incroyable mais vrai

- Par l'auteur HDS Chevalarcer -
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Chevalarcer ont reçu un total de 4 179 visites.
Récit libertin : incroyable mais vrai Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 179 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
incroyable mais vrai
Voici l’histoire qui vient d’arriver à notre couple en cette semaine de vacances scolaires.
Nous sommes un couple marié depuis 7 ans avec deux enfants, Christine 39 ans 1m69 pour 79kg avec une très opulente poitrine, moi 41 ans 1m70 pour 63kg. Physiquement nous sommes tous deux ordinaires, ma femme faisant preuve de quelque embonpoint.
Nous venons de nous faire livrer notre maison, et pour fêter cet événement, nous avons profité de l’absence de nos enfants (en vacances chez la grand mère), pour nous organiser une sortie resto.
Après le resto (apéritif et vin à table) déjà… dans l’euphorie de ce qui nous arrive, nous décidons d’aller en boîte pour nous y amuser, chose que nous n’avons jamais faite. Nous nous rendons dans une discothèque pas loin de chez nous que nous connaissions de vue (région parisienne) et prenons 2 entrées avec 2 consos alcoolisées évidemment. Nous nous sommes repayés deux verres chacun, et je dois dire que ma femme était plutôt extravertie à partir de ce moment, notamment sur la piste de danse. Elle s’éclatait plutôt pas mal pendant que moi je préférais regarder en buvant mon dernier verre. A vrai dire elle avait comme on dit un coup dans l’aile !
C’est vers minuit, que j’ai été abordé par un type d’environ 30 ans de type maghrébin qui se pointe à notre table pendant que ma femme dansait toujours. Avec une bouteille de whiskies à la main, il me dit, pour résumer, qu’avec deux de ces copains présents à une autre table, il nous a remarqué, nous a trouvé plutôt sympathique, ma femme assurant un spectacle qu’ils trouvaient soi disant sympa etc. etc. etc.…. et qu’ils souhaitent nous offrir à boire.
Moi, naïf, je trouve ça plutôt cool, et accepte l’invitation. Nous nous retrouvons à 5 à la table à boire la fameuse bouteille, et chose à laquelle je n’ai pas fait gaffe, surtout ma femme et moi buvions. Plus tard dans la soirée, la voici franchement ivre, chose que je n’avais jamais vue car elle sait d’ordinaire se contrôler, et moi bien parti aussi.
A un moment, ma femme était repartie danser accompagnée par les deux copains, celui qui se faisait appelé Mohcine me fit remarqué que ma femme s’éclatait pas mal avec ces copains et qu’elle avait l’air très libre. Devant mes yeux je voyais maintenant ma femme se faire draguer ouvertement par les deux autres, presque se faire peloter sans qu’elle ne trouve rien à redire.
J’ai été à la fois choqué par son comportement et excité. Je pense que l’alcool aidant, c’est l’excitation qui a pris le dessus. Et Mohcine me dit alors, en résumé toujours, « elle semble être franchement chaude et doit s’éclater souvent », j’ai vite répondu que non, ce n’était pas le genre de la maison. Lui me répond qu’il pari tout ce que je veux que je me trompe. Et à ce petit jeu du « tu te trompes » « jamais de la vie » « t’as de la merde dans les yeux » etc.… il me dit la chose suivante « je connais un pote qui peut te prouver que tu ne connais pas ta femme, et qu’elle est capable d’être une vraie salope ».
Je n’étais plus en état d’être choqué par des termes aussi crus sur ma femme de la part d’un type que je ne connaissais pas, et lui dis, je ne sais pas encore pourquoi je l’ai dit, « alors là je demande à voir, si elle est d’accord ».
Et là, la soirée bascule, il passe un coup de fil et me demande de les suivre en voiture, sachant que je n’ai rien obtenu de ma femme de concret tellement elle était dans son état second, toute contente de voir qu’on s’intéresse à elle dans une soirée, en plus de l’alcool. qui faisait son effet.
Nous nous arrêtons sur le parking d’un foyer de travailleurs, et entrons dans une chambre avec son lit, sa table, sa chaise, sa télé. C’est tout ce dont je me rappelle du décors. Un black, locataire des lieux semble t il, nous ressort une bouteille pour trinquer à l’amitié et je ne sais plus quoi d’autre, et revoici un peu plus d’alcool ingéré notamment pour elle qui ne s’arrête plus de boire. Youssouf commence alors carrément à lui peloter les seins comme si je n’étais pas là. D’ailleurs j’ai bien remarqué qu’à ce moment je n’existait plus pour le groupe de 4, Youssouf le black et les trois maghrebins rencontrés à la discothèque. Mohcine me dira juste à ce moment précis « tu vas voir ce que je t’ai dis ».
J’ai vu tout de suite que bien evidemment elle n’était pas d’accord de se faire peloter, car elle a tenté d’enlever les mains de Youssouf, mais il était plus fort qu’elle,et surtout avec ce qu’elle avait bu, il lui était impossible de faire quoi que ce soit. La seule chose qu’elle faisait, c’était de dire « non, non, non, pas ca, je veux pas », prononcé à la manière de quelqu’un de bien bourré. Et là les choses se sont accélérés, Youssouf a vigoureusement retiré le pull de Christine assise sur le bord du lit, puis tout aussi furieusement le tee shirt laissant apparaître sa grosse poitrine dans son soutien gorge bleu, un peu juste pour elle. Il donna un ordre que je ne compris pas à un des trois autres, qui quitta la chambre. Puis il lui enleva son soutien gorge pour laisser exploser sa poitrine au grand air sous le regard de tous ceux présents dans le chambre.
Il la projetta en arrière su le lit, et avec une vitesse dont je ne me rendais pas compte, lui enleva ses chaussures, ses chaussettes, puis son pantalon noir. Christine se trouvait en quelques instants allongée en slip sur ce lit, toujours en train de dire les mêmes choses depuis le début de son déshabillage. Le slip bleu ne resta pas longtemps à cacher son sexe. Youssouf qui menait tout depuis notre arrivée lui enleva sans qu’elle ne puisse rien faire . Quant à moi je n’intervenais pas, incapable de bouger par ce que j’étais en train de vivre.
Christine était maintenant nue sur ce lit, essayant de se cacher les seins, le sexe assez poilu, mais son état de lui permettait de ne rien faire, surtout face à la détermination de Youssouf qui baissa son pantalon et son slip, laissant apparaître une belle queue déjà en érection. Il sauta litéralement sur le lit, puis écarta les jambes de ma femme pour la pénétrer sans aucun préléminaire d’aucune sorte, à sec comme on pourrait dire. J’étais positionné du côté du pied du lit, et ne voyais donc pas le détail de la scéne, mais j’ai entendu le cri étouffé de Christine qui venait de se faire pénétrer.
Je ne sais pas combien de temps il a limé ma femme, mais pendant tout ce temps, elle gémissait, appelait d’une manière fort peu distincte. Il a finit par éjaculer en elle, et en se relevant, tout en remettant sa queue dans son pantalon, il dit à Mohcine « elle est prête vas y ».
Je n’avais encore rien vu de ce qui allait se passer. Ce fut au tour de Mohcine de se taper ma femme. Je suis certain d’avoir entendu à ce moment le bruit que fait une chatte bien mouillée quant on la lime. Est ce qu’elle prenait son pied involontairement, ou était ce le foutre de Youssouf… Mohcine lui remplit aussi la chatte. Puis se fut au tour de son copain d’en faire autant dans les mêmes conditions, sauf que lui était plus violent que les autres, il arrivait par moments à lui malaxer les seins sans aucune douceur en lui parlant crument de ses « tétons » avec comme une haine dans sa voie. Il n’a pas éjaculé me semble t il en se retirant vivement.
A ce moment la porte s’est ouverte, tous sont sortis sauf Mohcine qui me demande de rester. Et lorsque j’ai vu entrer un mec que je ne n’avais pas encore vu, j’ai commencé à avoir une érection, car je venais de comprendre ce qui allait se passer. Ma femme allait être livrée aux assauts d’un certain nombre de locataires du foyer. En fait ils ont été neuf, en plus de Youssouf , de Mohcine et de son copain. Le quatrième avait depuis longtemps disparu, certainement pour gérer la file de ces travailleurs en manque de sexe féminin.
Pendant ce défilé j’ai tellement bandé, tout en étant super excité par ce que je voyais, que je me suis éjaculé dessus sans avoir besoin de me toucher . Je n’avais jamais connu ça avant.
Certains mecs ont tenté de se faire sucer, mais la seule chose que pouvais faire Christine avec sa bouche c’était gémir. Il se sont tous vidés en elle ou sur elle.
Une fois le groupe passé, le copain de Mohine lui est retombé dessus avec la même violence dans les gestes et la façon de la baiser. Cette fois il s’est vidé sur son visage.
Ils m’ont ensuite très vite expédié dehors, avec ma femme a moitié habillée, et m’ont demandé de ne jamais rien dire à personne. Quant à Christine, elle était tellement beurrée, que je n’ai eu aucun mal à lui faire croire qu’elle s ‘était tapée volontairement les trois mecs de la boîte, à sa grande honte. Je ne vous dit pas le lendemain l’état de sa chatte !

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : incroyable mais vrai
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Chevalarcer

incroyable mais vrai - Récit érotique publié le 20-08-2006