Au bout du monde - 2

- Par l'auteur HDS Ingyt -
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au bout du monde - 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bout du monde - 2
Sur la route

Je fus obligé de me stationner en double devant un petit café juste à côté du terminus
d’autobus où devait m’attendre un homme rencontrer la veille. Il m’avait invité a
passer quelques jours a son chalet sur la Cote Nord, au bout du monde et j’avais
accepté car j’avais grand besoins de repos. J’étais au bout du rouleau, mais j’avais
surtout besoin de changement et de m’éclater un peut. J’enlevai mes verres fumés
tandis que des conducteurs impatients s’accumulaient déjà derrière mon 4x4 attendant
un trou dans la circulation pour me dépasser. En enclenchant mes clignotants
d’urgence, je ne vis qu’une femme assise à la terrasse du café qui regardait dans ma
direction et qui se leva en ramassant un gros sac à dos. Pas trace de mon étrange
amant. Le croyant a l’intérieur je donnai deux petits coups de klaxon tout en
apercevant cette fille superbe aussi grande que moi, une brune aux longs cheveux
raide, venir vers mon 4x4, marchant fièrement tête haute. On aime bien se comparer
nous les filles, je la regardai donc s’approcher en espérant que l’autre se manifeste
au plus vite. Ça commençait à s’impatienter sérieusement derrière. Elle semblait avoir
dans la quarantaine et portait un jean taille basse, très moulant, préalablement
déchirer aux genoux et aux cuisses et une blouse bourgogne pas mal décolleter qui
laissait deviner un soutien-gorge en dentelle noir et des seins plutôt lourds qui
sursautait même si elle ne portait que des sandales. Une grande femme avec un sacré
déhanchement qui n’avait rien à m’envier.

À 50 ans, fraîchement divorcer et sans enfants, j’avais presque réussi à garder ma
silhouette de mannequin grâce à un régime strict et à des exercices quotidiens et j’en
étais fier. J’étais même encore considéré comme l’une des femmes les plus sexy de la
télé québécoise et ça m’étonnait toujours. Même si j’étais bien consciente qu’une
bonne partie de la population mâle du Québec rêvait de se retrouver entre mes cuisses,
moi, je me trouvais des plus ordinaires. Jamais je n’aurais cru qu’un jour je
deviendrais un sex-symbol et pourtant...

Un coup de klaxon me ramena à la réalité...

« Merde ! Qu’est-ce qu’il fait ? Il a peut-être changé d’idée et décidé de me poser un
lapin. »

À part cette fille qui s’approchait, il n’y avait que des noirs assis a la terrasse et
qui la regardait langue a terre. J’étais en train de me demander s’ils allaient me
regarder de la même manière quant j’allais devoir entré a l’intérieur pour voir s’il
était la quant elle m’envoya la main une fois près de mon camion et soudain... je
compris. « T’inquiète pas, je vais te reconnaître, » m’avait-il dit au téléphone ce
matin. Ça m’avait bien fait rire, comme je suis une vedette du petit écran, tout le
monde me reconnaissait, mais là, je comprenais vraiment ce qu’il avait voulu dire. Mon
coeur bondit et se mit a cogné très fort dans ma poitrine tandis que je plissais les
yeux de surprise bouche ouverte, tête en avant.

« C’est pas vrai ! » Me dis-je tandis qu’elle ouvrait la portière du coté passager
pour rester la, a me sourire un peut tristement avec son sac a l’épaule.

— C’est toi ? Dis-je éberluer.
— Déçut ? Fit-il ou fit-elle, je ne savais plus.
— Plutôt surprise.

Je l’avais séduit hier soir dans un bar et il m’avait ramené chez lui. Ma première
aventure depuis mon divorce après plus de 25 ans de mariage. Un homme discret, timide,
intelligent et quelque peu efféminer. J’avais eu la surprise de découvrir qu’il avait
des seins, des vrais, une curiosité de la nature qu’il cachait sous des bandelettes.
Étrangement, moi qui n’avais jamais été attiré par une femme, cela m’avait exciter. Ce
mélange homme femme était très troublants, pénis et poitrine. Je me doutais bien qu’il
s’habillait aussi en fille d’après ce que j’avais vu cette nuit dans sa salle de bain
mais je ne m’attendais vraiment pas a ce qu’il ce pointe comme ça aujourd’hui. Non,
vraiment pas.

Même sa voix me parut plus féminine qu’hier comme si c’était possible. Il n’avait pas
l’air ridicule, mais pas du tout. Rien à voir avec les grandes folles du village gay
que l’on voit dans les parades, bien au contraire; maquillage discret qui accentuait
la beauté de son visage anguleux, ses beaux yeux noirs paraissaient plus étirer et du
rouge luisant épaississait ses lèvres. Il, enfin elle, portait le même rouge sur ses
ongles mis long. Sans pouvoir m’en empêcher, je regarder sa taille bien découper par
la blouse ajuster, ses hanches superbes et son entre-jambes, impossible de deviner
qu’il y cachait un pénis, que cette belle grande fille était un gars. Il fallait
vraiment le savoir et elle riait de me voir l’examiner comme si j’étais un homme en
manque. La tête me tournait, je rougissais et je suais a grosse goutte. Je lui enviais
même ses grands cils, des vrais, et ses lèvres un peu boudeuses en me sentant
ridicule. J’étais sous le choc et un peu déçu, il était si mignon en homme et je
réalisais que j’allais devoir penser à lui maintenant... au féminin.

— Je monte ?

Un coup de klaxon me ramena une nouvelle fois à la réalité tout en devinant qu’il
devait être pas mal nerveux de se présenter comme ça. Mais je n’hésitai pas une
seconde.

— Ben oui, monte.

— Wow ! Fit-elle en grimpant pour lancer son sac sur le siège arrière un peu
décourager par tout ce qui s’y entassait. Tu déménages ?
— Désoler, dis-je en la regardant s’attacher, mon regard baissant bien malgré moi vers
son décolleter profond, mon camion c’est mon deuxième chez moi.

Elle se contenta de me regarder avec un étrange sourire tandis que je reprenais la
circulation. Elle aurait pu poser pour un magazine de mode, elle aussi, et sûrement en
maillot. Je n’en revenais pas, mais comme j’étais une fille ouverte d’esprit qui
n’aimait pas porter des jugements hâtifs sur les autres, je trouvais la situation
plutôt cocasse et même troublante.

— J’ai été surpris que tu me rappelles aussi vite. Dit-elle en ramenant ses longs
cheveux droits derrière ses oreilles d’un geste si féminin et très naturel.

Elle portait de jolies boucles d'oreille en argent, des petits dragons, avec un
bracelet assorti au poignet droit et une montre délicate. Il parlait de lui au féminin
alors j’allais devoir m’y mettre aussi. J’avais même l’impression d’avoir tout
bonnement embarqué une femme, une étrangère qui voyageait sur le pouce.

— WAIS, moi aussi, mais j’ai vraiment besoin de vacance. On pend le tunnel pour sortir
de Montréal ?
— Oui !

On roula un moment dans l’intense circulation et elle me demanda :

— Pas trop décontenancer par mon apparence ?
— Oh oui, ça c’est sur ! C’est pas croyable, je ne t’ai pas reconnu. Hier, chez toi,
en voyant toutes ces choses pour femme dans ta salle de bain je me doutais bien que...
mais la. Wow ! Je suis même jalouse.

Cela parut la rassurer, probablement aussi le fait que je l’aie laissé monter. Mais
honnêtement, je me demandais si j’avais bien fait et elle parut le deviner.

— C’est encore le temps de me larguer au coin de la rue tu sais, je vie en fille la
plupart du temps, je comprendrais t’en fais pas. Tu pensais partir en vacance avec un
homme et la... Mais tu étais si pressé ce matin que...
— Non, ça va. Ouf, j’ai chaud. Dis-je en baissant ma fenêtre en la regardant rire les
yeux luisants et tout petit, si semblable aux miens.
— Quoi ? Demandai-je en riant moi aussi.
— Tu te sens un peu lesbienne je paris ?

Cette fois, j’éclatai de rire en prenant la direction du tunnel qui passait sous le
fleuve St-Laurent. J’étais trop consciente qu’elle avait un beau pénis et que je
l’avais même sucé la veille. Comme ni lui ni moi n’avions des condoms cette nuit,
j’avais du me contenter de lui faire une pipe et lui de me donner un coup de langue
des plus habile. Ce matin, j’avais acheté des préservatifs pour pouvoir enfin baiser
avec lui mais la...

— Un peu, j’avoue. J’essaie de me convaincre que je par en vacance avec une amie, et
sexy l’amie ; pas de gras sous les bras, le ventre plat, des seins qui se tienne
encore et je ne parle pas de tes jambes. Tu as quel âge au fait ? 40, 45...
— 52.

J’encaissai le coup difficilement. Orgueil de femme.

— Merde !

Cette fois, c’est elle qui rit aux éclats en se claquant dans les mains, un genou en
l’air comme une vraie fille. Étrangement je réaliser que je m’habituais déjà au fait
qu’il était une femme maintenant mais... Sans vagin. En fait c’était peut-être plus
une fille venue au monde avec une bite que l’inverse. Mon esprit s’embrouillait.

— Ce n’est pas drôle, fis-je un peu frustrer, si on va à la plage, c’est toi que les
hommes vont regarder, comme les noirs au café, langue à terre. C’est frustrant. Et si
on se fait aborder par deux beaux gars on fait quoi ?
— Toi je sais pas, moi je leur dis la vérité tout de suite. Soit ils se sauvent, soit
ça les excite.

Je lui jeter un oeil en riant avant de rajouter :

— WAIS, mais... ces délicats avec moi ma belle. Je suis une vedette du petit écran je
te rappelle.
— Je sais, ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te mettre dans l’embarras Julie, je suis
trop heureuse que tu sois la et puis on va avoir notre plage privée. On va pouvoir
laisser nos corps de bombe bronzés au soleil en toute tranquillité.
— Ouf ! Fis-je flatter mais un peut perdue.
— Ou... si on va quand même à la plage publique, on dira juste qu’on est lesbienne si
on se fait aborder. Rajouta-t-elle pour m’agacer, je le vis bien dans ses petits yeux
coquins.
— Seigneur non ! Dis-je tandis qu’elle riait comme une folle en s’essuyant les yeux
pleins d’eau. Je vois déjà la une des journaux. « Julie Demers sombre dans l’alcool et
le lesbianisme après son divorce. »

Cette fois on rit tous les deux a en avoir mal au vendre et cela me fit vraiment du
bien. Mais je regrettais de ne pas avoir fait réparer mon maudit air climatiser. Mes
slips tout humides me collaient à la fourche et mon soutien-gorge était tout trempe.
J’avais hâte de me baigner tout autant que de m’étendre au soleil. Mais, je ne
m’imaginais vraiment pas embrasser cette belle bouche couverte de rouge. Les femmes ne
m’ont jamais attiré. Une fois là-bas je lui demanderai de redevenir un gars, surtout
si on se baladait dans un village ou sur une plage publique.

— Mais, non, fit-elle en se reprenant, je te taquine c’est tout.
— Ah oui ! Chut pas sûr la bombe. Dis-je tout sourire.
— Ton émission est terminée ? Me demanda-t-elle au bout d’un moment.
— WAIS, tu ne l’écoutes quand même pas ?
— Non, fit-elle en riant. Les émissions de fille tu sais... je laisse ça aux filles.

Encore un fou rire.

— Tu veux que je conduise Julie ?
— Tout à l'heure, quand on sera sorti de Montréal. J’ai vraiment l’air si vanné que ça
?
— WAIS ! Mais ça te va bien le look zombie.

La, je souris, lèvres pincer en lui faisait mes petits yeux méchants. Ce gars...
plutôt cette fille, aimait bien taquiner les autres, ça se voyait dans ses yeux
moqueurs et elle allait se rendre compte que j’étais forte a ce petit jeu la moi
aussi. Je lui fis une petite grimace comme si on était de vieilles amies avant de
répliquer :


— C’est loin t’ont coin perdu dans le bois sûrement rempli de mouches affamer et
d’ours grognons qui vont me faire regretter les belles plages du Mexique ?
— 10 h de route. Déjà à te plaindre ça promet. Fit-elle rieuse.
— OK ! Ce n’est pas à côté et je ne dis pas ça pour me plaindre.
— WAIS ! WAIS ! Je paierai l’essence la vedette.
— Moitié, moitié.
— Vendu !
— Mais tu fournis le chasse-moustique.
— Est-ce que madame a d’autres exigences comme celle-là ?
— Non... Ça va ! Il y a des toilettes au moins ?

Là, elle rit en disant :

— Il doit y avoir un trou quelque part dans un buisson, sinon, j’ai une pelle.
— Seigneur !
— Tu veux que je fournisse le papier de toilette j’imagine ?
— Ben oui, écoute, je suis connu, quelqu’un d’important moi. Un tapis rouge minimum
jusqu’au trou.

On rit aux éclats encore un moment les yeux pleins d’eau mais curieuse je lui demandai
en reprenant mon souffle.

— Ça fait longtemps que tu t’habilles en femme ?
— Quant mes seins on pousser ma mère ma sortit de l’école. Les autres étaient vraiment
cruels, même si je les cachais du mieux que je le pouvais, cela a fini par ce savoir à
cause des maudits cours de gymnastique et des douches. Ma mère m’a inscrit ailleurs
mais sous un nom de fille cette fois, Luce, et avant ma première journée de classe
elle m’a habillé en robe et j’ai adoré. Elle ma apprise a me coiffer, me maquiller et
comment me comporter et, comme t’as pu le voir hier, en gars je suis plutôt efféminer.
Donc le changement a été bénéfique pour moi et logique pour elle. Je passais mon temps
à jouer avec ses affaires en cachette de toute façon et depuis toujours. Même mon père
était d’accord, il s’était bien rendu compte que j’avais des petites manières. Mes
parents étaient fantastiques et très ouverts. Et même mes amis à ma nouvelle école n’y
ont vu que du feu. Je filais le parfait bonheur jusqu’a ce que les garçons
s’intéressent a moi et moi a eux mais aussi aux filles.
— Ouf, ça pas dû être évident ?
— Non ! Même très compliquer. Et toi, le garçon manquer ? Je paris que tu détestais
porter des robes ou te maquiller et que tu passais tes journées sales a traîné avec
une gagne de gars a te tirailler avec eux ou a faire des mauvais coups.

Je sursauter, à part ma mère et Marie, peut de gens savait ça.

— WAIS ! En plein ça et j’ai fini mannequin. Ma mère n’en revenait pas, mon père non
plus mais ils étaient fiers de leurs filles.
— Wow, fit-elle, on se complète si j’ai bien comprit. Tu fais l’homme, je fais la
femme ?

Je la regarder en prenant un petit air dégoûter et lui fit une autre grimace et ce fut
un autre fou rire.

Et c’était parti pour le bout du monde et... Je me sentais vraiment bien. De mieux en
mieux en fait, même si mon divorce m’avait complètement épuisé, sans parler de ma
cinquantaine.

En conduisant cheveux au vent sur l’autoroute, j’avais l’impression d’avoir reculé de
trente ans en arrière, quand je partais en voyage sur le pouce libre comme le vent. Je
ressentais ce même sentiment de liberté qui m’habitait à l’époque. Même si je filais
présentement tout de même un peut lesbienne et étrangement, ça ne me déplaisait pas
tant que ça a présent. Il m’excitait en homme et je me rendis compte qu’elle
m’excitait toute de même un peu en fille. L’idée de l’avoir étendu sur moi a me
besogner me paraissait tout même étrange. Je n’étais pas certaine de vouloir essayer
ça mais l’idée faisait son chemin. Je réalisais que j’avais sans doute refoulé toute
sorte de fantasmes depuis des années, depuis mon adolescence même, en repensant a
Marie. Finalement je me sentais rajeunir, je me sentais libre et surtout libre
d’assouvir quelques fantasmes mais, pas vraiment ceux a lequel je me serais attendu
après mon divorce. Non... vraiment pas. En la regardant du coin de l’oeil surveiller
la route, je n’en revenais pas de sa grande beauté et de sa féminité si naturelle et
je ressentis même un étrange chatouillement dans le bas ventre. Je trouvais ça de
moins en moins bizarre de me sentir aussi bien avec elle tout en sachant que c’était
un homme.

— Quoi ? Fit-elle en dégageant de longues mèches de cheveux de devant ses yeux en me
regardant.
— Rien, je me demandais juste si ta perruque était bien accrochée.

Là, j’eus droit à une grimace à mon tour.

— Pourquoi tu ne laisses pas pousser tes cheveux ?
— Je me les suis coupés hier matin, je cherchais l’âme soeur, une femme, et je me suis
dit qu’en gars avec les cheveux courts ce serait plus simple et... tu es là.

Je la regarder septique en me mordillant une joue et dit :

— T’aimes ça me dire n’importe quoi, hum ?

Elle se contenta de sourire et là je me dis :

« Je vais m’éclater un peux bizarrement quelques jours, me faire bronzé, me reposer et
ensuite, retour au boulot » j’avais des tas de projets en tête pour la nouvelle saison
de mon émission de variétés.

Une heure plus tard on fit un arrêt pour changer de place à une halte routière.
J’hésitai un peut a descendre en même temps qu’elle par gêne même si j’avais une
grosse envie et hâte de me dégourdir les jambes. J’avais peur que d'autres la voient
tout de suite comme un homme habiller en femme se baladant avec moi. Je savais bien
qu’on allait me reconnaître, la place était bondée, mais... À voir deux garçons de 15
ou 16 ans avec leur père la regarder descendre de mon 4x4 les yeux vicieux et d’autres
gars plus loin dans le même état, je n’hésitai pas une seconde de plus en rabaissant
mes verres fumés. Comme prévu on fut le centre d’attraction, j’en suais à grosses
gouttes en souriant à des fans et une fois dans le couloir des toilettes on se heurta
fortement devant la porte des dames. Si fort que je dus replacer mes lunettes. On se
regarda en riant et je dis, après m’être assuré qu’on était seul :

— Tu n’es pas à la bonne place ma grande.
— Mais si ma grande, fit-elle trop fort a mon goût en entrant fièrement devant moi.

Je soupirer longuement en la suivant un peut nerveuse. Comme il y avait d’autres
femmes je me contenter de sourire embarrasser et prit une cabine à côté de la sienne.
Une fois assise sur le bol, slip et short aux genoux, je ne pus m’empêcher de regarder
par en dessous pour voir s’il pissait debout tout en retenant un fou rire une main sur
la bouche.


Une fois sortit des toilettes je dus me prêter aux sempiternelles séances de photos
avec monsieur et madame tout le monde et des enfants qui c’étaient visiblement passé
le mot pour se dire que j’étais la. Je le fis de bon coeur comme toujours et retourner
à mon 4x4. Elle était déjà installée au volant.

— Au moins, tu le fais en fille, dis-je amuser en m’attachant.
— Absolument, fit-elle en démarrant.
— Tu dois en profiter parfois pour te rincer l’oeil.
— Absolument pas.
— Pof, y me semble. Un homme reste un homme même avec des boules. J’eus droit encore à
une jolie grimace. Pendant que j’y pense, je t’appelle comment ?

J’envoyai la main à une petite famille qui me saluait.

— Luce.
— Ah, ben oui, Luc, Luce, j’aurais dû y penser.
— Hum ! Je te l’ai dit tout à l'heure.
— Ben oui !
— J’y pense, fit-elle les yeux moqueurs en roulant doucement vers l’autoroute. On va
pouvoir s’échanger nos vêtements et nos brosses à cheveux. C’est pratique non ?

Je me lécher une lèvre les yeux tout petits en le réalisant et dits :

— Ben oui, Seigneur ; les maillots, les camisoles, les petites culottes, les soutiens-
gorge. WAIS, bien pratique. Mais j’ai tout ce qui me faut t’inquiète pas et je ne suis
pas prêteuse.
— J’ai oublié de te dire d’apporter une robe de soirée ?
— Pour aller dans le bois, ben oui !
— Ce n’est pas grave, il y a une boutique au village.

La, je lui jeter un coup d’oeil intriguer en me disant que ça devait être un de ses
fantasmes de me voir en robes sexy. Un corps de fille mais une cervelle de gars. Mais
pourquoi pas ?

— Un fantasme ?
— Hum !
— Et toi, t’as apporté une jolie robe ?
— Absolument.
— J’ai vraiment trop chaud.

Elle rit de ma réponse tandis qu’on prenait l’autoroute et là, un groupe de motard
nous dépassa lentement sur la gauche, des vrais de vrais ; bronzé, musclé, tatouer,
tout de noir vêtu, cheveux longs ou courts sous des casques décorer de crâne grimaçant
et tout ce beau monde sur des motos d’enfer. Plusieurs nous sourirent, autant les gars
que les filles qui les accompagnaient et Luce leur envoya la main. Seigneur dieu ! Je
rabaisser a nouveau mes verres fumés sur mon nez en me calant dans mon siège en
croisant bras et jambes.

— Oh, fit-elle, il y en a quelques-uns qui sont craquants non ?
— Ben oui, fi-je platement. Gars ou fille ? Non, ne réponds pas. Appuie donc sur
l’accélérateur un peu.

C’était reparti pour les rires.

Plus tard je poser la tête contre la fenêtre a moitié ouverte en regardant défiler le
paysage et...


Agresser par une bête sauvage


— Julie, Julie !

Je clignai des yeux et m’éveiller difficilement. J’avais mal au rein et comme je
m’étais endormi les jambes croiser, la gauche était tout engourdie. Je vis qu’on était
arrêté dans le stationnement bondé d’un casse-croûte encercler par la forêt aux abords
d’une route de campagne. Mon ventre gargouilla aussitôt en hument l’odeur de hot-dog
et de patates frite.

— On est-ce qu’on est ? Demandais-je perdue en me massant la nuque d’une main, en
grimaçant et me frottant le dos en me redressant.
— À 1 h au nord des Escoumins. Passe moi t’as commande, comme ça tu vas éviter les
séances de photos. Il n’y a pas de table de libre, on va manger ici. Il y a des
toilettes de l’autre côté de la cabane.
— Les Escoumins ? Mais... On a dépassé Québec, St-Anne de beaupré, prit le traversier
a Tadoussac pour traverser le Saguenay et je ne me suis même pas réveiller ?
— Non ! Et on a fait le plein deux fois, dont une avec nos beaux motards. Dit-elle en
se remettant du rouge devant le miroir de son pare-soleil et tout aussi habilement que
moi.

J’hallucinais, moi qui pouvait conduire 12 h d’affiler normalement.

— Ils devaient me regarder dormir bouche ouverte, ce n’est pas gênant du tout.

J’eus droit à un petit sourire vraiment craquant.

— Ils nous ont invités à leur club si le coeur t’en dit, c’est à une heure de chez
moi.
— Non merci !

Vingt minutes plus tard elle revint avec un plateau. J’avais profité de son absence
pour me refaire aussi une beauté et retourner au petit coin sans me faire remarquer.
Affamer je m’empiffrer en un temps record. Quant on eu terminer elle voulu aller jeter
nos restes a la poubelle mais je lui pris le plateau en disant :

— Laisse, j’y vais.

J’avais besoin de me dégourdir les jambes mais surtout les fesses qui me picotaient.

Une fois dehors le soleil m’éblouit et je sentis l’asphalte brûlant sous mes sandales.
En arrivant devant une grosse poubelle presque pleine j’y vis un écureuil gris qui me
fixait méchamment.

— Fout le camp niaiseux.

Mais, au lieu de fuir et attirer sans doute par la bouffe toute fraîche il voulut
sauter sur mon plateau mais par réflexe je le lâcher et l’écureuil atterrit sur ma
gorge pour planter ses petites griffes dans ma peau. Je crier paniquer menton en
l’air, cou étirer, pour protéger mes yeux en sentant son petit cul tout chaud et poilu
glisser rapidement jusque dans mon décolleter ou il resta coincer. Je crus même sentir
un mini pénis dans ma craque de seins mais je devais halluciner dans ma panique. Il
couina, ses petites pattes arrière patinant, m’égratignant les boules et ça me
brûlait. Je baisser les yeux et il me fixait le salaud avec ses petits yeux noirs en
criant tout aussi paniquer que moi. Je l’agripper par le coup pour l’extirper de là et
le jeter sous les arbres ou il disparue en m’insultant et pas a peut près.

— Ça va, fit Luce qui arrivait morte de rire.
— WAIS ! Fi-je honteuse en regardant autour pour voir qu’il n’y avait personne en
tirant ma camisole pour regarder mes seins. Ma main tremblait. Je vis une bonne
dizaine de petites égratignures sous ma trace de bronzage, elles saignaient un peu
jusque sous mon beau soutien-gorge blanc.
— On s’est fait attaquer par une grosse bébête. Dit-elle morte de rire en ramassant le
plateau.
— Aaaaaah ! Fis-je exaspérer en riant et lui donnant une tape sur un bras. Ce n’est
pas drôle, ça brûle.
— Je peux voir ?
— Non !
— On va à clinique ?
— Non !
— Tu veux porter plainte aux agents de la faune ?
— Arrête ! Fi-je en riant.

Je remonter en voiture en retenant un fou rire, pas elle, elle en pleurait et ses
seins en sursautaient. Je pris des serviettes de papier pour éponger mes petites
blessures et je les laisser la finalement. Décidément, c’était ma journée papier dans
le soutien-gorge. Ça me gonflait les seins. Je me les tapotai en levant la tête amuser
pour la regarder et je vis une petite famille qui elle, me regardait arrêter juste
devant le camion. Même les enfants avaient les yeux tout ronds en m’envoyant la main.
Le feu me monta aux joues. Je lâcher mes seins aussi secs et leur envoyai la main a
mon tour, morte de honte.

En sortant lentement du stationnement Luce riait toujours. Agacer, mais retenant un
fou rire, je lui donner un léger coup de coude dans les côtes en disant :

— Arrête de te foutre de ma gueule.
— Oui madame. Outch, je suis une fille fragile moi.
— Fragile mon oeil. Tu veux que je conduise ?
— Non, t’es trop cute à regarder ronfler.
— J’ai assez dormi pour la journée.
— Hum... fit-elle songeuse, pas sûre.

Je secouer la tête décourager.

Mais 10 minutes plus tard je sombrer a nouveau dans un sommeil sans rêves.

Un soubresaut m’éveilla, en ouvrant les yeux à demi mon coeur bondit, Luce avait
détaché son jean sortit son sexe et se masturbait lentement en conduisant.
J’apercevais une partie de son slip de femme noir. Mon coeur se mit à battre plus
vite. Je ne bouger pas d’un poil en me sentant voyeuse, les joues en feux mais en même
temps je la trouvais pas gêner de faire ça, en conduisant mon 4x4 en plus. Si on la
voyait et avec moi. Mon côté rationnel me disait de lui dire d’arrêté mais c’était si
étrange de voir cette belle grande fille avec une bite bien droite et gonflé a bloc et
sa main délicate aux ongles rouges qui allait et venait jusque par-dessus son gland.
Je me mis à saliver en sentant une boule de chaleur m’envahir le bas ventre et la
pointe de mes seins gonfler comme a chaque fois que je voyais un pénis en érection.
Ses mamelons pointaient également sous sa blouse et je ne savais pas trop quoi penser
en la regardant faire. Faisant toujours semblant de dormir je m’aperçus qu’elle jetait
des coups d’oeil à mes cuisses et a ma poitrine. À 50 ans, c’est toujours agréable de
savoir que l’on excite toujours. Je me sentis mouiller et dut déglutir et elle dit, en
lâchant sa bite pour poser sa main sur ma cuisse tout près de mon sexe ce qui me donna
des frisons jusque dans la colonne :

— Je sais que t’es réveillé la voyeuse.

Je soupirai en esquissant un sourire embarrasser tout en me disant que c’était elle
qui devrait l’être.

— Faut pas te gêner. Dis-je tout bas sans me redresser, si on te voit tu sais ce que
ça coûte ?
— La route est déserte et... t’es tellement belle Julie !

Sa main de femme glissa sur mon sexe qu’elle pressa et malgré moi mes cuisses
s’écartèrent, mes yeux se plissèrent fixant toujours son membre. Je mouiller plus en
ressentant des petits papillons dans le bas ventre. Sans plus réfléchir je détachai ma
ceinture et me pencher sur elle pour commencer a sucé sa bite en la masturbant a poing
fermer la tête étrangement coincer entre le volant et ses seins. Elle lâcha mon
entrejambe pour me caresser la tête tandis que je lui prodiguais une fellation digne
d’un porno. En le faisant, sentant son gland aller et venir sur ma langue et contre
mon palais, je me disais que ce n’était pas la chose la plus intelligente à faire
pendant qu’elle conduisait mais je ne pouvais m’en empêcher.

Ma main devint rapidement glissante à cause de ma salive et je la resserrai pour la
masturber avec force en me frappant les lèvres, ne gardant que le gland dans ma bouche
la sentant se crisper déjà. Je ressentais un tel désir qu’une étrange fièvre
parcourait tout mon corps. Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais là, je me
dépassais. J’y mis tellement de coeur et d’énergie que ce qui devait arriver arriva ;
sa main se resserra sur ma tête, elle gémit et un long jet de sperme salé jaillit
jusque dans ma gorge me faisant sursauter, mais que j’avalai aussitôt ainsi que les
suivants. Je la sucer encore un moment avant de me redresser, un peut étourdit, le
coeur battant pour m’essuyer la bouche en regardant autour pour voir s’il y avait
quelqu’un d’autre. Mais la route était déserte. Je lui essuyai la bite avec des
kleenex en souriant, elle était si belle à voir grimacer avec ses yeux noirs tout
petits et brumeux.

— Merci ! Fit-elle tout doucement.

Je ne dis rien me contentant de soupirer en me sentant alangui, si bien, avec encore
le goût saler de son sperme dans la bouche. Je me caler contre la porte, bras croiser,
fixant son sexe qui ramollissait. Mes yeux se fermaient de fatigue et...

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Texte coquin : Au bout du monde - 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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