Dans le Métro 2

- Par l'auteur HDS HDSClow -
Récit érotique écrit par HDSClow [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dans le Métro 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Dans le Métro 2
J'avais pas oublié ma première expérience dans le métro. Je sais pas pourquoi, mais j'avais envie que ça m'arrive à nouveau. J'ai reçu quelques SMS bien chauds du mec de la dernière fois, mais j'ai jamais réellement donné suite à cette affaire. Je compte bien m'en prendre à lui encore une fois. Il l'a bien mérité.

J'ai passé ma journée au bureau à ne travailler qu'à moitié, en pensant à qui je pourrais remplir avec ma queue. Je bande. Je suis à la bourre sur mon boulot et il est déjà 22 heures passées... Je quitte ma tour en traînant un peu le pied, et m'enfonce dans le métro, à la Défense. Il est relativement tard pour le quartier et il n'y a pas la foule habituelle. Je trouve facilement une place assise dans un carré, seul. Arrivé à Pont de Neuilly, un type s'assied en face de moi. Je l'ignore un moment, me demandant pourquoi il se fout juste devant moi alors que la rame est quasi-vide. Puis j'ose le regarder de bas en haut. Il avait des chaussures de ville, bien cirées, un pantalon de costume gris clair, une chemise blanche et une veste grise elle aussi. Il avait l'air d'avoir une trentaine d'années, à en juger par ses pattes d'oie et sa barbe. Il avait les yeux marron et de toutes petites oreilles. Il avait de larges épaules qui laissaient présager qu'il faisait du sport. En s'asseyant, il avait posé sa serviette sur ses cuisses et en a sorti un journal. J'essayais de l'observer le plus discrètement possible pendant sa lecture, mais je me faisais surprendre à chaque fois. Je me sentais con de pas être plus entreprenant, lui expliquer que je voulais juste le prendre violemment et voir à quoi ressemblerait son trou une fois que je lui aurais craché tout mon sperme bien calé au fond de lui. Rien que d'y penser, je sens mon sang affluer vers mon entrejambes.

Je veux pas laisser passer cette chance, on sait jamais. Je regarde derrière moi et je remarque qu'on n'est toujours pas plus nombreux dans ce métro. Je me repose dans le siège et me mets à l'aise. Je fais mine d'avoir chaud et déboutonne légèrement ma chemise pour montrer un peu mon torse et mes poils. Je le fixe toujours et ses yeux se lèvent une demi-seconde de son papier. Il me regarde droit dans les yeux. L’appât a fonctionné. En tous cas pour cette partie. Je lui fais un sourire discret. Il m'ignore et replonge dans sa lecture. Je tente autre chose. J'écarte largement mes jambes et remonte un peu mon pantalon, pour mouler au mieux ma bosse. Encore une fois, j'attire son attention et ses yeux fixent mon paquet. Je lui balance encore mon sourire. Il regarde à ses côtés et derrière lui puis revient sur moi. Je t'ai. Putain il va vraiment me faire bander avec sa tête de timide là. Regarde et profite de ce cadeau encore recouvert. Je pose une main sur ma cuisse et je remonte vers ma queue qui me démange de plus en plus. J'attrape mes couilles bien moulées et les englobe de ma main. Il baisse son journal. Ma bite grossit de plus en plus et pointe vers l'autre côté de ma jambe. Je la parcours du bout des doigts, en délimitant bien le tissu, de sorte qu'il puisse s'assurer de sa taille. Je suis même pas encore à fond, là, mec. Attends de voir. Je continue à me caresser, en insistant bien sur mon gland, maintenant gonflé au maximum. Il borde ma ceinture et fait mine de vouloir sortir. Le mec commence à rougir et il prend un grande inspiration. Il range son journal dans sa serviette et la place sur le siège vide. Je me demande ce qu'il va faire. Il écarte un peu les pans de sa veste et me laisse voir à mon tour son paquet, ma foi bien massif. Moi qui me la pète, je pense avoir trouvé chaussure à mon pied. Il m'imite, commence par ses couilles qui m'ont l'air bien pleines, et s'amuse avec sa tige à travers son pantalon. Il me regarde avec de plus en plus d'insistance, je l'ai hameçonné comme il fallait. Purée, jamais j'aurais cru que ça serait aussi simple. Avec toujours quasiment personne dans la rame, j'improvise encore. Je descends ma braguette et fouille à l'intérieur pour saisir ma courge. J'hésite tout de même à la sortir totalement. Mais je le fais quand même. Je la tends, lui montre bien toute la longueur de mon machin pour le faire baver un peu plus. Je la range aussitôt. Faut pas déconner. C'est bon, il a envie de moi. J'ai envie de son cul. J'espère qu'il est bien serré. Je fais quoi ? Je le fais venir chez moi ? Pas le temps de réfléchir et me prendre la tête. On est à Châtelet. Je me dis que je trouverai bien une idée. D'un signe de la tête je l'invite à me suivre. Bien sûr, il se lève et met sa serviette devant sa bite pour pas qu'on la distingue. Moi, j'en n'ai rien à foutre, je sors tel quel. Tant mieux si tout le monde voit mon paquet. Ça m'excite d'autant plus. Je file à travers les couloirs. Je pense à un truc. On va voir s'il est partant. Je jette un regard en arrière pour vérifier qu'il est toujours là. C'est bon. Je finis par trouver une sortie. Je marche dans la rue des Lombards. Il est derrière moi, à quelques mètres. Je vois une terrasse avec une bande de mecs qui me dévisagent et me sourient. Je m'arrête, et j'entre. Il est entré lui aussi. Je descends aux toilettes. Il me suit. J'entre dans une cabine et laisse la porte ouverte. Il arrive enfin. Je le tire vers moi et je ferme la porte. Il me regarde, un peu terrifié. Je lui souris, pour le rassurer un peu. Il me fait bander encore ce connard. Putain il va prendre cher lui aussi. Je perds pas de temps, je vais l'enfourner et lui faire payer sa timidité. J'ai bien compris ma leçon la première fois. J'ai un berlingot de lubrifiant dans mes affaires. Toujours. On sait jamais. Là je sais. Il ne sait pas quoi faire. Moi si. Je le plaque contre la paroi et défais sa ceinture. Un moment j'avais juste envie de lui arracher son pantalon au niveau des fesses mais je ne veux pas l'humilier à ce point. Mais je garde cette idée en tête. Si c'est pas lui, ça sera un autre. Je baisse tout, le pantalon, le boxer. Je vois ses fesses, bien rebondies et bien velues. Ça m'excite davantage. Putain je vais te défoncer. J'écarte sa chair et je lui fous un doigt direct. C'est complètement souple. Lui, il s'est fait mettre y a pas longtemps. Et pas par un cure-dent. Fait chier, il va pas être impressionné. Il a intérêt à savoir manier ses muscles pour m'aspirer. J'agite ma main profondément en lui et il frémit. J'ouvre ma braguette et sors mon gourdin. Je l'enduis de lubrifiant et sans attendre je le pénètre jusqu'à la garde. Il hurle un grand « han » avec sa voix grave. J'ai rien fait et il kiffe déjà. Aucune tendresse, je le défonce. Il se cambre pour donner de l'effet à la friction et ça marche. Je sens chaque recoin de son cul s'accrocher à mon gland huileux. Putain, cet enculé s'y connaît. Il a dû aspirer des kilomètres de bite avec son trou ample. Il tient ses fesses avec ses deux mains pour les écarter et faciliter encore le passage. Je glisse en lui avec puissance, je peux aller aussi loin que je veux, impossible de lui faire mal. Je me rapproche de lui en le saisissant par la taille d'une main, et par la poitrine de l'autre. Je lui murmure à l'oreille : « tu l'aimes ma queue ? Tu la sens bien là ? Putain t'es complètement ouvert et tu mouilles comme il faut. C'est ça, prends ma queue connard. Elle te faisait envie, hein, tu pouvais pas résister donc tu m'as suivi, hein ? Je vais te refaire ton fion enculé, tu vas sentir mon jus couler en toi, je vais me vider complètement dans ton cul, tu perdras pas une seule goutte, je vais jouir tellement profond en toi que rien n'en sortira, t'auras le goût de mon jus jusqu'au fond de ta gorge, t'auras le cul fécondé, je vais t'inonder avec mes couilles, connard ». Il arrivait à peine à prendre sa respiration, mais il est parvenu à me répondre : «  putain continue, continue, plus loin, vas-y défonce moi le cul, j'en peux plus, encore, continue, jouis en moi, je veux sentir ton sperme chaud dans mon cul ». C'est tout ce qu'il me fallait. A ces mots, j'ai doublé ma cadence. Je lui mordais le cou avec violence. Il était écarlate. Un moment, j'ai vraiment cru qu'il allait perdre connaissance. J'étais pas assez à l'aise. Je me retire. Ma queue est sur-tendue et luisante. J'enlève mon pantalon, je rabats les toilettes et m'assoit dessus. Je le tire vers moi et il s'assoit face à moi, sur ma grosse bite. Elle entre toute seule. Je l'ai dilaté à outrance. Son couloir brûlant m'accueille à nouveau et je soupire de plaisir. Je m'attendais à ce qu'il saute sur moi, histoire que je me repose un peu, mais non, il se contente d'agiter son bassin. D'abord lentement, puis il se démène dans un rythme saccadé. Il ondule sur mes cuisses tel un serpent indien. Il transpire comme un porc. J'adore. Moi aussi je fuis de partout. Je finis par ouvrir ma chemise pendant qu'il se déhanche. Il s'accroche à mon cou pour plus de stabilité. J'avais pour habitude de détester cette position avec les filles car trop molle. Mais lui, putain, il sait ce qu'il fait. Il s'est même autorisé à me caresser la poitrine, sûrement excité par mes pectoraux humides et leurs poils. Il me chatouille les tétons et c'est ce qui causera ma perte. Alors que j'étais loin d'en avoir fini avec lui, je sens une chaleur me traverser le corps et le moment est déjà venu. Je lui dis que je vais jouir. Il entre alors dans une transe et ses mouvements s'accélèrent. Je n'ai jamais ressenti ça. Ses muscles du cul me serrent puis me relâchent sans que je ne comprenne comment. Je le serre contre moi pendant qu'il s'exécute et je sens mes sens me faire défaut. Mes couilles se compressent et crachent leur contenu. Je hurle de plaisir quand mon foutre remplit son anus alors que je suis collé à son torse. Il continue de danser sur moi et de nouvelles salves se cumulent dans son cul. Ma bite est ultra sensible. Je sens chaque centimètre de ma queue entrer en contact avec son fion. Il ne s'arrête pas ce connard. J'en peux plus de juter. Il se met à branler sa grosse queue et jouit à son tour. Il contracte ses muscles et je sens son sperme chaud s'écraser sur ma poitrine. Ça ne m'était pas encore arrivé. Y en avait des litres. J'ai dû lui en foutre autant dans son cul. Il me regarde en respirant fort. J'ai envie de l'embrasser. Putain. Je l'embrasse. Je le prends dans mes bras et lui défonce la bouche avec ma langue. Tu l'as bien mérité connard. Je lui caresse la poitrine. Il doit faire de la muscu aussi ce con. Ma bite est encore en lui. Ma bite est encore dure. Ma bite est encore prête. J'ouvre sa chemise, je lui pince les tétons, comme il m'a fait. Son torse est velu aussi. Sa barbe me pique, c'est bizarre. Mais pas déplaisant. Son sperme est partout sur nous deux. On pue la transpiration. On suinte. J'adore. Je bande encore. Je vais le rebaiser. Je vais pas pouvoir m'en empêcher. Il me regarde, lui aussi a clairement envie. Je suis encore dans la flaque tiède qu'est devenue sont cul et lui est sur mes cuisses, à me caresser les bras et les épaules. Je malaxe ses fesses en lui mordant le cul quand la porte s'entrouvre. Quel con, j'ai pas fermé à clé, tellement pressé d'en finir avec ma proie. Nous nous arrêtons quand une tête entre dans la cabine. C'était un des mecs qui me matait sur la terrasse que je me suis permis d'ignorer. J'aurais pas dû. « Mes potes et moi on avait parié que vous étiez venus pour ça, on avait raison. Ne vous rhabillez pas ! Je vais en profiter moi aussi, y a pas de raison ». Il était là, devant nous, déjà la main sur sa braguette, prêt à prendre part à cette sauterie improvisée. On pourrait lui aussi le qualifier de « bear ». 1,90m, très musclé, une grosse barbe lui traversant la face, blond avec des reflets roux, et plutôt beau garçon. Son jean était déformé par une grosse érection. Je ne serais pas étonné de savoir qu'il nous écoutait depuis le début. Tout cela n'excuse pas l'intrusion, et encore moins le fait qu'il soit nul en physique spatiale : comment est-ce qu'on va tenir à trois dans cette minuscule cabine ? Y a pas écrit « gymnaste chinois » sur mon CV. Mais la tournure des choses m'échappe. C'est ma victime. Pas la sienne. C'est pas lui qui fait tout le travail de séduction, de manipulation et de satisfaction sexuelle. Il a joui grasse à mon pénis et ma semence. J'avais envie de lui sauter dessus. De lui en foutre une et de m'en prendre à son cul à mon tour. Il a dû voir mon agressivité dans mon regard et s'est approché avec prudence. Il déboutonne sa chemise à carreaux et laisse entrevoir sa poitrine, extrêmement velue, couverte de ce qui semblait être de l'or. J'étais fasciné par son corps à la fois si semblable au mien et si différent par sa couleur. Son autre main saisissait son grand sexe à travers le tissus et le secouait, comme pour nous prouver qu'il était digne de nous rejoindre. J'étais curieux de le voir à l’œuvre. De la possessivité, je suis passé à l'esprit de compétition. Je lui dis : « tu penses être de taille ? Tu crois que tu peux te faire une place en lui ? ». Il me répond : « Regarde comme il est encore dilaté. T'as beau te croire bien membré, il peut encore me prendre moi, et toi à la fois ».

Le mec se retire de ma queue encore bandée et mon sperme s'écoule d'entre ses cuisses. Je me lève à mon tour et m'adosse à une des parois. Mon enculé pose son pied sur la cuvette et son cul pisse mon foutre à nouveau. Je le colle à moi et entre en lui directement. Le nouveau s'approche et oriente son gros champignon vers son orifice gluant. Il force un peu et voilà son gland à l'intérieur. Il pousse un peu plus et je sens sa queue se frotter à la mienne. Quelle sensation. J'ai enfin l'impression que son cul est serré. Nous nous tenons difficilement au début mais nous trouvons un équilibre assez rapidement. Ma victime a l'air d'avoir connu pire, il me sourit. Je lui souris à mon tour, curieux de la suite. « Putain mais tu l’as complètement remplit, c'est tout humide dedans, génial. Je vais te défoncer à mon tour. Tu vas te prendre une double giclée, tu vas t'en rappeler. Et toi, t'as intérêt à tenir ma cadence, je suis pas du genre doux, c'est compris ? » Un peu intimidé et totalement excité, je hoche la tête. Il n'a pas menti, il y va à fond. J'ai l'impression de me faire baiser la bite. Et j'adore. Je le laisse mener pour pouvoir mieux m'adapter par la suite et le rejoindre dans sa danse. Nous trouvons un rythme soutenu et alterné qui fait hurler notre enculé. Le squatteur se met à transpirer à son tour. Il se tient à la paroi avec ses deux mains posées de part et d'autre de ma tête. Il se permet de me caresser le visage, puis m'embrasser en éloignant la tête du mec du milieu. Je ferme les yeux et me laisse faire. Il est doué de sa langue. Du bout des doigts, je lui touche les fesses et imite le mouvement de son bassin, l'incitant à y aller plus fort. J'ai comme l'impression qu'il est en train de me baiser, et ça m'excite d'autant plus. Je veux sentir sa grosse queue glisser contre la mienne dans un mélange de sperme et de sueur. Je suis complètement captivé. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive. J'en oublie presque que je suis en train d'enculer quelqu'un d'autre. Cela devient n'importe quoi. Nous embrassons tous les uns les autres et nous crions de plus en plus fort. Je sens que je vais bientôt venir. Je sens une giclée chaude contre mes abdominaux. Il a joui sans même se toucher. On y a peut-être été un peu fort. Je crie que je vais jouir, le nouveau aussi. Soudain, la température du cul de notre enculé se met à augmenter à mesure que nos pénis crachent leurs jus. Tout devient plus glissant et plus jouissif. Mes sens perdent le nord et mon esprit devient flou. Le troisième nous enserre en éjaculant et je suis capable de sentir chacune des pulsions de son membre qui le mitraille. Nous ne retirons tous les deux et c'est une flaque blanche qui s'écrase au sol, un demi-litre de purée. Nous nous regardons tous les trois, fiers de nos exploits.

Plusieurs minutes plus tard, nous discutons autour d'un verre dans le même bar. J'ai désormais les coordonnées de mes deux compagnons. Je suis complètement intrigué par le blond. Je ne sais pas ce qu'il m'a fait, mais je dois le revoir.

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