Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 112)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les Origines de la Saga des esclaves au Château...  (épisode 112) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 112)
Année 1784 - L'initiation d'une jeune aristocrate (9) : le retour au Château - (Suite de l'épisode 106) -

Une heure environ s'était écoulée, depuis que le carrosse Du Marquis d'Evans avait quitté le manoir de Sa cousine. Menée fermement par le cocher, l'attelage avait pris une bonne allure, éloignant rapidement l'équipage sur la route menant vers les domaines d'Evans. Comme convenu avec sa cousine, Le Sire d'Evans emmenait avec lui la pupille, Emma de Fontanges, devenue quelques semaines auparavant son esclave, lorsqu'elle était venue de son plein gré se jeter à Ses Pieds... ou entre Ses griffes auraient sans doute commenté certains. Petite oie blanche aux pudeurs excessives, La Volonté Du Marquis dont elle était follement amoureuse, avait suffi à la transformer en chienne servile, prête à combler les exigences les plus lubriques qui lui étaient dictées. Ainsi, dès le manoir de sa cousine disparu, le Marquis avait-il exigé de la jeune femme qu'elle se débarrasse de tous ses oripeaux... Lentement, presque timidement encore, Emma de Fontanges avait commencé par délacer le haut de sa robe, avant que d'ôter celle-ci, puis son corset, révélant une superposition de chemises qu'elle avait arraché les unes après les autres, jusqu'à ne plus offrir au regard que la pâleur de sa peau, à l'exception de ses bas, d'une soie opaque aux teintes moirées de blanc cassé...

Car Le Marquis d'Evans exige d'elle qu'elle porte ces bas en permanence, ainsi que ses chaussures à hauts talons, afin de souligner au-dessus des cuisses, la douce rondeur de la croupe, la blancheur marmoréenne des fesses, afin aussi de donner à la jeune femme l'habitude de se comporter de façon lascive, car c'est bien la plus aristocratique des putains que Le Marquis veut pouvoir exhiber devant les plus nobles libertins du Royaume. Ses vêtements jetés en un recoin de l'habitacle, Emma se tient bien droite, libérant sa blanche poitrine aux tétons saillants, les bras relâchés de part et d'autre de son buste, les cuisses largement écartées, afin de ne rien cacher de sa plus secrète intimité. Les yeux baissés, la lèvre humide, Emma de Fontanges attend de longues minutes, sous le regard inquisiteur Du Marquis, son Seigneur et Maître. Il ne dit rien, se contentant de contempler cette nudité à Lui offerte, cet abandon total, cette offrande servile d'un corps dont il peut disposer au gré de Ses Fantaisies, user et abuser comme bon Lui semble, avec (singulière facétie !) l'approbation certes naïve de sa bien aimée cousine.

Une heure de route, voilà qui est bien assez, songe Le Marquis. Aussi hèle-t-il le cocher afin que, selon un plan établi, ce dernier fasse prendre au carrosse un chemin de traverse repéré à l'avance. le carrosse s'engage donc dans un chemin secondaire et ralentissant à peine, l'attelage fend les basses branches, s'enfonçant rapidement dans une épaisse et profonde forêt. Lorsqu'il stoppe ses bêtes, le cocher a trouvé la clairière recherchée. Les chevaux s'immobilisent dans un épais nuage de poussière... et le cocher quitte son poste, ainsi que le valet posté à l'arrière. Tous deux viennent prendre place devant la portière, que l'un ouvre pendant que l'autre déroule le petit escalier permettant d'en descendre avec facilité. C'est Emma qui se présente la première, le buste bien droit, elle entreprend de descendre et le cocher lui tend une main secourable, lui saisissant le poignet afin de l'aider. Elle gagne ainsi facilement le sol, sous le regard concupiscent des domestiques, qui ne peuvent détacher leurs yeux de ce corps nu si parfait, aux courbes fines mais généreuses, à la peau de la plus aristocratique des pâleurs, aux tétons roses et dressés, au pubis parfaitement lisse, laissant également deviner des chairs intimes colorées et humides. La haute perruque poudrée, garnie de fleurs des champs le matin même, les bas à la jarretière rose, les chaussures de vair à boucle d'argent et aux hauts talons... tout cela excite terriblement les deux hommes du commun, tandis que Le Marquis entreprend à son tour de descendre, tandis que les deux domestiques cessent leurs oeuillades et s'inclinent bien bas en hommage à leur Maître. Le Marquis rejoint la jeune demoiselle de Fontanges, s'aidant pour marcher sur le sol poussiéreux d'une mince canne à pommeau d'argent. Sans ménagement, il pousse Emma qui en vacillant se met à avancer... flanqué des deux domestiques, le Marquis pousse ainsi son esclave jusqu'à un grand arbre qui trône au coeur même de la clairière. Arrivés au pied du géant, cocher et valet se saisissent de la jeune femme et lui attachent les poignets qu'ils fixent ensuite à deux basses branches, afin de l'écarteler au maximum... Le Marquis s'approche d'elle et fait doucement glisser sa canne sur les reins et le dos de la femelle ainsi offerte.

- "Vois tu... cette canne m'a été rapportée d'Istambul par un ami... elle est en jonc de Malacca, ce qui ne te dit sans doute rien. Mais saches surtout qu'elle est utilisée par les cruels Janissaires pour punir qui bon leur semble. Et j'en fais de même... à vrai dire je n'ai guère à te punir, d'ailleurs, mais il est nécessaire que tu ressentes dans ta chair ta totale servitude... Sois docile et silencieuse... sinon je me verrai contraint de recommencer"...

A peine a-t-Il prononcé ces mots, que Le Marquis prend deux pas de recul et frappe pour la première fois, cinglant la double proéminence des fesses nues... Emma se raidit, se cambre sous le coup, mais courageuse, elle se mord les lèvres et ne laisse échapper nulle plainte. Deux, trois, ... cinq... dix coups se suivent, réguliers, cinglant sa peau sans lui arracher de cri. Le Marquis s'approche satisfait et lui caresse la nuque tout en contemplant les traces rouges qui zèbrent maintenant le dos et la croupe de la jeune femme...

- "C'est bien, tu as été courageuse, je t'en félicite", dit-Il tout en s'éloignant - "Détachez là !" ordonne-t-il, immédiatement obéi par les deux serviteurs -"et disposez-en comme bon vous semble, quant à moi je vais me reposer un peu à l'intérieur du coche"...

Laissant là, la damoiselle et les deux hommes, Le Marquis regagne le carrosse... les deux domestiques s'empressent de détacher Emma de l'arbre et sans même défaire les liens qui enserrent ses poignets, ils la jettent au sol, sur le dos... Déjà le cocher, premier dans la hiérarchie domestique, est sur elle et tout en lui pétrissant les seins il défait hâtivement ses chausses, afin d'en dégager sa queue qu'il n'a cessé de tripoter tandis que Le Marquis flagellait la demoiselle... Sans plus se retenir, il la pénètre et la baise vigoureusement. L'herbe humide sur laquelle elle est allongée, fait comme une couche apaisante pour le dos et les fesses meurtris de la jeune femme qui s'abandonne docilement aux coups de boutoir de l'homme. Cuisses largement écartées, elle contemple le ciel si bleu, vierge de tout nuage et songe à son Maître, son Marquis adoré, c'est pour Lui qu'elle s'abandonne ainsi à la saillie bestiale de cet homme qui sent l'écurie et la sueur... Porté par son excitation, l'homme se retire et laisse son plaisir gicler sur le ventre d'Emma... et sans attendre, le valet le remplace, poussant son sexe épais entre les cuisses. Il va et vient en elle, brutalement, sa langue léchant le visage rose et doux qu'il irrite de sa barbe mal rasée... son nez goutte un peu, venant souiller le pur visage jusqu'à ce qu'à son tour, il se retire pour jouir sur elle, les deux coulées de semence se mêlant et formant volutes visqueux sur la peau lisse et tendre du ventre de l'esclave qui demeure allongée, ouverte... dans l'attente... les deux hommes se rhabillent et l'un d'eux court jusqu'au carrosse... Il en revient en compagnie Du Marquis qui s'avance d'un pas nonchalant et se place juste au-dessus d'Emma, immobile...

- "Quelle image bucolique (savoure-t-il) ne dirait-on pas qu'une fleur nouvelle ici s'épanouit !?"

N'attendant point de réponse, il dégage son membre et tout en déclamant, pisse sur le corps qui repose à Ses Pieds

- "AAh, l'heureuse lassitude d'un corps après ses noces ! Sa nudité se caressant d'espace, épanoui de ce qu'il a subi et disponible pour qui en veut jouir !"

Ce que disant, un long jet doré éclabousse le corps alangui... Lorsqu'il a terminé, le Marquis se recule d'un pas

- "Eh bien manants ! A votre tour, donc ! Pissez ! Pissez dru et pissez longtemps ! Car je la veux baignée de la rosée de vos sexes !"

Et obéissants, les deux domestiques pissent à leur tour sur le corps d'Emma... ne négligeant ni le visage, ni le pubis, ni aucune partie de ce corps qu'ils viennent de posséder et qu'il avilissent maintenant en le souillant de leurs urines mêlées...

- "Non loin d'ici coule une rivière, reprend le Marquis. Menez cette femelle jusque là bas et qu'elle se lave... Il y a dans ses malles assez d'onguents et de savons pour qu'elle soit douce et parfumée lorsqu'elle me rejoindra en mon carrosse. Et prenez également des bas et des chaussures propres. Et ne la quittez point des yeux pendant qu'elle se lavera... que pas un instant elle ne puisse se sentir seule... une esclave n'a point d'intimité, nul instant où elle n'est sous le contrôle de son Maître et si ce n'est de Lui, de Ses gens ! Allez !"...

Plusieurs heures déjà se sont écoulées, depuis qu'Emma s'est longuement lavée dans la rivière. L'eau glacée l'a réveillée, et a soulagé les brûlures de la flagellation subie. Lavée, parfumée, des bas mauves pale sur ses cuisses et des chaussures à bouffettes en droguet blanc aux pieds, Emma de Fontanges a regagné le carrosse. Avant que d'y grimper, elle a subi une inspection détaillée de son Maître. Il l'a humée, caressée, jugeant de la qualité de sa toilette et, satisfait, l'a autorisée à grimper à bord, où elle a repris sa position face à Lui, silencieuse et offerte. Il ne lui a cependant pas adressé la parole, laissant toute latitude à l'esprit de la jeune esclave de repenser à ce qu'elle venait de subir. A sa servitude, à l'ambiguïté de sa position, noble demoiselle en apparence, mais catin servile qui peut être livrée aux mâles de la plus basse extraction. Le Marquis ne la quitte pas des yeux, il observe cette jeune femme parfaite, aux courbes délicieuses, à la peau délicate, aux traits fins...

Elle Lui appartient, corps et âme et il en sourit...Car il n'en est qu'aux prémices du dressage d'Emma... depuis bien longtemps, Il a élaboré chaque page du destin qu'Il est en train de lui écrire. Alors que le Château d'Evans est en vue, le cocher stoppe, suivant ainsi les instructions Du Marquis. A l'intérieur, Le Seigneur d'Evans pose sur le visage d'Emma un fin loup de dentelle noire. De quoi dissimuler l'identité de la jeune femme, sans pour autant cacher la finesse de ses traits... Il fixe à son cou un épais collier de cuir noir, clouté, auquel pend une médaille de vil métal sur lequel a été gravé le mot "CATIN". Le collier est relié à une longue chaîne, c'est par celle-ci que Le Marquis dirige Emma pour sortir du carrosse et se placer à l'arrière du véhicule. Là, la chaîne est fixée à l'arrière du carrosse et c'est à pieds, enchaînée au carrosse, que la demoiselle Emma de Fontanges, descendante d'une famille dont les ancêtres ont conquis leurs lettres de Noblesse pendant les Croisades, avance nue aux yeux de tous jusqu'au perron du Château. C'est le Marquis de Sade en personne qui est venu pour accueillir Le Maître des lieux. Les Deux seigneurs se congratulent, puis Sade désigne Emma :

- "Ainsi donc Vous l'avez ramenée ! Votre plan se déroule à merveille ! Qu'en est -il maintenant ?"
- "Eh bien, je lui accorde une bonne nuit de repos. Car dès demain, commence sa véritable éducation. J'en veux faire la femelle rêvée des mâles de la plus haute noblesse libertine. Ils ignoreront qui elle est, mais n'ignoreront rien des moindres recoins de son corps. Mademoiselle de Fontanges va essorer les membres virils de toute la haute noblesse de France. Nul ne saura qui elle est réellement, mais soyez assuré que tous auront joui de son con et de son cul !"

Et les deux Marquis éclatent de rire...
(A suivre)

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