C’était donc ça, jouir ?!

- Par l'auteur HDS Scorpion -
Récit érotique écrit par Scorpion [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : C’était donc ça, jouir ?! Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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C’était donc ça, jouir ?!
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Elle se prénomme Julia, c’était avant, avant l’orage, avant la suprême émotion, elle
était active disciplinée positive ambitieuse, ne s’occupait que de sa personne, du
coup ne jugeait personne mais ne culpabilisait pas non plus. Elle s'éprend vite et
abandonne tout aussi vite peut répondre favorablement à ses désirs aussi promptement
et facilement qu’ils sont inattendus et violents. Mais cela doit être court et l’heure
est rarement à la bagatelle Elle tout à ses études et ses moments d’abstinences
peuvent durer … jusqu’à deux mois parfois. Elle a l’indépendance des belle femmes,
elle vit seule c’est plus pratique, elle a 22ans, dans sa tête parfois plus, parfois
moins, et quand un homme à son gout passe sous son regard, et donc que ses plans sont
mis à mal, elle tente toujours de repousser ses envies naissantes. Cependant, si une
belle image masculine s’est figée dans un coin de son cerveau, elle sait qu’elle ne
tardera pas, tôt ou tard à refaire surface, et au moment le moins opportun... elle le
sait. Comme pour toutes les femmes, quand le désir s’invite, insolent effronté, que la
raison s’incline, le parfum d’un homme, une démarche, une voix, tout peut la faire
chavirer, elle en a maintenant l’habitude depuis que la vie la faite femme. Elle
résiste jusqu’au soir et si le feu ne s’est pas éteint, sa main experte remplacera
l’absence d'un homme, tout naturellement, ainsi va la vie. Dans ces moments là, elle
aime son corps, sa propre odeur, ses seins, ses fesses, son nez, elle accepte la
jouissance avec délectation. Demain, le corps calmé, elle se remettra à ses études. Il
le faut, la jeune étudiante s’est fixé des objectifs ambitieux qui ne lui permettent
plus comme au temps du lycée, de se laisser séduire le temps d’un ciné.
Julia est ravissante, d’une beauté cruelle pour ses congénères ce qui l’a parfois
bridé quant aux relations qu’elle aurait pu tisser avec des amies filles. Elle l’a
comprise très tôt en lisant le regard le regard de ses copains de classe qui la
dévisageaient, tout émus de constater qu’autant de beauté, de raffinement pouvait se
concentrer en un seul être. Les ados de sa périphérie en étaient pour leurs frais.
Julia n’en usait ni n’en abusait, elle était en ces temps là simple spectatrice
presque étonné d’attirer autant de regards garçons. Le fait est que maintenant
l’effet que provoquait sa beauté sur l’être humain n’était plus anodin puisque
désormais, Juia en était elle-même la victime gênée, il n’était pas rare en effet que
Julia soit attirée par son propre reflet et que cet émoi déclenche un joli gargouillis
en son ventre bien que tentant de s’en défendre, toutes narines frémissantes. Ce
n’était pas un combat à mener, juste une taquinerie espiègle de la vie qu’il fallait
savoir gérer en tout lieu. Elle n’en était plus étonnée puisqu'elle’ elle avait
surpris certains sourires, certains regards féminins de sa classe, qui semblaient lui
proposer plus que de l’amitié. Que dire de plus ,…que son nez était délicieusement
dessiné, sa bouche charnue à souhait en garantissait le le trait que les rondeurs
s'étaient installées juste où il le fallait que ses oreilles ses joues ses cheveux
courts lui offraient un cachet supplémentaire. Son air mutin, parfois absent, hautin
ou absorbé pouvait décourager bien des prétendants seul un joli sourire, jamais
calculé, enjôleur à souhait, pouvait changer la donne, quand il paraissait vous être
attribué. Il faisait naitre de folles espérances à quiconque s'en était repu. Même le
doigt qu'elle passait naïvement mais énergiquement sous ses narines afin d'apaiser une
démangeaison fugace pouvait être interprété comme une invitation à venir jouer avec
elle. Quel événement pouvait bien venir ébranler une telle quiétude, une telle
assurance, faire douter une telle beauté ?
Un homme !... un jeune homme aperçu dans la rue, dans ses ages, juste un peu plus
grand sans doute, un visage agréable certes, mais qui ne l'avait pas titillé plus que
cela. Si ! Le regard peut être, qu'il lui avait lancé au moment où elle s'apprêtait à
enfourner, pressée, uns viennoiserie acheté au coin de la rue. Dis donc gourmande,
avait il semblé lui dire à cet instant, juste un regard en coin coquin, amusé.
Tout de suite oublié? Pas vraiment. Il s'était invité la nuit suivante dans un de ces
rêves qui vous laisse la journée qui suit des souvenirs de caresses, d'odeurs de mains
qui se cherchent et dont on ne se débarrasse qu’à la la nuit revenue. Cette fois les
nuits suivantes, avaient été souvent courtisées par ce jeune garçon qui s’était moqué
de son appétit . Le matin, depuis quelques jours Julia évitait son visage dans le
miroir, contrariée de devoir expliquer à la beauté qui lui faisait face, pourquoi
elle s’était sentie toute chose, pourquoi l’humidité s’était emparé de son vagin,
pourquoi sa main droite gardait des traces d’odeurs enivrantes, pourquoi son corps
s’était raidi puis détendu, pourquoi le bout de ses seins réagissaient plus que vite
qu’à l'accoutumée à la moindre émotion. Il fallait s’y résoudre, la nature semblait
rappeler à Julia que les choses du sexe désormais devaient compter davantage dans sa
vie. La nature saurait le lui signifier autant de fois que bon lui semblerait.

Au comptoir de la cafet. Il rédigeait un sms sans la voir mais Julia s’était attardée
cette fois sur ce visage qu’elle reconnaissait maintenant, s’étant invité maintes fois
au milieu de ses nuits. Situation particulière de se sentir l’intime d’une personne
parfaitement inconnue. Il l’a vit… et cette fois, à travers les fenêtres et les
miroirs, elle avait reconnu , venant du jeune homme, les mêmes regards , gorgés de
désirs que lui adressaient maladroitement ses petits prétendants d’antan.
Laisser naitre un sourire sur son visage divin, était ce qu’elle était prête à
accorder à ce minet des amphis qui venait maintenant déranger ses nuits depuis trop
longtemps. Tu le connais ce type ? lui avait demandée une amie, des copines de 3ème
année l’appelle le bien monté !avait elle ajouté, songeuse et attendrie.
Mais qu’ont elles toutes avec la taille du sexe ? Les garçons qu’elle avait connus,
lui faisaient perdre toute retenue pendant qu’ils la prenaient, ils étaient à son
gout, normalement dotés et puis voila !C’était bon, que recherchaient elles d’autre ?

Ils mirent du temps à s’apprivoiser finirent par se côtoyer se parler. Puis un jour,
il y eu rencontre ! Ils discutèrent un peu presque nonchalamment sans y mettre plus
d’empressement que cela afin de ne pas se dévoiler trop vite, de ne pas subir
l’affront d’une déconvenue sans doute. Mais il ne résistait pas longtemps, et risquait
une invitation. Il lui proposait de venir assister à un match de foot, dans lequel il
jouait bien entendu. Elle était piégée, ses hormones avaient dit oui sans qu’elle ait
vraiment eu le temps d’analyser la situation. Le travail ne manquait pas, ses
révisions prenaient du retard, mais elle ne pu que répondre : oui pourquoi pas … Le
foot ne l’avait jamais passionné, mais le spectacle de ces jeunes mâles qui se
tiraient la bourre, était assez tentant. Julia avait parfois l’impression qu’ils se
battaient pour les faveurs d’une femme. Qui serait l’heureux élu ? Un seul homme ou
l’équipe toute entière ?Et quelle femme était convoitée ? Julia se sentait l’espace
d’un instant prête à s’offrir à tous, le feu la gagnait il fallait choisir : mettre un
terme à tout ça, ou se laisser mener et tout accepter. Elle pensait avoir quitté le
stade à temps mais il l’avait rejoint. Ça t’a plus ? – beaucoup, charmant ! Il l’avait
plutôt mal pris pourtant Julia l’avait pensé au sens propre du terme, le charme avait
vraiment opéré sur elle.

C’est elle qui lui avait proposé de le ramener, et même de lui offrir un verre, elle
jouait avec le feu, se sentait peut être encore capable de résister aux propositions à
peine déguisées de son prétendant. Il était encore tout collant de ses efforts
sportifs et c’est tout naturellement qu’elle lui proposa sa douche. Dans l’appartement
de Julia régnait désormais une forte ambiance d’amour, la jeunesse de ces deux être
exigeait qu'ils se rencontrent c'était dans l'ordre des choses les hormones les
fantasmes l'érotisme étaient sur le devant de la scène et gagneraient la partie avant
la fin de la soirée. Un parfum inhabituel s’était emparé du lieu, Julia en était
consciente maintenant, tout ce qu’elle avait fait dans sa vie depuis ces jours
derniers, avait provoqué la venue de ce jeune homme chez elle. Elle allait lui
proposer une serviette quand elle aperçu dans la vapeur de la douche le sexe de Yann
...
Ses amis n’avaient pas menti !Elle avait aperçu une belle masse épaisse et lourde qui
regardait vers le sol et qui promettait de se redresser à la plus légère des
sollicitations.
Son ventre gargouillait, son cerveau allait bientôt être envahi de pensées qui la
mettraient à genou ... dans l'impossibilité de renoncer. Si elle ne mettait pas ce
garçon à la porte tout de suite, elle ferait l’amour avec lui ce soi même .Elle lui
avait proposé une boisson, ils s’étaient installés sur le canapé et tout était allé
très vite. Elle avait simplement prononcé ces mot : je ne sais pas … j’ai … je … tu es
très beau .. j’ai très envie de toi …Quand elle déclarait son désir à un homme, libre
ou non, aucun n'avait pu résisté jusqu'alors. Celui-ci ne fit pas exception !. Il
bredouilla un truc qu’elle ne comprit pas, et déjà elle prit sa bouche, Les langues se
cherchèrent sondèrent les cavités de l’autre. Ils se sentaient, se léchaient, se
frottaient, se humaient. La difficulté était pour l’homme de ne pas jouir
immédiatement dans ses sous-vêtements, un tel déferlement de beautés de saveur de
senteurs de caresses de grâce de sexe à sa merci le rendait subitement ivre
d'excitation.
Puis Julia chercha l’entre jambe de son amant, trouva le morceau de chair qui allait
la rendre folle, ferme et décalotté maintenant. Elle fit instinctivement les
mouvements de va et vient de circonstance, se détacha de sa bouche un instant afin de
contempler le membre, sa main et ses yeux n’en revenaient pas. Le garçon lui repris la
tête pour la butiner à nouveau. Il avait faim de cette beauté, de ses jolies narines,
de ce sourire, de cette femme splendide qu’il était en train de séduire, qui
s’abandonnait à lui et qui manifestait désormais son désir de son souffle court et par
de petites plaintes de femme comblée. Il avait glissé ses mains sous son soutien gorge
et avait trouvé une poitrine ferme et opulente aux tétons durcis par l’envie. Il ne
cessait de les câliner de les masser sans jamais quitter sa bouche, avide de baisers.
Elle s’était juste détachée un instant et trouva la force de lui dire – « Tu es bon,
tu sens bon, tu fais ça bien, tu es fait pour l’amour, tu m’excites, tu me … mais il
avait repris sa bouche, il la léchait puis enfournait sa langue, puis les visages se
faisaient face ils se dévisageaient, ils se humaient puis se collaient à nouveau
goulument. Le garçon, lui communiquait toute son excitation toute sa passion, la belle
sentait maintenant l’humidité envahir son sexe qui désormais prenait les commandes,
elle acceptait tout, elle ne refuserait plus rien de son amant.
Ils étaient fous d’amour.

Ils s’étaient dévêtus mutuellement et quand les seins de Julia s’étaient libérés de
leur carcan dentelé, il avait poussé un oooh admiratif flattant l’orgueil de la belle
jeune femme qui lui avait répondu d'un sourire presque gêné. Comme un chien fou
submergé par une violente gourmandise, ils s’était empressé d’aller les titiller, les
lécher, le nez écrasé contre la jeune chair parfumée. Sa verge tendue s’était tout
naturellement présentée à l’entrée du sexe de la belle, et sans attendre d’y être
invité se fraya un passage dans la chair inondée. Ce que ressentit Julia la marqua à
jamais. Un plaisir jusqu’ici inconnu pris possession de son corps. Son pénis l ‘avait
rempli d’un coup. Se sachant performant, son amant contenait ses assauts, allait et
venait délicatement, l’épaisseur du membre faisait le reste. Il ne fallait pas la
faire chavirer trop vite.. pour elle, pour lui …ils voulaient s’aimer toute la nuit.
Le oh ! qu’elle avait poussé, bouche grande ouverte, délicieusement surprise par le
cadeau de chair que lui faisait son amant, s’était sans doute invité dans les studios
voisins et les occupants savaient maintenant à quoi s’adonnaient ces deux êtres qui
venaient de se découvrir, éperdument amoureux.
Le vagin de Julia semblait déguster le sexe de yann, elle avait pris les commandes et
sur lui, les yeux mi-clos imposait son rythme en offrant à son homme le spectacle
enivrant des ses seins, sublimes, libres qui ballotaient au gré des ondulations des
corps. Le jeune homme ne perdait pas une goute du spectacle qui lui était offert. De
ses narines qui frémissaient, du parfum qui s'en échappait, de sa bouche qui parfois
se pinçait délicatement ou s’ouvrait grande, interloquée, laissant s’échapper un
souffle chaud et sonore. A chaque enfournement les fesses de Julia allaient toucher
les belles testicules du garçon et au contacte des deux pubis le membre de Yann
avantageusement proportionné, à chaque butée se relevait. Il allait solliciter
davantage la paroi déjà dilatée du vagin de sa belle, envoyant du même coup une
décharge d’amour vers son clitoris qui ne s’était jamais encore fait courtisé de la
sorte.

C’est alors que que yann lui pris la nuque, la renversa, se retrouva au dessus d’elle.
Il n’avait plus qu’un idée en tête : la féconder ! Ses assauts devinrent plus
puissants, il ne calculait plus, était emporté par son désir qu’il ne contrôlait plus.
Il était chez lui dans le corps de julia, ne demandait plus aucune permission aucune
ne prenait plus aucune précaution, il la prenait, la culbutait, la baisait. Julia
pressait de ses mains les lobes fessiers de son amant, accompagnait ses coup de
boutoir tout en lui adressant des louanges quand son souffle le lui permettait.
Oh que c’est booon ouiiii bon c’est booon, encooore c’est fort humm, merveilleux,
continue, toujours toumour, nieen ouii ooh, ha bour, cur, mour, oh mouiiii son
cerveau ne vivait plus que pour la baise et ne corrigeait plus le flot d’incongruités
qui s’échappait de sa bouche ravie.
Elle agrippait son homme, le nez écrasé contre son corps, grimaçant, geignant, se
délectant de sa chair …

Le torrent de plaisir déferla !... surprise, abasourdie, secouée par l’orgasme qui
l’étreignait. Le soubresauts de son corps durèrent longtemps, ponctués de petits cris
de oooh ... mouiii ... … sa voix s’étouffait dans les hoquets d'un dernier : je
t'aime...

Les pommettes rougies par le plaisir; La tète au creux de son cou, elle goutait la
sueur de son amant puis remontait sur ses lèvres , suçait la langue qu’il lui offrait
. Elle avait senti le jet de sperme lui tapisser le fond du vagin alors qu'il il lui
glissait au crue de l’oreille : tiens, ... c’est pour toi, je te fais notre bébé… elle
avait été à 2 doigts de perdre connaissance.

C’était donc ça, jouir ?! jouir et se repaitre des assauts d’un homme qui ne vous veut
que du plaisir, essoufflée fatiguée sereine apaisé rassasiée, émue et fière d’avoir
été l’objet d’autant de désir.
Ils eurent beaucoup de mal à penser à autre chose que leur sexe, leur désir, leur
corps. Ils restèrent 3 jours ensemble, collés, obéissant à toutes leurs pulsions. Leur
corps rassasiés, acceptèrent enfin de se séparer de se vêtir, sortir , respirer un
autre air que le leur.

Puis ils allèrent diner se contemplèrent souvent, longtemps, attendris, ,
courbaturés, après ce que la vie leur avait offert ces dernières heures.
Ils regagnèrent le nid .. le feu qui couvait, titillait leur sens à nouveau …

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