Déchéance 05

- Par l'auteur HDS Ligerine -
Récit érotique écrit par Ligerine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Déchéance 05 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2012 dans la catégorie Plus on est
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Déchéance 05
CHAPITRE 5

Je m’installai confortablement à l’arrière et me remis de mes émotions lentement,
respirant longuement avant de prendre la parole.
Lise - Alors, que voulez vous savoir ?
Anne - D’abord si cela t’a plu et si tu reviendras chérie …
L – Oui, je me suis éclatée, cela faisait si longtemps que je n ’avais pas bu autant
de sperme, et tu sais comme j’aimais cela, tes amants aussi d’ailleurs. En plus j’ai
joui comme une salope mais j’ai honte de m’être offerte à des jeunes, je me suis fait
l’effet d’une pute…
Katia – Mais tu ne t’es pas fait sauter que par des jeunes, pas mal de clients plus
âgés te sont aussi passés dessus…
A – Et alors, tu es tout simplement redevenue la pute que tu as toujours été …
L – Justement c’est de cela dont j’ai honte, dans ma position je ne me comprends pas…
K – Très drôle ! Ta position ? Mais ce n’était que celle d’une salope, baisée, suçant
les queues à portée, tout t’était bon et encore tu n’as pas été enculée comme Anne…
Hein la pute !
A - Oui, je suis une vraie pute moi, tous mes trous ont été visités mais j’étais
venue pour ça ! Pas toi la gouine de service ?
K – Solange est un coup superbe, d’ailleurs on a rencard pour faire des photos d’elle…
A – Donc tu vas une nouvelle fois tromper Olga ! Tu as de la chance d’avoir une
compagne aussi tolérante…
K – Et toi Anne, une maîtresse qui te laisse aussi libre…
L – Parce que tu as une maîtresse Anne ?
Leur échange m’intriguait. Ma grande sœur Anne avait une maîtresse et je n’en savais
rien… Jusqu’alors il me semblait que nous nous disions tout… Elles continuèrent à se
charrier mutuellement sans que j’aie une véritable réponse à cette interrogation.
Profitant d’un moment de calme, je demandai.
L- Anne expliques-moi qui est cette maîtresse tu ne m’en as jamais parlée.
A – Je ne voulais pas te choquer en te disant…
K – C’est normal baisée et la bouche pleine, tu ne pouvais pas voir que Tamara
comptabilisait les mecs qui passaient sur ta sœur ! ,
Katia avait interrompu brutalement la confession d’Anne. Elle reprit :
K- C’est ce qui permet à cette jeune garce de savoir combien elle lui rapporte…
A – Katia je t’interdis de parler ainsi de ma maîtresse.
J’étais de plus en plus intriguée, aussi insistais-je :
L – Pourtant il n’a pas été question d’argent avec les mecs qui t’ont emmené pour te
baiser ?
A – Non bien sur, mais je suis taxée de cinquante euros par mec qui me passe dessus
ici ou ailleurs…
L – Mais par qui ? Katia a semblé dire qu’elle était jeune.
A – Par Sharon !
L – Quoi ! TA FILLE !!!
J’étais estomaquée, ma sœur si dominatrice avec moi, était soumise à sa fille. Et
cette dernière, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, était assez
perverse pour prostituer sa mère… Je restais sans voix…
Suite à cette révélation extirpée non sans insistance de ma sœur. C’est Katia qui se
chargea de dédramatiser la situation.
K – Tu sais ce genre de relation n’est pas exceptionnel. J’ai de nombreux couples
mère-fille dans mes archives, certaines ne sont pas lesbiennes, et pas forcément
ensemble… Je te les présenterai, tu verras, elles ne sont pas anormales… Et la
dominante n’est pas toujours la mère, mais je comprends ta réaction car si j’ai bien
compris votre relation tu n’imaginais pas Anne en soumise et surtout à sa fille.
Pendant ces explications je m’interrogeais dans quelles limites la fréquentation de ma
fille et de sa cousine se tenait. Que savait-elle de cette dépendance, Je savais ma
sœur depuis toujours particulièrement perverse, mais de là à l’imaginer rapporter de
l’argent à sa fille qui semblait-il se comportait en maquerelle… Il fallait que j’en
sache plus…
L – Comment en es-tu arrivée là, Anne ?
A – Très simplement, à force d’avoir des amants, il est arrivé ce qui devait arriver.
En revenant de la fac à l’improviste Alexane m’a trouvé au lit avec deux d’entre eux.
C’était de bons copains, qui me sautaient depuis pas mal de temps, pour ne rien
arranger ils me prenaient en double, et prise en sandwich je n’ai pu réagir… Remarque
cela n’aurait sans doute rien changé. Lorsqu’ils sont partis, Alexane me faisait la
gueule, et on a eu une explication un peu orageuse. Elle m’a traité de tous les noms
possibles, ce qui était vrai hélas ! Pour finir par me proposer un marché.
Elle racontait tout à son père ou je lui obéissais en tout… A priori c’était simple,
sauf que petit à petit elle a augmenté ses exigences. Pour finir, j’étais libre de me
taper qui je voulais mais en contrepartie je lui donnais cinquante euros d’argent de
poche pour chaque passe… Heureusement que Guy gagne bien sa vie et j’ai toujours pas
mal dépensé et puis Katia me paie cette somme à chaque séance de pose.
L - Parce que tu gouines aussi avec Katia à chaque fois que tu poses ?
A – Non cela arrive, mais c’est selon notre envie, je ne suis taxée que pour les mecs,
cela lui a permis de satisfaire ses envies de lesbienne avec une fille en permanence à
sa disposition… moi !
L – Il y a quelque chose qui m’inquiète. Dis-moi, ma fille est au courant de vos
relations ? Elle va souvent chez vous…
Il y eut un silence assez long avant qu’Anne ne réagisse à ma question, mais une
nouvelle fois c’est Katia qui rompit le silence.
K – Moi, ce que je puis dire, c’est que les deux cousines s’entendent à la perfection
comme lesbiennes… Elles ont acceptées que leurs photos soient diffusées sur tous les
sites étrangers auxquels je collabore… Et sans restrictions…
Une nouvelle fois toutes mes certitudes s’écroulaient, j’étais à la limite de
l’acceptable. Une étrangère Katia, même si j’étais attirée par elle, n’annonçait
qu’elle connaissait les fréquentations de ma fille, chose que moi j’ignorais.
A – Sharon est au courant de ma situation de soumise, d’ailleurs il lui arriva aussi
de me dresser. Il était difficile de me pavaner nue devant elle sans lui expliquer
pourquoi et aussi comment il se faisait que ce n’étai qu’avec l’autorisation d’Alexane
que je pouvais aller me coucher et pas seule…
L - Tu te rends compte de ce que tu me dis ? Sharon est mineure, et toi tu la dévoie,
je pourrais te poursuivre… Et toi aussi Katia ne sourie pas vous êtes de belles garces
toutes deux…
Ces deux là semblaient totalement inconscientes, la rage montait en moi à l’idée du
contexte dans lequel j’avais accepté que ma fille se détende. Je me promis d’en
discuter avec elle…
A - Calme-toi ma chérie, c’est vrai que je ne t’ai pas tout dit quand il le fallait,
mais sache que nos filles sont lesbiennes depuis un moment, cela fait deux ans à mon
avis, mais si toi tu l’ignorais elles ne se gênaient pas chez moi… Sharon est une
fille superbe et en plus d’être attirante elle aguiche toutes les femmes qui passent à
la maison C
C’était le bouquet ! Ma fille était une lesbienne et je n’avais rien vu. Je restai
muette, assommée par ces révélations successives, et Katia en rajouta…
K – Tu vois, tu avais honte de t’être comportée comme une putain tout à l’heure, mais
maintenant tu dois te dire, que la maman que tu es aussi n’a pas été très attentive à
sa fille… Et moi je pense que cette honte là n’est pas près de disparaître…
A – Katia a raison, mais rassure-toi. Tu n’es pas la seule, de nombreuses femmes que
nous fréquentons sont des mères aussi fautives que nous, Nous te les ferons connaître
et je suis sure que ta culpabilité disparaîtra avec le temps.

Durant le reste du voyage de retour, je ruminais les révélations. J’appris aussi
divers détails prouvant qu’Anne si elle avait accepté d’officialiser sa soumission,
avait toujours refusé, heureusement soutenue par Alexane, d’amener Sharon à la boîte.
La seule soirée qu’Alexane y avait passé, avait été un gouinage permanent avec Tamara,
elles s’étaient trouvées des envies telles, et les avaient assouvies avec tant de
plaisir que depuis une fois par mois au minimum elles passaient un après midi entier à
gouiner.
De plus Anne se refusait à ce que ses visiteuses, qui en émettaient le désir,
profitent des tentations qu’elles suscitaient à ma fille le cas échéant. Au moins elle
se comportait en véritable tante.
Je comprenais maintenant l’insistance de Tamara pour me revoir, elle était bisexuelle
et toujours en recherche de nouvelles aventures, alors, pourquoi pas moi…
La discussion ne tarissait pas. Parfois Katia elle aussi voulait savoir le peu qu’elle
ignorait. Anne en veine de confidence répondait sans détours à toutes nos questions.
Ainsi à notre interrogation sur sa taxe qu’elle subissait nous apprîmes qu’Alexane
avait tranché de la manière suivante «…tu ne crois pas que je vais te payer moi aussi,
à chaque fois que j’aurais envie de baiser ma putain de mère…»

Enfin, arrivées au domicile d’Anne, Katia refusa de terminer la nuit avec nous
prétextant la présence d’Olga, et après nous avoir embrassées rapidement elle nous
quitta. Nous avions rendez-vous le surlendemain pour des photos, mais qu’elle et moi.
Entrant discrètement dans le pavillon, Anne et moi n’attendîmes pas d’être dans la
chambre pour nous déshabiller. Nues un dernier verre pour nous rafraîchir, puis Anne
m’entraîna vers sa chambre, un coup d’œil aux filles qui, elles aussi nues, dormaient
d’un sommeil profond et nous nous retrouvâmes étendues cote à cote.
Anne me dit qu’elle regrettait l’absence de Katia et se mit sur moi la tête plongée
entre me cuisses sa langue colla à mon clitoris et elle me le décapuchonna. Fatiguée,
je râlai un peu pour la forme car sa langue était si agile qu’en un instant je fus
sous son emprise…,
A – Tu vois ma chérie, j’adore nos odeurs de femelles en chaleur qui viennent de se
faire défoncer… On prendra notre douche au réveil… Défoule-toi sur mes trous de pute…
A mon tour je plongeai mon visage entre ses cuisses ouvertes et ma langue aidée de
mes doigts écarta les lèvres humides pour pénétrer le plus profondément possible dans
ce gouffre brûlant. Agrippées à ses fesses, mes mains les caressèrent, les écartèrent,
je sentis son petit trou se contracter sous mes caresses, Anne se mit à gémir
A - Encule moi souffla-t-elle… Encule-moi profond… N’aie pas peur avec tout ce qu’on
m’a mis ce soir…
Obéissante j’entrepris de lui fouiller l’anus d’un, puis deux, trois doigts la
pénétrèrent… Je les enfonçai le plus loin possible essayant de les forcer à se
désolidariser pour dilater son boyau.
Elle se raidit essayant de soulever ses reins contrariés par la pression de mes mains.
Après avoir poussé un long cri étouffé, elle s’écroula sur moi…
Enfin, étendue près de moi elle me caressa doucement avant de me souhaiter bonne nuit…
Pendant quelques instants je restai inerte, puis, je me mis à sucer les doigts qui
avaient enculés ma sœur. Leur saveur avait celle du sperme qui s’était déversé en elle
auparavant. D’où une question qui m’envahit. Ainsi elle se faisait enculer sans capote
?
Je n’avais pas joui, mais la fatigue eut raison de moi. C’est la tête pleine de
pensées lubrique, entrecoupées par l’idée de parler avec ma fille et ma langue
fouillant ma bouche à la recherche du moindre atome de sperme y subsistant, je
plongeai dans le sommeil.

Surtout mesdames ou mesdemoiselles lectrices laissez-moi votre mail, je vous réserve
une surprise ! Bises à vous…

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