Le club des cinq : Denise 1 et 2

- Par l'auteur HDS Emile Hubert -
Auteur femme.
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Récit libertin : Le club des cinq : Denise 1 et  2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2012 dans la catégorie Plus on est
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Le club des cinq : Denise 1 et 2
- Reprise du chapitre 1 puis ajout du chapitre 2.

D'aussi loin que je puisse me rappeler j'ai toujours aimé le sexe. Je n'en ai absolument pas honte du tout. Dès le lycée j'ai couché…pas que couché d'ailleurs… à genoux, en levrette, debout, assise etc.… A la condition que le garçon me plaise c'était ok. A ce rythme là il fut évident que ma technique et mon expérience évoluèrent rapidement. Ce furent vite des hommes plus murs que me tournèrent autour. Il faut dire que je faisais plus vieille que mon âge. Sûrement à cause de mon tour de poitrine précocement volumineux. Cela me valut aussi la réputation d'être une spécialiste de la branlette espagnole. Même si la pratique n'était pas désagréable en soit, elle n'était pas satisfaisante pour moi. Cela ne pouvait constituer à mes yeux qu'un préliminaire tant je préférait me faire emmancher par un beau sexe ou sentir un gros membre dans ma bouche. L'appétit venant en mangeant, je me mis à bien aimer sucer (et c'est toujours le cas). Automatiquement la technique vint ave l'expérience. J'eus aussi quelques expériences avec des copines et même un liaison un peu plus longue avec l'une d'elle qui était bi, aussi délurée que moi, et qui me faisait profiter aussi de ses nombreuses conquêtes masculines. Je me souviens d'une fois ou toutes les deux nous fîmes un concours à qui suceraient le plus de garçon lors d'une boum. Elle gagna, elle avait un truc qu'elle m'enseigna après. Pour hâter l'issue sirupeuse, au beau milieu de sa fellation elle enfonçait un index ou un majeur agressif dans l'anus du garçon. Beaucoup apparemment avaient l'air d'aimer et de fait rendaient les armes plus vite. J'ai (beaucoup) tester depuis. Oh, pas pour accélérer l'éjaculation, non pas, mais pour procurer un complément de plaisir à mes amants. Presque tous ont aimé… il faut dire que la zone est sensible. J'en sais quelque chose puisque depuis fort longtemps les plus dessalés des garçons m'avaient initié à la sodomie. Là aussi puisque j'acceptais sans (trop) rechigner ce type de pénétration ma réputation en prit (elle aussi) un bon coup car peu de filles ouvraient cette voie à leur flirts.
Lassée des études j'ai quitté le lycée en ratant mon bac. J'ai trouvé ensuite des jobs sans problème. Mes seins (souvent assez exposés) y contribuèrent largement et comme je n'étais pas farouche et que j'avais la cuisse légère….
J'avais la trentaine quand je connu mon mari. J'avais la belle trentaine, je conserve une quarantaine pas trop mal non plus. Un peu ronde (cinquante huit kilos pour un mètre soixante huit à quarante cinq ans) je suis brune aux yeux bleus. Quand je dis brune, c'est brune… j'ai le cheveux (et le reste) noir de chez noir. J'ajoute une bouche assez sensuelle du type que les hommes aiment et qu'il qualifie souvent vulgairement (mais avec justesse) de "bouche à tailler des pipes". Ah oui, j'allais oublier… je vous en ai déjà parlé… cent … voilà… D ou E…de quoi remplir les mains de tous les hommes que j'ai rencontrés. Çà c'est moi… Denise….
Revenons en à ma rencontre avec celui qui allait devenir mon époux chéri. A cette époque je travaillais dans une société de produits alimentaires. Mon job était de faire la promotion de charcuterie dans les hypermarchés. J'en changeais tous les jours mais revenais chaque semaine dans le même magasin pour fidéliser la clientèle. Ce travail ne me déplaisait pas. Il faut bien gagner sa vie. Comme j'étais avenante et plaisante avec la clientèle féminine et, disons le franchement, un peu allumeuse avec la clientèle masculine je faisais un bon chiffre, d'où un intéressement financier sympa. Au bout de quelque semaine j'avais mes "fidèles". C'est ainsi qu'au beau jour dans l'unique hyper de cette jolie petite ville de province je promotionnait, entre autre, des saucisses sèches. Rien de bien folichons, vous l'admettrez. Sauf que… un habitué, qui venait toujours en fin de soirée, sûrement après son travail, dérapa ce jour là. Il faisait partie de ceux qui me détaillaient complaisamment sans trop de discrétion. Habituée je ne m'en offusquais pas vous le pensez bien. Quelle mouche le piqua ? Qu'est ce qui poussa cet homme d'habitude correct et un peu blagueur à me dire tandis que je lui tendais ses achats :
"Mon saucisson est plus gros que les vôtres…. J'aimerai bien vous le faire goûter !".
Puis brusquement il avait tourné les talons et avait disparu parmi les gondoles sans que je puisse formuler une répartie cinglante. J'en restais éberluée puis amusée. Son style de drague était original pour le moins. La veille de retourner dans ce magasin, je repensais à lui. Allait-il oser revenir ? Qu'elle allait être son attitude ? Je ne vous ai pas tout dit… je ne vous ai pas parlé de lui. En fait, comme homme, il n'était pas trop mal, du genre qui pourrait me plaire, de eux que cassait dans les "possibles". Je décidais donc, s'il revenait, de ne pas me montrer cassante. D'autant que j'étais un peu seule depuis un petit moment. Bien qu'en blouse, j'avais quand pris soin de me mettre un peu en valeur. Deux ou trois fois dans la journée des petits retraités sans illusion m'en avaient fait compliment. Dans la soirée je vis arriver de loin. Il n'avait pas l'air conquérant du tout mais plutôt penaud. Il commença par me présenter ses excuses que j'acceptais bien vite en pouffant. Il se détendit. En guise d'excuse il me proposa de m'inviter à dîner. Sans hésitation je consentis et rendez-vous fut prit à l'hôtel ou j'étais descendue. Toutefois avant de nous séparer, avec une lueur équivoque dans les yeux, il tint à acheter… un saucisson….
Il m'emmena dans un petit restaurant sympa et un peu intime. De ceux ou l'on peu être isolé malgré les autres convives et ou l'ambiance et l'éclairage son propice à la séduction. Il s'y essaya… je lui fit comprendre que j'avais reçu le message. A mon tour, je me fis plus charmeuse. Lui aussi reçu le message. De toute façon il avait été hypnotisé toute la soirée par un bouton de mon chemiser imprudemment défait. Il y eut ce petit moment d'incertitude quand à la fin du repas il fallut bouger. Il me demanda si je voulais aller boire un verre quelque part. je répondis immédiatement :
"Mais… pourquoi pas !... bien sûr…."
"Où souhaitez-vous aller ?"
Et là je fis un mensonge éhonté. Avec un sourire enjôleur je dis :
"Je ne connais pas la ville…. Pourquoi pas chez vous ?"
Ses yeux cillèrent, j'avais marqué un point. Avec une moue appréciatrice et un sourire entendu, il opina. Pendant le trajet qu menait à son domicile, une petite commune périphérique, je ne fis rien pour rabaisser ma jupe qui avait tendance, comme par hasard, à légèrement remonter.
Arrivée chez lui, il me fit entrer dans son salon et je me posais confortablement sur un canapé. Il me demanda ce que je voulais prendre….
Avec un battement de cils et le même sourire aguicheur qui laissa apercevoir un petit bout de langue, je lui répondis :
"Mais… ne m'avez-vous pas promis de me faire goûter votre saucisson ?".
En disant cela j'avais fait un effet de buste et légèrement desserré un genoux dans sa direction. Clairement je m'offrais….
Il délaissa son offre de rafraîchissement et vint s'asseoir à mes cotés. Il posa une main sur mon genou à la fois négligemment mas sciemment découvert et se rapprocha. Il posa un doigt sous mon menton ce qui me fit lever la tête vers son visage et sa bouche qui ne demandait qu'à se poser sur la mienne. Du bout des lèvres, il déposa un baiser léger sur les miennes…un deuxième…un troisième…un quatrième… nos respirations s'intensifièrent…. Sa main glissa sur ma joue et vint se poser à l'arrière de ma tête. Il l'attira et cette fois sa bouche se colla à la mienne et je sentis sa langue venir à la rencontre de la mienne. Elle ne mirent pas longtemps à s'unirent et à se mettre à danser un ballet voluptueux cependant que sa main délaissant mon genoux se posait sur un de mes seins. Ceux-ci furent d'ailleurs assez vite mis à nu sans que ses lèvres ne quittent réellement les miennes. Sa bouche se détourna uniquement pour embrasser, lécher et aspirer les mamelons qu'il avait préalablement fait joliment saillir avec des doigts experts. Pour ne pas être en reste main fila vers son entrejambe. Il me souffla :
"Attends ! Je veux te voir nue avant !".
Il prit donc l'initiative de me priver de ma jupe. Ses yeux s'arrondirent d'admiration.
"J'adore les femmes qui portent des bas ! Souvent c'est révélateur…."
Il me les laissa donc se contentant de me démunir de mon string. Il me fit lever ensuite et me tenant à bout de bras me contempla.
"Tu es magnifique…."
Cet hommage me toucha, mais j'en souhaitais un autre… d'hommage. Et je tendis encore une fois la main vers sa braguette. Cette fois il me laissa faire et fébrilement j'accédais à l'objet de ma convoitise. Belle verge en vérité… pas monstrueuse mais quand même de quoi satisfaire une femme exigeante… moi par exemple. Allez, disons la vingtaine de centimètre sur quatre ou cinq… je ne suis pas amatrice de statistiques ni de mensurations. Je suis plutôt friande de sensations…. Mutine, je voulus le provoquer un peu :
"Bof… oui elle est peu être un peu, juste un peu plus grosse que mes saucisses…mais elle est beaucoup moins longue !"
"Quand tu l'auras dans la bouche, tu ne pourras plus articuler –rillettes du Mans- !"
Tout de suite je me penchais pour lui faire apprécier une de mes spécialités buccales. Il en redemanda. En fait il me fit trois l'amour dans la soirée… et bien en plus…. Éperdue de jouissance, je demandais, lorsqu'il me raccompagna si nous nous reverrions.
"Comme tu veux et quand tu veux ! Je ne veux pas m'imposer mais se serait mon vœux le plus cher… tu es formidable…et au lit aussi….."
Dès le lendemain je le rappelais pour qu'il vienne chez moi. Il tint à faire la centaine de kilomètre et venir dès le vendredi soir. Il resta tout le week-end…. Nous ne fîmes que ça….
Il est impossible de dire, ce week-end là combien de fois ses mains et sa bouche se posèrent sur mon corps, combien de fois ses doigts m'explorèrent, combien de fois je pris son membre dans ma bouche. dès le premier soir il me sodomisa et recommença plusieurs fois dans les jours qui suivirent. Il se dit "fou de mon cul"…et je ne vois pas pourquoi je lui aurais refusé. L'un comme l'autre, apparemment avions trouvé le partenaire idéal.
La séparation fut une déchirure et j'eus hâte de retourner à ce fameux hypermarché. Cette fois au lieu de soir il m'attendait à l'ouverture des portes me faisant promettre d'être à lui. Bien sûr que je convoitais aussi de nouvelles étreintes. En fait je n'avais pas bien réalisé. Il précisa. Il me voulait à lui… pour toujours. Il voulait m'épouser, là comme cela, tout de suite. Je ne pris même pas la peine de réfléchir et consenti. Je crus qu'il allait me prendre contre la porte du magasin….
l'idée fit vite on chemin dans ma petite tête. Dans la matinée j'appelais le DRH de la société, lui annonçais ma démission immédiate, la confirmais par fax. Dans la grande distribution les préavis non pas la vogue et j'allais ensuite voir le directeur du magasin et lui rendis mon tablier. J'appelais Joël pour lui demander de venir me chercher. Il était chez un client et je l'entendis parler d'une urgence lui promettant de revenir dans deux jours. Trois quarts d'heure plus tard il était là et une petite heure encore plus tard il me labourait à grand coup de reins.
Notre vie s'organisa. Il était artisan menuisier ébéniste dans une petite commune jouxtant la ville. Indépendamment de son pavillon il avait son entreprise ou il employait deux ouvriers à qui il me présenta bientôt. Il y avait un ancien, environ un bonne cinquantaine et un plus jeune trente, trente-cinq ans. Je les revis souvent puisque je proposais à Joël de m'occuper de sa comptabilité. Parfois je les invitais à déjeuner. Malgré le fait qu'il m'épient et me lorgnent à la dérobée je dois dire qu'il n'ont jamais rien ni dit, ni tenté. J'étais la femme du patron ! Au plus vite notre union fut légalisée par un mariage. Pas question ni de robe blanche, ni d'église bien sûr mais une petite fête très conviviale. Il ne fut pas non plus question de jarretière de la mariée… heureusement car celle-ci ne porta pas de culotte. Évidemment, seule le et la mariée étaient au courant. La nuit de noce fut aussi un peu différente de la tradition… puisque nous avions déjà testé bon nombre de pratique auparavant mon époux voulut juste que sa nouvelle femme se branle avec un gros godemiché. Pour ne pas être de reste, je voulus que lui aussi se masturbe devant moi. J'y ajoutais une petite touche personnelle…qu'il me jouisse sur la figure….
Tout fut tout de suite merveilleux sur tous les plans. Une vie de rêve… Joël avait trois passion : le bois (c'était son métier), le foot (il faisait partie du club de supporter) et le cul ! Le bois… je n'étais pas très qualifiée, le foot…sans intérêt à mes yeux, alors notre passion commune… le cul. Eh oui ! C'était notre principal centre d'intérêt. Je ne le savais pas au début mais mon Joël était un véritable obsédé et comme j'étais une sacrée souris nous étions fait pour nous entendre. Toute la maison, chaque pièce, recoin placard dépendance peuvent témoigner de nos étreintes diverses. De plus Joël avait une belle collection de films pornos. Nous les visionnâmes un à un. Je l'initiais à Internet et lui fit découvrir tout un tas de site plus hard les uns que les autres. Fantasme récurent chez les hommes, il me voulut épilée intégralement. J'acceptais à la condition qu'il fit de même. Nos corps furent lisses pour se fondre. Fantasme masculin aussi, me voir en tenue sexy et quand je dis "tenue sexy" c'est un euphémisme. J'appris pour le contenter, et j'y pris vite inclinaison et plaisir, à m'accoutrer et me métamorphoser en prostituée à l'usage de mon cher, tendre…et ardent mari. Parallèlement et inévitablement notre vocabulaire s'en ressentit et se mit au diapason de nos débordements. Parfois il revenait de la ville à coté ayant fait un détour par un des sex-shops pour ramener un film, une tenue suggestive ou encore quelques gadget et autres sex-toys. Il n'avait pas voulu que perde mon coté allumeuse. Je crois que cela l'excitait vraiment de voir d'autres hommes avoir des visées sur moi. Parfois je faisais l'objet de tentative de la part de certains plus hardi. Dans ces moments là Joël devenait fou et me poursuivait dans toute la maison pour me faire subir ses pulsions libidineuses. Je ne vous raconte même pas les fois où un téméraire laissait traîner quelques mains baladeuses. Dans ces cas, non n'avions même pas le temps de rentrer chez nous. Il est vrai aussi que nous ne détestions pas les accouplements en dehors de chez nous… forêt, voiture, toilettes de boites et autres parkings. D'ailleurs la présence d'éventuels voyeurs décuplait nos ardeurs. Joël m'avait déjà parlé d'un lieu spécialisé près de l'hypermarché où j'avais travaillé mais nous n'y avions pas encore été. Nous demeurions quand même prudents.
Pourtant chemin faisant et les années passant même si notre flamme lubrique n'était nullement éteinte se posa la question de l'échangisme. Joël n'avait pas de véritable expérience et moi, mis à part mes frasques lycéennes, non plus. L'idée ne nous choquait pas. L'idée de voir Joël prendre une autre femme ne me gênait pas plus que de me faire prendre devant lui ni d'accepter quelques jeux saphiques. J'étais certaine que cela l'exciterait à mort. J'avais raison rien que d'en parler, il bandait ferme. De l'idée à la réalisation il y avait de la marge. Joël prit des contacts et revint toujours déçu. Ce qui achoppait, bizarrement c'était les autres femmes. Finalement en examinant le problème il s'avéra que Joël ne voulait pas sauter une autre femmes que moi. Même si cela était très flatteur, cela ne nous faisait pas avancer vers cette expérience. Conclusion : statu quo…sauf…. Sauf et le poussant dans ces derniers retranchements, il finit par admettre qu'il ne détesterait pas me voir dans les bras d'un autre et même me voir ou me savoir le cocufier. De son avis, là il pourrait même peut être participer. Le fait était nouveau et je l'engageais à me confier ses goûts récents de caudalisme. Il finit par avouer que les lectures, confessions, films lui avait permis de m'imaginer dans ces situations scabreuses. Pas choquée là non plus je promis de mettre l'idée en examen. En fait, en vrai, moi aussi et pour les mêmes raisons que lui je m'interrogeais. Dans ma jeunesse je n'avais jamais fait cela avec deux garçons. Un certain nombre de fois à trois, certes, mais toujours deux filles et un garçon. Devant les images et les témoignages je me demandais vraiment ce que l'on pouvait ressentir en s'occupant de deux sexes en même temps ou pire… être prise en sandwich. Joël m'avait bien fait me masturber des deux cotés simultanément avec de godemichés ou des légumes (courgettes, carotte de compétition, poireaux et concombres). Il m'introduisait parfois un gadget, vibromasseur ou plug, dans l'orifice laissé vacant quand il me sautait. Mais que pouvait-on ressentir écrasée entre deux corps à la merci de deux bouches et quatre mains.
Ce n'est même pas insidieusement que l'idée germa. J'en avais envie, très envie. Pour ne pas blesser mon mari je résolu de jouer l'hésitation pendant un bon moment. De temps à autre il revenait à la charge et je louvoyais. Certain soirs, quand même, il en faisait un peu trop quand pompette et de retour d'un match il me parlait de m'emmener sur un parking de routiers ou me faire violer par l'équipe victorieuse dans les vestiaires du stade. Je dis qu'il en faisait un peu trop, mais l'honnêteté me pousse à dire…et pourquoi pas…. Mon tempérament reprenait le dessus….

II

Notre première expérience faillit avoir lieu en vacances au Sénégal. Pour la dernière nuit j'acceptais que le plagiste, un jeune sénégalais musclé moulé indécemment dans son short, vienne nous rejoindre dans notre bungalow. Nous attendîmes… en vain…. Un quiproquo sur le numéro du bungalow…. Visiblement, une autre cliente s'était appropriée le jeune homme. Je dis visiblement car elle semblait bien avoir du mal à marcher normalement en plus de ces yeux cernés de bistre. Raté….
Je promis à Joël de tenter de recommencer.
De retour au pays, il décida de refaire faire le ravalement de notre pavillon. Pour cela il fit venir un autre artisan de la commune, un de ces copains supporter de foot. Le jour où vint Serge il est vrai que j'étais un peu décolletée. Je le jure, je ne l'avais pas fait exprès. Le maçon ne me quitta pas des yeux. S'en était gênant… pour Joël…. Quand il me salua en partant ses yeux ainsi que sa poignée de mains qui dura plus longtemps que nécessaire en disait long sur ses envies. Mon mari constata :
"Je crois que tu lui plais !
"Tu rigoles ! C'est un vrai goujat ! Tu as vu comme il me regardait ! Pour un peu il m'aurait fait des avances devant toi !"
"Et… qu'es ce que tu aurais dit ? Il faut dire que tu l'as un allumé en lui mettait tes lolos sous le nez !"
Je me récriais question allumage…. Par contre, quelle aurait été ma réaction devant des avances…. Devant mon hésitation Joël reprit :
"Ecoutes c'est l'occasion, depuis le temps que l'on en parle, que penses-tu de lui ?"
Le Serge en question avait l'air très viril, je biaisais en parlant de macho.
"Bon ! Serge est un bon copain… il a une grosse réputation…. Justement celle d'en avoir une grosse et de savoir s'en servir. C'est le moment, ma chérie… je veux que tu couches avec lui et que tu me racontes tout après. De toute façon il m'a dit qu'il t'avait trouvée canon et qu'il espérait te croiser dans la maison pendant les travaux. Sur le ton de la plaisanterie, je lui ai dit qu'il pouvait tenter sa chance. Tu sais ce qu'il a répondu : chiche ?"
"Et toi qu'as-tu dit ?"
"Chiche !"
C'était écrit, décidé ce Serge serait mon premier amant, enfin depuis mon mariage….
A la date des travaux Serge arriva avec un ouvrier et jeune apprenti.
Il vint me saluer Il a eut large sourire en me voyant. Pour exécuter le fantasme de mon mari j'étais en peignoir léger. Je me rendis compte tout de suite que j'étais toujours à son goût d'autant surtout que le peignoir était suffisamment échancré pour ne dissimuler que très partiellement ma poitrine. Je lui montre voir les prises de courant, les arrivée d'eau et lui propose un café. Dans la cuisine il a beaucoup de mal, une fois de plus à détacher ses yeux de mes seins. Je lui fais comprendre que je m’en rendais compte. Il me dit :
"Il ne va pas falloir rester habillée comme ça, vous aller donner des idée à mes gars !"
"Et à vous… cela vous donne des idées… j’ai impression que vous appréciez ce que vous voyez ! Qu’est que vous en pensez "
En disant cela, d'un gracieux mouvement d'épaule le peignoir glissa et ce n'est pas la ceinture mal serrée qui retint quelque chose. J'était en string devant Serge…un joli petit string blanc…très petit….
Je vis ses yeux s'agrandirent, très surpris, il se reprit et dit :
"Toi tu as l'air d'une sacrée allumeuse !"
Je me fis provocante et en passant ma langue sur ma lèvre supérieure je lui murmurais :
"J'aime bien allumer… mais j'adore éteindre…."
Il se levas et s’approcha de moi.
"Toi... je sens qu'on va bien s'entendre ! J'aime les gonzesses comme toi avec de gros nichons et un beau cul ! Ca c’est un chantier qui va me plaire !".
Il me prit les deux seins et m'embrassa voracement, bien sûr je participais. Je sentis ses mains descendre, glisser sous mon string, caresser ma chatte puis mon cul. Pour confirmer mer dires, je proposais
"J’ai envie de te sucer tout de suite !"
Je me mis à genoux, lui sortit la queue de son bleu et me mit a le pomper avec application. Effectivement, je compris ce que voulais dire Joël en disant qu'il avait une grosse réputation. La chose n'était pas tellement plus longue que celle de mon mari, quoique, mais la largeur…. Elle me forçait à ouvrir en grand la bouche pour l'accueillir. Je frémis pour mon arrière train…. Il jouit assez rapidement dans ma bouche, puis je m’appliquais à lui lécher le gland pour le nettoyer. Ravi de ce début, il m'annonça :
"Mes gars ils vont chercher du matériel à midi ils reviendront vers 14 heures, ça me laisse 2 heures pour m'occuper de toi !"
Finalement je demeurais en peignoir mais sans mon string, histoire d'être prête. Je tentais de ne pas trop me toucher pour tromper l'attente de ce qui allait m'arriver. Vers 11 heures 30 (il était en avance) je le vis arriver.
" Maintenant a poil ! Je bande comme un âne ! J’ai trop envie de toi !"
Je fis tomber mon peignoir. Il me pris dans ses bras et me roula une pelle gloutonne. En même temps il mit ses deux mains sur mes fesses pour me soulever et me poser sur la table. Je me renversais sur le dos les jambes relevées. Il commença a me sucer les seins et mit deux doigts dans ma chatte il et se mit à la fouiller. Il passa ensuite à la raie de mes fesses puis mon anus en commentant:
"Voilà un cul qui sert souvent !"
Dans un tourbillon de folie je répondis :
"J'adore me faire limer mon gros cul et Joël me le fait pratiquement tout les deux ou trois soirs !"
Comme pour s'en assurer il se mit a me dilater la rondelle en rentrant trois doigts et faisant des vas et viens énergiques. Il souffla :
"Je n’en peux plus viens me pomper la queue"
Je descendis de la table et me mis a genoux. Il avait enlevé sont bleu de travail et me fourra son membre dans la bouche. Il commença a me limer la bouche en me tenant la tête, puis il s’assit dans le canapé et me dit de venir s’asseoir face a lui. Il dirigea sa queue vers ma chatte et je m’empalais sur sa bite. Je m’appliquais a monter et descendre sur cette queue bien raide pendant qu'il me pétrissait les seins et me roulait des patins baveux. J'eus vite un orgasme et ma chevauchée continua un bon moment jusqu'à mon second orgasme qui' me laissa les jambes flageolantes et le sien qui me laissa le vagin remplit de sa semence. Il me demanda ensuite de lui faire un sandwich. Toujours à nue j’allais dans la cuisine lui préparer. Quand je revins il était toujours assis dans le canapé il prit son sandwich et me demanda de me mettre à genoux entre ses jambes de le bouffer pendant qu’il mangeait.
"Quelle chance a Jo d’avoir dans son lit tout les soirs une grosse salope comme toi !"
Fut le compliment qu'il m'adressa avant de me et limer à toute vitesse a une dizaine de fois puis déchargera son foutre au fond de ma gorge, je me fis un devoir de tout avaler et de lui lécher la queue pour tout essuyer le reste de foutre et de faire disparaître toute traces.
Il se rhabilla pour repartir au boulot il me dit
"On fera ça tous les midis… aujourd'hui, je n'ai plus le temps mais demain, je t'encule !"
"Je veux bien, tu pourras me prendre comme tu veux, mais il faut avant avancer le travail et partir avant que mon mari revienne du travail".
"Marché conclu !" me répondit-il avec un grand sourire. Puis il me demanda :
"Comment je vais faire avec mes deux gars la- haut ? Il vont devenir fou furieux !"
Je lui répondis :
"Eux c’est pareil ! Je veux bien être à leur disposition aussi, mais juste pour une pipe. Un à la pose du matin et l'autre viendra me voir à celle de l'après midi. Je resterai en robe de chambre pour vos envies et vous pourrez vous rincer l'œil."
Je lui précisais que c'était ça ou rien. Il accepta un peu déçu que je limite ma disponibilité. Il finit par me dire :
"Bon Ok, les gars ne discuteront pas les heures supplémentaires. Je mettrai les choses au point avec eux. Mais n'empêche que t’es vraiment une grosse salope toi !"
"Je sais, je sais… Jo me dit très souvent !"
Je passais l'après midi à me remémorer mes frasques de la journée… c'était quand même la première fois que j'étais infidèle à Joël. Cela me fit tout drôle de penser à cela mais en même temps cela m'excita curieusement Le soir venu je racontais toute la scène à mon mari et comment j'avais harponné son copain. Il me sauta littéralement dessus et d'ailleurs me sauta tout court. Il avait hâte d'être au lendemain… et moi donc !
Le lendemain à huit heures mes ouvriers étaient là l'air plus intéressé par moi que par le travail qui les attendait. Serge mit ses gars au boulot et revint me voir.
"Toujours d'accord ?"
Je répondis affirmativement.
"Bon je t'en envoie un à la pause !"
Lequel allait venir en premier….
Vers 10 heures ce fut le jeune apprenti qui frappât à la porte-fenêtre, je lui ouvris il entra :
"Bonsoir, Madame je viens pour… enfin heu ….!"
"Ne t'inquiète pas. Je sais pourquoi tu viens, comment t’appelle tu ?"
"Julien, Madame"
"Tu peux m’appeler, Denise, tu peux toucher. Je fis glisser ma robe de chambre. Il prit mes deux seins dans ses mains joua un peu avec. Je l'arrêtais, il était temps de passer aux choses sérieuses. Je me mis a genoux et sortis sa queue, elle était courte mais très large, il l’enfourna dans ma bouche et je commençais à le sucer en lui caressant les couilles. Il jouit très rapidement…trop rapidement. Penaud, il s'excusa:
"Excusez moi j’étais trop excitée mais j’aimerai tant que ma copine en fasse autant…et si bien !"
Je finis d’avaler son foutre puis léchais son gland, avant de la consoler.
"Ce n’est pas grave, on recommencera demain !"
A midi pile Serge arriva en disant :
"Allez ! Au boulot ma cochonne lèche moi le cul j’adore ça !"
Je lui écartait les deux fesses et commençait a lécher de plus en plus profond la rondelle. Il prenait vraiment son pied. Puis il se retourna et mit sa bite dans ma bouche. Je le suçais depuis un bon moment. En m'observant il demanda :
"Au fait qui ta dit de t'épiler comme ça ?"
Je sortis la queue de ma bouche
"Mon mari, Joël ! Ça te plais ?" et je repris sa queue en bouche.
"Ah ! Voilà un mec qui a raison avec une pute déluré comme toi ! Dommage pour ce pauvre Joël qu’il soit cocu…"
S'avait-il ou pouvait-il imaginer que c'était le cocu qui m’obligeais à jouer la pute, puis que je lui raconte tout le soir venu.
"Bon on va passer à autre chose lève toi que je fouille ta chatte et ton gros cul comme je te l'ai promis."
Je m’exécutais, il me mit plusieurs doigts dans la chatte et aussi plusieurs dans le cul tout en me dévorant les seins. Cela dura un bon moment, puis il me dit de me mettre a quatre pattes par terre il se mit derrière moi et me baisa en force. Très excitée, au bout d’un certain temps très bref je me mis à jouir.
"Tu peux gueuler Denise !.... les gars savent que tu aime la bite !"
Après m’avoir fait jouir, il sorti sa trique et la présenta en m’écartant mes fesses pour forcer ma rondelle, mon cul avait été tellement dilaté qu’il n’eut pas beaucoup a forcer.
"Oui vas-y j'aime me faire enculer !".
"Alors ce serait dommage que je n’en profite pas !"
"Oui, vas y défonce moi le cul j’adore ça !"
Il rentra d’un seul coup sa queue dans mon cul assez doucement mais sans marquer d'arrêt et se mit a limer comme un fou pendant un moment… enfin jusqu'à ce qu'il me fasse éprouver mon second orgasme du midi et qu'il se vide dans mes boyaux. C'était bien comme je l'avais un peu craint… redoutable sur le diamètre mais tellement bon de se sentir ainsi remplie….
Son affaire terminée il repartit bosser et vers quinze heures trente son ouvrier pointa son nez :
"Salut, il paraît qu’on suce gratis, alors tu vas commencer par te mettre a genoux !"
Il s’approcha de moi et sortit sa queue, assez belle et longue. Il me l’a mise dans bouche et je commençais à le sucer en lui tripotant les couilles. Cela alla assez vite, il devait être en période de jeune car il se mit à jouir abondamment sur mon visage. Des qu’il eut fini de décharger, je lui nettoyais la pine à petits coups de langue. Lentement, je sentais le foutre couler sur mes joues. Comme j'esquissais un geste pour m'essuyer il m'arrêta :
Tiens ! Regarde, il y a mon chef et le petit qui te regardent par la fenêtre ! Rapproche toi d'eux et avec tes doigts tu récupère le foutre et tu les suces !"
Je pensais… encore un candidat pour l'oscar du vice… je sus plus tard que c'était Serge qui lui avait soufflé cette idée, ce qui ne m'étonna vraiment pas. Donc, je m’exécutais et me dirigeais vers la fenêtre, ayant récupéré petit à petit tout le foutre et je me mis a sucer mes doigts, le spectacle leur plut énormément… a tel point que je du le réitérer chaque jours.
Après ils sont remontés sur l'échafaudage continuer leur travail. Quant la journée fut finie, ils partirent, mais auparavant, chacun leur tour me roulèrent une pelle tout en caressant les seins. Le chef fit de même et me dit :
"On remet ça demain prépare toi a te faire ramoner !"
Le soir même je racontais tout en détail à mon mari cela l’excita fortement, il me visita tous les trous. Après m’avoir baisé un bon moment, il me sodomisa et me fourra la queue dans la bouche lima jusqu’à se qu’il décharge. <nous nous sommes ensuite couchés et mon mari c’est endormi toute suite. Bien que fatiguée de ma journée, je me mis a mouiller en n’y repensant et en pensant que le lendemain j'allais vivre une journée semblable. Je me mis à me caresser en pensant à ce qui allait m’attendre en me disant "Ma pauvre Denise, tu es une pute, une grande salope…continue… les hommes aiment ça !".
Le mercredi, le jeudi, le vendredi se déroulèrent de la même façon, sauf que, dès le mercredi je dus rester nue en permanence et tous les rideaux ouverts pour leur permettre de me mater en permanence et surtout lorsque je leur faisais les fellations promises. Les deux ouvriers ne se gênaient pas trop non plus pour voir leur patron me présenter ses hommages… un jour face, le lendemain pile… sauf le vendredi ou il y eu pile et face….
Plusieurs fois ils me demandèrent de faire ça de me laisser baise par eux. Mais ce n'était pas ce qui était convenu avec mon. Donc avec un peu de regret, je dus refuser. J'aurais bien voulu essayer ne serait-ce qu'une fois de me faire prendre trois fois dans la journée par trois hommes différents sans compter mon Joël, le soir…. Serge devenait, à mon plus grand plaisir de plus en plus exigeant, me faisant promettre de devenir sa chose qu'il exposait à ses ouvrier en train de se faire enculer assis sur lui pour qu’il puisse jouer avec mes gros nichons ainsi qu'avec ma chatte où il y entrait plusieurs de ses doigts. Il bandait de plus en plus longtemps, il se faisait sucer également et dernier jour, il me demanda de me branler dans le fauteuil les jambes sur les accoudoirs.

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Texte coquin : Le club des cinq : Denise 1 et  2
Histoire sexe : Une rose rouge
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