LE DESTIN DE CECILE TROUILLOT, SERPILLOLOGUE...

- Par l'auteur HDS Masqueforte -
Auteur homme.
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Récit libertin : LE DESTIN DE CECILE TROUILLOT, SERPILLOLOGUE... Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE DESTIN DE CECILE TROUILLOT, SERPILLOLOGUE...
CHAPITRE 2

Perfectionnement....

Le mardi matin, vers 10 h, Michel eu la surprise de voir arriver Cécile, elle descendit de sa voiture et se précipita pour l'embrasser en lui disant « j'ai quatre heures, dresse-moi, puni-moi, baise-moi... baise ta chienne soumise..., encule moi, j'adore comment tu m'encules.... ».
Si gentiment demandé, un refus n'est pas possible, il déshabille sa soumise, en lui faisant remarquer que le port du soutien-gorge et de la culotte, même du string (il prend le temps d'admirer les deux globes qui engloutissent la ficelle... charmant spectacle qui le fait immédiatement bander...) étaient des motifs de punition, puis il lui l'assied sur la table de la cuisine, lui écarte les jambes et lui fait une minette.
ll adore lécher une chatte qui a une odeur de femme, bien baveuse (Cécile doit être excitée depuis un moment, c'est trempé...), pas une chatte fraîchement lavée qui sent le savon, il adore, il se régale.
(Mais qu'est-ce qu'il me fait, c'est fou, je vais encore hurler comme une folle, jamais on ne m'avait fait ça...).
Cécile sous la caresse de la langue, de la bouche de son maître sent son sexe se liquéfier, elle hurle son plaisir.
« T'es tout seul pour faire ça... fais de moi de que tu veux, mais continue à me faire jouir comme ça... », Michel apprécie la phrase de sa soumise, comme un compliment, il est très doué pour faire une minette, c'est une de ses spécialités.
Michel prend sa soumise, l'entraîne dans le donjon, lui attache les mains dans le dos, prend une corde, l'enroule plusieurs fois autour du torse, au dessus et au dessous des seins, puis réuni les deux brins par un nœud les seins pointent, serrés dans le soutien-gorge de corde ; il fait asseoir sa soumise sur un pouf, « suce moi... ».
Il prend les cheveux à pleine main, règle les mouvements de la tête de sa soumise, elle hoquète, il pince, palpe, tire sur les seins, lorsqu'il sent qu'il va éjaculer, il se retire, embrasse un coin de la bouche qui dégouline de bave de sa soumise, l’essuie, lui détache les mains et ordonne « branle moi entre tes seins... ».
« Je sais pas... ».
Quelques coups de cravache bien appuyés sur la croupe et les reins, règlent le problème.
Cécile entreprend de branler le membre de son maître entre ses seins, ses pointes sont érigées comme jamais, Michel sans le voir, sans le toucher devine que son sexe dégouline...
Cécile petit à petit, comprend, maîtrise, elle hurle « j'ai réussi... » lorsque le sperme gicle sur ses seins, son visage, ses cheveux. Elle affiche l'air content, heureux du travailleur qui a réussi ce qu'il considère comme un chef d’œuvre, elle rayonne de contentement.
Elle nettoie ensuite, le sexe avec sa bouche, comme son maître le lui a ordonné de pratiquer, recueille avec ses doigts le sperme sur ses seins, son visage, l'avale, comme elle le fait désormais, non pas gloutonnement, mais en montrant à chaque fois le contenu de sa bouche [leçon encore une fois bien comprise, retenue...].
Cécile allongée dans le lit se cambre de son mieux, pour s'offrir au maximum, son maître après l'avoir pénétrée quasiment à sec, est en train de la sodomiser, lorsqu'il se libère dans son cul, elle crie sont contentement et son plaisir.
Quelques minutes plus tard, il la prend dans son sexe, elle est tellement mouillée que le sexe de son maître lors des premières pénétrations produit un drôle de bruit de floc floc (une première, ça ne lui était jamais arrivé...), son maître prend son temps, ils jouissent ensemble, Cécile dans un hurlement.
Plus tard, Michel entraîne Cécile sous la douche « a genoux... ouvre la bouche... », Cécile s'exécute, son maître prend son sexe dans la main, le dirige, lui urine sur la figure, dans la bouche (elle avale selon l'ordre qui lui est donné, sans haut le cœur, ce qui est plus rare, naturellement en fait...), sur les seins, sur son corps... elle se laisse arroser, elle n'avait jamais essayé, elle adore, le dit...
Séchée, elle est (nue) dans la cuisine, elle déjeune avec son maître.
En mangeant, elle parle : « Tu peux faire de moi ce que tu veux, j'accepte tout, absolument tout, je ne refuserai rien..., je t'aime, je suis à toi, ta chose, ton esclave, je ferai tout, subirai tout, mais je t'en supplie, continue à me faire jouir comme tu le fais... », (la logorrhée dure tout le repas sur le même thème) paroles entrecoupées de baisers au saucisson, à la salade, au ragout d'escoubilles (chers lecteurs, cherchez cette recette, c'est un délice...) et aux pêches de vigne, Michel bon prince se laisse faire, il aime dominer, mais ce n'est pas un maître très à cheval sur les règles de soumission.
Après un café et une petit pipe faite à son maître, Cécile après avoir refusé de se laver les dents (je veux garder ton goût et ton odeur dans ma bouche), repart vers d'autres aventures ménagères.
Dans la soirée, Michel discute au téléphone.
« Alors tu en es où avec le dressage de Miss Aspirateur ? », Mireille Tardou demande des nouvelles à son amant, celui-ci lui raconte les évènements du week-end, de la matinée...
Mireille rigole « Tu vois que j''avais raison, elle était pas baisée. Bon à la Toussaint, je lui apprendrai à lécher une chatte et un cul de femme à miss Plumeau, tu me connais Mimi, je ne suis pas méchante, mais je n'aime pas sentir l'hostilité de quelqu'un, être en bute à sa haine, et s'en était, surtout sans raison, après je me calmerai, mais elle va dérouiller Miss Spontex, après je m'en ferai peut être une copine, d'autant plus que je ne peux pas monter le week-end, puisque tu enlèves les toiles d'araignées de la chatte et du cul de miss Serpillère... gros salaud, gros vicelard...en plus tu t'amuses et moi j'ai encore deux ans à tirer à enseigner l'anglais à des nullards... et mon amant saute sa bonne, mon salaud d'amour que j'aime... ».
Michel apprécie cette déclaration à sa juste valeur, il aime Mireille, mais elle en a pris son parti, il est à peu près aussi fidèle qu'une puce à son chien, elle ne s'en offusque pas et s'en est accommodée... l'idée d'avoir une nouvelle camarade de jeu l'enchante aussi, elle adore faire l'amour avec une femme en présence de son maître...
Le mercredi après-midi, Cécile déboule à 16 h 30 chez son maître, elle le trouve en train de buller dans la piscine ; à poil (ce garçon vivait nu).
Elle se déshabille, plonge, enlace son amant/maître, l'embrasse, d'une main saisi son sexe et commence à le branler...
Elle essaie de le sucer sous l'eau, mais ne réussi qu'à boire une tasse ; Michel rigole... « pas facile, sous l'eau, faut de l'entrainement... surtout en apnée... ».
Il sortent de la piscine, Cécile alors que Mimi se place sous la douche lui dit « Attend, (elle s'agenouille devant lui, ouvre la bouche, présente ses seins avec ses mains, les jambes écartées, dans la position de la soumise agenouillée... [elle a retenu la leçon sur les positions]), pisse-moi dessus s'il te plaît, j'aime ça, c'est chaud. »
Ils prennent leur douche ensemble, Mimi en profite pour branler la chatte de sa soumise, qui commence à réagir, il s'arrête, pas maintenant...
Ils entrent dans la maison, auparavant Michel a sorti du congélateur de quoi faire un barbecue le soir, il fait beau et chaud.
Ils sont allongés dans le lit, Cécile est à plat ventre, cul cambré, Mimi lui lubrifie l'anus, et entreprend de le dilater.
Deux doigts, trois doigts, la soumise gémit, en les serrant l'un contre l'autre, il tente quatre doigts, la soumise crie, il continue, les doigts rentrent jusqu'à la deuxième phalange.
Il enfile sa main dans la chatte, la moitié de la main entre sans problème, il persiste, insiste, la main entre en entier, il en profiter pour faire des aller et retour dans le sexe de sa soumise, elle ne tarde pas à crier son plaisir (une vraie porte de grange, pense-t-il...).
« T'es en train de faire de moi, une grosse salope dévergondée, un grosse pouffiasse, une « pouffarasse » comme vous dites, je m'en fous, j'aime ce que tu me fais et j'accepte tout... ».
Mimi profite de ses bonnes dispositions pour retenter une pénétration du cul de sa soumise, elle gémit, pleure à nouveau, la main rentre cette fois-ci, jusqu'à la troisième phalange, sans le pouce.
Il se lève va se laver les mains, revient avec une serviette de toilette pour protéger les draps, la passe sous sa soumise, se recouche à côté d'elle.
Il caresse la croupe de Cécile, l'embrasse, claque doucement les fesses offertes « On t'as déjà dis que tu avais un cul fabuleux, un véritable appel à la bite... ».
« Non, jamais comme ça... jamais aussi tendrement, j'aime quand tu me caresses.. », Michel lui demande de se retourner, se lève, revient, lui caresse les cuisses, l’entrejambe, le sexe, le ventre, les seins, avec une plume, tout doucement, l'embrasse....
Cécile se met à raconter :
« Tu sais, je ne sais pas ce qui m'arrive, je suis bien avec toi, et j’accepte tout ce que tu me fais, tu vois le père de Van, a voulu une fois m'offrir à un autre, il voulait que nous le faisions à trois, j'ai refusé, je sais que tu va m'offrir à d'autres hommes que je ne connais pas, je sais que j'accepterai.
Je ne pense pas t'aimer, mais je t'aime d'une certaine façon et surtout avec toi j'ai compris que j'avais besoin d'être dominée (Michel continue à jouer avec sa plume, il caresse, frôle les pointes des seins, elles sont érigées, durcies, il caresse tout doucement et lentement avec la plume..., les lèvres du sexe, le sexe, les cuisses sont ainsi traités, il sait que le sexe dégouline...), de plus tu vois, j'aime, je m'en suis rendue compte immédiatement être attachée, contrainte, j'aime la cravache, bien sûr, il y a la douleur, mais je sais qu'après je jouirai comme jusqu'à présent je n'avais jamais joui, alors la douleur je m'en fiche... »
Michel rectifie, « je domine, mais ne suis pas un tortionnaire, c'est un jeu de rôle, cela ne doit rester que cela, un jeu... avec au bout, le sexe ,et une manière différente de le pratiquer... ».
« Tu vois, désormais, je ne veux plus jouir que comme tu me fais jouir, avant toi, la sodomie j'aimais pas tellement, et bien avec toi, j'adore, c'est une fête et je me suis rendue compte que j'adore ça... même si un jour tu me violes à sec, j'adorerai ça (« Ne me tente pas... » dit Michel), tu m'a défoncé le cul avec ta main, j'ai adoré, de toute façon je me doute que si un jour, cinq ou six hommes me sodomisent, j'aurai le cul bien ouvert et douloureux, j'accepte par avance...
Tu m'as dit que tu m'offrirai à d'autres hommes, à des femmes, j'accepte tout par avance, je sais que je serai cravachée par des brutes, je m'en fiche pourvu qu'après ce soit toi... »
Michel apprécie cette confession à sa juste valeur, il se penche sur sa soumise, l'embrasse avec beaucoup de tendresse et d''attention...
« Mimi, j'ai recherché sur internet, j'ai vu des soumises sur des sites bdsm, les seins transpercés par de aiguilles, les lèvres de la chatte traversées pareil, j'aimerai que tu me le fasses, au moins une fois, j'aimerai essayer la bougie sur les seins, et j'aimerai surtout avoir comme Maîtresse Mireille des anneaux aux lèvres de ma chatounne et en plus aux seins... ».
Michel, note le Maîtresse Mireille, explique que tout doit se faire petit à petit, il demande à sa soumise ce que font ses enfants pour les vacances de la Toussaint.
« J'sais pas, ils restent là.. ».
« Si je t'offre l'avion ou le train pour les envoyer faire la bise à Papy et Mamy à Reims, tu serai d'accord ?... ».
« J'suis pas une pute qu'on paye, ton pognon, je sais que tu en as beaucoup, je me le colle au cul... pas de ça lisette... ».
« Ecoute-moi bien, ce soir, je vais te donner du fric, t'es pas une pute, mais tu es toujours un peu sapée, sport, décontracté, les jeans, même slim c'est pas trop mon truc, je suis un « vieux », je préfère le style tailleur, seins et cul bien moulés, chemisier transparent, mais pas trop ; avec soutif transparent à balconnets, porte-jarretelles et bas qui encadrent une chatte et un joli cul à l'air libre, capito !, le look bourgeoise encanaillée, samedi soir nous allons au restaurant.
Je te veux classie, je vais te donner du fric pour que tu emballes ton joli cul et tes magnifiques nénés dans ce qui me plaît, bas, porte-jarretelles, chemisier transparent, je vais t'expliquer ce que tu vas devoir acheter, je pourrais ainsi te violer avec une bonne raison dans la voiture, ou si j'ai une accident quand tu me suceras, j'aurai une excuse.
C'est moi qui paye et le train ou l'avion de tes mômes pareil, ok soumise, quand au fric, mes enfants ont ce qui faut [Cécile connaît leur situation, elle fait un peu partie de la famille, on parle devant elle, effectivement ils ne sont pas à plaindre], je ne dilapide pas leur héritage, alors pas de remords, ok... ».
Mimi explique ce que Céline devra acheter, il a prévu large, elle gardera le reste de la somme, a elle de l'utiliser comme elle veut, en ce qui concerne les vacances de Toussaint, ils tombent d'accord, Mimi offre l'avion (les enfants ne l'ont jamais pris) entre Montpellier et Paris, l'achat éventuel de bagages ou vêtements, Papy et Mamy viendront les chercher à Orly, ils rentreront en TGV...
« Mon Maître m'invite où au resto?... »
« Dans l'Aveyron, t'inquiètes, tu verras c'est super, avec une bouffe pour un gourmand comme moi, miam miam..., je te violerai dans la voiture »
« Pas de promesses non tenues, je tiens à être violée, gros salingue, dégoûtant, ça m'apprendra à sortir avec un vieux, le resto et hop le viol... comme la secrétaire avec son patron, bravo... belle mentalité... j'attends avec impatience, mon amour de Maître... ».
« Dis donc Mimi, pourquoi tu pris ta retraite, tu pouvais continuer, non.. »
« Bien sûr, mais place aux jeunes... je préfère bricoler mes 2 CV et ma 4 L, mon 4x4... à 14 ans je bricolais ma mob et je n'ai jamais arrêté, j'adore bricoler, maçon, peintre, menuisier, mécano, j'aime tout... ».
« T'es un drôle de type toi, il y en a qui se battent pour être connus, célèbres, toi tu l'es et j'en suis sûre tu t'en fous, parle comme un charretier, jouer aux boules avec tes potes, ripailler, aller chasser avec eux, aller aux champignons, vivre comme un plouc alors que t'en es pas un, le reste tu t'en fous... »
Mimi, enfonce un doigt dans le cul de sa soumise.
« Exact ma belle, j'ai acquis une certaine reconnaissance par mes travaux, c'était mon travail, j'étais payé pour, en plus si je le faisais sur mes loisirs c'est que j'aimais ça et je pensais que c'était utile..., les honneurs, tout ça j'en ai rien à carrer, j'ai fait mon taf, je vais continuer à aider des jeunes qui font des recherches dans le même domaine que le mien, mais place aux jeunes, c'est fini pour moi, le bordel qui règne au grenier, mon bureau, avec toute ma doc, à ma mort, direction la bibliothèque de la fac, ils vont drôlement rigoler pour tout classer les mecs... ».
Cécile éclate de rire, le bordel qui règne au grenier, bureau de Mimi est vraiment innommable, tout juste si elle arrive à passer l'aspirateur..., il ya en a partout, le plus étonnant c'est qu'il s'y retrouve...
« T'es un drôle de mec, toi, marrant, en plus je t'adore, tu me fais rire, mais franchement tu devrais adopter un langage un peu moins vulgaire... pour un prof de fac, tout de même... ».
« Dame Cécile, voulez-vous bien vous positionner s'il vous plaît, de manière à ce que je vous tournasse, je vous placerai afin que je puisse, sans trop de contorsions savantes, avoir accès à votre anus, j'ai en effet en projet, en contemplant vos jolies fessounnes de vous enculassez en votre mignon petit trou, jusqu'à ce que mes bourses claquâssent contre vos jolies fesses, en d'autres termes, Dame Cécile, présentez-moi, s'il vous plaît lascivement vos reins que je vous enculassate..., que je vous percutâte et pénétrâtre votre joli et odorant bonbon noir... ».
Cécile éclate de rire et se tourne, se positionne « Guignol, clown..., tu n'es jamais donc sérieux... ».
…. Une séance sodomite s'ensuivit...
« T'es un enfoiré, ça devrait être interdit de faire jouir une jeune fille pure et innocente comme ça... ».
Cécile affiche l'air de la femelle repue, qu'elle est en cet instant précis.
« Cochon, tu me fais jouir à chaque fois, gros vicelard... », elle nettoie, suce, désormais comme elle en a l'habitude.
Cécile a poil, l'aide à préparer la table, la viande et les pommes de terre cuisent sur le barbecue, ils boivent l'apéritif...
« Mets toi a genoux, pose tes seins sur mes cuisses, coince ma bite entre tes seins, tu les serrent l'un contre l'autre et suce-moi... ».
Cécile se met en place, Michel envoie carrément une giclée d'huile d'olives sur les seins, Cécile se met l’œuvre, elle fait coulisser le sexe entre ses seins, le suce, l'aspire, bientôt ses efforts sont couronnés de succès, elle a du sperme sur les seins, la figure...
Ils soupent tranquillement en discutant, Cécile branle vigoureusement son Maître, elle adore avoir son sexe dans ses mains, le branler, le caresser...
Cécile est de nouveau dans le donjon, suspendue par les seins, elle repose sur le bout de ses pieds, elle crispe ses orteils, ses mains sont attachées dans son dos, ses jambes maintenues écartées par une barre.
Michel accroche un morceau de bois avec deux morceaux de chaine terminés des mousquetons, à la chaîne de sa taille, le taquet pend à peu prés à mi-cuisses, dépasse de ses jambes écartées.
Il prend un infâme bricolage constitué de deux bouteilles d'eau en plastique sur lesquelles il a tracé des traits, les bouteilles sont coupées, un fil électrique renforce les découpes, deux fils qui en relient un troisième, terminent l'assemblage.
Il passe les deux fils dans les anneaux qui sont vissés sur le morceau de bois, relie les deux pinces aux fils électrique, écarte les lèvres de son sexe, fixe les pinces... les bouteilles pendent à côté des cuisses de Cécile... les lèvres de son sexe sont écartées, elle gémit ; les pinces compriment trop fortement ses lèvres vaginales, elle a mal...
Cécile ne comprend pas, quand il prend, une troisième bouteille d'eau et commence à remplir les deux bouteilles qui pendent le long de se jambes elle comprend...
Elle se cambre sous la douleur, il lui semble que les lèvres de son sexe vont s'arracher, elle gémit.
Michel imperturbable, branle doucement le con de sa soumise, son sexe, son clito (pas longtemps), il enfonce deux doigts dans le chatte de la soumise et la pénètre violemment et rapidement, comme s'il s'agissait d'un sexe, recommence, prend une plume lui caresse la chatte, recommence...
Cécile ne tarde pas à oublier la douleur, son plaisir est en train de monter, elle ne ressent plus que son plaisir...
Michel s'arrête, rajoute de l'eau dans les bouteilles, Cécile hurle, cette fois c'est sûr, les lèvres de son sexe vont s'arracher.
Michel recommence à lui branler le sexe, elle oublie la douleur son plaisir monte...
La scène se répète plusieurs fois, lorsque Cécile hurle sont plaisir, Michel craint tellement elle remue, s'agite, que les cordes de ses seins vont se défaire, elle tremble, son corps est agité de soubresauts.
Michel s'exclame tout en enlevant les pinces « fan de, j'y crois pas, 400 g dans chaque bouteille, t'avais 800 g suspendus à ta chatte et tu réussis à jouir, chapeau l'artiste... ».
Il ne la détache pas, lui cravache le ventre, les cuisses, les fesses, les reins... elle gémit de douleur et de plaisir...
Cécile est attachée sur le chevalet, son maître vient de finir de se soulager dans son sexe, auparavant il s'était soulagé dans son cul, elle a joui a chaque fois... elle boit à la bouteille...
« Salaud, détache-moi, j'ai mal à la chatte... ».
Une volée de coup de cravache sur la croupe est sa réponse...
« Une soumise doit être polie avec son maître, ne pas être grossière, et surtout fermer sa grande gueule..., elle ne doit l'ouvrir que pour sucer... ».
Cécile se le tient pour dit et se tait...
Il passent une nuit où Cécile est prise de nouveau dans tous ses trous à deux reprises.

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