Titre de l'histoire érotique : Un feu d'artifice mémorable

- Par l'auteur HDS Abadi -
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Un feu d'artifice mémorable Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Un feu d'artifice mémorable
Voici le récit que Marc, le mari, fait à son ami de cette soirée du feu
d’artifice du 14 juillet du bicentenaire à Paris

" Nous étions ma femme Myriam, et moi sur l’esplanade du Trocadéro à Paris pour les
grandes fêtes du Bicentenaire de la Révolution française. Eh bien cher ami, tu ne me
croiras pas mais pendant le feu d'artifice, Myriam s'est faite baisée par un type
derrière elle, debout dans la foule, à côté de moi... Et le plus fort, sais-tu : sans
que je m’en aperçoive ! Je sais, que tu vas me dire que ce n’est pas possible… Eh
bien si, mon vieux ! En fait, je m’en suis aperçu trop tard, car je n’ai pas compris
tout de suite ce qui se tramait très exactement à côté de moi…
J’ai su a posteriori ce qui s’était réellement passé durant ses quelques minutes du
feu d’artifice, car elle m’a tout raconté en détails par la suite…
Cela avait commencé lors d’un moment de fatigue, me dit-elle, alors que nous étions
debout sans bouger depuis environ 2 h 30, pour avoir les meilleures places. Un
instant, elle s'est laissé aller légèrement en arrière et ses fesses se sont appuyées
sur un type derrière elle. Un mec plutôt jeune d’environ 30 ans, m’a-t-elle dit par la
suite, un beau brun qui bandait énormément… Elle se remit immédiatement debout mais
fut très troublée de ce qu’elle venait de ressentir au niveau de ses fesses… Le gars
profitant sans doute d'un peu de bousculade et de l’obscurité qui nous enveloppait
désormais, la serra par derrière et lui fit sentir son gigantesque engin sur le haut
des fesses et tout le bas du dos…
Il se colla à elle. La puissance du gars la troublait, elle ne dégagea pas, au
contraire, et se laissa aller contre lui… Elle sentait les couilles très grosses lui
rouler sur les fesses et le type se frottait à elle de plus en plus nettement…
Excitée, troublée, sans pouvoir rien maîtriser, elle eut une brève décharge dans sa
culotte et elle sentait sa fente devenir chaude et se mouiller… Ce manège très discret
du jeune homme dura ainsi quelques minutes, en tout cas un certain temps car elle
sentait contre elle avec de plus en plus de précision la virilité du type … Elle
sentit qu’elle déchargeait encore à deux ou trois reprises ce qui eut pour conséquence
de mouiller presque complètement le fond sa petite culotte…
Un moment elle n'y tint plus : elle glissa sa main droite derrière son dos pour aller
tâter l’engin et mieux se rendre compte de la bite du type… Le gars devait attendre
que Myriam soit mûre et vienne à lui, car il n'avait rien tenté d'autres que de se
coller à ses fesses. Il était sans doute sûr de son fait et savait que cela allait
arriver : qu'elle allait tendre la main pour juger de la virilité de son "presseur"…
Elle ne fut pas déçue, m’a-t-elle raconté, le mec était monté comme un baudet…
Sans hâte, mais avec une habileté que je lui connais bien, elle avait descendu la
fermeture éclair du pantalon du gars et lui avait empoigné le vit énorme à travers le
slip… Puis de sa menotte, elle parcourut toute la hauteur de l'organe, des couilles
profondes et grosses, jusqu'au bout de la bite… Ensuite ses doigts s'insinuèrent à
l'intérieur du slip du mec, sa main s'empara du braquemart, tâta le gland fort et
large et descendit sur la hampe. De sa main droite, elle commença à le branler
lentement, très lentement, avec douceur…
Profitant de l’obscurité, le jeune type avait passé une main par derrière et sur le
côté de la légère robe d'été de Myriam, bien sûr à l'opposé du côté où j'étais …
J'étais moi à la gauche de ma femme, donc le gars de sa main droite pouvait lui
peloter les fesses, la passer entre ses jambes, contourner le bord de la légère
culotte de dentelles blanches et s'insinuer dans la chatte brûlante, même sans doute
pousser un doigt jusqu’au trou du con et aussi lui lustrer le clitoris…
Cet échange de bons procédés entre eux dura de belles minutes durant lesquelles la
jolie Myriam, m’avoua couler abondamment du minou.
Myriam me rapporta que le feu d’artifice venait juste de commencer quand le mec,
toujours d'une seule main, avait réussi à faire descendre sa culotte de quelques
centimètres entre ses jambes, en la tirant par le fond… Cette manœuvre ménageait un
espace entre la fente et le tissu par lequel il introduisit sa bite. La robe légère de
Myriam, relevée derrière, retombait juste sur la racine de la verge du type, masquant
à la vue la situation … La petite cochonne prit donc en main l'énorme mandrin (elle me
l’a aussi décrit par la suite), qui devait faire de l’ordre de 25cm et pas moins de 6
de diamètre. Elle le passa sur toute la longueur de son entrejambe. Le membre frottait
ainsi depuis la raie culière jusqu'au clito, en passant par le trou de son vagin et
l’intérieur des petites lèvres… Le gars était tellement bien monté que, lorsque le
repli en arrière du gland frottait à sa base le clito, tout le gland en avant de la
vulve venait déformer le devant de la culotte de ma femme…
J'avais bien remarqué qu’à un moment Myriam portait la main à son pubis et le pressait
un peu, mais je ne voyais rien de précis pensant qu'elle devait avoir envie de faire
pipi et c'était là une façon de faire taire un moment son envie… En réalité pas du
tout, de sa main droite qu'elle avait ramené devant, elle tournait en le frottant le
bout du gland qui dépassait en avant de son clito et pointait dans sa petite culotte…
Un moment, le mec retira un peu son engin de l'entrejambes, se décollant des fesses de
la jeune femme. Cela lui permit d'amener le bout du gland à hauteur du trou à bites de
ma jolie coquine, et là dans un mouvement de fléchissement des jambes et avec l’aide
d'un petit coup de reins, il enconna la belle…
Le feu d’artifice venait de commencer et les fusées partaient en l’air avec des
sifflements et des éclatements en tous sens… C'est à cet instant qu'elle me serra le
bras… Je me tournais vers elle ; je la vis respirer de façon plus rapide, ses yeux
chavirèrent et elle poussait de très faibles gémissements... Sur le moment, j’ai
d’abord pensé qu’elle avait perdu l'équilibre et qu'elle se rattrapait à moi… Inquiet,
je lui demandais :
- " Eh bien chérie, ça ne va pas ?... Tu ne te sens pas bien ?... " . Elle fit non de
la tête. J’insistais :
- " Tu es fatiguée ?... Tu veux que l’on rentre ?... " Elle fit encore non de la tête
et ajouta dans un souffle en me serrant le bras :
- " Non chéri…, ça va aller… ".
C’était un moment où le feu d’artifice battait son plein avec des pièces magnifiques
qui se reflétaient sur l’eau… Je me remis à regarder le spectacle, émerveillé…
J’appris d’elle par la suite que c’est juste à ce moment là que le type l’avait
enconnée et baisée bien à fond. Habilement, il avait passé sa main droite sous la
cuisse droite de Myriam et il lui soulevait ainsi la jambe, ce qui facilitait
évidemment la pénétration de son braquemart dans l’antre de ma femme… Le gars la
pistonnait avec ferveur, mais très lentement et sans à coups ce qui fit durer les
choses…
Elle m'avoua par la suite que ce va et vient lui avait été, à elle-même au début, à
peine perceptible tant le jeune homme y allait avec précaution. Le gars s’y prenait à
merveille. Tandis que du bout de son gland il lui limait le point G, de la base de son
vit énorme et épais il lui branlait le trou du cul, ce qu'elle adore et ce qui la
faisait mouiller et décharger… Elle sentait qu'elle déversait des torrents de cyprine
sur le pieu du type et qu'elle coulait en continu… Elle se faisait baiser comme jamais
au milieu d'une foule de milliers de personnes et cela l'excitait énormément, en plus
du reste… C’est à ce là moment que j’ai remarqué, à une ou deux reprises son air
bizarre, mais le feu d’artifice était tellement superbe… J’étais comme tout le monde,
fasciné par les lueurs, les couleurs et les bruits qui partaient de toutes parts et
puis surtout, j'étais à cent lieux de me douter que…
Bientôt tout fut consumé avant que j'ai pu m'en apercevoir. Le type déconnant sa bite
du trou de Myriam déchargeait avec une abondance extrême au niveau de l'avant et du
fond de la culotte de dentelle de ma jolie cochonne. Myriam me dit avoir eu à cet
instant, un orgasme violent et avoir jouit intensément. Par son trou de femme, elle
aussi déchargeait et dégoulinait en même temps, mêlant sa cyprine au foutre du type.
C'est à ce moment là qu’elle s'agrippa à moi pour la deuxième fois avec des
gémissements très appuyés...
Après un bref instant durant lequel je crû qu'elle avait un malaise dû à la fatigue et
qu’elle était en train de se trouver mal, je compris brusquement. Un gars lui branlait
l’entrejambes et elle se laissait faire, la salope ! Plus encore, elle en jouissait la
garce !… J'étais encore à cent lieues de la vérité. Prestement, je remontais par
devant la robe d'été de Myriam et je fourrais ma main sous le tissu. Ma main rencontra
le bout d'un pieu énorme, mouillé, gluant et chaud, à travers le tissu de la culotte
de ma femme… Je pensais immédiatement à un gode qu’un salaud lui aurait mis… Je
retirais ma main et je me retournais vivement pour regarder derrière ma femme, mais
trop tard ! Le gars, avec la rapidité de l'éclair, avait disparu dans la foule qui
l’ayant absorbé, se poussait vers les premiers rangs… Le type sans demander son reste
et rengainant sans doute son matériel, s’était évanoui dans la foule et dans la nuit …
J’hésitais un bref instant. Le suivre ? C'était ne plus pouvoir revenir vers Myriam
dans cette cohue... Et puis qu'aurais-je fais de plus ? Je pris Myriam par les épaules
et la regardais bien en face… Elle était magnifique de plaisir, les pommettes rosies
par la jouissance. Je n'eu pas le courage de la gronder et je lui dis simplement :
- " T'es quand même une belle salope, hein …!" et je l'attirais dans mes bras et la
serrais avec amour, incapable de lui faire la moindre remontrance, j'ajoutais :
- " T'as été heureuse au moins ?! " Elle acquiesça en silence en hochant la tête comme
une petite fille coupable prise sur le fait. Elle me fit son beau sourire que je lui
connais si bien et auquel je ne résiste jamais.
Le feu d’artifice s’achevait dans un déluge de feu et de pétarades. Déjà, les gens
quittaient de la place et nous contournaient pour repartir… Je la repris dans mes bras
et l'embrassais sur la bouche. Puis, par devant, je plongeais de nouveau la main sous
sa robe et là je jugeais tout de suite de l'ampleur du déluge : sa culotte mouillée,
imbibée et gluante de foutre et de cyprine, pendait largement entre ses jambes. Les
poils de sa chatte et du pubis étaient collés et gras de foutre. La cyprine qu'elle
avait déchargée, mêlée sans doute au sperme du mec, avait coulé à l'intérieur de ses
cuisses, traçant plusieurs filets visqueux. Les sécrétions étaient si abondantes que
la petite culotte, non appliquée à l'entrejambes, n'avait pu les contenir toutes et
s’était largement laissée déborder… Comme prise en faute, elle ne broncha pas pendant
mon investigation. Celle-ci devait même l'exciter car elle frissonna et elle eut une
velléité d'orgasme, puis elle me rendit mon baiser avec ferveur…
Nous avons regagné l'hôtel sans un mot. Arrivé à la chambre, je lui ai fait une
toilette intime, très minutieuse et coquine, lui demandant de me conter par le menu
tous les détails de l'histoire que je viens de te rapporter. Puis sentant que de faire
ce récit l'avait excité, je la fis allonger sur le lit et je lui suçais et léchais la
fente avec une dextérité et une ferveur rares. Ensuite nous avons fait l'amour comme
jamais… Elle en a joui sans tricher, énormément et longuement… J'ai déchargé bien au
fond d’elle pour la calmer de la frustration de l'autre éjaculation qui n’avait fait
que lui souiller toute la fente et le pubis sans venir lui combler le trou à bites…
Elle a jouit encore de mon sperme en elle… Puis nous nous sommes endormis dans les
bras l'un de l'autre…
Je sais qu'elle a passé, et moi aussi par ricochet, un merveilleux feu d’artifice et
qu'elle aura un souvenir tout particulier de ce 14 juillet du bicentenaire !…
Et heureusement encore, c'était avant les années sida !
Bien amicalement à toi…"

Paris, 14 juillet 1989.

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