanda d'initier Martine
à des choses plus corsées. Il souhaitait que lors de la prochaine démonstration nous
nous fistions d'un coté ou de l'autre voire les deux. Je promis d'éduquer ma nouvelle
partenaire à cette nouvelle luxure. J'y pris et elle y prit une vive satisfaction….
Pour en revenir à notre duo au bar, c'était pour moi la deuxième fois mais une grande
première pour Martine. Son Jacky était hyper excité de la voir faire ses débuts de
prostituée. Roger également il adorait savoir que j'allais encore passer de salope à
pute. Martine arriva attifée comme à notre première rencontre… parfait pour le rôle
qu'elle avait à jouer…. J'avais pour ma part revêtu outre l'obligatoire porte-
jarretelles et les bas noirs à couture, une mini de vinyle noir et juste un soutien
gorge (pigeonnant abusivement bien sûr) en imitation panthère… j'aimais beaucoup ce
type d'imprimé. Les consignes de Goran étaient d'une simplicité étonnante. Des hommes
nous aborderaient, nous monterions avec eux, accomplirions toutes leurs fantaisie…
point à la ligne. Il n'y aurait pas de question d'argent tout aurait été réglé
d'avance avec lui. Par contre un petit cadeau pouvait éventuellement nous être fait en
fonction de notre savoir faire. En aucun cas nous ne devrions les solliciter. Ces
soirées étaient éreintantes. En plus d'y passer nous devions à chaque fois faire
toilettes, nous rhabiller, nous recoiffer, nous remaquiller redescendre pour parfois
remonter aussitôt et ainsi de suite. Martine eut six clients je crois et moi autant….
Elle fut comme moi ni jouissance au début, ni à la fin mais à peu près quatre fois au
milieu de la soirée.
Voilà… nos débuts en qualité "d'extra" ou de "Guest Star" étaient lancés lorsque nous
apprîmes l'arrivée d'une nouvelle venue… le "duo d'enfer" allait se transformer en
"trio infernal"….
La troisième recrue s'appelait Denise….

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Texte coquin : Le club des cinq – 2 -Martine 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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