Mon éducation.

- Par l'auteur HDS Totos -
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon éducation. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Mon éducation.
Je m’appelle Sophie, petite rousse de 1m64 et 50kg, on dit de moi que je suis jolie.
J’étais complètement pour les femmes, j’avais gouté une fois au sexe avec un homme et
je n’avais pas du tout aimée ! De l’avis de mon meilleur ami qui était le seul au
courant de mon penchant sexuel, c’est parce que cet « homme » n’avait aucune
expérience.
Bref, je passais tout mon temps avec mon meilleur ami, je n’avais jamais vraiment su
avoir d’amie, au final…
Je dormais souvent chez lui, ce soir-là, j’avais mon mini short et mon t-shirt blanc
et je rentrais dans le lit et il me dit :
- Sérieux So, que toi tu n’aies aucune envie avec moi je comprends, tu n’es pas
de ce bord là, mais mets un pyjama en pilou ou je ne sais quoi !
- Tu as envie de moi ? Dis-je en rigolant.
- Et bien, tu es quand même bien foutue, mais tu es ma meilleure amie donc non !
- Les fois où je te suce pour te dépanner tu te moques bien que je sois ta
meilleure amie…
- Et moi quand je te fais une minette ? Tu te moques bien que je sois un homme !
- Bon, sujet clos.
- Oui ! Dit-il.
Mais je ne pus m’empêcher de vouloir voir s’il bandait, je mis ma main sur son sexe et
il sursauta.
- Je voulais voir si t’avais vraiment envie de moi ! Dis-je en rigolant.
- Mais tu es bête ou quoi !
- Enh ça va, boudeur va !
- Trouve-toi une nana ! Dit-il.
- Si seulement…
- Hey Sophie, je crois bien que j’en connaisse une !
- Ah oui ?
- Oui ! Mais elle est un peu « hard » je crois, du moins quand je lui parle.
- Pas grave, c’est qui ?
- Attends, tu crois que je vais te dire qui c’est comme ça ? Si ça marche entre
vous, je pourrais oublier mes petits suçages de bite.
- Hey, t’es méchant ! Pense d’abord au bonheur de ta meilleure amie !
- Pense que ton meilleur ami bande comme un porc et qu’il va dormir à côté d’une
fille à moitié à poil à côté de lui !
- Si je te suce tu me dis c’est qui ?
- Je veux te voir nue.
- Non, ça je t’ai déjà dit que non…
- Donc me sucer tu veux bien, mais pas me montrer ton corps ?
- Oui, voilà…
- Je t’aime vraiment, tu es ma meilleure amie, mais tu es complètement illogique
!
- Alors, tu me mets en contact ?
- Si tu me suces et que je te vois nue avant !
- Tu ne céderas pas je suppose ?
- Non, pas cette fois.
- Quand tu t’y mets tu m’énerves !
- Je sais, mais tu m’aimes pour ça, non ?
- Non !
Je sortis du lit et me mit devant lui, prit mon souffle et releva mon t-shirt pour
finir par l’enlever, il me regarda sans rien dire et je fis glisser mon mini short le
long de mes jambes… Je restais devant lui sans rien dire, le laissant me regarder.
Il se leva et fit le tour de moi m’inspecta, il bandait vraiment à fond de ce que je
voyais, il abaissa son boxer et je me mis à genou pris son sexe en main et le
masturba, en vérité, bien que je détestais la bite, j’adorais sucer… Il avait raison,
j’étais totalement illogique !
Alors que j’avais son sexe en bouche, lorsque je vis qu’il allait venir je m’arrêtai
et me redressa tout en prenant mes vêtements que j’avais laissé au sol, je les
enfilais et puis je lui dis…
- J’ai respecté ma part de marché… A toi.
- Oui, c’est vrai… N’empêche meilleure amie ou non, j’aimerais franchement un
jour coucher avec toi !
- Ca ne risque pas d’arriver, on s’en tient à la pipe !
Il allumait l’ordi et de son facebook allait sur la page de la fille, il se tournait
vers moi et me dit :
- Alors tu la trouves comment ?
- Waw toute jolie !
- Je lui fais un message pour la prévenir que tu l’ajoutes alors ?
- Oui !
- Ok, je fais ça puis je vais aux toilettes me terminer !
- Oui, oui !
Il fit le message puis se déconnecta, me laissant le soin de me connecter, lorsqu’il
revint, je parlais avec la fille qui me demandait mon messenger, il s’assit à côté de
moi et on entama la discussion par messenger.
- Tu es jolie sur les photos. Me dit-elle.
- Merci, toi aussi…
- Tu mets la webcam ? Demanda-t-elle.
- Oui, si tu veux !
Je lançais la webcam et la vit de l’autre côté, toute sérieuse puis elle dit :
- Retire ton haut.
- LOL ! Répondis-je.
- Retire-le, que je vois un peu à quoi tu ressembles !
- Non, je n’aime pas…
- Ecoute, faudra bien que je vois un jour, donc tu le retires ou on peut arrêter
de parler ! Dit-elle l’air énervée.
Je retirais mon t-shirt et je vis qu’elle avait un petit sourire, mon meilleur ami,
lui, fut ravi.
- Allais le reste maintenant.
Sans discuter je fis glisser mon mini short et je me montrais devant elle.
- Ecarte tes lèvres.
J’écartais mes lèvres et elle dit.
- Tu devrais faire l’affaire, vient demain chez moi… Tu peux prendre ton ami
avec, vu que c’est un ami à moi, fais toi jolie, je lui ferais un message pour donner
mon adresse !
- D’accord, avec plaisir, a demain alors ! Bisou.
- A demain. Et elle se déconnecta.
Je me rhabillais et nous allâmes dans le lit.
- J’ai encore envie de te sauter… Dit-il en rigolant.
- Tais-toi… Répondis-je.
La nuit passait et je me réveillais pressée.
- Allais, on se réveil !!!
- Enh, tu es chiante !
- Oui je sais ! Dis-je avec un large sourire !
Je courrais dans son armoire où il y avait des vêtements à moi et je pris un jeans
serrant et un haut chemisier blanc, je mis un string et un soutien-gorge blanc et des
ballerines blanches.
- Alors je vais lui plaire ainsi ?
- Tu ne vas pas à un diner d’œuvre de charité…
- En toi tu es trop négatif !
Il s’apprêta et on partit en direction de chez elle, une fois arrivés, j’appuyais sur
la sonnette et il me dit :
- Elle est direct hein, je te préviens !
- Je sais, j’ai vu !
Elle ouvrit la porte et me regardait de haut en bas.
- Entrez, entrez !
Elle fit un bisou à mon ami mais pas à moi, arrivé dans le salon, elle nous fit nous
asseoir et puis s’adressa à moi.
- Comme ça tu aimes les femmes ?
- Oui. Dis-je.
- Et qu’aimes-tu chez elles ?
- Ce que j’aime le plus c’est le corps féminin, contrairement au masculin, il
n’agresse pas mes yeux lorsque je le regarde.
- Mais encore ?
Je rougis, car il y avait une chose que j’aimais vraiment chez les femmes.
- Allais dis-moi ?
- Les pieds féminins.
- Oh, une fétichiste des pieds ! Me dit-elle en me montrant son pied.
Ajoutant.
- Fais-toi plaisir, je te le présente.
- Non, non c’est gentil.
- Je t’ai dit, fais-toi plaisir, je te le présente… Alors tu descends du
fauteuil et tu te fais plaisir, viens embrasser mon pied !
J’en descendis et à genou par terre je pris son pied dans mes deux mains, je me mis à
lui faire des bisous.
- Je sais que ce n’est pas ainsi que tu as envie de baiser mon pied ! Je ne sens
même pas ta langue.
Je me mis à faire passer ma langue le long de son pied et elle enfonça ses doigts de
pieds dans ma bouche que je suçais un à un.
Elle retirait ensuite son pied et me fit signe de me rasseoir, elle dit alors :
- Je ne suis pas certaines que l’on pourrait avoir une relation ensemble.
- Pourquoi ? Demandais-je.
- Tu es trop coincée… Moi, je veux une fille aussi déjantée que moi !
Je tournais la tête vers mon meilleur ami qui ne dit rien du tout.
- Je peux l’être !
- Ah oui, donne-moi un exemple d’un truc fou que tu fais !
- Euh… Je le suce ! Dis-je en pointant mon meilleur ami du doigt !
- Et tu appelles ça fou ?
- Oui… Pas toi ?
- Non, pas vraiment !
- Tu as déjà couchée avec ?
- Non ! Dis-je vexée.
- Pourquoi ?
- Je n’ai pas envie !
- Je te le demanderais, là, tu ne le ferais pas !
- Non !
- Alors tu n’es pas capable d’être avec moi.
- Pour ça ? Mais c’est n’importe quoi ! Vient-on part ! Dis-je à mon meilleur
ami en me levant.
- Attends, assieds-toi.
- Quoi ?
- J’ai quelque chose à te proposer donc tu t’assois ! Dit-elle levant un rien la
voix.
Je m’assis et elle reprit où elle voulait en venir.
- Je te propose de faire ton éducation, si ça me va, alors je deviendrais ta
copine ! Et je ne te ferais pas coucher avec des garçons rassure toi !
- Mon éducation ? C’est-à-dire ?
- Tu m’écoutes, tu fais ce que je te dis et si tu t’appliques alors on sera
ensemble.
- Oui d’accord, mais ça veut dire quoi ?
- Ça veut dire quoi ?!
- Oui ?
- Debout ! Me dit-elle froidement.
Je me levais et la regardais.
- Vire tes vêtements !
Surprise, je la regardais un court moment et j’eu l’impression que ses yeux me
répétait la phrase. Je m’appliquais donc à les retirer, je détachais mon chemisier, le
mettant convenablement sur le divan, plier, je retirais mon chaussures que je mis au
pieds du divan et mon pantalon que je pliais et mis sur mon chemisier, mes bas, mon
soutien-gorge et mon string furent déposés dessus aussi, lorsque je trouvais que tout
n’était pas en désordre, je me retournais un peu gênée et elle tapotait du pieds par
terre.
- Ça va la petite princesse à bien rangée ses affaires ?
- Oui. Dis-je avant de me rendre compte que je l’agaçais.
- Tu vois le tiroir là ?
- Oui.
- Va dedans et met ce qu’il y a dedans.
- Euh, oui…
Je me dirigeais donc vers le tiroir et l’ouvrit, j’y vis au milieu un collier rose de
chien, avec un médaillon « chipie », je fus surprise et j’hésitai longuement.
- Alors, c’est fait ?
Je mis le collier autour de mon cou et l’attachais puis retournais vers eux pas très
fière de moi, la tête baissée et les joues certainement toute rouge.
- Alors ? Me dit-elle.
- Alors quoi ? Répondis-je à petite voix.
- Est-ce que tu es prête à être éduquée ?
- …
- Répond moi !
- Oui…
- Très bien.
Elle se leva et prit la laisse qu’elle attachait au collier.
- A 4 pattes !
Je m’exécutai, mon meilleur ami, ne dis nul mot… A mon avis, ça avait dû se durcir
dans son pantalon mais pas très fière je n’osais pas regarder !
- Bon, je vais te montrer tes nouveaux quartiers ! Tu peux venir voir où ton
amie va habiter.
- Ok, tant que j’y suis ! Dit-il.
Elle ouvrit une porte et on descendit à la cave, ce fut assez dur de descendre à 4
pattes mais j’y étais arrivée ! Je me rendis compte que c’était chauffé, ce qui était
pas plus mal vu ce que je portais sur moi, il y avait face à moi une cage, pas très
haute… Elle me fit rentrer dedans après m’avoir enlever la laisse et la referma, elle
me dit en me montrant deux gamelle :
- C’est là que je te mettrais à manger et à boire !
Un peu plus loin, il y avait comme une litière, elle me dit de m’en approcher, c’était
une litière…
- Et là c’est ton coin toilette ! Je ne veux pas en voir partout, j’espère que
tu es propre !
Je la regardais, surprise, mon meilleur ami tout aussi surpris mais il lui dit :
- Je crois qu’elle avait besoin de ça, depuis le temps que je la connais je sais
qu’elle est soumise… Ça lui fera du bien !
- Je vais décompter jusqu’à 3, si à 0 tu n’as pas dit que tu renonçais, te voilà
dans tes nouveaux appartement. 3… 2… 1… 0. Bienvenue chez toi chipie.
Je n’avais pas répondu, était-ce l’envie où simplement le fait d’avoir été surprise ?
Mais j’étais là, j’allais assumée.
Ils partirent tous les deux me laissant là, je partis me mettre dans un coin et me
couchait…
Quelques heures plus tard, je pense, elle revint et me dit :
- Tu as bu un peu ?
- Non…
- Il faut t’abreuver !
Ne discutant pas, je me dirigeais vers ma gamelle et me sortit la langue pour boire…
Comme les chiens.
- C’est bien, tu es une gentille fille.
Elle remplit encore une fois d’eau et me dit de boire encore, ce que je fis.
Très vite j’eu besoin d’aller aux toilettes, et ma seule toilette était la litière !
C’était trop humiliant pour que j’y aie devant elle.
- Allais, va faire pipi, je vois bien que tu as besoin !
Je partis donc, toujours à 4 pattes vers ma litière et rentrait dedans, mes mains
était sur le bords et jambes qui touchaient chaque bord, je me mis à faire pipi
dedans, comme un chien, mais dans une litière pour chat très grande.
- C’est bien ! Allais viens.
Je me dirigeais vers elle, et elle ouvrit la cage, me mit la laisse et me fit monter,
elle m’amena dans sa chambre et je vis qu’en fait, j’étais filmée dans la cave.
- Si tu n’agis pas comme tu dois agir, tu seras punie, c’est compris ?
- Oui…
- C’est bien, tu es une gentille petite chienne. Me dit-elle passant la main sur
ma joue.
Elle me présenta son pied et je l’embrassais très vite, laissant y glisser ma langue
et suçant chacun de ses doigts de pieds, de ses deux pieds.
- Aujourd’hui, je te laisse t’habituer à ta nouvelle situation, demain les
choses sérieuses commenceront !
- Oui…
- Va me faire couler un bain.
Je partis dans la salle de bain lui faire couler un bain, je vérifiais sans cesse que
l’eau ne sois ni trop chaude, ni trop froide, elle vint alors et me banda les yeux.
Elle me fit me mettre debout à côté de la baignoire les jambes écartées et les bras en
avant qui ces derniers étaient pour tenir son drap.
- N’aie pas le malheur de relâcher, sinon tu ne sais pas ce qu’il t’arrivera !
- Oui, d’accord.
- Oui madame tu diras dorénavant.
- Oui, madame.
Je restais là, à côté d’elle, je l’entendais se laver, chantonner… Elle jouait avec
mon sexe un petit peu, mes bras commençaient à flancher, mais je me forçais à ne pas
relâcher.
Elle sortit du bain et prit le drap, s’essuyait et s’habillait, une fois cela fais,
elle m’enleva le bandeau des yeux et je me remis à 4 pattes.
- Que dirais-tu que nous ayons nous promener ?
- Ah oui madame.
Elle me remit la laisse et partit vers la porte, je fus surprise et m’arrêta net
devant la porte, je ne voulais pas aller plus loin, je ne voulais pas qu’on me voit.
- Et bien alors ? La petite chienne ne veut pas aller montrer aux gens comme
elle est belle ?
- …
- Réponds-moi.
- Non madame.
- Vilaine fille ! Tu vas manger et puis je ne veux plus voir !
Elle m’envoyait dans ma cage et me mit des pates dans ma gamelle, je les mangeais,
j’en avais partout sur le visage, puis elle remplit ma gamelle d’eau et me dis de la
boire… Je la bu presque toute et elle rentra dans la cage, m’attachant les mains au
barreau avec des menottes. Et bâillonna ma bouche.
- Je suis fâchée, tu es vraiment une vilaine fille ! Tu devrais être contente de
montrée la jolie petite chienne que tu es ! Donc j’espère pour toi que tu sauras te
retenir car tu n’arriveras pas à te litière et tu ne sauras pas m’appeler pour te
détacher. Bonne nuit !
Et elle partit, à peine le moment où je compris que je ne pourrais pas aller dans la
litière faire mes besoin que j’eu besoin… Il y avait une faible lumière dans la cage,
donc je voyais quand même et elle ne me dérangeait pas pour dormir.
Je finis par m’endormir et quelques heures plus tard, la lumière s’allumait et elle
arrivait avec…
- Bonjour Chipie, je te présente ma sœur, elle voulait voir mon nouvel animal
domestique…
- Elle s’est pissée dessus…
- Sale fille !
Elle partit et revint avec une serpillière et ouvrit la cage elle vint vers moi et en
furie commençait à me gifler les fesses en criant :
- Sale fille ! Salle fille ! Salle fille !
Elle me détachait et me jetais la serpillière à la figure.
Je me mis à nettoyer mon pipi et revint vers l’entrée de la cage, elle ouvrit et me
dit :
- Tu vas jeter ça la poubelle ! On va te donner une douche et tu vas avoir 35
fessées de chacune de nous deux avec une latte en bois. Je suis très fâchée !
- Pardon madame. Dis-je les yeux baissés.
- La latte est sur le bureau de ma chambre, tu te dépêches et tu viendras nous
retrouver dans la cuisine.
Je partis en courant à jeter la serpillière à la poubelle et me remit à 4 pattes pour
aller chercher la latte, je me relevais pour la prendre et la mit en bouche pour
l’amener.
Arrivée dans la cuisine je m’assis à côté d’elle lui présentant la latte.
- Debout, les mains sur la table et tu écartes les jambes !
Je m’exécutai et sa sœur dit :
- Qu’elle beau cul, je vais me faire un plaisir à le latter !
Les coups de latte commencèrent, je criais et je pleurais… Puis sa sœur s’y mit à son
tour, lorsque ce fut finit, mes larmes qui coulaient à flot, elle vint derrière moi et
m’attrapa le sexe qu’elle sera très fort m’arrachant un cri qui fut long.
- Tu ne fais plus jamais pipi hors de ta litière sinon ça sera ta tête dedans et
c’est pareil pour le reste ! c’est compris ?
- Oui madame. Dis-je haletant.
- J’ai d’ailleurs une solution ! Reste ainsi ! Elle partit alors.
Sa sœur me dit alors :
- Ne la contrarie surtout pas sinon tu ne sais pas ce qu’il va t’arriver….
- Oui, madame, j’essaierais.
Et elle revint, elle me coucha sur la table et elle me mit un lange…
- Ainsi, tu n’auras plus de problème de fuite pour cette nuit !
Et elle me reconduit dans ma cage en m’attachant et me disant.
- Je veux plus te voir pour aujourd’hui !

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