Les jours de tempête

- Par l'auteur HDS Minoucou -
Récit érotique écrit par Minoucou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les jours de tempête Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les jours de tempête
Je lis souvent les histoires sur ce site et je me dis que si je suis passé à l'acte, c'est que ces histoires m'ont vraiment donné l'envie d'essayer avec un homme. En tout cas j'étais loin d'imaginer comment cela allait bouleversé ma vie....sexuellement surtout.
J'ai 45 ans, marié, deux enfants, nous étions en vacances en Bretagne pour deux semaines. Je ne peux pas dire que notre couple était pour le mieux, ma femme et moi nous étions souvent en désaccord sur l'éducation que l'on doit donner à nos deux garçons et donc on s'engueulait assez souvent.........et bien sur ma punition était que je n'avais pas le droit de la toucher et surtout plus faire l'amour.........la seule attention qu'elle avait était de s'occuper des 2 petits princes, qui avaient le droit de tout faire, tout avoir........les dieux de la maison en quelques sortes.......
Il m'arrivait donc souvent de me promener seul en quête de nouveauté ou d'aventures hypothétiques qui n'arrivait que dans mes rêves......
Il m'arrivait aussi souvent d'aller visiter les sites sur internet, ceux des couples hétéro au début, puis très rapidement les sites homos. Cela me rappelait certains souvenirs de ma jeunesse ou entre 12 et 14 ans, j'avais découvert le sexe de mes camarades par des jeux, palpations furtives, mains aux fesses, etc.....particulièrement avec un qui s'appelait Christian et qui se laissait faire plus que les autres. Il ne se plaignait pas quand je le coinçais dans la cave le soir en descendant les poubelles. J'attendais de l'entendre fermer sa porte dans l'immeuble , pour le suivre avec la mienne et le surprendre dans le réduit poubelle alors qu'il allait jeter son sac, je le saisissais par derrière, je baissais son pantalon et je glissais ma main dans sa culotte, il ne disait rien, se laissait faire pendant que je palpais ses bourses, sa queue qui devenait vite très dure. Je m'amusais à le décalotter et le branler rapidement, puis doucement quand il me le demandais. J'en profitais pour coller mon ventre contre ses fesses, cela me procurait un certain plaisir et notre jeux se terminait quand il jouissait et éjaculait une crème blanche qui tombait sur le sol. Cela m'impressionnait toujours et je me demandais comment cela pouvait lui arriver. Puis toujours sans dire beaucoup de mot, il remettait son pantalon et rentrait chez lui. je le suivais juste après et remontais chez moi.
Un jour je sentis aussi ma queue se durcir en lui pressant les fesses; il glissait sa main entre nous et me caressait le sexe pendant que je m'activais sur sa queue.
Puis, un jour, il me dit qu'il déménageait le samedi suivant, ses parents étaient mutés près de Bordeaux. Ce soir là comme d'habitude, je lui baissais son pantalon et le masturbais, apparemment j'avais acquis une technique qui lui plaisait beaucoup, je m'étais coller à lui, mon sexe tout dur sur sa raie des fesses, et comme d'habitude, il éjaculait sur ma main cette fois et je continuais de le branler jusqu'à ce que son sexe redevint mou. Puis contrairement aux autres fois, il se retourna et me baissa mon pantalon, baissa mon slip et se saisit de mon sexe tout dure, c'était la première fois que l'on me faisait cela. Après quelques va et viens avec sa main, il se mit à genou et me suça .......je jouis très vite et il avala mon sperme. Il a continué à me sucer jusqu'à ce que je jouisse et éjacule une deuxième fois .....puis il remis son pantalon et parti très vite. Je mis quelques seconde à reprendre conscience, je remis mon pantalon aussi et parti chez moi. Ce fut ma première fellation et j'en garde un souvenir extraordinaire. Je ne le revis que de très loin le jour du déménagement .......
Voilà la seule expérience que j'ai eu avec une personne du même sexe que moi. J'ai rencontré pas mal de femme ensuite mais aucune ne m'a fait jouir avec sa bouche comme Christian.
Ce jour de juillet en Bretagne il pleuvait, pleine tempête, cloitré dans cet appartement je ruminais mon ennuis entre une femme qui avait décidé de faire la cuisine pour ses deux anges et ceux ci devant la télévision qui jouaient à la PS3.
Il était 13Het je décidais de prendre mon ciré, mon écharpe, mes bottes pour aller affronter la pluie et la tempête. Je me dirigeais vers le port où quelques bateaux rentraient au calme, le vent soufflait très fort gênant beaucoup les manœuvres. Je me promenais sur un catway et regardait un magnifique bateau qui essayait de rentrer au port. Il avait quelques difficultés à se glisser à sa place et je décidais de l'aider en prenant le bout que l'homme me lançait pour que je l'amarre. Pendant ce temps, aidé de sa gaffe, il se frayait un chemin entre les bateaux de droite et de gauche. Opération réussi, les deux hommes déposèrent sur le pont leurs affaires et me remercièrent chaleureusement. J'attendis qu'ils descendent du bateau pour entamer une conversation, enfin un peu convivialité.......j'aidais le dernier à descendre en lui prenant un énorme sac qui le gênait, et je ne sais pas ce qui arriva, mais entrainer par le poids du sac, et glissant sur les lattes de bois mouillées , je parti en arrière, j'essayais bien de rattraper à quelques choses, mais rien et je me retrouvais dans l'eau. J'entendais sur le quai de grand éclats de rire des deux compères qui me tendaient leurs mains pour me sortir de l'eau. J'étais trempé, j'avais gagné ma journée.........."Venez chez nous, je pense qu'une bonne douche vous ferait du bien ainsi qu'un bon café le temps que vos fringue sèchent". "Nous n'habitons pas loin......." Transis de froids, nous avons parcouru une centaine de mètres pour arriver à un magnifique petit immeuble pour accéder à l'appartement. Superbe espace, vaste, magnifiquement agencé, de beaux meubles, ils me firent pénétrer dans la cuisine, et me proposèrent de retirer mes habits. Le premier s'appelait Gérard, 40 ans environ, type bel homme, 170, look sportif, avec un visage très agréable.....l'autre s'appelait Sylvain, 55 ans,180, genre beau mâle, mais très convivial et souriant.
Gérard décida de prendre une douche rapide pendant que je retirais mes vêtements. Sylvain me donna une grande serviette de plage avec laquelle je m'enrobais pour me réchauffer.
Effectivement, sylvain sorti assez rapidement de la douche, avec sa serviette autour de la taille. Il était très peu poilu du torse. Il me proposa de prendre sa place, ce que je fis avec plaisir. L'eau chaude me redonna du tonus. Que d'aventure pour cette journée, j'aurai au moins quelque chose à raconter en rentrant ce soir.......
Je sorti de la douche, draper dans mon drap de bain. Je les rejoignis dans la cuisine et j'eu comme l'impression de les surprendre, comme si il venaient de s'embrasser......."je vais prendre la mienne maintenant dit Sylvain, profiter pour vous servir un café, il est tout chaud, J'ai fait sécher tes vêtements dans le sèche linge. D'ici une heure tout sera sec....".
On s'installa dans la salle à manger, lui avec sa serviette de bain autour des hanches, moi draper dans la mienne, un bol de café bien chaud chacun. On parlait de tout et de rien, il me remerciait surtout pour le coups de main que je leur avais donner, sans moi il ne serai jamais parvenu à mettre le bateau en place....etc....
Sylvain sorti lui aussi de la salle de bain et se dirigea vers la chambre. Nous échangions avec Gérard comme si nous étions de vieux amis, j'entendais le sèche linge tourner et je me disais que mes affaires allaient être bientôt sèches.
Sylvain appela Gérard, "tu peux venir deux seconde voir mon dos" , Gérard m'expliqua que Sylvain était tombé dans la cabine quand une grosse vague avait heurté le bateau, il s'était cogné durement le dos, il doit avoir un énorme hématome , "Je vais voir me dit il ". A le voir partir dans la chambre je me suis dis que ce mec était vraiment bien foutu.......
J'en profitais pour jeter un coup d'œil à mes vêtements mais ils étaient encore bien humide. Je me resservis du café et alla attendre dans la salle à manger.
Le temps passait et je me sentais bien seul. Certainement qu'il devait lui masser le dos. Je me rendis donc dans la chambre pour leur dire que je devais y aller ......
A ma grande stupéfaction, ce que je vis ma laissa un peu déconcerté......Sylvain allongé sur le dos dans le lit et Sylvain entre ses jambes en train de le sucer.........
Je crois que l'on vient de choquer notre ami dit Sylvain, on s'excuse, ce n'est pas très convivial de faire cela pendant que tu attends, mais on en avait très envie..........j'espère que tu ne nous en veux pas et qu'on ne t'a pas trop embarrasser?
A non pas du tout dis je d'un air très détaché, je ne veux pas vous déranger plus......désolé....
Si cela ne te choque pas, viens avec nous sur le lit, en plus je vois que la serviette est déformé au niveau de ton entre jambe....je sens que tu en as envie.
Non pas du tout, je ne suis pas homo, mais que vous le fassiez cela ne me dérange pas.....je bafouillais en disant cela....mais j'étais comme pétrifié. Je ne savais pas si je devais m'enfuir ou rester?
Gérard se leva, vint vers moi, et me dit doucement "viens, tu ne le regretteras pas, en plus tu nous plais à tous les deux........et me pris par la main et me guida sur le lit.
Il me défit ma serviette et pu voir mon sexe bandé et dur comme du bois. Il le prit doucement dans sa main et le caressa tout en m'allongeant près de Sylvain. Puis se mis entre mes jambes et je sentis sa bouche englober mon gland et la douce chaleur de sa langue. Cette sensation en fit remonter pleins d'autres, celles de mon enfance......
Sylvain se retourna et vint au dessus de moi pour m'embrasser. Cela faisait drôle de se faire embrasser par un homme, mais je me laissais faire. Sa langue trouva rapidement la mienne, et le baiser devint langoureux.
J'étais comme dans un nuage......mon corps était électrisé par les sensations de plaisir. Il me suçait divinement bien et me caressait le ventre, les jambes, les bourses. Pendant que l'autre jouait avec ma bouche et ma langue et me mordillait les tétons que j'ai très sensible.
Sylvain se redressa et présenta son sexe à ma bouche. Il avait une queue imposante, assez longue et grosse mais très douce, alors que Gérard en avait une assez petite et fine. Tout les deux était entièrement rasés. Je me saisi de sa queue et la gouta. Elle avait l'odeur du savon de bain et je l'enfournais dans ma bouche. C'est une sensation que j'appréciais beaucoup. Je suçais le gland essayais de la prendre le plus profondément possible, avec quelques maladresses, mais Sylvain me guidait adroitement.
Quelques moments de lucidité me laissaient penser que je faisais une grosse connerie à me lâcher au plaisir de mes sens, en plus entres hommes..........cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ce plaisir de sexe, mais pourquoi n'y avais je pas droit moi aussi ?
Gérard m'écarta les jambes et le souleva au dessus de mon ventre. je senti sa langue sur mon anus. C'est la première fois que je ressentais ce plaisir. Il léchait copieusement et insinuait sa langue à l'intérieur qui fut vite remplacé par son doigt qui vint me caresser la prostate.
Je lui dis que j'allais jouir et subitement j'eu un orgasme énorme, mon sperme gicla de ma queue et vint atterrir sur mon torse. Il en profita pour me reprendre en bouche et récupérer le reste de mon jus qui sortait de ma queue.
Complètement transporté par la jouissance, j'étais dans un demi coma. Sylvain me caressait et Gérard essuyait le reste de sperme sur mon sexe. Je m'endormi à moitié.
Gérard s'était mis à quatre pattes et Sylvain lui léchait l'anus . Je devenais maintenant spectateur . Il lui introduisait un puis deux doigts et j'entendais Gérard geindre à chaque fois . Puis il lui a doucement introduit son énorme sexe dans l'anus. Doucement, par petit coup, il pris un gel dans le tiroir de la table de nuit, et enduisit son sexe puis retourna le mettre dans son cul. Il coulissait beaucoup mieux et je le vis faire des vas et viens de plus en plus rapidement.........Il le lima pendant un quart d'heure. Je les regardais s'aimer, changeant de position pour mieux le pénétrer. Ce n'était pas un acte brutal, ni bestial, je sentais beaucoup de plaisir et d'amour entre eux, une vraie envie de donner et prendre du plaisir avec l'autre.
Gérard allongé sur le dos, les jambes écarté et replier sur son ventre offrait son anus à son ami. Je pouvais voir ce sexe imposant entrer et sortir avec force cette fois et chaque fois cela semblait irradier une onde de plaisir dans le corps de Gérard qui prenait un réel plaisir à l'entendre couiner à chaque pénétration.
Je décidais de ne pas rester inactif. Le plaisir revenait et je recommençais à bander très dur. Je présentais mon sexe à sa bouche.
"Je suis rempli par tous les trou disait- il" Sylvain jouit en premier dans le cul de Gérard. Il se retira et vint s'allonger à coté de nous. Nous avons alors entamer un 69 de fou pour se faire jouir. J'éjaculais encore une fois dans sa bouche et reçu pour la première fois son sperme. Je ne trouvais pas le gout très bon, mais j'avais envie de lui donner du plaisir.........
Nous sommes rester un moment tous les trois allonger à reprendre nos esprit........
"Pour une première fois tu t'es bien débrouillé" me dit Sylvain.
"Merci" répondis je, "je viens de briser une barrière et j'ai pris beaucoup de plaisir, je ne me rappelle pas m'être donné comme cela depuis longtemps".
"Et encore, quand tu auras ressenti le plaisir d'être pénétrer et de prendre un homme ......"Nous avons pris une bonne douche, mes affaire étaient sèches depuis longtemps. Je regardais ma montre et vis l'heure. Horreur ! cela faisait 5 heures que j'étais parti. Qu'allais je bien raconter pour me justifier de cette absence.......on verra bien. Je suis sur que si je racontais la vérité à ma femme elle me prendrait pour un fou vicieux et mythomane.
Je les ai revu les jours suivants, nous sommes même aller en mer par une superbe journée, et fait l'amour sur le pont du bateau, dans l'eau, dans la cabine........ je crois que je suis devenu homosexuel, je ne peux plus baiser ma femme, désormais, elle ne m'attire plus, mais je ne le regrette pas.

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