Ma nuit au château (4) - histoire érotique

Tandis que la station-service était le lieu devenu un lieu de volupté, les autres convives avaient été invités par la gouvernante a rejoindre la bibliothèque pour un apéritif.
Le décor était somptueux fait de chêne clair avec de nombreux ouvrages anciens. Les fenêtres et miroirs étaient immenses et des tableaux de maître ornaient les murs. Des tapis persans au sol apportaient chaleur et luxe a la pièce .
La comtesse nous présenta les personnages peints sur les tableaux puis s'arrêta volontairement je suppose sur la collection d'ouvrages érotiques constituée par son mari. Des gravures peu équivoques illustraient les textes.

Les servantes entrèrent en action pour servir apéritif et petits fours. Leurs tenues étaient très différentes mais toujours coquines, ce qui ne m'étonnait pas compte tenu de la liberté prônée par leur responsable.
La première a nous servir fut Donna, la fille de Stella, embauchée a mi-temps pour payer ses études. Âgée de 22 ans elle était blonde avec une peau bronzée et satinée. Elle portait ce soir une salopette en jean avec un top filet jaune transparent qui permettait d'apprécier sa poitrine lourde tombante très échancrée que j'estimais a 90E.
La seconde servante était Luisa, une portugaise de 44 ans, brune a lunettes. Elle était vêtue d' un jean et d' un fin pull rose sous lequel on voyait un soutien-gorge noir a armatures renforcées pour maintenir deux obus (un tour de poitrine peu commun de 105F).
Une dernière servante fit son entrée. Il s'agissait de Simone, la première employée arrivée au château et qui approchait les 60 ans mais restait polissonne. Elle était habillée en servante sexy avec un corset noir seins nus, un haut noir transparent laissait voir ses grosses loches fermes pour son âge (environ 100E), dernière coquetterie, un petit tablier de soie. Elle était brune avec des mèches blondes sur le dessus, des lunettes lui donnait un air distingué.

Les servantes assuraient un service parfait et me permettaient de me régaler a chacun de leur passage.
- Dis donc Florian mon personnel te fait de l'effet, tu sais elles ne sont pas timides.
Joignant le geste à la parole elle arrêta Simone au passage.
- Regarde cette chère Simone. Elle n'est plus très jeune mais elle fait des efforts. Tourne toi Simone demanda la comtesse.
- Tu as vu ce cul Florian me dit Hélène guidant ma main vers les fesses de la servante.
Les fesses de Simone étaient douces et charnues. Je les caressais avec douceur . Hélène m'incita a aller plus loin.

Je donnais plusieurs petites tapes sur le cul large. Puis, je glissais ma main entre les cuisses de la quinquagénaire. Je fis sauter le bouton-pression qui fermait le corset au niveau du bas-ventre. Je vis apparaitre la chatte poilue et le trou du cul qui paraissait souple. Je fis coulisser mes doigts dans l'entrecuisse.
Simone semblait approuver mes avances car elle se pencha en avant et écarta encore plus les cuisses pour m'offrir une vue magnifique.
Hélène s'adressa à la servante.
- Tu vois Simone tu es encore capable de séduire un jeune étalon, tu n'as pas fini ta carrière .
Simone reprit son service non sans avoir réussi à faire naître une érection dans mon bermuda.

La comtesse se tourna vers Paola et s'adressa à elle.
- Je tiens a te remercier pour tes remarquables caresses qui m'ont procurées des frissons voire plus sur la fin.
Hélène saisit la tête de la jeune africaine et lui donna un baiser appuyé sur la bouche. Paola ne de déroba pas à cette marque d'affection.
Hélène poursuivit
- Tu devrais te mettre à l'aise comme nous, tu devrais retirer tes dessous. Clara aidez la demanda la comtesse a sa gouvernante.
Paola fut surprise et un peu gênée mais Clara accomplit rapidement sa mission. Elle fit glisser la robe de Paola aux chevilles puis défit le soutien-gorge rouge, ce qui libéra deux mamelles lourdes qui s'effondrèrent sur le torse de l'adolescente. Puis Clara se baissa et tira sur la culotte rouge .
Paola était nue lorsque la comtesse la complimenta de nouveau.
- Tu es d'une beauté ravageuse. Tu me rappelles une jeune bonne que nous avions au Sénégal quant nous étions expatriés la-bas. D' ailleurs elle était devenue l'amante de notre couple.
La jeune fille était confuse mais fière des compliments de la maitresse de maison.
Elle remit sa robe légère et bizarrement ressentit du plaisir en sentant l'air se faufiler dans son entrecuisse. Elle posa ses dessous sur un guéridon .

Un véhicule de luxe, type Rolls-Royce se présenta a l'entrée du château . Il se dirigea directement vers le grand escalier . Un chauffeur conduisait le véhicule
ce qui situait le niveau social de ces convives.
Stella ouvrit les portes arrières du véhicule et deux femmes distinguées en descendirent . Le chauffeur éloigna la Rolls un peu a l’écart.

La gouvernante prit la peine de descendre compte tenu de la qualité des invitées .
Elle les salua avec déférence donnant du Madame la comtesse a l'une d'entre elles.
Les deux femmes accompagnées de Clara traversèrent le hall .
La comtesse était une femme élancée et fine de 50-52 ans aux cheveux blonds magnifiques, sa peau bronzée était une splendeur.
Elle portait un long manteau blanc léger, elle abandonna ce vêtement a Clara. Sous ce manteau elle avait revêtu une combinaison fantaisie noire transparente. On voyait parfaitement ses nichons bien fermes . Cette combinaison était ouverte a l'entrejambe mais la comtesse portait un string noir masquant son intimité .
L'autre femme une blonde d'environ 50 ans était plus enveloppée et portait une tenue plus classique, genre femme d'affaires. Elle portait un ensemble beige avec une veste et une jupe longue ainsi qu'un haut blanc échancré.
Clara la débarrassa de sa veste.
La gouvernante dirigea les deux femmes vers la bibliothèque.

Des démonstrations de joie d’Hélène accompagnèrent l'arrivée des deux femmes.
- Émeline, Charline, mes amies quel bonheur de vous compter parmi nous ce soir. Vous êtes rayonnantes . Tu es exceptionnelle Émeline, quel bronzage tu as, je suis jalouse !!!
Quant a toi Charline tu es toujours aussi classe.
Pour ma part, je remarquais surtout la combinaison d’Émeline qui me permettait d'admirer une femme mure merveilleusement proportionnée .
Hélène félicita son amie Émeline pour sa combinaison si sexy.
- Tu as bien eu raison de t'habiller léger et pratique ce soir, il fait si chaud au château cet Été. Ainsi tu es tout a fait en accord avec nos vêtements de circonstance.
Hélène continua.
- J'adore ce genre de combinaison mais on dirait que celle-ci est nouvelle. Je crois que tu ne m'en as jamais parlé.
- En effet répondit Émeline, nous sommes allées avec Charline dans une boutique de lingerie cet après-midi faire quelques emplettes.
- Et toi tu as trouvé de jolies choses Charline interrogea Hélène.
- J'ai trouvé ceci dit Charline qui sortit un minuscule morceau de tissu blanc d'un petit sachet. Il semble que ce soit une nouveauté . J'ai été intriguée par son caractère minimaliste .
- Es ce que je peux te demander une faveur ma chère Charline interrogea Hélène également intriguée par ce dessous minuscule. Es ce que tu pourrais le mettre pour le souper ?
- Pas de problème rétorqua Charline en riant, j'avais justement hâte de l'essayer puis je suis un peu chaudement habillée vu la chaleur de la pièce.

J'avais du mal a masquer mon impatience de voir Charline procéder a cet essayage. Ma bouche était sèche .
Charline détacha sa robe qui glissa au sol . Elle portait une culotte beige a bandes grises qu'elle retira . Nullement gênée elle poursuivit en ôtant son haut blanc sous lequel apparu un soutien-gorge de couleurs identiques a la culotte. Elle le dégrafa faisant apparaitre une fort jolie poitrine (taille 90C ou D) aux aréoles rose clair avec un anneau traversant le téton gauche.

Une fois totalement nue, elle remonta le morceau de tissu blanc entre ses cuisses. Arrivé au niveau du bas ventre le tissu formait un minuscule triangle masquant la fente puis se divisait en deux parties comme deux bretelles larges que Charline enfila sur ses épaules . Les bandes de tissu masquaient uniquement les aréoles des seins. Enfin dans le dos les bandes se rejoignaient en une seule qui plongeait entre les fesses, offrant une vue intégrale du fessier assez volumineux de Charline .

Hélène demanda a Charline de tourner un peu .
- Pour le coup, tu as le prix de l'originalité, je veux le même modèle pour la plage ou les soirées indiqua Hélène.
Hélène m'interrogea.
- Tu en penses quoi Florian, tu aimes ce dessous, ça ne doit pas te laisser de marbre.
En parlant de marbre, elle ne pensait pas si bien dire. Ma queue était dure comme une colonne grecque après le striptease de Charline et en la regardant quasi-nue.
Je ne me démontais pas.
- Tout est très mignon, la lingerie et Madame, elle a des courbes qui me plaisent beaucoup
J'observais les seins de profil, ils étaient appétissants comme de bonnes miches et les fesses lourdes m'attiraient comme des aimants.
- Tu vois Charline rien ne sers de faire des régimes, tu as des admirateurs avec ton petit embonpoint blagua Hélène.

Charline s'avança vers moi pour me faire un bisou. Elle me saisit la main pour m'entrainer dans un début de slow.
Hélène souriait et lança .
- Allez une petite danse avant le repas.
J'étais comblé, j’étais collé a Charline profitant des courbes de ses nichons et de son ventre. Je posais mes mains sur ses fesses charnues que je caressais et massais. Je profitais de la douceur de ses cuisses . Je la voyais sourire car elle sentait mon pieu dur comme du roc au travers de mon bermuda. Je cherchais à me frotter de plus en plus contre sa chatte et elle m'y incitait par ses petits coups de bassin en avant.

Hélène nous interrompit en précisant que nous passerions a table dans cinq minutes.
J’étais un peu frustré mais je savais que d' autres occasions se présenteraient ce soir.
Nous nous dirigeâmes tous vers la grande salle du château ou se déroulerait le repas.
En chemin, Hélène nous présenta ses deux amies, la comtesse Émeline de P, épouse d'un directeur d'une banque d'affaires internationale et Charline, directrice d'un réseau régional de coiffure à domicile féminin.
Je vis à qui j'avais affaire et je fus impressionnée par la situation sociale de ces dames, moi modeste aide-soignant.

La grande salle était encore plus splendide que la bibliothèque, d'énormes lustres scintillaient au plafond et une table immense en chêne massif trônait au milieu de la pièce . Des chaises de valeur étaient disposées autour de la table.
Une cheminée richement décorée se trouvait face a l'entrée de la salle. Des tapisseries médiévales ornaient les murs. Des tentures de velours rouge entouraient les fenêtres . Plus anachroniques des statuettes et masques africains disposés près de la cheminée, sans doute des souvenirs d'Afrique.

Clara nous disposa a table, la comtesse Hélène se trouvait en bout de table dirigeant le repas.
De part et d' autre de la table et a ses cotes ses amies Émeline et Charline prirent place. Paola s'installa près d’Émeline. Je me trouvais entre Charline et Sandrine face a Paola. Coralie se trouvait aux cotes de sa mère .
Nous discutions depuis 10 minutes quand les quatre derniers convives firent leur entrée .
La comtesse Hélène les présenta a Émeline et Charline .
- Voici Toumani et Olivier deux charmants jeunes hommes que j'ai rencontré en fin d'après-midi a la plage.
La comtesse Émeline de P ainsi que Charline se présentèrent aux deux hommes qui apprécièrent les tenues affriolantes des deux femmes mures portées avec classe.
Les deux femmes parurent très intéressées par les deux apollons surtout quand elles virent les bosses qui déformaient les shorts des deux garçons, promesses de joutes sexuelles endiablées se dirent elles en fantasmant.
- Qui sont vos deux compagnes Messieurs interrogea Helene.
Toumani présenta les deux sœurs Cindy et Amélie et inventa une histoire au cours de laquelle les deux jeunes filles, travaillant dans une station-service, les avaient aidés a changer la batterie de leur voiture ainsi que deux feux clignotants.
- Vraiment très belles et fraiches, vous avez bon goût Messieurs. Je vous remercie d'être venues accompagnés car j'adore les soirées avec de nombreux invités révéla Helene .
Vous êtes les bienvenues mesdemoiselles pour votre première venue au château .

Amélie fut surprise de voir Coralie à table. Elles se connaissaient depuis 3 ou 4 ans quand Coralie intégra le groupe scout dont Amélie faisait déjà partie. Elle se dirigea vers elle et lui fit deux bises.
Coralie expliqua à sa grand-mère l'origine de sa rencontre avec Amélie .
Puis Clara fini d'installer les invités. Toumani s'assit près de Coralie . Olivier prit place aux cotes de Paola face a Sandrine . Amélie était assise auprès d' Olivier face a Coralie, lui permettant d'échanger des anecdotes entre adolescentes . La dernière placée fut Cindy qui avait sa place a cote de Toumani.

Les convives avaient tous pris place. Le repas pouvait commencer. Clara fit retentir une sonnette qui annonçait en cuisine et aux servantes que le service pouvait débuter .