L'inconnue du bistrot

- Par l'auteur HDS Desirman -
Récit érotique écrit par Desirman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'inconnue du bistrot Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
L'inconnue du bistrot
Elle n'était pas particulièrement belle mais elle avait un fort pouvoir de séduction. Elle semblait toujours perdue, fragile, et elle revenait tous les après midi dans ce café au charme un peu désuet. La même place au bout du comptoir. La même consommation, mais chaque jour une tenue différente, robe ou jupe. Je ne l'ai jamais vue en pantalon.

Brune, grande, les yeux triste et le maquillage absent elle était pour moi belle à croquer. J'ai compté cinq hommes qui ont tenté de l'aborder sans succès. Aucun mot ne sortait de sa bouche, jamais ; aucun regard vers l'inconnu qui s'en retournait.
Cinq hommes, mais pas moi.
Aujourd'hui elle me paru moins triste. Sa jupe était plus courte et son chemisier avait pris des couleurs. Elle se hissa sur le tabouret, comme à son habitude, et croisa les jambes. Ses cuisses laiteuses étaient largement découvertes et je me repaissait du tableau avec une telle gourmandise, que je ne remarquai pas immédiatement son changement de position. Elle était tournée face à moi mais elle ne me regardait pas. Je la fixait intensément en espérant croiser son regard.
Ce n'est pas sa tête qui a bougé. Se sont ses jambes qu'elle écarta légèrement, et bien sur je plongeasse mon regard dans son entrejambe il n'était pas suffisamment ouvert pour me laisser voir son slip. J'aurais bien aimé. Sans doute entendit-t-elle ma muette supplique puisque ses jambes s'ouvrirent d'avantage un court instant. Une culotte rose provoqua une érection instantanée, puis tout se termina trop vite.
Elle descendit de son tabouret et poussa la porte du bar avant de disparaître, me laissant avec la petite culotte rose dans la tête. L'avait-elle fait volontairement?
Ou pas?
J'eus la réponse le lendemain.
Même place pour elle, même place pour moi.
Même attitude.
Un remake de la veille, à la différence près, que je vis clairement, bien que trop brièvement, qu'elle ne portait pas de sous vêtement.
Une toison sombre... et mon slip se cambra.
Comme la veille elle disparut sans un regard.

Elle joua un autre scénario le lendemain, qui la laissa, à mon regret, très sage sur le tabouret. Elle portait un polo blanc, une jupe plissée et des baskets roses.
Toujours à la même heure, elle quitta le comptoir en direction de la sortie puis arrivée à la table voisine de la mienne elle laissa échapper une mimique de contrariété.
Elle s'arrêta pratiquement à côté de moi, tira une chaise et posa son pied gauche dessus. Je vis alors que sa chaussure était défaite. Sans un regard elle se tourna légèrement vers moi puis se pencha pour renouer lentement le lacet. Je reçus un coup de poignard en constatant que j'avais une vue imprenable sur sa chatte. Il me semblait qu'elle avait ouvert les cuisses au maximum pour me permettre de profiter du spectacle.
Dans mon slip c'était l'affolement.
Le lacet refait, elle abandonna la pause, repoussa la chaise en disant, sans me regarder

"j'espère que ça vous a plu",

puis elle poussa la porte.

Le lendemain nous étions au rendez vous.
Cette fille phagocytait mon cerveau. je pensais à elle, le jour et la nuit. Toutes mes pensées me ramenaient invariablement à cette salle de bistro, à ce tabouret... à cette culotte rose.. et surtout à cette chatte offerte à mon regard lubrique.
Qu'allait-il se passer aujourd'hui?
Il ne se passa rien.
Ou presque. Sauf....
Avant de quitter le bar elle déposa discrètement un petit papier à côté de ma tasse de café. Sans un mot, sans un regard.
Je la regardais s'éloigner, puis je dépliais le billet, que je voulais doux, et le lisais :

"je vous ai montré. A votre tour de me faire voir. si ça me convient nous pourrons continuer à jouer. Demain vous me montrerez sinon je ne reviendrai jamais dans ce café."

C'était un véritable ultimatum, mais je décidais de ne pas capituler.

Le lendemain, soleil à l'appui, j'entrais dans le bar en tenue de coureur. Polo, mini short et baskets. Je pris ma place habituelle. Elle arriva, comme à son habitude et s'installa sur le tabouret.
Elle était incroyablement sexy. Tailleur léger et lunettes de soleil. Elle ne me regardait pas.

j'avais peur qu'elle ne s'en aille si je ne lui faisais pas comprendre ma décision. Je me levai donc et me dirigeai vers le comptoir. Assez près d'elle pour sentir les effluves de son parfum. Je m'adressai au serveur pour lui commander un café, puis avant de retourner m'asseoir, je murmurai en direction de l'inconnue :

"je suis prêt",

puis j'emportais ma tasse jusqu'à une table dans un coin de l'arrière salle.

Bien que dans un coin discret, je pouvais toujours observer cette envoûtante femme. Après quelques minutes je la vis quitter son tabouret, et sans une hésitation se diriger vers moi. Elle tira la chaise qui se trouvait en face de moi et s'assit. Pas un mot, pas un sourire. Impassible, elle posa les mains sur la table et attendit en me regardant cette fois fixement. Je ne pouvais plus reculer. Je jetais un coup d'oeil sur la salle. Personne ne semblait s'intéresser à nous. Alors soudain, sans que j'eusse l'impression de la contrôler, cette phrase sortit de ma bouche :

" vous devriez faire tomber ce paquet de cigarettes et vous baisser pour le ramasser"

Mon inconnue poussa alors lentement le paquet vers le bord de la table sans cesser de me regarder. Il tomba et elle quitta sa chaise pour s'accroupir. Je fis alors glisser mon short et mon slip le long de mes jambes. Je m'arrêtais aux chevilles mais je sentis que la voyeuse m'enlevait totalement mes effets, puis elle me saisit les genoux et me força à écarter grandement les cuisses. Je sentais ma queue durcir encore et j'imaginais les yeux ravis de la vicieuse. Elle était en position pour me faire une pipe royale.
Elle ne fit rien.
Elle se releva puis regagna son tabouret.
Je me rhabillait tout en l'observant. Rien ne trahissait un quelconque émoi. Alors qu'est ce qu'on fait maintenant?
Je restais dans mon coin.
Elle ne bougeait pas.
Peut-être attendait-elle que je l'approche?
Je me levais donc et avançais lentement.
Pas un regard vers moi.
Je repris ma place à l'endroit habituel, puis je la vis soudain tapoter sur le tabouret qui se trouvait à côté d'elle.
Je restais quelques instants indécis puis voyant que personne ne bougeait, je résolus de m'approcher et de me hisser sur le siège. Alors, enfin, elle se résolut à sourire et me déclara, sans préambule

"ta queue me plaît, si elle avait été plus grosse on aurait arrêté le jeu"

Bigre elle ne s'embarrasse pas de fioritures....et moi qui trouve mon sexe trop petit!!!
Me voilà réconcilié avec lui. En ce moment tout au moins. Je sentis un léger sourire de conquérant se dessiner sur mes lèvres tandis qu'elle sortait deux enveloppesnde son sac. Une bleue et une rose. les explications ne tardèrent pas :

"elles contiennent des petits papiers. Tu vas en tirer un dans chaque enveloppe."

Je fis sans doute des yeux d'ahuri puisqu'elle précisa :

"dans la rose le sort décidera où tu vas me prendre et dans la bleue, comment tu vas me prendre. Dans la rose il y a -hall d'immeuble, toilettes de bistrot, jardin public, et cabine d'essayage-. Dans la bleue il y a -debout, en levrette, et sodomie. Vas-y choisis bien".

Je glissai successivement la main dans l'enveloppe bleue puis jaune.

"lis moi"

fit la gourmande. Je lus

" debout. Hall d'immeuble."

Elle récupéra les papiers rangea les enveloppes, puis descendit de son tabouret et poussa la porte du bar. Je mis quelques secondes à réagir et lorsque je poussai la porte elle était déjà dans la rue. Ouf! elle semblait m'attendre. Elle marchait d'un pas vif, puis soudain, sans une hésitation entra sous une porte cochère, poussa une porte d'allée et se cala contre un mur dans la demi pénombre. Je m'approchai, craignant à chaque instant d'être surpris. D'un geste vif elle me débarrassa de mon short et de mon slip et entreprit de me masser les bourses

"elles sont bien pleines, tu vas pouvoir te soulager"

ce langage cru sembla l'exciter et elle saisit ma queue pour la décalotter et là je ne pus réfréner une pulsion verbale

"qu'est ce qui se serait passé si j'avais été très bien membré?"

Oups! je suis C.. de poser cette question. Mais la coquine ne fut pas troublée et me répondit tout de go

"imagine que tu aies tiré le papier sodomie. J'ai peur d'avoir mal avec une trop grosse".

j'essayais de lui faire remarquer que puisque la taille lui convenait on pourrait peut être...Mais non! elle me fit comprendre qu'on ne pouvait pas changer les règles du jeu. Ma déception la bouleversa-t-elle? sans doute puisqu'elle me proposa de me pomper un peu avant que je ne l'enfile (ce furent ses mots). Elle revêtit ma verge d'un joli capuchon vert puis elle se mit à genoux et me suça suavement. C'était trop bon mais pas assez long. Elle se releva, leva une jambe et ordonna

" vas y maintenant enfile moi"

je décidai de ne pas me faire prier et je pénétrai la coquine assez brusquement. je m'excusai

"non, non, vas y j'aime bien comme ça".

Ah tu aimes? j'entrepris alors un pilonnage méticuleux. Je ressortais puis je m'enfonçais à fond d'un coup de reins, variant le rythme au gré des petits cris rauques qu'elle laissait échapper. Soudain la porte de l'allée s'ouvrit et je fit mine de me retirer mais elle me saisit par les hanches en murmurant

"non, ne t'arrêtes pas maintenant".

Mais...

"je sais être silencieuse".

Je continuais donc à la limer plus lentement lorsque je sentis tout son corps se contracter puis se libérer dans de légers soubresauts. Je sentis ses cris se perdre au creux de mon épaule.
Je ne parvins pas à jouir.
Elle resta sans bouger quelques minutes puis se dégagea.
Elle ne fut pas longue à constater mon état.
Elle retira la capote puis me branla doucement.
Je ne venais toujours pas malgré les soins qu'elle me prodiguait. Alors, sans cesser le va et vient, de sa main libre, elle recueilli un peu de sève sur son majeur qu'elle enfonça profondément dans mon anus pour me masser la prostate. J'eus alors l'impression que ma verge doublait de volume et j'éjaculai dans les secondes qui suivirent. Aussitôt la coquine reprit une attitude digne et gagna la sortie.
Je mis quelques secondes de trop à me rhabiller et quand je parvins dans la rue, elle avait disparu.

Je courus au café. Personne.

je courus dans la rue, dans un sens puis dans l'autre, en vain.
Ce n'était pas possible! Je devais la revoir!

Je revins dans le café où je passais le reste de mes journées de congés, mais mon inconnue ne revint pas.

Je ne la revis jamais

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