Alex 16 Gifles ou séduction sexuelle: trahison

- Par l'auteur HDS Veilleur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Alex 16 Gifles ou séduction sexuelle: trahison Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Alex 16 Gifles ou séduction sexuelle: trahison
Alex 16 Après les gifles, la séduction sexuelle,
Roan...han… Que t'es bonne… Ca manque de salive, crache un coup sur mon zob. Houa, oui, lèche bien le sac, recommence depuis la racine jusqu'en haut de la tête… Oang ue va encore… Embouche la pointe, taquine avec le bout de la langue, enroule tes lèvres autour du nœud, vroum, ma salope oh putain, je ne te reconnais plus, tu as travaillé cette semaines, rrrre, félicitations, bveee... Descends, doucement, fais un anneau avec les lèvres, brrreevouha, plus vite maintenant, oui bouge tes mains, plus vite, plus profond. Merveilleux, cette fois tu en avales plus, je chatouille le fond de ta gorge, c'est comme dans gorges profondes, un film cochon. Ne t'étouffe pas quand même, respire une minute et tu reprendras la turlutte, et tu avaleras ton biberon, ma grosse vache d'amour.

Une claque magistrale la récompense. Le membre turgescent enfoui dans sa bouche étouffe sa protestation une deuxième claque rétablit l'équilibre.
- Il faut que j'entretienne la chaleur et la couleur de ton cul. Plus ton sang circulera vite, plus tu auras de plaisir. Mais, parole d'Alex, ton avenir est dans la pipe !

Pendant qu'ils sont occupés, elle à oublier le reste du monde en succions, lui à céder au double plaisir d'être sucé et d'entretenir la flamme, imitation de PA en main droite, fils de fer en main gauche, tubes plein les poches avec un rouleau de bande adhésive large, à pas feutrés, sur mes chaussettes, je parviens en haut de l'escalier, tout près de la porte ouverte de ce qui fut « ma » chambre. Devant la porte de la chambre gît une boîte à outils ouverte. Formidable, Alex a deux paires de menottes! Ca va être utile et plus facile- Dernier round, vas-y. Ouiiii, c'est bon, essaie à fond, je te pince le nez, enfonce encore, vrille la tête. Ah, j'ai senti ta lèvre sur mes poils. Crache sur ma tige, ça glissera mieux et quand tu touches le fond, essaie de rester un peu collée à mon pubis, le plus longtemps possible, hop, monte et descends progressivement encore, encore.

Je me baisse et risque un œil. Au plus près, la lune écarlate, fendue en deux et son berlingot affolant domine le paysage et tressaille au dessus des doigts épais qui pianotent par-dessous sur la vulve enflée et entrouverte. Les fesses rouges montent et descendent au gré des doigts qui remuent, s'enfoncent, chatouillent ou grattouillent. Quand le ventre s'écrase sur la sollicitation manuelle, j'aperçois le mouvement vertical des cheveux noirs qui accompagne les allers retours de la bouche de ma femme le long de la tige d’Alex le triomphateur. La tête se déplace en biais, elle doit glisser les lèvres à l'extérieur, le long du bâton à cajoler. Accroupie, en adoration devant le dispensateur de tous les plaisirs, buccaux, vaginaux et anaux, Marie est infatigable, elle suce, suce, suce et branle. L'élève récite sa leçon, le maître commente, encourage de la voix, grogne. De lui, je n'aperçois que les sursauts de ses jambes de gorille poilu ou la main qui flatte et triture la vulve ou enfonce ses doigts dans le vagin frémissant.
- Stop, on arrête.
- Mais…- Mais quoi, tu ne crois quand même pas que je vais me laisser te partir dans la gueule aussi vite. Un liquide comme celui-là ça se mérite. Ta chatte est trempée, tu vas venir t'enferrer sur ma bite et faire « Hue coco » comme une grande. Tu te tournes vers moi, tu lèves cette jambe, tu te mets à quatre pattes au-dessus de ma hampe, tu baisses ton bassin, pas trop, pas trop vite, fais-toi désirer; tu effleures ma pine et je vais monter en toi. Je me place, je touche ta chatte…. Lààà. Putain, ça glisse tout seul, tu es chaude; rien de tel qu’une bonne trempe pour foutre le feu à une cramouille. On recommence, baisse un peu plus, avec tes mains tire sur tes babines, ouvre bien ton con. Rrhahahaa â ce que tu es chaude, paillasse, ô putain que tu es bonne, grosse dégueulasse. Je crois que tu feras autant de fric avec ça qu'avec tes pipes. Tu vas devenir riche salope. Tu as un talent fou, mes potes te réclameront. Au trot, au trot, au galop, au galop fonce, galope devant, pousse, colle ton ventre contre le mien. Te voilà bien emmanchée. Tourne sur place mais ne décolle pas, pèse.

Je n'ai pas besoin de me gêner pour regarder l'ascension et la chute des fesses rouges ou les ruades vers le haut des fesses furieuses de la monture. Marie s'essouffle, râle, gémit, geint de plus belle. Alex cramponne ses hanches et les abat vigoureusement sur sa panse, sa queue sort doucement pour s'enfoncer violemment dans la fente béante, suintante qui épouse les mouvements de l'homme en décrivant des demi-cercles verticaux. C'est une danse de plus en plus folle qui arrache des feulements de plus en plus rauques aux acteurs à la respiration saccadée. Parfois Marie s'écrase longuement sur la queue enfouie en elle. Oubliés les serments de fidélité, elle brûle, elle vacille et s'abat sur l'orgasme qui lui dévore les entrailles. Alex rit à gorge déployée.

- Tu vois, petite conne ce que tu as failli rater. Qu'est-ce que tu en dis ? Ce n'était pas fameux ? Et ce n'est pas fini. Ton Alex te manquerait. Maintenant, sans quitter ma quille tu vas effectuer un demi-tour, regarder l'armoire et recommencer la chevauchée fantastique, regarde-toi dans la glace de la porte; c'est ma position préférée, la femme au-dessus de l'homme, avec vue sur le trou du cul. Ta rose est belle, Albert a aimé. J’y mets un doigt. Tu aimes?
-Humm, oui Et tu verras que je ne suis pas le seul à apprécier. Mes copains te le diront. Tu commences bien droite, j'empoigne tes nichons. Tu montes et tu descends sur mon manche. Tu es bien ouverte, oui ta cramouille bâille, ça va aller et venir comme une bielle bien huilée. Quand je lâcherai tes tétons tu plieras lentement ton corps en avant, sans quitter ma quille, c’est une bite d’amarrage, tu continueras toujours au trot, tu te pencheras vers mes pieds jusqu'à sucer mes orteils et alors, plein gaz, tu lèveras et baisseras ton cul, tu taperas ta quetsche le plus fort et le plus vite possible sur mes couilles. Tu vas voir, c'est sensationnel. Baisse… lève… descends… monte. Tes tétons sont durs comme de la pierre et ton lait coule sur mes doigts, plus tard j'en boirai. Allez va, accélère, je sens les contractions de ton vagin autour de mon pieu; t'es bonne, mais qu'est-ce que t'es bonne. Dis c'est bon pour toi ? Réponds.
- Oh ! Oui, c'est bon, Alex.
- Comment dois-tu dire ? Une claque dans le bas du dos agité sur le doigt planté dans ses fesses lui rappelle les règles.
- Oui, Alex Chéri.
- Encore, dis.
- Alex mon amour.
- Ah! Quand tu veux, ça va tout seul. Je préfère ça. Je te pardonne…maintenant vas-y, lâche les chevaux, mes orteils, lève plus haut, plus vite, claque plus fort. Rrran, erg brou, je viens, tourne-toi et avale, vite, ma queue dans ta bouche et pompe.

Au moment où elle se relève, je vois le visage de Marie, les yeux clos sur son plaisir. La face ruisselante de sueur est aussi rouge que ses fesses. Cheveux collés au front, elle se jette sur le sexe dégorgeant des volutes blanchâtres et l'avale comme une assoiffée et l'autre rugit sa jouissance, les mains en appui sur la tête soumise. Je suis en léger retrait. Alex ne peut pas me voir, moi je distingue entre les fesses de ma chère et tendre épouse un filet blanc de sperme qui s'étire en direction du couvre-lit.
Je suis venu et j'ai vu. Je suis cocu, je suis cocu : Il n'y a plus rien à prouver.
J'ai bu le calice jusqu'à la lie. Elle l’appelle « Alex chéri, mon amour». Mais je ne comprends pas le revirement si total de Marie. Elle a peur des coups, mais passer aussi vite de la révolte à cet état de soumission, c’est époustouflant. Elle a affirmé que c'était moi son amour et là, sous mes yeux elle ne lèche pas les bottes d'Alex, elle lui lèche l'orteil, les couilles, la bite et en remontant, le ventre, les tétons et s'empare de sa bouche avec fureur, sans doute en guise de remerciements. Lui s'éclate, sa victoire est totale.
- Je te l'avais dit, une bonne raclée et une bonne baise, rien de meilleur pour remettre les compteurs à zéro et les idées en place. Toi tu m'étonneras toujours, tu démarres au quart de tour comme une MERCEDES et quand tu es lancée impossible de t'arrêter. Si tu en fais ton métier, il faudra apprendre à te contrôler pour vivre vieille.

- Mais je ne veux pas faire la pute.
- On verra. Qui décide, toi ou moi? Avant le prochain coup de bite, veux-tu quelques marques de cravache? Mets ta tête sur mon épaule et regarde-moi dans les yeux.

Dans le miroir au-dessus de la commode, j'aperçois les deux corps tournés l'un vers l'autre. Je jette un œil. Alex est de dos, Marie lui caresse la tempe ou essuie sa sueur. Elle passe sa cuisse et sa jambe gauche sur celle d'Alex, pour se sentir plus proche. Ils se regardent et se taisent, en période de récupération de leur souffle, haleine contre haleine, seins contre poitrine, ventre à ventre, partageant leur chaleur.
- Alors, heureuse, ma poule ?
- Oui, mon amour, heureuse comme jamais.

Véritable camouflet pour moi - C'est bien vrai ça? Tu as aimé. Tu m'aimes ?
- Oui mon amour.
- Dis: « je t'aime, mon amour. »-Je t'aime mon amour. J'aime tes yeux, j'aime ta queue.
- Dis : « Je t'aime, Alex, mon amour, plus que ce con de Jean».
Sans hésitation, elle répète mot à mot, comme une somnambule. Ce n'est pas possible, il l'a hypnotisée.
- Dis: « Je veux que tu lui casses la gueule quand il va rentrer. »- Euh ! Tu crois ?
- Ben quoi tu m'aimes ou tu ne m'aimes pas ? Si tu m'aimes, dis: « Je veux…- Je veux que tu lui casses la gueule quand il va rentrer.

- Alex je n'aime que toi et je ferai toujours tout ce que tu voudras, mon seul amour.
Et elle débite ces horreurs après lui.
- Dis: « Je le jure. »Elle jure.
- J'essaierai l'amour avec deux hommes.
- J'essaierai l'amour avec deux hommes.
-Comment feras-tu?
-Comme tu voudras!
-Bien, mais tu en recevras un par devant, là dans ton joli Minou et l’autre ici, dans le trou de balle à la place de mon doigt. D’accord?
-Si tu le veux.
- Je ne t'ennuierai plus avec des histoires de divorce.
La litanie s'allonge :- Je t'obéirai toujours même si on reste à la colle.
- Je vais reprendre mon régime.
- Je vais cesser d'allaiter.
La profession de foi continue. Alex jouit et en rajoute- Dis: « Mon cocu sera notre esclave Il ne me baisera plus jamais. » 
Rien ne la retient et elle jure sans qu'il l'ait réclamé. Et encore- Dis:« Tu l'attacheras au pied du lit, il nous regardera faire l'amour, il mettra ta bite en moi et il me nettoiera le con et le cul, puis il te sucera la queue. »
Il y a deux ans il récitait la même rengaine. Il a l’air plus décidé à me réduire en cocu lécheur.

Avant de répéter Marie éclate de rire et embrasse la bouche qui vient de lui faire prêter serment. La drôlerie de cette humiliation la fait rire; je ne suis plus rien pour elle.

- Répète: Alex tu lui mettras l'oiseau en cage pour qu'il ne puisse plus me baiser.

Le même rire joyeux devance la répétition.
- Dis: Al je t'aime, je t'appartiens pour toujours, fais de moi ce que tu veux.
- Fais de moi ce que tu veux.

Alors, Marie tu vas m'aider à l'attraper et à le lier. Tu ne protesteras pas? Après tu me laisseras seul avec lui pour que je lui apprenne à rester à sa place de cocu? Tu ne seras pas obligée de voir comment je le dresserai. Mais, si tu y tiens, pourquoi pas !
- Je ferai tout ce que tu veux, mon amour.
- Qui sera le maître dans cette maison ?
-Toi, Alex… mon amour -Donc, quand Jean reviendra du travail, tu l'attireras au lit. Tu resteras nue et tu te coucheras sur lui, comme nous venons de le faire, à cheval sur lui. Tu le feras entrer en toi et tu commenceras à lui faire l'amour et tu l'embrasseras sur la bouche.
- Tu es sûr ; tu veux que je lui fasse l'amour? C'est toi qui me le demandes ? Je croyais qu'il n'aurait plus le droit de me toucher comme ça ?
- Ne t'en fais pas, ce sera sa dernière fois et il le regrettera. Avec ta tête et ton corps, tu lui cacheras la porte de la chambre afin qu'il ne me voie pas arriver. Et pendant qu'il sera occupé sous toi, je lui tomberai dessus. Si à ce moment tu le maintiens sous toi, je n'aurai pas besoin de lui faire trop mal pour le menotter.
Quand il sonnera, j'irai dans la chambre du fond et quand il sera en place dans ta jolie connasse, qu’il sera prisonnier de ton amusoir, tu diras tout fort : « Mon Amour ». Il croira que c'est pour lui, mais ce sera le signal qui me fera intervenir. Il n'est pas beau mon plan ?
- Formidable, on réussira à le neutraliser sans lui faire mal. C’est mieux. D'accord; j'ai bien compris
-Est-ce que tu veux que je puisse demeurer dans cette maison, t'y aimer librement, élever tes enfants comme si c'était les miens ?
- Tu veux bien, Alex ? C'est merveilleux, je n'osais pas te le demander. Merci, mon amour.
Elle est devenue folle ? Alex est forcé de la maintenir en place, elle était sur le point de remonter à cheval pour le remercier. Elle a le feu au cul. Quelle excitation, elle d’habitude plutôt calme est méconnaissable.
- Patience ma petite femme chérie, je vais te donner encore plein de bonheur. Garde mon sexe dans ta main, caresse-le. Mais si tu veux que ça puisse se faire et que ça dure toute ta vie; il faut que tu m'aides. Tu le veux ?
- Mais je viens de te promettre que je ferai tout ce que tu voudras. Comment puis-je t'aider ?

Le bras droit de l'homme est agité: de la main il entretient le feu dans le ventre de la femme. Elle s’ébroue, pousse son désir sur les doigts en crochets qui fouille sa moule. Donc, elle est bien éveillée, elle sait ce qu'elle a dit, pleinement consciente de tous les engagements qu'elle prend. Judas sur le point de livrer son maître.
Je revois mon propre plan à la hausse. Qu'elle prenne un amant, à la limite la chose est si commune de nos jours, mais qu'elle me livre à lui pour qu'il me réduise en esclavage, ça mérite une réaction sans pitié. Je veux oublier tout ce que j'avais retenu en sa faveur entre 14 heures et 15 heures. Et pire que tout, elle est prête à confier la garde de nos enfants à ce maudit suborneur, à ce maquereau de village qui annonce qu'il la livrera à ses copains et qu‘elle gagnera sa vie avec des pipes et en baisant. Marie tu vas payer.

La similitude de nos projets correspond sans doute au fait que nous devons agir dans un espace restreint et en un temps très court. Mon avantage: je n'aurai pas à sonner et j'ai un moyen de dissuasion pour rétablir l'équilibre des forces. Dans la chambre Alex continue à instruire Marie: elle sera putain et parjure volontaire.
- C'est tout simple; réfléchis, fais vite, je crois que ma queue commence à relever la tête pour t'envoyer en l'air ? Pourquoi suis-je banni ?
- Tu le sais ; parce que tu m'as fait jouir quand je travaillais au foyer, parce que Jean a raconté à mon père ta tentative de me prendre en revenant du mariage.
- Que faisons-nous dans ce lit actuellement ? Nous nous aimons et nous faisons l'amour. Est-ce que je te viole quand je te fais l'amour ?
- Je suis d'accord, donc tu ne me violes pas : Je t'aime, tu m'aimes, il est normal qu'on fasse l'amour. Allez viens sur moi. J'ai encore envie, mon ventre tremble de désir. Fourre-moi ton manche, grouille avec ta quéquette, défonce-moi. Baise-moi.
- Voilà, on s'aime et on s'est toujours aimé en réalité. Je voulais te demander en mariage, c'est la preuve qu'on s'aimait déjà la première fois qu'on a fait l'amour dans ma voiture. Si on est ici, maintenant, c'est parce que nous étions faits l'un pour l'autre. En somme, tu fais l'amour avec moi, bien éveillée et tu me dis que tu veux le faire encore aujourd'hui et pendant toute notre vie, comme si on était mariés et comme si j'étais le père de tes enfants. Pourquoi as-tu prétendu que je t'avais surprise quand tu dormais ? Au fond de ton cœur tu m'aimais déjà et secrètement tu souhaitais que je te fasse l'amour : Ce n'est pas un viol ça ! Tiens, si tu avais pu savoir tout ce que tu sais maintenant: que tu n'aimes que moi pour la vie, est-ce que tu te serais mariée avec Jean ? Dis, c'est moi que tu aimes, c'est avec moi que tu voudrais être mariée ? C'est bien ce que tu m'as dit?
-Oui Alex, c'est avec toi que je voudrais être mariée.
-Tu reconnais que je ne t'ai pas violée dans ce cas. La solution de notre problème est simple, réconcilie moi avec ton père .Toi seule le peux puisque nous n'étions que deux. Et si ton père te demande pourquoi tu m'as accusé, tu diras que c'est parce que Jean t'y a obligée. S’il te demande pourquoi tu lui as obéi, tu diras qu'il menaçait de divorcer si tu ne le faisais pas ? Si tu veux toujours faire l'amour avec moi, que suffit-il de faire, ma chérie ? Dis vite, car moi j’ai envie de toi, mets ta main là.
- Coquin tu es tout tendu. Je sais ce que je vais faire, vite, prends-moi. J'ai envie.
- Pousse ton ventre. Que vas-tu faire ? Ton ventre rasé, c'est si doux.
- J'irai chez mon père dire que tu ne m'as pas violée ; c'est tout simple!

Et moi, le mari cocu, je serai déconsidéré dans la famille.
-Parfait, nouvelle leçon, l’utilisation de jouets. Quand je ne suis pas près de toi, tu dois pouvoir te donner du plaisir toute seule. Dans ma mallette j’ai de quoi t’aider. Attends. N’oublie pas, Jean c’est fini.

J’ai juste le temps de me cacher derrière la porte du salon.
-Je te montrerai le fonctionnement de ce vibromasseur. Auparavant, tourne-toi sur le ventre, mets un coussin sous tes hanches et ne bouge plus.

Marie a les fesses relevées, Alex verse de la vaseline sur un cône en plastique ou en verre. Il se penche sur la croupe, pouce sur une fesse et quatre doigts sur l’autre il ouvre un chemin vers la rose. La pointe touche le petit trou.
-Qu’est-ce que tu me fais?
-Du bien, ma cocotte, n’aie pas peur. La pointe arrondie est dans ton cul. Le reste suit-Ca fait mal, j’ai l’impression que tu me pètes la rondelle. Aïe!
-Calme, ma petite chérie, c’est à peine plus gros qu’Albert. Tu es enculée par un plug, son pied l’empêche d’avancer plus. Garde-le quelques minutes chaque jour. Ta rose s’épanouira et quand un homme te plantera son pieu à cet endroit, tu n’éprouveras que du plaisir.
-Mais-Tu as juré de m’obéir, oui ou non?
-Oui, Alex chéri. C’est dur.
-Tant mieux. Plus tard je le remplacerai avec mon zizi. Ca sera plus dur encore. Je le secoue, c’est bon?
-Oh! Oui mon Alex. Fais le remuer, comme un homme, comme Albert. Hooo!

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