Peggy2, une charmante stagiaire

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Peggy2, une charmante stagiaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Peggy2, une charmante stagiaire
Je vous ai déjà parlé de Peggy. En fait je ne sais même pas son prénom. C'est juste un surnom (peggy la cochonne) que lui a donné Karine, un peu par jalousie, mais qui, il faut le reconnaître, lui va très bien.
Je vais maintenant vous parler d'une autre Peggy, dont c'est le vrai prénom.
Je l'ai connue il y a huit ans. J'avais alors la cinquantaine et elle à peine vingt ans.
Je travaillais au siège de ma boîte et elle a été embauchée pour deux mois comme stagiaire d'été. J'étais son tuteur, et le courant est de suite passé. Elle était sympa, ouverte, spontanée (elle m'a tutoyé dès le premier jour), très agréable, et mignonne ce qui ne gâchait rien. Elle avait souvent des tenues légères: quelquefois un pantalon moulant, mais plus régulièrement une mini jupe ou mini robe, et même trop rarement un short. Je faisais toujours des compliments un peu coquins, qu'elle prenait avec le sourire. Puis un jour j'ai poussé le bouchon un peu plus loin, ayant appris qu'elle venait en métro:
- Tu n'as peur de te balader ainsi dans le métro?
- Comment ainsi? Je suis habillée correctement.
- Correct, mais un peu sexy, non?
- Tu es comme tous les hommes, il a raison Souchon avec sa chanson, voir sous les jupes.
- Je voulais juste dire que tu pouvais tenter des mains baladeuses.
- Et bien non, ça ne m'est pas arrivé. Mais de doute façon, si c'est bien fait, ça peut-être agréable.
Je me sens un peu mal à l'aise par sa répartie, j'ai le feu qui monte aux joues, elle s'en rend compte et en rajoute.
- Et puis il n'y a pas que le métro pour ça, les mains baladeuses ça arrive aussi au boulot. Et bien d'autres choses plus osées.
- C'est une proposition?
- N'inverse pas les rôles. Tu me branches sur le sujet, je te réponds. Une main au cul, et même une bite, ça n'a jamais tué personne.
Je suis suffoqué par autant d'aplomb, mais parviens à me ressaisir pour lui proposer d'aller aux archives. Elle accepte avec un petit sourire entendu.

On est dans la salle des archives, et je referme le porte à clé pour éviter toute venue. Elle se retourne vers moi:
- Bon, et maintenant, on fait quoi?
Je lui propose de me tourner le dos, et de saisir le bord d'un des rayonnages, comme si c'était une barre du métro, et de me laisser faire sans rien dire. Elle s'exécute sagement, et attend.
Je m'approche et viens me coller à elle. Je bande déjà, et elle doit s'en rendre compte. Je la tiens par les hanches, et me frotte sur sa croupe. Elle me laisse faire, comme une acceptation tacite.
Elle a une mini jupe, et je glisse une main jusque sur sa cuisse, pour la remonter par dessous. Elle semble porter un string, et je glisse l'autre main pour masser ses miches. Je me tiens une trique d'enfer:
- Tu me fais trop bander. Ne bouge pas, il faut que je sorte ma queue, elle est trop serrée.
Je recule d'un pas, et elle ne bouge toujours pas.
Je baisse mon froc et libère ma bite tendue. Je relève sa jupe, et viens la frotter directement sur ses fesses.
- Tu la sens bien ma queue?
- Oh oui, difficile de faire autrement.
- Ca te plait?
- Oui, elle est bien dure, et elle a l'air grosse.
- Tu veux que je te la mette?
- Ca dépend où.
- Je suppose que tu ne vas l'accepter que dans ta petite chatte.
- Non, je la veux dans le cul. Encule moi.
Je suis chaud bouillant, et ne perds pas une seconde. Je baisse son string, fourre mes doigts dans sa raie et la fouille rapidement. Elle se penche en avant, et écarte ses fesses:
- Encule moi, j'ai trop envie.
J'aurais voulu la préparer davantage, mais elle ne tient plus, et moi non plus. Je plaque mon gland sur œillet, et pousse doucement mais surement. Elle m'encourage à nouveau:
- Vas-y, n'aie pas peur, il est bien élastique mon petit trou.
Je m'engage à fonds, jusqu'aux couilles, puis me met lentement en mouvement, pour accélérer peu à peu.
Je l'ai pénétrée sans forcer, sans qu'elle ne pousse aucun cri, et je me dis qu'elle doit avoir l'habitude de se faire sodomiser:
- Ce n'est pas ta première fois petite salope, tu te fais mettre souvent?
Elle me confie qu'elle se gode le plus souvent possible, mais que je suis son premier homme, sa première vraie bite. Je la remercie de l'honneur qu'elle me fait de m'avoir accepté, et m'inquiète de la façon dont on va finir. Elle m'excite trop, et il va falloir que je jouisse, même si c'est trop rapide à son goût. Elle souhaite que je me retienne le plus longtemps possible, pour l'enculer au maximum, puis me propose sa bouche pour terminer. Elle n'a jamais sucé que son gode, et a envie d'une vraie queue juteuse.
Je me retire, elle fait demi-tour et s'accroupit devant moi. Elle mate mon sexe et le caresse délicatement:
- Ouahhhh, elle est belle ta queue! Et ces couilles! C'est la première que je vois en vrai, c'est aussi beau que sur internet.
Elle me branle en douceur, pelote mes couilles, frotte son visage sur mon sexe, le lèche, le couvre de bisous. Je n'en peux plus et annonce mon plaisir imminent. Elle me prends en bouche après m'avoir recommandé de me laisser aller, ne rien retenir.
J'ai à peine mon gland dans sa bouche accueillante que je jouis, gicle, éjacule, décharge, à flots répétés. J'ai peur qu'elle ne se retire, écœurée, mais non. Elle me laisse vidanger mes couilles, et avale tout, éjac après éjac.
Elle me garde jusqu'à la dernière goutte, et même au delà. Il faut que l'on remonte avant que quelqu'un ne s'inquiète de notre absence, et je sonne la fin de la partie. On arrange nos affaires, et je la serre dans mes bras en la remerciant pour ce délicieux moment, et en m'excusant de l'avoir insultée. Elle avait déjà oublié, et me dis que ce n'est pas grave; puis elle me propose de remettre ça les autres jours, et de l'insulter si ça m'aide à bander.
On recommence donc les jours suivant, et c'est de plus en plus chaud au niveau des positions et des insultes, réciproques, à ma demande.
J'aimerais bien passer une nuit avec elle, mais elle vit chez ses parents, et ne veux pas mélanger le boulot et la vie privée.
On fait le pont du 15 août, et elle n'a rien dit chez elle. Je lui propose de faire croire que l'on travaille, et de passer la journée au boulot, seuls tous les deux. Elle accepte sans hésiter.
Je la préviens que je souhaite du très chaud, plus que nos petites séances quotidiennes. Elle veut en savoir un peu plus, et après que je lui ai indiqué mes envies, elle me dit que je suis un salaud mais que je lui donne trop envie.

Enfin le 16 août. Je suis en avance et poireaute devant la porte. Je la vois qui arrive, j'ouvre et me glisse à l'intérieur. Quelques secondes plus tard elle me rejoint, et je ferme à clé. Je la prends dans mes bras et lui roule une pelle avant de lui adresser la parole:
- J'ai eu peur que tu ne viennes pas.
- Je t'avais promis, et puis j'ai trop envie d'être à toi.
Elle plaque sa main sur ma braguette, et je pose la mienne sur sa culotte:
- Tu es une petite salope.
- Oui, et toi un salaud.
- Une belle cochonne.
- Et toi un gros porc.
- Une vicieuse.
- Autant que toi.
- Une perverse.
- Oui, et toi un enculé.
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Je l'ai habituée à dire des grossièretés dans les archives, et l'ai prévenue qu'aujourd'hui je veux les pires de toutes. Elle me fait trop plaisir, c'est bien parti, je la remercie pour cette entrée en matières, et lui roule une pelle intense.
On va dans mon bureau, et je ferme à clé, à tout hasard, et pour qu'on soit plus détendu.
Je l'avais à peine embrassée jusqu'à aujourd'hui, ne l'ai jamais vue nue, n'ai jamais pénétré sa chatte, mais aujourd'hui tout est permis, elle ne me refuse rien. On se déshabille entièrement. Elle est magnifique, et j'ai la queue à l'équerre. On se reprend dans les bras, on s'embrasse, on se masturbe. Puis ma bouche quitte la sienne, et descend dans son cou, s'attarde sur ses seins au pointes dressées, s'attarde encore plus sur sa chatte déjà mouillée.
Je me relève, et la fait s'allonger de dos sur mon bureau, les fesses au bord. Je m'agenouille, relève ses jambes, et reprend mon broute minou. Elle a une vulve très jolie, appétissante, et je me délecte, de son clito, de ses lèvres, de son vagin, de sa cyprine. Je la lèche, la fouille, et me relève pour l'enfiler. Elle n'a pas de protection, ne tiens pas à tomber enceinte, et me le rappelle:
- Tu ne jouis pas, fais gaffe. Tu me l'as juré.
- Ne t'inquiète pas ma chérie, je vais me retenir, et mettre une capote en temps voulu. Mais ce serait dommage que ma queue ne connaisse pas le soyeux de ton écrin à bites.
Je frotte mon gland sur ses lèvres huilées, et m'enfonce sans effort (comme pour son cul, c'est son premier vrai sexe, mais elle est habituée à son gode). Je vais et viens lentement, puis accentue le mouvement. Elle gémit et se tripote le clito:
- hummmmm, tu es trop bonne salope. Quel con j'ai été d'attendre aussi longtemps, je suis sûr que j'aurais pu te baiser dès le premier jour. Tu aimes ça putain, ma grosse queue de vieux dans ta chounette de pucelle.
-Ouiiii, ouiii, c'est bon. Baise moi salaud, Ca t'excite de te faire une minette, vieux pervers. Ohhhh, je la sens bien ta queue, baise moi, baise moi, ouiiiii, encore.....................
Je la lime longuement, dans tous les sens du terme, puis me retire. Je veux la prendre en levrette, elle se lève, me tourne le dos, et se penche sur le bureau. Je suis derrière elle, et la repénètre. Sa putain d'huître est torride, inondée, et ma bite nage dans le bonheur:
- Salope, tu es aussi bonne à l'endroit qu'à l'envers. Que c'est bon de te tringler, de t'embrocher comme un morceau de viande fraiche. Je n'en peux plus petite pute, allonge toi pendant que je me mets une capote.
J'ai apporté une couverture que j'ai étendue sur le sol, et elle se couche dessus, cuisses ouvertes, chatte offerte. Je me suis couvert, et me mets à quatre pattes entre ses cuisses. Je ne résiste pas à l'envie de la brouter à nouveau, et puis ça va calmer ma queue. Je la bouffe avec des ssslluuppp bruyants, engloutis sa liqueur généreuse. Puis je remonte sur elle, et en même temps que mes lèvres se soudent aux siennes, mon missile à tête chercheuse s'enfonce au centre de sa cible. Je la défonce à grands coups de reins, et ne fais rien pour retenir mon plaisir:
- Ohhhh, je viens, je viens salope, je vais jouir dans ton ventre de chienne en chaleur. Ahhhhh, aaaahhhh, ouiiii, ouiii, salope, salope, salope....................
Je rythme mes éjacs et les convulsions de ma queue par des insultes qui nous excitent tous les deux. Elle y répond avec d'autres insultes entrecoupées de ses cris de plaisir.
J'ai tout donné, et je me relève. Elle s'accroupit devant moi et suce ma queue caoutchoutée. J'ai récupéré une grosse épingle dans mes tiroirs et la lui tend. Je pince le réservoir du préservatif, l'étire, et elle le transperce à plusieurs reprises. Puis elle me reprend en bouche:
- Hummmm, c'est bon ça madame, c'est de la salope qui aime les gros biberons. Tête bien trainée, bois le bon jus de mes couilles, du foutre bien chaud.
Elle s'applique à bien pomper, et quand elle se retire, mon étui semble vide. Elle l'enroule sur mon manche, jusqu'au gland, et le retire. Elle finit de le retourner dans sa bouche, et suce tout, le ressort tout propre. Puis elle me nettoie la queue. Je la félicite pour cette première séance:
- Ouahhhh, tu es trop géniale. Je ne pensais qu'on puisse être aussi vicieuse à ton âge. Tu es un de mes meilleurs coups, je t'adore. J'espère que tu vas autant assurer pour la suite.
- Merci, mais tu es très bien toi aussi, même si tu es mon premier mec et que je ne peux pas comparer. Par contre pour ce qui est d'assurer, tu devrais te poser la question, à toi.
- T'inquiètes pas pour moi, tu es le genre de salope qui me fait me surpasser.

La première séance est finie, mais pas la journée.
A SUIVRE............................

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