Profanation, Education de Valérie

- Par l'auteur HDS Jupeau -
Récit érotique écrit par Jupeau [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Profanation, Education de Valérie Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Profanation, Education de Valérie
Il va être dix-sept heures, Jean-Paul Balaruc marche dans la vieille ville une main dans la poche de sa gabardine, il triture le slip de Valérie. Comme il doit le restituer, il veut savourer la douceur du tissus, le toucher une dernière fois, imprégner sa main de sa senteur. Presque à regret, il arrive devant la lourde porte de chêne de la demeure de Georges de Maubourg, celui qui préside aux vices des jeunes filles nanties de la ville. Il tire l’antique sonnette.
Le valet Alex ouvre en s’inclinant obséquieusement. Jean Paul est attendu. Comme il en a l’habitude il traverse le hall et retrouve dans le salon le Baron qui lui serre la main affectueusement et le fait asseoir dans un fauteuil profond. Alex, sans une parole apporte du thé fumant sur une table basse.
Avant que Georges le lui demande, Jean-Paul a sorti le slip de sa poche, l’a posé sur une table basse avec un gros soupir. Georges qui réalise les regrets du jeune garçon, lui fait remarquer qu’il ne s’agit que d’un chiffon sans importance.
Jean-Paul ne peut comprendre le mépris de Georges pour les filles et le lui dit. Georges lui assure sentencieusement qu’il doit avoir la même attitude, s’il veut être heureux, il ajoute :
- Valérie va venir d’ici quelques minutes. Si tu veux, tu pourras en user …
Jean-Paul se dit qu’il n’osera jamais. Son cœur bat à la pensée de revoir celle qu’il aime encore. Il boit son thé d’un trait. Georges lui sert une rasade de whisky en disant :
- J’espère que tu n’es plus amoureux !
Le garçon affirme que non, en mettant toute son énergie dans ses dires. Il est très nerveux.
Georges le presse de questions : a t’il récupéré la petite culotte facilement ? Valérie est-elle restée longtemps prés de lui ? A-t-il pu la toucher ? Porter la main entre ses cuisses ?
Jean-Paul ne sait s’il doit dire la vérité. Georges souhaite-t-il qu’il n’ait rien fait ou bien le contraire ? Est-il jaloux ou non ?
Le garçon finit par dire qu’il a déculotté la fille retroussée et qu’elle l’a ensuite sucé. Jusqu’à ce qu’il se répande dans sa bouche. Puis elle l’a quitté rapidement sans même lui dire au revoir.
- Elle ne t’a même pas donné un baiser ?
- Non elle était trop pressée !
Georges conclut que cette attitude mérite une punition à laquelle Jean-Paul assistera, évidemment. Ils ont tous les deux les yeux luisants. Le garçon est plein de curiosité impatiente.
Ils entendent tinter la cloche, Alex qui ouvre. Jean-Paul est troublé.
Valérie est ponctuelle, Comme il le fait à chaque visite, Alex l’inspecte de la tête aux pied et risque une main sous sa jupe ; La jeune fille porte une robe de coton satiné pincée à la taille, sans ceinture, les épaules et les bras sont dénudées, la robe est maintenue par un petit volant élastique mettant en valeur sa petite poitrine. Le bas est évasé et s’arrêt au dessus du genou. Ses bas sont clairs en voile satiné brillant et ses chaussures découvertes, avec de hauts talons. Alex ne se lasse pas de la contempler.
Comme il s’efface pour la laisser entrer, il remarque la marque du slip sous la jupe : merveilleux spectacle !
Parvenue au salon, elle s’arrête, interloquée de voir Jean-Paul.
Elle remarque surtout sa culotte étalée sur la table basse.
- Alors, dit Georges, tu ne salues pas notre ami ?
Elle effleure du bout des lèvres les joues du garçon et se précipite dans les bras de Georges. Il la prend sur ses genoux et l’embrasse sur la bouche. Elle chavire, oublie tout. Jean-Paul observe avec attention.
Valérie a maintenant caché son visage au creux de l’épaule de celui qu’elle aime ? Ses noirs cheveux sont répandus. La main droite de Georges lui pince les genoux, la forçant à décroiser les jambes. Jean-Paul voit cette main qui disparaît sous la jupe. Il semble qu’elle soit parvenue à la fourche des cuisses. On la devine qui s’agite sous le vêtement. Valérie respire fort. Le sexe de Jean-Paul grossit quand la fille ouvre les jambes …
George la relève ; la met debout faisant face à Jean-Paul. Elle baisse la tête gênée de savoir que Jean-Paul l’observe.
A nouveau les main de Georges repartent sous la jupe de la jeune fille, parviennent sur les hanches et redescendent lentement, Jean-Paul est troublé de voir celle qu’il aime en secret subir la volonté de Georges.
Les mains descendent encore et cette fois ci Jean-Paul à compris, il est entrain de luis ôter sa petite culotte rose qu’il descend jusqu’aux chevilles et lui retire complètement.
Elle est donc nue sous la jupe. Il ordonne à Valérie de lui remettre la culotte blanche toujours étalée sur la table basse.
Elle obéit, lui tend le vêtement qu’il remonte le long des jambes, des cuisses et lui ajuste le sur les hanches. Jean-Paul sent son slip se tendre à la vue du spectacle que lui offre Valérie et pourtant pour l’instant rien ne lui a encore été dévoilé ; Il sait juste ce que porte Valérie sous sa jupe.
Georges se lève prend Valérie sous les bras la fait s’étendre sur le tapis. L’orange des la robe tranche sur le bleu du sol. Le bas de la jupe se relève légèrement. Georges reprend la bouche, sa langue rencontre celle de Valérie, remue au plus profond. La fille se sent toute retournée, sa salive coule, elle souffle à perdre haleine. Tout en poursuivant ce baiser ardent, il fait signe à Jean-Paul de s’approcher. Le garçon se lève timidement et se place en tailleur prés des jambes de la jeune fille.
Valérie met ses mains sur ses yeux, paniquée d’avoir à se donner en spectacle. Elle est d’autant plus angoissée que Georges a pris le rebord de sa jupe et commence à la retrousser. Les cuisses gainées de beige apparaissent, puis la lisière élastique décorée et large qui tient lieu de jarretière, enfin la partie nue des cuisses. La culotte apparaît, Georges à relevé la robe jusqu’à
la taille.
Valérie ne sait plus ou se mettre, Jean-Paul regarde avec avidité et tendresse la petite culotte tendue sur le ventre de la fille mettant en valeur le renflement du pubis et la beauté des ses atours. Jean-Paul, fasciné, reste sans bouger.
George lui a pris le poignet puis la main, le forçant à toucher les genoux de celle qu’il désire. Puis il fait remonter la main le long des cuisses, lui fait sentir la douceur de l’épiderme au dessus des bas. Il lui pose la main sur le pubis que la culotte cache encore. Il le fait appuyer. Jean-Paul sent la toison à travers le tissus lisse et doux et un peu le renflement de la vulve.
Georges lui fait signe de baisser la culotte…
En tremblant Jean-Paul agrippe la ceinture du slip qu’il tire vers le bas. Le triangle noir du mont de venus apparaît, les poils sont soignés, encore plaqués au ventre par la culotte serrée, la toison est régulière et bien taillée. Puis le garçon abaisse la lingerie vers les jambes, lui fait passer les chevilles et les chaussures et l’enlève complètement. Valérie serre les cuisses, on ne voit que ses poils frisés noirs. La fille éprouve de la honte à s’exhiber ainsi à un garçon de son âge.
Jean-Paul pose la culotte sur la moquette. Il aurait voulu la mettre dans sa poche, comme l’autre foi.
Georges s’est mis à genoux, de part et d’autre du visage de la jolie tête, il présente sa verge à l’entrée de la bouche complaisante qui l’a happée.
Il s’enfonce petit à petit jusqu’au fond de la gorge.
Il reste ainsi immobile et sourit à son jeune ami. Il dit d’un ton cassant à Valérie en lui claquant les cuisses :
- Veux-tu bien t’ouvrir
Elle desserre un peu les jambes, si peu que Georges de ses deux mains la prend derrière la jointure des genoux qu’il replie sur la poitrine encore cachée par le haut de la robe.
Il montre le sexe féminin à Jean-Paul. La fente rose pâle, les lèvres fines et bien jointes parfaitement lisse. Georges l’ouvre de ses deux mains dévoilant les nymphes et l’entrée du vagin d’un rouge plus vif que les lèvres… Puis il écarte la jointure supérieure et décapuchonne le petit bouton clitoridien. Tout l’intérieur de la vulve est brillant, montrant déjà une humidité traduisant l’excitation de la jeune fille. Il roule le clito du bout de l’index ? Valérie se soulève et commence à gémir doucement. Jean-Paul ne perd rien de la scène.
Il bande très fort sous son pantalon dont la déformation ne laisse aucun doute. Georges dans la bouche de la fille amorce un va-et-vient de plus en plus rapide, comme dans un vagin. La belle Valérie manque de s’étouffer. Le membre dur lui touche la luette. Elle s’efforce d'ouvrir la bouche en grand, craignant de mordre, ce qui lui vaudrai une sévère remontrance.
Tout en se servant de la jolie bouche de la jeune fille, Georges a repris la main de Jean-Paul ; il tente de lui faire toucher le sexe féminin.
Mais l’autre est trop timide et se laisse guider sans réagir. Georges n’insiste pas. Très vite, son sperme coule dans la gorge de Valérie qui ‘efforce de l’avaler. Le jet est puissant et une grande partie de la semence coule sur le beau visage la fille. Georges reste ainsi un moment dans cette position, cuvant sa jouissance.
Il se lève alors, laissant la jeune fille allongée. Il dit à Jean-paul de se rasseoir et ordonne à Valérie de se mettre debout.
Elle se lève, sa robe retombe, elle ramasse son slip, le remet et rabat bien vite sa jupe. Elle reste debout, hébétée, tandis que les deux amis trinquent de nouveau, elle se sent inondée entre les seins ; Georges questionne sévèrement :
- Qui t’a permis de remettre ta culotte ?
Elle dit qu’elle croyait en avoir terminé en présence de Jean-Paul
- Nous n’en avons pas fini avec toi ! nous devons nous expliquer, dit Georges.
Elle supplie qu’on la laisse se laver le visage et le cou. On lui accorde cinq minutes. Elle se précipite dans la salle de bain ; elle se demande ce qui se passe ? Craint que son Georges ne l’aime plus.
De nouveau debout devant les garçons, elle tremble ; Elle n’a toujours pas quitté sa culotte. Il lui semble que cela va la protéger du pire.
Elle est toute pale. Que veulent t’ils encore ? Ne s’est elle pas montrée assez obéissante ?
La voix impitoyable de l’aimé exige qu’elle prenne une attitude soumise. Elle tombe à ses pieds et reste agenouillée ? Les mains derrière le dos, Jolie et émouvante dans sa robe orangée qui moule ses formes.
- Genoux disjoints ! Yeux baissés, s’écrie le maître.
Elle prend la pose prescrite. Elle en oublie la présence de Jean-Paul. Elle dit d’une vois craintive :
- Mon Georges chéri, que veux tu ? Que dois je faire ?
Il veut qu’elle rapporte sa propre version de sa visite à Jean-Paul. Elle dit qu’elle a fait ce qui lui a ordonné. Elle a relevé sa jupe, lui a demandé de la déculotter pour qu’il apporte lui-même sa culotte ici. Puis elle lui a sucé le sexe, avalé son sperme.
- Tu es partie sans même dire au revoir !
- Que devais je faire de plus,
- Tu aurais pu lui laisser toucher le sexe !
Elle confesse que ce qu’il lui a imposé lui a assez coûté. Elle souhaite ne jamais revivre une telle situation.
- Il y a des mois que tu excites ce pauvre garçon
- Oh ! Laisse-t-elle échapper, indignée
Georges lui dit que tout cela est grave. Elle doit accepter d’être punie ou bien s’en aller et ne plus revenir.
Dans un sanglot, elle accepte. Elle doit demander au valet Alex de lui remettre le martinet.
Comme elle s’en va, penaude, vers la porte communiquant avec le hall, Alex à son poste d’observation, a juste le temps de s’esquiver jusqu'à la cuisine du sous sol. Valérie le trouve occupé à ranger la vaisselle. Avec courage elle réclame le martinet.
Alex fonce les sourcils :
- Mademoiselle à-t-elle oublié l’attitude qu’elle doit avoir avec moi ?
Que devez vous faire avant de m’adresser la parole ?
- Excusez moi Monsieur Alex je suis émue et si pressée ;
- J’aime mieux ça ! Qu’attendez vous pour vous exécuter,
En soupirant, elle prend de ses deux mains croisées le rebord de sa jupe et se retrousse entièrement exposant au domestique la blancheur immaculée de sa petite culotte. Comme il le fait toujours, il pose sa main en conque au bas du pubis et donne quelques petites pressions sur la vulve voilée. Il prend le martinet dans un tiroir du vaisselier, le tend à Valérie dont la robe retombe, cachant les jambes.
- Voila pour que Monsieur vous réchauffe les fesses
Valérie retourne au salon, à son destin de petite fille docile. Sera-t-elle fouettée devant Jean-Paul ? Devra-t-elle ôter sa robe, son slip ? Sa gorge se noue.

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