La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 160)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 160) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 160)
Histoire écrite par esclaveEmelineMDE

- Une balade en montagne suisse -

Ça y est, le jour tant attendu est enfin arrivé. Pourtant me direz-vous, il n’y a rien
d’amusant à rester là, plantée au froid à attendre un train qui a plus d’une demi-
heure de retard. Oui, sûrement mais je n’attends pas n’importe quel train, j’attends
celui où il y a mon MAITRE. Depuis le temps que j’attendais ce moment, je vais enfin
le revoir et de plus, Il accepte de venir chez moi. D’aller se perdre dans mes
montagnes, de découvrir mon monde, mon environnement, de partager ainsi une partie de
ma passion …

Ce que je ressens est très spécial. Je voudrais que le temps passe plus vite. Pour que
ce fichu train régional arrive enfin, même si je m’y attendais, il a neigé. Alors
toutes les grandes lignes sont en retards. Mais en même temps, j’ai l’impression de ne
pas voir le temps passé. Je me refais la liste dans ma tête, non ça va, je crois que
je n’ai rien oublié et je pense, je pense à Vous, à ce que Vous me ferez, à ce que
Vous penserez de mon refuge, de ma vallée et de ces gens pittoresques. Mes yeux
regardent sans voir, les gens qui m’entourent et j’attends, patiemment et à la fois
impatiemment, et ce train qui n’arrive pas … Enfin, j’entends le sifflement du train
sur les rails bien avant de le voir. Puis il apparaît, fidèle à lui-même rouge et
blanc avec sa puissant locomotive au nez disgracieux. Le givre qui s’est formé sur les
fils produit des étincelles bleues et vertes. Et enfin, il s’arrête dans un fort
couinement des freins. Un flot de touristes, de skieurs du dimanche ou de jeunes du
coin en sortent. La station de ski sur le versant Sud rend notre coin très populaire
en hiver. Je ne m’en plaindrais pas sans ça la vallée serait déjà mort, faute de
travail. Enfin derrière un groupe d’Anglais, je vous vois, vous mon Maître.

Vous n’avez pas changé, toujours ces même yeux bleus qui donnent l’impression que Vous
lisez en nous comme dans un journal, toujours cette aura qui Vous entoure et qui me
donne envie de m’aplatir au sol, ce sourire aux lèvres remplis de tendresse et
d’amour. Je m’avance vers Vous. Je Vous vois Vous retourner, et donner le bras pour
aider une vieille dame à descendre. Ça peut faire cliché, mais ce geste d’une
galanterie d’un autre âge me réjouit, je Vous retrouve enfin. Vous me montrer Vos
bagages, et là encore Vous me tirez un sourire, moi qui avais peur de me retrouver
avec un homme de la ville qui n’avais jamais mis les pieds en montagne et qui
transporterait 4 valises énormes alors que l’on doit marcher. Non avec Vous, je ne
vois qu’un sac de montage de taille plus que raisonnable, il sera facile à transporter
dans la neige.

D’ailleurs en parlant de neige, elle a recommencé à tomber, ce qui signifie que je
devrais mettre les chaînes et que je devrais Vous imposer un arrêt en plus. Les portes
de mon WW transporteur claque, c’est un vieux bus, et ces 4 roues motrices sont plus
que nécessaires par ici, en hiver comme en été. Vous Vous retournez vers moi et Vous
me dites.

- « Alors petite chienne on est contente de retrouver son Maître ? Oui, je le lis dans
tes yeux, viens ici que je contrôle que tu m’a bien obéis. »

Je me retourne vers Vous, baisse la tête devant Votre regard. Je sens Votre main se
poser tranquillement sur le dos de mon crâne, l’autre passe sous ma veste, puis sous
ma polaire et mon t-shirt pour remonter sur ma poitrine. Elle y rencontre mes seins
libres de tout soutien. Vous ne dites rien, mais je sens l’autre main devenir plus
caressante. Puis, c’est vers ma chatte que Vous descendez pour contrôler aussi que je
ne porte rien. Vous m’adressez un sourire satisfait et Vous sortez de Votre poche un
collier de cuir simple sans anneau. Je Vous adresse un regard surpris et Vous
m’expliquez que c’est à cause du froid et du fer, Vous ne vouliez pas que ça me brûle
la peau. Je Vous souris, Vous êtes si attentionné, si attentif. Comment ne pourrais-je
pas avoir l’envie de me donner à fond, de Vous appartenir, de Vous apporter du
plaisir, de Vous satisfaire …

Avec Votre accord, je démarre et je me lance sur la route blanche. Je conduis
prudemment, la route est glissante et je n’ai pas encore mis les chaînes. Mais ça ne
semble pas Vous déranger pour autant. Vous me posez des questions sur les montagnes,
sur leurs noms, sur la météo, sur mon métier de guide en montagnes, sur les
changements depuis la dernière fois que l’on s’est vu, sur l’influence de la neige
dans notre programme… Puis après quelques contours, nous entrons dans la vallée à
proprement dit, la route monte, le soleil percent entre deux nuages et éclaire de sa
lumière dorée les cimes, la neige qui continue à tomber doucement se met à luire. Le
spectacle est de toute beauté, Vous y êtes sensible aussi d’ailleurs car Vous Vous
taisez et admirez le paysage. Devant Votre regard, je me sens fière d’où j’habite, car
oui, c’est vraiment un beau coin. Un véritable retour à la nature, me semble-t-il,
vous ressentez …

Après une bonne demi-heure de conduite. Je gare enfin la voiture. Nous nous retrouvons
devant un chemin forestier qui grimpe. Je sors et Vous apporte Vos raquettes, quant à
moi, je sors mes skis et enfile mes peaux de phoque. J’attrape Votre sac et Vous
demande l’autorisation d’en porter une bonne partie. Vous me souriez d’un air
conspirateur et me sortez une boite que je peux porter. Le reste Vous Vous savez en
assez bonne forme pour le porter. Je la range, Vous aide à enfiler les raquettes. Je
Vous prêtes une paire de guêtre et nous partons. C’est durant environ 1 heure que nous
arpentons la forêt. La neige ne tombe que très peu à l’abri des épicéas. Je Vous
propose une pause où je Vous offre une tasse de thé chaud tirée de mon thermo et une
barre chocolatée énergisante. Vous semblez profiter de la balade, mais néanmoins Votre
souffle se fait un peu plus cours. Faux dire qu’on est quand même bien plus haut en
altitude que ce dont Vous avez l’habitude dans votre si belle région du Beaujolais …

- A quel distance de la cabane, somme-nous ma petite chienne ? Votre voix brise le
silence qui s’était installé.
- A une cinquantaine de mètres Maître, elle est juste derrière cette bosse enneigée.
- Bien, alors enlève-moi tout ça, aller je veux te voir le buste nu à marcher dans la
neige. De plus, comme il neige il ne fait pas si froid, pour une cinquantaine de
mètres ça ne devrait pas poser de problème. Marcher ainsi, devrait te faire dresser
tes tétons de chienne.
- Oui, Maître.

Ce fut la seule chose que j’ai été capable de dire et je me suis prestement
déshabillée du haut de la ceinture. Et c’est le buste nu que j’ai fait les derniers
mètres jusque à la modeste cabane qui abrite mes retraites. Elle se situe dans une
clairière, loin de tout mais sur la route pour un 5000 m assez connu, ce qui fait
qu’il y ait assez de passage si jamais un problème survenait. Je ne peux bien sûr pas
y habiter tout le temps, il n’y a ni internet, ni eau courante, ni électricité. Elle
est autonome avec un panneau solaire et une génératrice, l’eau est puisée à une source
pas loin, et l’eau chaude est tirée du solaire, ce qui convient bien pour la vaisselle
et une ou deux douches.

Je stoppe devant la porte, Vous l’ouvre et Vous cède la place. Vous entrez en me
lançant de ne venir que quand j’aurais tout rangé (peau, ski, raquette) et que Vous me
voulez en tenue de chienne. Puis Vous pénétrer dans le chalet délicieusement chauffé
au feu de bois, mais pas de cheminée juste un grand fourneau. Pendant que je m’active
sur l’extérieur pour tout ranger, Vous faite le tour du chalet. Une cuisine, une
grande table pour manger, un seul fauteuil, ainsi que la salle de bain, voilà en quoi
consiste le rez-de-chaussée. Et par une échelle, on atteint la mezzanine constituée
d’un grand dortoir séparé en trois par des petites cloisons. Il y a des matelas
partout pour accueillir du monde, mais aussi un lit deux places. Deux fenêtres,
donnant sur le Mont-Blanc et une lucarne sont les seules ouvertures de la pièce. Vous
redescendez Vous asseoir sur le fauteuil, j’entre quelques minutes plus tard
complètement nue, comme exigé. Je me poste assise en tailleur, les mains ouverte sur
les cuisses à Vos pieds.

Vous me caresser la tête, nous restons un long moment-là, sans bouger, au chaud, Votre
esprit semble être ailleurs, Vous réfléchissez. Quant à moi, comme souvent en Votre
compagnie je me laisse submerger par le sentiment de bien être que je ressens d’être à
Vous, d’être à Vos côtés. Vos mains restent cependant un peu froides. Je Vous demande
l’autorisation de parler ce que Vous m’accorder d’un petit hochement de tête. Je Vous
propose de Vous préparer un chocolat chaud. Car après tout, on est en Suisse et après
la neige c’est le meilleur remède. Vous me faite un signe de tête et je file à 4
pattes le plus vite possible pour Vous contenter. Quand je reviens portant
précieusement le chocolat ainsi que des biscuits, je Vous trouve dans la même position
qu’avant à une seule exception près. Vous avez sortis Votre sexe. Il ne présente qu’un
début d’érection, mais Il est déjà si beau, il me donne tellement envie. Je
m’agenouille entre Vos jambes, dans le but de Vous faire une fellation, mais Vous ne
m’en donnez pas l’autorisation.

- Que veux-tu ma chienne ? C’est ma bite que tu veux ? Tu t’en crois digne ? Tu n’as
même pas demandé correctement. Tu crois peut être que je la donne à n’importe qui ?
- Pardon Maître, murmurais-je, rouge de honte. Je Vous supplie de bien m’accorder le
droit de Vous faire jouir. Je Vous supplie de laisser Votre chienne Vous donner du
plaisir. Je Vous supplie Maître Vénéré d’accorder à Votre chienne le droit, l’honneur
de Vous prendre en bouche. Je Vous supplie de l’utiliser pour faire ce qu’elle désir
le plus au monde, Vous servir, Vous appartenir, Vous satisfaire, Vous donner du
plaisir…
- Très bien, voila qui est bien demandé, c’est bon… Aller prends la, petite chienne et
amuse toi bien.
- Merci Maître

Je me penchais alors vers son sexe qui c’était bien redressé. Je sais que mon Maître
adore les supplications, et même si je ne suis pas douée avec les mots, j’essaie de
m’améliorer pour le satisfaire au mieux. Ma langue se posa sur le bout de son gland au
moment où il prit une gorgé de chocolat. Je descendis ma bouche doucement le long de
sa verge, je m’appliquais à Lui faire des vas et viens profond, j’enserrais son pénis
de mes lèvres et Lui continuait à boire tranquillement comme si de rien n’était. Le
seul signe de plaisir qui émanait de Lui était son sexe qui durcissait de plus en plus
dans ma bouche. Une partie de moi appréciait cette sensation de se sentir comme
inutile comme insignifiante, car malgré le plaisir que je m’appliquais à Lui donner Il
ne semblait pas prendre en compte ma présence. Mais une autre partie de moi était
presque jalouse de la tasse de chocolat qui Le monopolisait plus que moi.

Sans aucun signe avant-coureur mise à part quelques soubresauts de Votre verge tendue
à son maximum Vous Vous mîtes à éjaculer dans ma bouche en de longs jets saccadés. Je
me dépêchais de récolter toute cette semence. Je me sentais fière, mais je regardais
la tête baissée. J’avais rempli en partie mon rôle. Je Vous avais amené du plaisir.
J’étais heureuse et très excitée. Si excitée que ma mouille coulait sur mes cuisses.
Vous me fîtes lever, et nous nous dirigeâmes vers la table, Vous m’y étendez et Vous
m’interdisez de bouger. Je sens que ça va être dure, car en alpinisme lorsque des
cordes me retiennent je peux me laisser aller, je peux bouger, mais là, c’est par ma
simple volonté qu’il faudra que je m’interdise les mouvements. Vous promenez Vos mains
le long de mon corps, Vous me caressez les épaules, le front, les joues, les bras, le
haut de la poitrine, Vous Vous attardez longtemps sur celle-ci, Vous l’enserrez,
l’étirez, la claquez, la caressez. Chaque mouvement de Vos mains m’excite encore plus.
Vos mains descendent le long de mes côtes, fond le tour du nombril, et caressent
l’intérieur de mes cuisses. Je suis trempée d’excitation.

C’est tellement bon, je voudrais que Vous arrêtiez, ou que Vous me preniez, mon bas-
ventre trop réceptif à envie d’être possédé mais cette attente est une douce torture.
Je veux bouger des hanches, mais je ne vais pas risquer de commettre vos ordres par
encore une faute aujourd’hui. Puis, oh bonheur ! Un de Vos doigts caresse mes lèvres
humides, il se glisse dans ma fente, s’attarde sur mon clitoris dressé. Ce doigt me
pénètre et fait des vas et viens, bientôt rejoint par un autre doigt puis encore un.
J’ai déjà 4 doigts dans ma chatte et le pouce de Votre autre main toujours en train de
caresser mon clitoris. C’est bon, trop bon. Vous glissez alors Votre dernier doigt. Et
Votre main tente de s’infiltrer aussi. Elle ne passe pas totalement en entier, mais
une grande partie est déjà dedans. Vous me fistez ainsi avec tant de bonheur que je
ressens une excitation extrême qui suffit amplement à lubrifier cette large
pénétration qui me remplit. Vos petits mouvements des doigts sont si bons. Vous faites
pivoter doucement votre poing en moi que j’ai envie de jouir, et jouir encore.

Vous m’autorisez enfin à me laisser aller, mais Vous m’ordonnez de crier mon orgasme,
de bouger, de vivre pleinement ma jouissance que vous m’offrez. Je me mets aussitôt à
jouir, puis des cris commencent à s’élever. Je finis par jouir sur Votre main dans de
gros soubresauts. Vous me faite lécher mes doigts, mais je n’ai pas honte, je me sens
juste bien et comblée ...

(à suivre ..)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 160)
Histoire sexe : Une rose rouge
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