La venue de ma maitresse chez moi. (2)

- Par l'auteur HDS Stephane0284 -
Auteur homme.
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Récit libertin : La venue de ma maitresse chez moi. (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La venue de ma maitresse chez moi. (2)
Après le déjeuner du midi, nous sommes montés à l'étage. Fabienne commença a se déshabiller pour prendre une douche. Elle me demanda de l'aider. Je défis les boutons de sa robe et en profita pour caresser ses seins. Elle se retourna pour que je puisse les lécher. J'en pris un dans ma main et je suça le mamelon de l'autre. Au bout de quelques instants, elle me dit d'aller m'allonger sur le lit et qu'elle allait me rejoindre dans dix minutes après avoir pris sa douche. Je la quitta pour aller dans la chambre. Je me déshabilla également et c'est nu que je m'allongea sur le lit. Je me mis sur le dos. C'est le contact de ses cheveux encore mouillées sur mes cuisses qui me réveilla en douceur. J'ouvris les yeux et je vis Fabienne à genoux, entre mes jambes en train de caresser le haut de mes cuisses avec ses mains. J' écarta les jambes pour lui faciliter le passage. Elle prit mon sexe en main et commença à le branler. Je bandais déjà comme un âne. Elle prit mon gland dans sa bouche et passa sa langue dessus. Elle jouait avec sa langue en la faisant tournoyer autour de ma queue. Avec les mains, elle s'amusait avec mes couilles. Elle les prenait en main, les soupeser, les tirer dans tous les sens et me les serrer. Je lui demanda d'arrêter car sinon j'allais jouir trop vite et je voulais profiter d'elle. Elle arrêta ses "tortures" et vint se mettre en 69. Elle était maintenant au dessus de moi et j'avais une vue magnifique sur sa chatte toute épilée.Je commença par passer mes doigts sur ses cuisses. A chaque fois qu'un de mes doigts frôlait les lèvres de son sexe elle gémissait. Elle avait repris ma queue dans sa bouche et avait commençait à me sucer très doucement. Je mis mes mains sur ses fesses pour la forcer à approchait son entre jambes de ma bouche. Une fois à portait de ma langue, je me mis a lécher son abricot. Ma langue entrait et sortait de se sexe si doux. Elle ondulait de plus en plus avec son bassin et cherchait à approcher le plus possible sa chatte de ma bouche. Elle ne cessait plus de gémir et je pris son clito à pleine bouche, je buvais tout le jus de sa mouille qui sortait maintenant en abondance de son sexe. D'un seul coup je sentis ses muscles se contracter, et c'est dans un cri de jouissance qu'elle eue un magnifique orgasme. Elle avait cesser de me sucer pour se consacrer à son plaisir. N'ayant pas joui, je la fit pivoter sur le côté pour qu'elle s'allonge sur le dos et lui écarta les jambes. Je me mis au dessus de Fabienne et présenta mon sexe à l'entrée du sien. Je pris ma queue et la fit tourner autour des lèvres de sa chatte. Puis je commença à la pénétrer le plus doucement possible. Je voulais voir son visage sourire au fur et à mesure que ma bite rentrait dans son si joli corps. Une fois au plus profond de Fabienne, je commença à faire des va et vient. Pour me faciliter le passage, elle écarta au maximum ses jambes et posa ses talons sur mes fesses. Elle accompagnait les mouvement de mon bassin et à chaque fois que j'étais enfoncé au maximum dans son vagin, elle essayait de me retenir en elle avec ses jambes. Je la baisait toujours le plus doucement possible car je voulais profiter un maximum du plaisir qu'elle me donnait. Au bout de plusieurs minutes, je changea légèrement de position. je me redressa un peu et mis ses jambes sur mes épaules. Pour tenir en équilibre, je pris appui sur ses seins. je savais qu'elle adorait cette position et voulais lui faire ce plaisir car après j'avais une autre idée en tête. Je recommença à la baiser mais cette fois mes mouvements était plus rapide. Je voulais la traiter comme une chienne, comme une salope qui ne pense qu'au sexe. Je commença à la traiter de sale chienne, de grosse salope. Elle se prit au jeu et me disait de la sauter, d'aller plus vite, d'enfoncer ma grosse queue dans sa chatte. Elle ne parlait plus mais criait et me suppliait de la faire jouir comme une chienne. Après avoir entendu ces mots, je lui demanda si elle était vraiment sure de vouloir se faire prendre comme une chienne. Elle criait toujours de plaisir et entre deux gémissement elle me répondit que oui. Je me retira de sa chatte, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécuta puis je me plaça derrière elle. Je fis rentrer d'un seul coup ma queue dans son sexe et je la pilonna le plus rapidement possible en la traitant toujours de sale pute. Elle reprit ses cris et sa respiration était de plus en plus rapide. Tout en la prenant, je mis de la mouille sur deux de mes doigts, puis je les enfonça dans ses fesses. Elle eue un mouvement de surprise qui ne dura pas plus de dix secondes. Je faisais maintenant entrer et sortir mes doigts le plus rapidement possible de son cul. Elle ondulait son bassin et faisait en sorte de venir à la rencontre de mon sexe et de mes doigts. Je la pilonna ainsi t tout en l'insultant pendant au moins un quart d'heure. D'un seul coup je retira mes doigts et ma bite. Je présenta ma queue à l'entrée de son trou du cul et je la pris d'un seul coup. Je fis des va et vient très rapide car j'avais maintenant envie de jouir au plus profond de ses entrailles. Elle poussait toujours des gémissement de plaisir, et me suppliait de la baiser, d'aller plus vite de la prendre à fond. Ces dernières paroles eurent raison de moi et c'est dans un râle puissant que je me répandis en elle. Je resta dans cette position quelques minutes avant de me retirer. Ensuite on se rallongea sur le lit et on s'embrassa longuement.
J'étais heureux d’avoir baisé Fabienne dans le lit conjugal, mais ce qui me faisait le plus plaisir c'était de savoir qu'il restait deux jours avant que ma femme revienne de son déplacement professionnel.
La suite de cette histoire réel dans quelques jours.

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