J’aime les soldes ! (1)

- Par l'auteur HDS André-pierre -
Auteur couple.
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Récit libertin : J’aime les soldes ! (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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J’aime les soldes ! (1)
Février 2012 _ Bien que résidant maintenant en Normandie de façon permanente nous avons gardé, de l’époque où nous habitions en seine et marne, l’habitude d’aller à Troyes pour les soldes et bien d’autres choses, on joignaient toujours l’utile à l’agréable. Mais là cela nous fait beaucoup plus de route et nous y restons plusieurs jours.
Donc parti de bonne heure je récupère l’autoroute de Normandie puis ayant contourné Paris je décide de faire une pause avant de finir nôtre périple. Sur une aire de repos dans la cafétéria qui s’y trouve on lie connaissance avec un couple venant de Rouen et qui va passer quelques jours comme nous sur Troyes pour les soldes. Michel a 59ans et Corinne 56ans, bien en chair tous les deux, le courant passe de suite. Avec Monique on les drague assez ouvertement et comme ils semblent réagir positivement on leur fait même des allusions plus ou moins directes, Michel propose alors que nous nous retrouvions à Troyes pour passer ces quelques jours ensembles et là je sais que c’est bon. A un moment Michel ma fait du pied, je ne dis rien mais comme par accident j’effleure sa main et il sourit. Nous échangeons les adresses des hôtels où nous sommes descendus et reprenons la route en nous fixant rendez vous sur le parking de pont sainte marie vers 16h cet après midi. Il est 13h quand ils partent les premiers et non reprenons la route 10 mn plus tard. En route une envie urgente (trop de café sans doute) m’oblige à m’arrêter à la dernière aire avant la sortie que nous devons prendre. Là surprise Corinne appuyée contre leur voiture fume une cigarette et sourit en nous voyant. Elle me dit alors vous aussi un petit pipi ? Je lève les bras en souriant et gagne les toilettes. Il n’ya qu’une autre voiture à part les nôtres. Je rentre sans bruit et là devant les lavabos Michel suce un homme d’âge mur pendant qu’un jeune type l’enfile avec des han de bucheron. Le type mur me voit, pour le rassurer je me masse la bosse et sors ma queue il sourit. Sans un mot je passe derrière le jeune type et lui caresse le cul. Il ne dit rien j’écarte son cul et le doigte, il gémit, le type mur me tend une capote et l’ayant mise en place j’enfile le jeune type. Le type mur passe alors une capote et passant derrière moi m’enfile en gémissant et on s’agite en cadence bientôt le jeune type jouit et je sens type mur en faire autant. Ils déculent alors et le jeune type me fait sortir de son cul, je proteste que je n’ai pas jouit, ils se réajustent en me disant : finit avec lui en désignant Michel. Ce dernier me regarde un peu rouge alors que je me branle pour être à nouveau bien dur et je le plie à nouveau en deux et je l’enfile. Il a un hoquet et je le lime comme un fou passant ma main sous son ventre je le branle en même temps et d’un coup il jouit, très excité je jouis à mon tour. On réajuste nos tenues et Michel souriant me dit :
- C’est génial on va passer un bon séjour, je m’en doutais déjà vu tes réactions à la cafétéria, ta femme sait ?
- Bien sur et la tienne ?
- La mienne aussi
- Corinne est bi aussi ? Car Monique est très salope et bi !
- Oui ! Superbe, viens on va les mettre au courant
- Je crois qu’elles s’en doutent !
On sort et là nos femmes nous disent qu’on en a mis un temps alors que les autres sont déjà partis! Là Michel me passe la main sur la bosse et dit à Corinne :
- On baisaient dans les toilettes !
- Et moi alors s’exclame Monique, en souriant !
Là Corinne rit et Michel en souriant dit à Monique que Corine est bi et là Monique attire Corinne et elles se roulent une pelle tout de go ! On est un peu interloqués mais Monique me dit en souriant figures-toi qu’on a parlé toutes les deux car on s’est doutées de quelque chose. Corinne connaissant Michel et ayant vu les deux mecs entrer à la suite de Michel a très bien deviné ce qui se passait. Puis quand toi tu es entré et pas ressorti on a tiré les conclusions surtout quand les deux types sont partis bras dessus bras dessous. Monique me dit alors : vous permettez Messieurs qu’on fasse nous aussi connaissance ? On est alors entrés tous les quatre dans les toilettes côté femme et là Monique a roulé une pelle à Corinne en la tripotant et elle se sont ensuite branlés mutuellement. Le spectacle m’excitait et je me massais la bosse, Michel en faisait autant, Corinne et Monique se mirent bientôt à jouir. Quand elles s’arrêtèrent elles nous sourirent et Corinne s’approchant de moi me roula une pelle tout en me malaxant le paquet, puis elle ajouta qu’elle attendait un meilleur moment avec impatience. Nous sortîmes et il était temps deux voitures se garaient. On repartis en confirmant le rendez vous sur le parking chez Glenn Mc Arthur à pont sainte Marie. A 15h nous arrivons dans Troyes et passons à notre hôtel pour prendre une douche et nous changer, Monique glisse un gode dans son sac, je lui dis : tu es sur que tu peux en avoir besoin ? Elle me sourit puis nous filons sur pont sainte Marie où nous retrouvons nos nouveaux amis. Corinne propose que nous échangions les couples, elle vient avec moi et Monique va avec Michel avec liberté totale de faire ce que l’on veut. Cela nous convient et je pars bras dessus bras dessous avec Corinne laissant Monique avec Michel. On parcourt les boutiques comme mari et femme, Corinne profitant de la foule me passe souvent la main au cul et sur la bosse. Dans une boutique je veux essayer un survêtement mais j’ai la gaule et comme la vendeuse l’a vue Corinne me caresse la bosse en la regardant avec le sourire. La vendeuse, 40ans environ, rougit et me dit vous pouvez utiliser les cabines derrière vous. Corinne lisant le prénom de la vendeuse sur son petit badge lui dit en souriant : merci Virginie, vous êtes délicieuse puis entre avec moi dans la cabine sous l’œil attentif de la vendeuse, j’ôte mon blouson, mon pantalon et comme je n’ai rien mis dessous ma queue pointe bien raide vers Corinne, elle m’attrape la queue et me branle tout en m’embrassant. J’ai une gaule terrible et je me mets à peloter Corinne qui me murmure baises moi ! Michel m’a dit que t’étais un bon coup j’aimerai voir. Je lui dis que c’est peut être un peu trop risqué ici, elle me sourit en se penchant en avant puis relève manteau et jupe. Elle n’a pas de culotte et quand je passe ma main je découvre qu’elle est trempée, trop excité je l’enfile d’un coup, elle gémit et je commence à aller et venir. La vendeuse soudain passe la tête en demandant si tout va bien et devant le spectacle elle rougit mais reste à contempler le spectacle, Corinne lui dit entre sinon on va se faire repérer, elle hésite un peu puis entre, elle nous regarde haletante puis glisse sa main dans son pantalon pour se caresser. Corinne attire alors la vendeuse et lui roule une pelle, je lui pelote le cul en même temps tout en continuant à enfiler Corinne. On entend du bruit alors Corinne me murmure il faut mieux arrêter on pourrait nous découvrir. On se réajuste et je sors avec Corinne et la vendeuse, tout est calme, la vendeuse est toute rouge, Corinne lui passe la main au cul discrètement et lui dit : tiens Virginie, mon numéro appelle moi pour qu’on se voit ailleurs demain, puis elle dépose un rapide baiser sur sa joue juste aux coins des lèvres. On sort alors et quelques minutes plus tard on tombe sur Monique et Michel qui nous demandent si tout va bien. Corinne me malaxe la bosse en disant qu’on a fait plus ample connaissance, Monique sourit et passant la main au cul de Michel elle répond : nous aussi, et là Michel rougit un peu quand Monique ouvre son sac et montre à Corinne le gode qui s’y trouve. Je me doute alors de ce qui s’est passé. Corinne sourit et demande à Monique où elle l’a baisé ? Monique répond qu’elle l’a baisé dans les toilettes d’un petit self situé plus loin et qu’il a jouit et éjaculé sous l’enculade avec le gode. Corinne raconte nôtre aventure et explique qu’elle a laissé son numéro à la vendeuse pour un rendez vous. On repart chacun de son côté et Corinne me dit :
- Ta femme est Domi avec les hommes ?
- Pas seulement avec les hommes
- Tant mieux ! et toi ?
- Je suis Domi aussi, avec homme et femme et suis bisex total
- Humm on va bien s’amuser alors ! Et tu les aimes comment ?
- Bien murs et très en chair, hommes comme femmes
- Alors on est fait pour toi !
Je lui passe la main au cul et lui dit que j’ai vu deux femmes d’un certain âge qui me plaisent. Puis je lui explique qu’avec Monique on draguent à chaque fois qu’on vient ici et que souvent on a de bonnes surprises. Je m’approche sourit à celle dont j’ai capté le regard, elle me regarde à la dérobée en parlant avec son amie. Je les suis, celle à qui j’ai sourit le remarque. Elles rentrent dans une boutique et à un moment se trouvent séparées, j’en profite m’approche de celle à qui j’ai sourit et me colle contre elle profitant de la cohue. Bientôt j’ai la gaule et sachant qu’elle le sent je lui dis que je la trouve charmante et aimerai prendre un café avec elle pour faire plus ample connaissance. Elle me rabroue en souriant me disant que je suis bien osé et bien jeune, que de plus elle est mariée et avec une amie. Je lui souris et lui réponds que je suis avec ma sœur et que son amie est cordialement invitée. J’insiste, je fais le pitre, je sens une main frôler ma bosse et elle me sourit en me disant : bien c’est d’accord mais juste un café! Quand son amie revient avec des paquets elle fait les présentations, son amie se prénomme Micheline et elle Jacqueline. Je présente alors Corinne comme ma sœur quand nous sortons tous les trois. Cette dernière ne bronche pas et nous allons dans une petite brasserie plus loin, arrivés là Corinne engage la conversation avec Micheline pendant que je fais une drague sauvage à Jacqueline. Je découvre qu’elle a 70ans et elle est surprise de constater que nous n’avons pas autant d’écart d’âge que cela. Je lui fais du pied sous la table, au début elle ne bouge pas son pied puis finit par répondre à ma sollicitation.
L’atmosphère se détend, elles rient toutes les deux à mes blagues et Corinne qui nous observe du coin de l’œil sourit. Je drague aussi Micheline qui sourit beaucoup et avoue qu’elle a 67ans et est veuve. J’effleure la main de Jacqueline discrètement à chaque fois que je peux puis j’explique que nous somme là plusieurs jours et qu’on pourraient se voir. Micheline regardant sa montre nous dit qu’il faut qu’elles partent, je leur donne mon numéro de portable et quand nous sortons je leur dis : on se fait la bise et avant qu’elles répondent j’embrasse Jacqueline en glissant mes baisers juste aux coins de ses lèvres. J’en fais autant avec Micheline qui sourit et je lui glisse discrètement : appelles moi je suis libre ce soir. Elle me regarde et sourit à nouveau, puis elles s’éloignent mais se retournent à tour de rôle, je leur envoie des baiser avec la main elles rient ! C’est bon signe. On retrouvent Monique et Michel avec des paquets plein les bras. On chargent tout cela en voiture et on se donnent rendez vous pour 20h pour diner avant autre chose….
De retour à l’hôtel on rangent les courses de Monique et on se raconte nos aventures. Assez excités je sors ma queue bien raide et troussant Monique je l’encule sans autre forme de procès, Monique très excitée se caresse le clito en même temps et bientôt jouit en criant. Je continue à ramoner son petit trou et elle jouit une deuxième fois, n’en pouvant plus je décharge et jouit à mon tour. On s’écroulent sur le lit et après un long moment ainsi Monique m’embrasse à pleine bouche et me dit qu’il serait temps de se préparer pour aller diner. On prend une douche quand soudain mon portable sonne, je décroche : c’est Micheline qui me demande si je peux venir prendre un café après diner, elle ajoute que je peux amener ma sœur. Je lui réponds qu’elle sort avec des amis après diner et que je viendrais seul, elle me donne alors son adresse et je lui dis que je serai là vers 21h30. Monique me demande ce qui se passe et je lui dis qu’après diner elle aura Michel et Corinne pour elle seule car j’ai une ouverture avec une des femmes de cet après midi. Elle sourit et me dit : mon salaud tu ne perds pas de temps !
Nous retrouvons nos nouveaux amis et je leur explique, Corinne très excitée me dit : tu nous raconteras ! On dinent dans une franche bonne humeur et vers 21heures je les abandonne pour me rendre chez Micheline. Avant de partir Corinne me dit : on sera dans nôtre chambre avec Monique, si tu n’es pas fatigué viens nous rejoindre. Je m’éclipse et me rend chez Micheline, je cherche un peu avant de trouver. Je me gare devant un grand pavillon en bout d’impasse et sonne à la grille, un rideau se lève et puis un déclic, la grille s’ouvre j’entre et la referme. Arrivé à la porte Micheline est là qui me fait entrer je l’embrasse sur les joues mais aux coins des lèvres en lui disant bonsoir. Pour m’inviter à prendre un café à cette heure c’est qu’elle a une idée derrière la tête. Elle me conduit au salon et j’en profite pour la détailler, sa robe d’intérieur noire moule son cul large et rebondi ainsi que son petit bide et ses seins, ses petites mules à talons la cambre faisant ressortir et balloter le tout quand elle marche. Elle remarque que je la détaille alors elle me regarde et me dit asseyez vous je vais servir le café. Quand elle passe à côté de moi je l’attrape l’enlace et l’embrasse à pleine bouche, elle ne résiste pas et prenant une de ses mains je la pose sur la bosse de mon pantalon.
De mon côté je malaxe son cul et lève doucement sa robe pour découvrir qu’elle n’a pas de culotte, cela m’excite je commence à bander. Elle le sent sous sa main qui se referme sur ma queue et la caresse a travers le pantalon. Je pétris son gros cul et l’embrasse, elle halète et me dit : viens ! Elle me prend par la main et m’entraine dans sa chambre. Je me mets à poil devant elle et tandis qu’elle reste immobile les yeux rivés sur ma queue tendue j’ôte sa robe sous laquelle elle est nue et je la bascule sur le lit. Elle me caresse le corps en murmurant : t’es drôlement costaud, je l’embrasse tout en glissant une main entre ses cuisses. Elle est trempée et je peux glisser deux doigts dans sa chatte sans effort, je la branle doucement. Elle a attrapée ma queue et me branle frénétiquement, je l’arrête et écartant ses cuisses je descends entre et plonge ma langue dans sa fente trempée. Je lèche et aspire son clito tout en branlant deux doigts dans sa chatte, elle gémit et bientôt râle. D’un coup elle se tord et me crie : viens, vite viens ! Je la fait mettre à quatre pattes et l’enfile, elle râle et gémit de nouveau et je sens sa chatte qui se serre par spasmes sur ma queue. Je vais et viens alors plus fort, elle crie. Je me penche et lui murmure : cries que tu jouis cries le ! Elle hurle bientôt je jouis, ah je jouis ! Elle crie alors : tout, donnes moi tout maintenant ! J’accélère et lâche de longs jets de foutre pendant que sa chatte se serre dans un spasme continu sur ma queue. On retombent alors sur le lit et elle m’enlace puis m’embrasse comme une perdue.
On restent un long moment ainsi et elle joue avec ma queue et mes couilles, j’en profite et titille ses tétons, qu’elle a fort longs et très épais. Elle ferme les yeux et halète, je me mets alors en devoir de les sucer et les mordiller, elle me dit : oui, oui continues ! Je descends alors une main entre ses cuisses, qu’elle ouvre largement, puis je fais rouler son clito sous mes doigts. Bientôt elle jouit et un mélange de cyprine et de foutre coule de sa fente. Elle m’embrasse alors à pleine bouche et me demande si je peux rester cette nuit, je lui réponds qu’il n’y a aucun problème et elle m’embrasse alors comme une folle. J’ai une petite faim et lui demande si on peut manger un morceau. Elle rit, me dit viens et se dirige vers la cuisine. Je la regarde de dos s’avancer à poil devant moi, on lui donnerait pas son âge. Je me rapproche et la pelote à peine entré dans la cuisine, elle se laisse faire et me dit assieds toi je vais te préparer un encas. Mais je la poursuit, la tripote, elle rit en me disant : sois sage on a la nuit devant nous. Je mange un morceau et elle disparait quelques instants et quand elle revient elle me tend une pilule en me disant : tiens prend ça. Je demande ce que c’est, elle me répond en souriant de l’avaler et que je verrais bien, je le fais et elle s’assied alors pour manger un peu avec moi. Elle regarde régulièrement la pendule, je lui demande la raison de cela elle sourit et me dit termine de manger. On prend un café et soudain elle me dit en souriant : c’est bon puis ajoute viens là. Je me lève m’approche d’elle, elle attrape ma queue et me fait une pipe comme j’en ai rarement connu, putain elle est douée, elle a du en sucer des bittes ! Elle me lèche et suce doucement le gland tout en me malaxant et griffant doucement les couilles, elle me dit que j’ai une belle queue. Tout cela m’excite, je bande à nouveau mais là très, très raide a en avoir mal à la queue, les veines sont saillantes et le gland tendu à l’extrême et bien violet. Elle se lève alors et se plie en deux sur le plan de travail en me tendant son cul. J’écarte ses fesses et fourre ma langue entre pour lécher et titiller son œillet. Elle prend alors elle-même ses fesses pour bien les écarter et je glisse ma langue dans son cul puis ayant sucé mon index je l’introduis doucement dans cette œillet qui palpite. Elle gémit et ferme les yeux en murmurant : je le savais que tu étais un vicieux. Je branle son cul avec mon doigt et bientôt j’en introduit un deuxième, son cul se détend et se dilate bien, elle doit avoir l’habitude. Elle lâche ses fesses pour se branler le clito. Je me redresse alors puis pose mon gland sur son œillet et pousse, ma queue rentre d’un coup pendant que Micheline crie : oh oui !
Planté dans son cul jusqu’aux ras des couilles je commence à aller et venir et elle crie d’un coup : vas bourres moi le cul à fond. Quel changement ! Je lui lime le cul comme un fou, elle se branle le clito en même temps et a deux orgasmes avant que je finisse par cracher un long jet de foutre. Ma queue me fait mal et j’ai l’impression qu’on m’a broyé les couilles, je décule et ma queue ramollit un peu mais reste gonflée. Micheline se retourne et m’embrasse comme une furie en murmurant : je t’aime, je t’aime ! Puis elle m’attrape par la queue en souriant et me dit : viens on a pas finit, et on part ainsi vers la chambre. Quand je l’ai rencontrée avec son amie Jacqueline on ne pouvait pas penser qu’une telle salope se cachait sous des dehors anodins. Arrivés dans la chambre elle me fait mettre en 69 et il s’en suit une longue séance de léchage au cours de laquelle elle prends plusieurs fois son pied avant de venir s’empaler sur ma queue raide, tellement raide qu’en j’en ai mal. Pendant qu’elle me chevauche je lui travaille ses gros tétons. Elle se met finalement à jouir tellement fort que sa chatte me serre la queue à me la broyer et elle accélère sa chevauchée, je décharge en l’ayant l’impression qu’une main énorme m’a broyé les couilles. Elle s’allonge alors sur moi, ma queue toujours plantée en elle et m’embrasse longuement amoureusement, puis m’enlace. Elle se retire ensuite et se couche tout contre moi en m’enlaçant. Je mate ma queue qui reste à moitié raide et gonflée. Voyant ma réaction elle me dit que c’est normal c’est un des effets de la pilule de tout à l’heure et elle ajoute que je pourrais demander plus de détails à Roger le mari de Jacqueline, elle ajoute : t’as envie de la baiser Jacqueline ? Sa question me surprend mais elle ajoute : je peux t’arranger cela avec plaisir, tu sais c’est une vraie salope, tu ne peux pas savoir. On s’enlacent et s’embrassent avant de s’endormir. Je me réveille en sursaut, pas de Micheline, un œil sur le réveil m’indique qu’il est 6heures seulement, je me lève et me dirige vers la cuisine qui est allumée. Là je trouve Micheline nue avec juste ses mules qui prépare le petit déjeuner, elle me dit : tu veux quoi ? Je lui réponds : ton cul ! Mais à part cela, pour le petit déjeuner ? Des œufs du café des tartines et du jus d’orange, si tu as. Elle sourit et je la tripote pendant qu’elle s’active. Je regarde ma queue qui a ramollit mais reste encore gonflée. Puis sérieusement elle me dit : ce matin je vais en courses avec elle et son mari puis on déjeune chez moi vers midi, si tu peux viens déjeuner avec nous tu le regretteras pas. Je finis mon petit déjeuner puis voyant l’heure je me dépêche pour retrouver Monique et nos nouveaux amis. J’embrasse longuement Micheline avant de partir. Ah les soldes quelle course, quelle fatigue !

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