Education-Initiation (Partie I)

- Par l'auteur HDS Maitre -
Récit érotique écrit par Maitre [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Education-Initiation (Partie I) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
Tags : Soumission
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Education-Initiation (Partie I)
Notre relation avait commencé de manière tout à fait normale. Par normale, j'entends
que nous étions de bons amants, mais nous ne poussions pas les portes de la
perversion, préférant nous limiter à la sensualité et au désir. Personnellement, j'ai
toujours été attiré par des relations de soumission. Cependant, par manque de
partenaire attirées par ces pratique j'avais écarté ce côté là de moi. Ce fut le même
schéma avec Emilie. J'étais très loin de me doute qu'elle cherchait exactement la même
chose...j'ai commencé à m'en douter un soir où nous parlions de sexe de manière
générale. Elle me disait qu'elle aimait bien les tapes sur les fesses quand on la
prenait en levrette, ou qu'on lui tienne la tête pendant qu'elle suçait. Je finis par
lui demander si elle n'était pas d'une nature soumise.
-Je ne sais pas, fut sa réponse
-Tu aimes te faire forcer, mais tu aimes te débattre aussi?
-C'est un peu ça oui.
-Donc tu es soumise, mais pas encore dressée.
-Sans doute, répondit-elle avec un sourire.
-Aimerais-tu essayer?
-Quoi donc?
-Etre soumise ET docile.

Silence de plomb, je la scrutais des yeux. Loin d'être gênée ou vexée, je vis qu'elle
réfléchissait.

-Oui...finit-elle par lâcher dans un souffle.

J'essayais de ne pas afficher un sourire trop victorieux. Elle semblait attendre un
geste de ma part, ou tout du moins une réponse. Je la fis languir un peu avant de
prendre la parole.
-Je peux m'occuper de ton éducation si tu le souhaites, mais il y aura des conditions.
-Je t'écoute !
-Ne m'interrompt pas. Premièrement, tu signeras un contrat, qui revendiquera ton
appartenance à ton Maitre. Ensuite, tu devras scrupuleusement obéir à chaque ordre, je
dis bien chaque ordre. Tu seras corrigée à chaque refus ou rebuffade, ce qui risque de
t'arriver souvent au début, étant donné ton caractère impulsif. Je te pousserai dans
tes retranchements les plus profonds, je te pervertirai plus loin que tu ne l'oses
l'imaginer.

Je voyais ces yeux me dévorer, et son corps frissonner en entendant les mots sortir de
ma bouche.
-Es-tu d'accord?
-Oui...Maitre, répondit-elle avec un petit sourire.
-Parfait, nous signerons ton contrat demain. En attendant, tu vas m'enlever ton
sourire de sur ce visage. Suce sale pute.

Je l'attrapai par la nuque et la projetai vers mon entrejambe d'où je libérai mon
sexe. Puis j'empalai ma queue au fond de sa gorge, brutalement, faisant des allers
retours moi-même en me servant de sa bouche comme d'un trou.
-A partir de maintenant tu n'es plus qu'un vide-couilles, un jouet pour mon plaisir
entre mes mains. Tout plaisir t’est interdit si je n'en suis pas la source. Tu as
compris?
Un hochement de tête étouffé me parvint.
-C'est bien ma petite chienne continue de laper.
Je finis par jouir par de longs jets au fond de sa bouche et sur sa langue.
-Tu avales tout et tu nettoies ma bite, je n'ai pas envie d'aller prendre une douche
parce que tu fais mal ton boulot.
Elle déglutit le foutre et passa quelques minutes à astiquer ma verge, la rendant
lisse et brillante. Elle redressa le buste et me provoqua du regard en étirant ses
lèvres d'un grand sourire. Je lui rendis son sourire, et l'attirai à moi pour
l'embrasser fougueusement.

-Je t'aime, me murmura t-elle.
-Moi aussi, je t'aime...Mais ça ne te sauvera pas demain !

A ce stade du récit, j'aimerai nous décrire physiquement. J'ai 25 ans, grand et mince,
brun, les yeux noirs, un physique agréable et un regard charmeur qui me vaut beaucoup
de compliments de la part des dames en général. Elle a 24 ans, très agréable de corps,
un joli 95D avec des seins très droits et de belles fesses bien rebondies. Ses yeux
verts vous ensorcèlent, et son décolleté vous achève.

Le lendemain matin, je me comportais de manière tout à fait ordinaire, ne parlant pas
du tout de la soirée de la veille. Elle semblait un peu déçue, mais je ne lâchais pas
l'affaire. Mieux valait qu'elle s'impatiente un peu...Qui sait ce qui se passait dans
sa tête? Peut-être a t-il oublié? Peut-être me prépare t-il quelque chose d'affreux
pour ce soir? Ma pauvre, si tu savais :)
Nous partîmes tous les deux au travail, en se souhaitant une bonne journée. C'est je
crois ce que je préfère dans mes relations perverses. Avoir une double vie, totalement
normale dans la vie de tous les jours, et absolument dévergondé dans ma vie privée. Je
finissais plus tôt qu'elle, ce qui m'arrangeait. J'en profitais pour aller à la cave
chercher le carton énorme que j'avais stocké là, contenant toutes mes affaires SM. Je
suis sur qu'elle n'en supposait même pas l'existence. En passant, je repérais la
tuyauterie qui courait sur le plafond de la cave. Ce serait utile ultérieurement. Je
fis l'inventaire de ce que je possédais, puis triais mes différents ustensiles par
sensations crescendo. Si je voulais vraiment la pervertir et lui faire prendre gout à
la soumission totale, mieux valait monter en puissance progressivement que d'y aller
comme une brute. Content de mon choix pour la soirée, j'attendis qu'elle rentre.

Le travail enfin fini, je pouvais rentrer chez nous. J'avais trouvé bizarre qu'il ne
fasse pas mention de ce qu'on avait échangé hier soir ce matin, mais j'espérais qu'il
se rattraperai ce soir. Je poussai la porte de la maison, mon homme m'attendait dans
la chambre. Il m'embrassa tendrement et me fit entrer dans la salle de bain. Un bain
bien mousseux m'attendait. Autant j'avais envie qu'il commence très vite ce qu'il
m'avait promis, autant un bain bien chaud après ma journée de boulot était vraiment
appréciable ! Mon corps se relâcha avant même de rentrer dans l'eau. Il me déshabilla
et me laissa me détendre dans l'eau chaude. Il revint dans la pièce avec des
vêtements, me demandant de m'habiller avec ça.

-Tu as une idée derrière la tête? demandai-je en souriant.
-Pas plus que de diner en tête-à-tête avec une jolie femme bien habillée, répondit-il
avec un sourire en coin.
Et il me laissa. Je souris. J'aimais sa façon de toujours faire des mystères, on ne
savait jamais ce qu'il mijotait dans sa caboche toujours pleines d'idées. Je me
laissai porter par les évènements, le bain m'ayant définitivement délassée. Je
commençais à m'habiller, il avait choisi une petite jupe a plis un chemisier
décolleté, des bas clairs et des chaussures à talons aiguille. Je me trouvai attirante
et sensuelle. J'en profitai pour me passer un petit coup de maquillage. Je rejoignis
mon homme dans le salon, où il m'attendait avec l'apéritif. Je le remerciai, pris une
coupe et nous commençâmes à parler de nos journées respectives. Il finit par me dire :
-Tiens, j'ai révisé les contrats des travaux pour la maison, on devrait s'en sortir
mieux que prévu.
Il me tendit la liasse, mais elle lui échappa des mains et tomba sur le tapis. Il
jura.
-Laisse mon amour, je m'en occupe.
Je m'accroupis sur le sol et commençait à rassembler ses papiers.
-Tiens tant que tu es par terre, ouvre la pochette bleue.
J'obéis, et une simple feuille de papier recto-verso en sortit. L'en-tête me fit
l'effet d'un électro-choc. "Contrat de Soumission". Je levai les yeux vers lui,
faisant celle qui ne comprend pas, innocente.
-C'est simple, me dit-il d'une voix douce. Soit tu lis ce contrat à voix haute et en
accepte chaque partie, soit les jeux dont nous avons parlé hier ne se produiront
jamais.
Je lui jetai un regard de défi et me redressai pour lire le contrat. Il m'attrapa
aussitôt par la nuque et me propulsa par terre.
-Tu le lis par terre, à genoux.
Sa voix avait complètement changé, il était ferme et menaçant. Intimidée, je
commençais ma lecture.

-Je soussignée, Emilie, chienne de mon état, reconnait être la propriété exclusive de
mon Maitre. Par ma condition de soumise, je lui dois respect et obéissance car il est
supérieur à moi. Je suis consciente que mon infériorité doit se manifester dans chacun
de mes actes, et que je devrai toujours rester à ma place. J'approuve chacun des
articles ci-dessous et les appliquerai consciencieusement.
Article 1 : je dois être en permanence prête à être utilisée. Mes trous étant à
disposition de mon Maitre, ils doivent toujours être propres et prêts à l'emploi. Dans
le cas contraire, je subirai une réprimande.
Article 2 : je dois veiller à être désirable, les tenues décontractées ou avachies me
sont interdites. Je ne porterai plus jamais de sous-vêtements lorsque je suis habillée
d'une jupe ou d'une robe. De même, je veillerai à être provocante dans mes choix
vestimentaires.
Article 3 : Mon Maitre a tous les droits sur moi. Je dois obéir sans discuter à chacun
de ses ordres. Il a le droit de m'utiliser comme il l'entend, de me donner à qui il
souhaite, que ce soit gratuitement ou de façon vénale.

Je fis une pause pour regarder mon homme. Il comptait me vendre? Il me lança un
sourire carnassier et me fit un signe de tête pour me faire comprendre que je devais
continuer.

-Article 4 : Si j'en viens à désobéir à mon Maitre, il sera seul juge de la sentence
que je dois subir. En tant que chienne soumise, je participerai à mes propres
punitions, en définissant l'ustensile de ma correction par exemple.
Enfin, je suis consciente que le présent contrat est actif dès sa signature et que je
deviendrai dès alors la chienne de mon Maitre. De plus, je m'engage dès ce moment à
porter sur moi la marque de ma soumission envers lui.

-Marque de soumission?
Il ne répondit rien et me tendit un stylo. Il avait déjà signé sa partie. Je
n'hésitais pas longtemps et signai son contrat.
-Qu'est-ce que tu entends par "marque de soumission"? répétais-je.
Il me gifla.
-Ta gueule, tu parleras quand je te l'aurai demandé.
Humiliée, je sentis une larme couler sur ma joue. Je le sentis passer derrière moi.
-Remonte tes cheveux.
J'obéis. Je sentis le froid sur mon cou, puis comprit qu'il me mettait un collier.
-C'est un collier en cuir qui te définit comme chienne, je te monterai comment je peux
m'amuser avec bien assez tôt. En attendant, j'espère que tu commences à comprendre ta
situation d'infériorité.
-Oui...
Il me gifla de nouveau.
-Oui qui?
-Oui Maitre, répondis-je en retenant un sanglot.
-Rend moi le contrat sale chienne.
Je ramassai le contrat et me tournai vers lui pour lui tendre. Une troisième gifle
s'abattit sur ma joue.
-Tu baisses les yeux, tu ne me regardes pas comme ça. Décidément, je vais avoir du
boulot avec toi !
Je me mordis la lèvre. Il arracha le contrat de mes mains et alla le ranger dans son
bureau. J'attendis là, les joues rouges, à genoux dans le salon avec un collier de
chienne autour du cou, ne sachant que faire. Il revint vers moi et je pris soin de
baisser les yeux au sol. Il se pencha vers moi et me caressa le dos.
-Bien, comme visiblement tu as du mal à te retenir de parler, et que je n'ai pas envie
de te punir toutes les 5 minutes, je vais t'aider un peu. Ouvre la bouche et ferme les
yeux.
J'obéis. Je sentis un truc en caoutchouc s'enfoncer dans ma bouche, puis des lanières
sur mes joues.
-Voilà, c'est mieux comme ça !
Comprenant qu'il avait finit je voulus fermer la bouche.
-Inutile de tenter de fermer la bouche, ce bâillon t'écarte les lèvres. En plus il est
assez pratique, c'est un système anneau, et on peut quand même utiliser ta bouche
grâce au trou.
Joignant le geste à la parole, il enfonça deux doigts dans le passage de l'anneau et
caressa ma langue avec.
-Tu devrais tenir ta langue comme ça, et en plus ça devrait te faire un peu baver ce
qui sera plus agréable pour ma queue. Allez, on va regarder un film petite chienne, en
avant.

Je commençais à me redresser pour aller dans la pièce d’à côté, mais une douleur aigue
sur mes fesses me repropulsa à terre. Je ne sais pas d'où il sortait ce fouet mais il
ne m'avait pas ratée.
-A quatre pattes chienne, tu es inférieure à moi, tu restes par terre.
Je me mis à marcher à quatre pattes, jusqu'au canapé. Je restai dans cette position,
craignant un nouveau coup. Il me laissa comme ça sans rien dire. Je commençais à avoir
des crampes.
-Tu vois quand tu veux, tu te comportes correctement ! A genoux.
Il attacha une longue chaine en métal à mon collier avant de relier l'autre bout au
pied du canapé. J'étais prise en laisse, comme une chienne...Il passa derrière moi,
donna un petit coup de pied sur mes fesses et me lança :
-Lève ton cul.
Il enfonça sans ménagement un objet dans mon sexe. Le bâillon commençait à faire son
effet, un petit filet de bave coulait sur mon menton. Enchainée, la jupe relevée et la
chatte remplie par un jouet, la gueule ouverte et la bave sur le menton, je n'imaginai
même pas ce qu'il pensait de moi en cet instant. L'objet dans mon sexe commençait à
vibrer. Même humiliée par la situation, j'étais excitée, et l'objet me fit perdre
toute ma contenance. Je fermai les yeux et me laissait aller à la caresse.
-Brave chienne, murmura mon Maitre en me caressant la croupe.
Je levai les yeux vers lui en prenant soin de prendre un regard respectueux, et
frottai ma tête contre son bras. Il s'installa dans le canapé et commença à regarder
un film. Il me laissa à ses pieds, mon corps vibrant de désir, et ma bouche incapable
de l'exprimer.
Mon Maitre avait relevé ma jupe sur mes fesses, et me caressai le cul avec son pied de
manière distraite, ne décrochant pas les yeux de la télé. J'avais vraiment la
sensation d'être un objet. Et malgré la honte qui grandissait en moi, j'aimais ça, et
sentais mon sexe dégouliner. L'attente me parut interminable, je commençais à avoir la
gorge sèche.
-Ah, les pubs ! Je déteste qu'on me coupe dans un film. Heureusement que tu es là pour
me distraire.
Il m'attrapa par les cheveux et plaça son gland sur l'anneau avant de pousser
doucement. Je me sentais complètement impuissante, son sexe entrant en moi sans que je
puisse refermer les lèvres dessus ou l'empêche d'aller plus loin. Il empoigna mes
cheveux avec ses deux mains et commença à me tirer la tête en avant, en arrière, pour
faire des va-et-vient sur sa queue. Je bavais abondamment, et régulièrement, il
ramassai mes flots de salive avec sa queue, pour me les remettre en bouche d'un coup
de bite. Il finit par enfoncer sa queue au fond de ma gorge, m'étouffant, puis jouit
dans de longs jets directement dans ma gorge. Je suffoquai mais il s'en moquait. Il
finit de jouir, me dit de tout avaler, et me jeta en arrière pour regarder la fin de
son film.

Le film terminé, il sembla de nouveau s'intéresser à moi.
-Tu dois avoir soif petite salope, non?
Je hochai la tête. Il partit dans la cuisine, et revint avec un bol d'eau qu'il posa
devant moi, puis retira mon bâillon, libérant une mare de salive.
-Merci, Maitre.
Je tendis les mains vers le bol, et le fouet s’abattit de nouveau sur moi.
-Tu es une chienne !
Je compris vite, je me penchai en avant, et commençais à laper l'eau du bol. J'avais
tellement soif que je m'en fichai. Pendant ce temps, mon Maitre commençait à jouer
avec mon petit trou.
-Non !
Mauvaise réaction...
-Pardon?
-Excusez-moi Maitre, je suis désolée, c'est juste que j'ai peur d'avoir mal...
-Sale petite pute ! Je t'encule régulièrement et tu as peur d'avoir mal avec mon
doigt? Tu vas apprendre à ne pas me refuser tes faveurs !
Il détacha ma chaine, m'agrippa par les cheveux et me tira jusqu'à la chambre, où il
me jeta par terre. Il me fixa les chevilles à une barre de contrainte, dans une
position obscène, puis tira mes mains sous mon corps pour les fixer à la même barre.
La tête écrasée au sol, le cul en l'air et les membres immobilisés, j'étais à sa
merci.
-Tu vas compter avec moi jusqu'à 20, salope.
Le fouet s'abattit violemment sur mes fesses. Je criai.
-Je ne veux pas t'entendre, lança t-il en me redonnant un coup. Et c'est le deuxième
que tu oublies de compter, on recommence à zéro !
Lorsque j'arrivai à 20, je pleurai en même temps, mes fesses et le bas de mon dos
étaient zébrées de rouge.
-Alors, on est plus raisonnable?
Je hochai la tête vivement.
-Tu n'as pas quelque chose à dire à ton Maitre? me dit-il en caressant mon cul.
-Pardon Maitre, je ne vous désobéirai plus, pardon...
Il me pinça les fesses, m'arrachant un cri de douleur.
-Ce n'est pas ce que je veux entendre...
-Enculez-moi Maitre, faites de moi ce que bon vous semble! Je suis à votre
disposition, utilisez mes trous avec tout ce que vous voudrez !
-Et bien voilà, tu vois que ce n'est pas difficile? On commence à être matée on
dirait?
Je ne répondis pas mais je sentais au fond de moi qu'il avait raison. Je sentis son
doigt contre mon cul entrer doucement, puis tourner à l'intérieur. Son doigt se retira
et je sentis un objet très froid contre mon anneau. L'objet s'introduisit lentement en
moi, jusqu'à buter contre mes fesses. Puis je sentis mon Maitre s'agiter sur l'objet,
et aussitôt, j’eus l’impression que mon cul s'ouvrit complètement.
-C'est un petit spéculum anal jeune chienne. Tu vois, avec ça je peux ouvrir ton petit
trou du cul comme bon me semble, et t'enculer une fois bien dilatée. Je te laisse
tranquille, j'ai besoin d'une douche.
Et il me laissa là, impuissante, le vibro à plein régime toujours dans mon sexe, le
cul ouvert par un objet en fer. Complètement impudique. J'étais devenue un objet, un
objet avec des trous qu'il fallait utiliser et maltraiter.
Il revint après un moment qui me parut incroyablement long. Il retira le jouet de mon
cul, cracha sur mon anus, et d'un seul coup de rein, m'encula jusqu'à la garde. Je ne
pus retenir un cri. Il continua de me bourrer le cul et se mit à me claquer les fesses
pour me punir de ne pas avoir tenu ma langue. Je me mordis les lèvres, le fouet ayant
encore laissé mes nerfs à vifs. Plus il me prenait et plus je sentais une chaleur
envahir mon bas-ventre. Soudain, il dut activer le vibro encore plus fort car je
sentis mon sexe vibrer avec une telle intensité que si je n'avais pas été retenue par
la barre, je me serai effondrée. Combiné à la démolition de mon cul, je partis dans un
orgasme qui me tira une longue plainte interminable, jusqu'à ce que mon Maitre jouisse
au fond de mon cul. Il se retira, me tira la tête en arrière et me gifla.
-Il va vraiment falloir que j'apprenne à te faire taire. Et également à ne pas jouir
sans autorisation. Maintenant, expulse le foutre de ton cul.
J'avais honte mais j'obéis. Mon corps était trop meurtri pour une autre punition. Je
poussai sur mon cul pour vider mon cul de son sperme. Des bruits obscènes me firent
devenir rouge pivoine. Il me détacha les membres, puis me fit mettre à genoux devant
lui. Il passa sa main dans le foutre étalé par terre, mêlé à sa salive et à mes
sécrétions intimes, et me l'étala sur le visage. Je me sentais pire que chienne et
vraiment, j'adorais cela.
-Nettoie ma queue maintenant.
Je me jetai dessus, prenant soin de lécher son membre tout le long, passant également
sur ses bourses. Satisfait, il me redressa, me déshabilla, et m'emmena sous la douche.
Il me lava avec douceur, prenant soin de ne pas frotter trop fort sur mes fesses
rendues sensibles, puis me serra contre lui.
-Je vais poser quelques règles. Chaque soir en rentrant du boulot, tu devras venir me
sucer à quatre pattes. Quand je claquerai des doigts, peu importe l'endroit, peu
importe qui est présent, tu sais que le jeu commence et tu dois te jeter à mes pieds.
Je ne te mettrai jamais en danger, aie confiance en moi comme tu as eu confiance ce
soir.
-Oui Maitre...mon amour...
Il m'embrassa passionnément, et quand nous partîmes nous coucher, je souris en pensant
que j'avais eu le plus bel orgasme de toute ma vie. Et si le jeu ne faisait que
commencer, bien d'autres suivraient...


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