Soirée arrosée

- Par l'auteur HDS Marco84 -
Récit érotique écrit par Marco84 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Soirée arrosée Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soirée arrosée
Ce soir là, c’est avec une soif non dissimulée que nous rejoignons le centre ville. La chaleur envahit encore les ruelles et le soleil ne semble pas décidé à se mettre au lit. Les terrasses bondées bouillonnent de vie, nos veines bouillonnent d’hormones... Partout apparaissent nymphes et diablesses aux corps plus appétissants les uns que les autres.
Nous nous arrêtons dans un bistrot, en coin de rue. Une petite table abandonnée avec ses deux chaises n’attend que nous. Devant elle, s’esclaffent cinq jeunes femmes aux tenues chatoyantes.
Celle qui est assise en face de moi porte une mini jupe en jean et je ne doute pas qu’en attendant suffisamment elle décroisera ses longues jambes bronzées pour m’offrir une vue imprenable sur ses dessous. Gilles me fait un signe du regard, celle qui nous tourne le dos a le string qui remonte au milieu des reins. La fine dentelle violette nous met en appétit. Restent deux brunes et une blonde qui nous font face. La première est assez quelconque, la seconde arbore un décolleté généreux et la troisième plus menue n’est pas vraiment jolie mais je devine ses tétons dressés à travers le tissu léger de son mini-top. Cette vision m’enivre.
Il n’y a pas que la vision qui m’enivre d’ailleurs. La bière qui ne cesse de remplir mon verre décuple mes fantasmes. Tout en discutant nous échangeons des regards complices. Tandis que Gilles rêve d’arracher à pleines dents ce string exhibitionniste, je me prends pour ma part à vouloir soulever le mini-top, qui me nargue à quelques mètres de là, pour caresser de mes mains cette poitrine libre de soutien-gorge et pour faire rouler dans mes doigts ces tétons trop fiers.
Alors que les filles se lèvent et s’éloignent dans la rue, je me rends compte que ça fait un moment que mon pote est parti chercher des bières et qu’il n’est pas revenu. Je pars donc à sa recherche à l’intérieur du bar. Je le retrouve au comptoir, discutant avec deux filles. Les bières coulent à flots et les liens se resserrent. Quand à 01h00, le patron nous met à la porte, nous sommes donc invités à continuer la soirée chez l’une d’elles.
Nous embarquons dans leur petite voiture et comprenons que nous ne rentrerons pas ce soir. Le trajet est assez court mais la température monte irrémédiablement, chacun d’entre nous sent au fond de lui le désir monter. A l’avant, les filles rigolent. A l’arrière, nous les draguons tout en souriant à la nuit qui s’annonce.
En arrivant dans l’ancien corps de ferme, nous nous installons dans le salon. Les quelques verres que nous avalons finissent de lever l’inhibition entre nous. J’accompagne Julie à la cuisine pour apporter la tournée suivante. En entrant dans la pièce, je ne tiens plus. La prenant par le bras, je la retourne vers moi. Mais c’est elle qui presse ses lèvres contre les miennes. Nos langues se découvrent, font connaissance. Je sens sa lourde poitrine contre mon torse. Mes mains caressent son visage puis sa nuque, glissent vers son dos et enfin atteignent ses fesses. Je perçois les détails de son string à travers le lin de son pantalon. Je presse son corps contre le mien pour que nos ventres se frôlent. Mon sexe avide de plaisir est envahit par la chaleur de son ventre. Le désir semble la consumer ce qui me met dans un état d’excitation terrible. Elle accélère alors ses baisers et m’attire vers le plan de travail. Je retire mes lèvres à son emprise. En la regardant droit dans les yeux, je pose mes mains sur sa poitrine, elle frissonne. Je baise sa nuque puis la naissance de ses seins. Ils ont l’air lourds et leur blancheur laiteuse me donne envie de les prendre à pleine main. Mes doigts s’emploient à déboutonner son pantalon mais elle me retient et me dit : « non, pas ici. ».
Nous rejoignons alors Virginie et Gilles au salon. Mais en franchissant la porte, nous restons cois. Ils sont bien sur le canapé où nous les avions laissés mais la bouche de Virginie est empalée sur le sexe de Gilles. J’hallucine, mon pote est là, complètement avachi sur le dossier, les yeux clos. Ses mains ont agrippées la chevelure brune. Elle ne cache qu’à moitié les lèvres écarlates qui montent et descendent le long de son sexe.
Incapable de faire le moindre mouvement, il faut que ce soit Julie qui me prenne par le bras et me ramène dans le couloir. Nous nous regardons un instant presque choqués puis nous éclatons de rire. Un baiser et elle me glisse à l’oreille : « Viens... ».
Julie ouvre une porte, dans la pénombre je distingue la forme du lit, d’une armoire et d’un petit bureau. Sans allumer, elle se glisse dans mon dos. Ses mains ouvrent ma chemise, la font glisser de mes épaules, puis sans attendre elles écartent les élastiques de mon bermuda et de mon boxer. Les deux derniers remparts de ma nudité tombent. Je veux me retourner mais un « non » autoritaire me l’interdit. Il ne me reste donc plus que mon ouïe pour entendre son chemisier corseté rejoindre mes habits sur le sol. C’est ensuite son pantalon que j’entends glisser sur sa peau. Dans mon dos soudain je sens le contact de la dentelle de son soutien-gorge, je tente d’imaginer dans ma tête le tissu débordant de tant de générosité. Ses mains se plaquent sur mon buste avant de venir saisir mon sexe tendu. Elle me caresse fermement.
Nous avançons vers le lit, lâchant ma main, elle ôte elle-même ses dessous. Je peux enfin dévorer cette opulente poitrine. Malaxant, baisant, léchant, mordillant, je m’enivre. Elle m’attire à elle, je m’immisce entre ses cuisses, elle est bouillante. Je la retourne en levrette. Ses hanches se démènent, mes mains abusent de sa poitrine. Sans me mot dire, elle me prend en main, me retire d’elle et me guide entre ses fesses. Mon sexe trempé par son plaisir entre d’un coup. Son étreinte est diabolique. Je jouis sur ses fesses avant de retomber sur son corps souillé. Nous restons ainsi un instant en échangeant quelques mots.
L’abandonnant, je sors de la chambre et vais aux toilettes. Mais en ressortant, je tombe nez à nez avec Gilles. Sourires immédiats et silence complice. Je lui cède ma place et rejoint la chambre. En entrant, je me prends les pieds dans un sac. Je manque de tomber. Je ne retrouve plus aucun repère. Je prends alors une seconde et me rends compte qu’il est normal que je ne reconnaisse rien. Je suis dans la chambre de Virginie... A suivre...

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Texte coquin : Soirée arrosée
Histoire sexe : Une rose rouge
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