La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 75)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 75) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 75)
(suite de l'épisode 71 avec encorebelle)

Walter en vieux vicieux et voyant la soumise ainsi offerte répondit avec envie :

- Je vous remercie Monsieur... Mais, puis-je l’emmener à la cuisine et aussi en faire
profiter notre Marie ?
- Mais faites donc mon cher, lui répondit Maître Aristocrate, usez et abusez sans
modération de ma chienne ! elle est à vous !

Alors Walter détacha encorebelle et tirant sur la laisse l’emmena dans la cuisine.
Marie qui était en train de punir à coup de cravache les fesses d’un esclave car la
vaisselle était mal rangée dans un placard, vit arriver le majordome et la chienne

- Qu’est-ce que tu m’amènes, Walter ?
- Une chienne nous est offert, alors au lieu d’en profiter tout seul, j’ai pensé
partager mon plaisir en t’en faisant profiter… si ça te dit, Marie …
- Et comment, mon ami, attache-moi cette putain sur la table, on va s’amuser un peu …
ha ! ha ! ha ! répondit Marie avec des yeux sadiques .. Elle congédia de suite le
soumis puni par un simple coup de pieds dans les côtes, tandis que Walter ligotait
encorebelle à la massive table de chêne en plein milieu de la grande cuisine rustique.

Il se trouve que Walter est un expert en divers bondages et nœuds et c’est assez
facilement qu’il attache la belle soumise. Celle-ci à plat ventre sur la table, a la
tête relevée par les cordages tirant sur ses épaules et rejoignent ses chevilles. Elle
est obligée de plier les genoux, qui pendent de part et d’autres du ‘’plan de
travail’’ et de relever les pieds. Son cul ferme et tout en rondeur remonte d’une
façon extrêmement obscène. Pour finir, ses bras sont liés dans son dos. Elle se sent
vraiment impuissante ainsi, à la merci du couple de serviteurs du Marquis. Ils n’ont
même pas pris la peine de la bâillonner.

La cuisinière s’approche de la soumise, celle-ci sent les doigts de la cuisinière qui
glissent sur son cul, et s’insinuent dans la raie si bien exposée. Elle écarte un peu
les globes des fesses, pousse son index dans la fente, débusque l’œillet de l’anus et
fait tourner la pulpe de son doigt sur le pourtour du trou anal. encorebelle gigote
instinctivement comme pour refouler ses caresses impudiques. Mais elle ne peut rien
faire, ligotée comme elle est et subit les caresses perverses de Marie qui s’attarde à
son anus en la doigtant

Le majordome reste pour le moment à bonne distance et se contente de regarder Marie à
l’oeuvre. Encorebelle sent son regard qui pèse sur son corps. Le doigt de Marie se
faisant plus pressant, elle en met désormais deux maintenant. La cuisinière remarque
que son travail rectal excite la chienne. Les premières gouttes de sa mouille affleure
l’orée de sa chatte. Encorebelle se transforme en fontaine lorsque la cuisinière
remplace ses doigts par sa langue. Des deux mains, elle écarte encore plus la raie et
la soumise perçoit les coups de langues sur son trou. Puis le contact froid de quelque
chose de métallique, une sorte de petite boule. La soumise comprend rapidement que
Marie a la langue équipée d’un piercing qu’elle fait tourner sur son anus et qu’elle
approche de plus en plus souvent de sa chatte.

Walter s’avance alors et tire sur les cordes pour lui faire relever encore un peu plus
la croupe. Marie lui mange littéralement tout le sillon, de l’anus jusqu’au sommet de
la vulve. Encorebelle se surprend à gémir quand elle effleure de son piercing le petit
gland de son clito et qu’elle le happe avec ses lèvres. Malheureusement, elle le
quitte déjà, la laissant un peu sur sa faim. Se faire lécher par une femme avait un
goût exquis pour la chienne encorebelle

Mais la cuisinière revient vite et cette fois-ci, ce n’est plus sa langue que la
soumise ressent en elle. C’est plus mécanique, ça manque de chaleur. Marie sadiquement
enfonce un objet oblong dans le cul de la chienne. Encorebelle ne s’attendait pas à un
godemichet de cette matière, en métal. Ca ressemble à un sexe d’homme mais en plus
froid. La cuisinière le fait aller et venir avec régularité dans le fondement. Ce
n’est pas la première fois que la soumise se fais enculer et son cul absorbe sans
broncher le calibre de l’engin, qui doit être de taille raisonnable.

Mais qu’elle ne fut la surprise d’encorebelle quand elle sent l’objet qui se met à
vibrer en émettant un bruit discret. Oui elle ressent une sorte de choc électrique au
plus profond de son ventre. Comme pour ajouter à son trouble, la cuisinière lui masse
la chatte sans douceur. Une fois de plus, la chienne coule sur la main de Marie. Elle
ne peut plus retenir ses gémissements et ses fesses commencent à rouler de droite à
gauche pour accompagner le mouvement du vibromasseur qui disparaît entièrement dans
ses entrailles et les caresses de la femme. La soumise ronronne, elle miaule presque
de plaisir. Ca dure un bon moment. Pas assez longtemps à son goût. Elle sent que sa
dompteuse tire sur quelque chose et son anus expulse l’objet qui vient de lui faire
éprouver tant de bien-être. La mouille de sa chatte coule sur ses cuisses. Et elle se
sent sale mais juste l’espace d’un instant car ses pulsions de chienne reprennent vite
le dessus. Et c’est cette sensation d’avoir été possédée du cul qu’elle garde en elle,
plus que de se sentir sale.

Après s’être assuré de sa docilité, Walter s’approche et la détache. Il s’est, entre-
temps, déshabillé et c’est entièrement nu qu’il s’approche de nouveau. Encorebelle
peut apprécier le sexe dressé au bas du ventre du majordome. La main de celui-ci est
posée dessus et la soumise aime à penser qu’il s’est branlé pendant que sa compagne la
soumettait avec le gode métallique.

Walter lui fait comprendre que, même libérée de ses liens, elle est dans
l’impossibilité de s’enfuir, d’aller retrouver son Maître. Ce qui soit dit en passant
serait totalement inutile, celui-ci ayant prêté sa chienne aux domestiques, il l’a
renverrai de suite à la cuisine. La porte de cette pièce justement n’est même pas
fermée à clef. Walter fait allonger la soumise sur le dos, à même le carrelage du plan
de travail de la cuisine incorporée. Encorebelle obéit, consciente d’être à la merci
du couple démoniaque.

Elle doit exposer la fente de sa chatte, les jambes repliées sur le ventre, les bras
passés sous ses genoux. Entre ses cuisses, elle peut voir la cuisinière qui s’avance,
ses nichons pointés, une sorte de batte de base-ball à la main. L’engin est bizarre.
Il se termine un peu particulièrement, par un gros gland taillé dans le bois, suivi de
deux petits renflements. Subitement, la soumise prend peur. Walter la tient fermement
par les épaules et plaque brutalement sa grosse main sur sa bouche. Elle a peur parce
que elle est persuadée que la sadique bonne va tenter d’enfiler son gros mandrin dans
son cul. Encorebelle n’est qu’à moitié soulagée quand elle comprend qu’elle en veut en
fait à sa chatte béante et si bien exposée

Le gros nœud qui surmonte la batte vient appuyer sur la fente de la vulve ouverte.
Walter écarte peu à peu les lèvres du sexe trempé. Tandis que la femme se met à
branler le sexe de la chienne, le vrille, le secoue légèrement de droite et de gauche,
comme pour en assouplir le trou. Les lèvres s’écartent facilement, le vagin bien
dilaté par l’excitation s’agrandit aisément. La soumise sent alors le bout qui pénètre
en elle, au risque de la déchirer. Le voilà, ce gros nœud de gland en bois qui se loge
dans sa grotte. Ce n’est pas fini. Il n’est pas encore au fond. La vicieuse pousse
encore, élargit le passage. C’est au tour du premier renflement d’ouvrir encore plus
ce sexe quasi béant. Le second suit de près. Cette fois-ci, encorebelle est pleine,
remplie par le phallus factice. C’est alors que la femme commence à le faire aller et
venir lentement, ne lui laissant pas une seule seconde de répit. Une fois de plus, la
chienne sent le désir monter dans son ventre.

Mais ce n’est pas fini avec ces deux pervers. C’est sans compter sur leur imagination
débordante. La cuisinière s’avance encore un peu plus près du fondement de la soumise.
Elle se met à lui ouvrir le cul avec ses doigts. Elle lui dilate la rondelle encore
une fois, qui s’ouvre assez facilement après le passage du god métallique. Son anus
palpitant se souvient donc encore du passage récent du vibro et se montre
effectivement docile, souple. Bientôt, la cochonne fait disparaître trois doigts dans
le conduit anal, puis quatre, cinq ! Tandis que Walter lui triture les seins d’une
main ferme et puissante. Encorebelle se sent ainsi ouverte possédée, totalement
ouverte, elle comprend alors qu’elle lui fiste le cul. Elle ressent un désir peu
commun et énorme au fond du ventre.

Maintenant le majordome présente son sexe dur et dressé devant la bouche de la chienne
et encorelle l’engloutit d’un coup dans sa bouche grande ouverte pour accueillir ce
gros mandrin. Pendant qu’elle suce le majordome, Mari continue à lui dilater l’anus.
Au bout d’une minute ou deux, Walter se retire de la bouche de la soumise sans
éjaculer et bousculant amicalement Marie pour qu’elle s’écarte, il encule encorebelle
d’un coup à grands coups de butoirs bien profonds. Marie se met à insulter, à humilier
de tous les noms la soumise, la traitant de catin, de salope, de putain de bas
quartier, etc …. Tout en l’injuriant, la cuisinière n’est pas en reste, elle donne des
claques violentes à chaque tétons de la chienne, les vrille à son tour, les étire,
enserre de sa poigne les seins, les maltraite pendant que la soumise se fait posséder
violemment le fondement

Walter ne lui tarde pas à jouir en elle tellement il lui prenait le cul sauvagement
pendant que Marie de son autre main lui masse les couilles avec délice et perversité.
Ainsi une fois que le majordome s’est retiré après multiples râles de jouissance
puissants. Marie récupère de sa main quelques gouttes de foutre dégoulinant du sexe de
Walter. Et approche cette main près de la bouche de encorebelle qui se met à lécher le
sperme de Walter qu’elle avale goulûment.

- C’est une bien bonne chienne… nous n’allons pas là laisser ainsi ! dit Walter,
ramenons-là à son Maître !

(à suivre ..)

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