Au bout du monde - 7

- Par l'auteur HDS Ingyt -
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au bout du monde - 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au bout du monde - 7
Fantasme

— Ah oui ! Ah oui ! Ah ouuuiiii !!!

Je criais mon plaisir sans équivoque, la face dans l’oreiller, le cul en l’air et depuis un bon moment déjà. Luce me pistonnait avec force dans le lit, à genoux derrière moi en me tenant par les hanches. Je me sentais toute électrique, mon sexe dilater, détremper dégoûtait, mes mamelons étaient si sensible qu’il me faisant mal écraser sur les draps, même mes seins avaient gonflé à cause du plaisir intense que je ressentais. Dans cette position, ses couilles frappaient mon clitoris m’arrachant de petites plaintes à chaque fois et les poings refermer j’haletais, je manquais d’air. Quand je lui jetais un rapide coup oeil, je la voyais concentrer sur son propre plaisir, fixant mon cul et ça bite, dents serrer tandis que ses seins lourds sursautaient violemment a chaque coup de boutoir quelle me donnait tout comme mes fesses un peut molle qui rebondissait. La voir dans cet état d’excitation à cause de moi augmentait le plaisir que je ressentais. Il faisait si chaud que de la sueur perlait dans ma craque de fesses et sur ma colonne pour ensuite glisser sur mes côtes et ça me chatouillait délicieusement. C’était si bon, si fantastique, surtout sans condom. Je sentais mieux son pénis si dur aller et venir en moi profondément, mais cette fois, j’en voulais plus...

J’attendis un instant avant de lui proposer ce que j’avais en tête, en fait, j’hésitais, trop timide encore une fois, et ce furent quelques minutes de trop car elle jouit soudainement en stoppant, complètement enfoncer en moi, pour planter quasiment ses ongles dans mes fesses. Elle était trop excitée sans doute de me baiser sans capote. Je sentis très bien son sperme jaillir avec force pour s’écouler en moi jusqu’au fond de mon vagin. Déçut et tout de même un peut frustrer en sentant mon anus pulser contre son ventre j’attendis qu’elle finisse d’éjaculer en me masturbant avec force dans l’espoir de m’amener a l’orgasme. Luce ne bougeait presque plus en déchargeant, poussant sa verge en moi le plus profond possible en gémissant comme une femme. Je malmener pas mal mon clito en heurtant sa verge du bout des doigts et réussit rapidement a avoir un petit orgasme qui me laissa sans voix. Les yeux fermer j’eus des spasmes violent qui me firent remuer les hanches et qui me donnèrent même des contractions vaginales, mais ce plaisir intense que je ressentais dans mon bas ventre diminua rapidement et disparue. Tremblante, en sueur et essoufflé je la laisser terminer, puis elle me caressa un peut les reins et les fesses avant de se retirer me laissant comme un grand vide. J’aurais bien aimé quelle continue a me mettre, j’en fus déçu et je soupirer en me sentant insatisfaite avant de me laisser glisser sur le ventre, écrasant mes seins sous mon torse, jambe écarter, dans le vague espoir quelle recommence a me pénétrer en me mordillant la nuque folle de désir. Dans la vingtaine elle l’aurait probablement fait, mais là, passé 50 ans...

Je sentit des gouttes de sperme me tomber sur les fesses qu’elle essuya avec sa main me chatouillant ce qui me fit sourire pendant que mon coeur se calmait. Pour la première fois de ma vie j’aurais aimer qu’ils y ai deux, voir trois autres gars prêts a la remplacer. Encore une chose que je n’avais jamais essayée. Comme tout le monde j’avais déjà vu des pornos avec ses filles qui se font prendre par trois hommes à la fois, je m’étais toujours demandé si c’était le pied ou l’enfer. Pour les hommes c’était le pied, pas de doute là-dessus. L’anus et le vagin en même temps sans parler de la bouche... J’essayai de m’imaginer prise comme ça sans y parvenir. Je chasser ses images en me sentant fiévreuse, étourdit, même que mon corps fut parcouru de délicieux frissons. Je sentis Luce s’étendre contre moi, je me retourner sur le dos tête tourner vers elle pour l’apercevoir sur le dos également, pressant son sexe encore dure pour bien le vider avec sa main délicate aux ongles couverts de rouge. Je déglutis à la vue des gouttes de sperme qui tombait sur son pubis me revoyant avaler son foutre tout à l'heure dans la rivière en réalisant que j’avais aimé ça, pour une fois. Ses seins tous blancs étaient comme les miens, couverts de sueur, pendant un peu sur ses côtes saillantes, avec les mamelons durcis. Et il n’y avait pas le moindre souffle de vent aujourd’hui pour nous rafraîchir un peu.

— C’est meilleur sans condom, non ? Me demanda-t-elle les yeux vaseux et tout petits en me regardant. Ses magnifiques yeux noirs me scrutaient si intensément que cela me troubla.
— Hum, fi-je tout bas en lui donnant un baiser sur l’épaule. Oui c’était bon, on recommence ?

Elle rit, si belle, puis soupira en lâchant son pénis qui ramollissait lentement, ce qui voulait dire « désoler, je ne peux pas. Pas si tôt. »

— Dès que possible ma belle. Fit-elle. J’ai encore de la misère à imaginer que je te baise, toi, Julie Demers. T’as tellement un beau cul.

Elle me souriait malicieuse.

— Huummm ! Tu peux me dire ça aussi souvent que tu veux ma grande.

Je ressentis quand même l’envie soudaine de m’asseoir sur elle pour m’empaler sur sa bite mais depuis ma ligature je n’arrivais plus à garder du sperme et je dus serrer les cuisses pour ne pas tout larguer sur le drap. Alors je me lever pour m’asseoir sur le bord du lit une main sur mon vagin pour m’apercevoir que la boîte de papier mouchoir était vide, je filai aux toilettes pencher vers l’avant sans rien dire, cuisse serrer, la main coincer la. Mon téléphone sonna sur la table de cuisine au moment ou je passais comme s’il y avait un détecteur de mouvement à l’intérieur. Je l’agrippai au passage et entré rapidement dans la salle de bain pour m’asseoir sur le bol jambe écarter et juste a temps. Des que je retirer ma main poisseuse, le foutre épais mélanger a du liquide vaginal s’écoula lentement en s’étirant. Je vis la photo de Marie sur mon téléphone avant de me le coller à l’oreille en m’essuyant l’autre main sur une serviette. Le fait de lui répondre comme ça, nue, assis sur la toilette pendant que du sperme me coulait du vagin me donna d’étranges frétillements jusqu’à la pointe des seins toujours gonfler et sensible au moindre courant d’air.

— Oui ! Répondis-je la voix un peu enrouer comme à chaque fois que je venais de me faire baiser.
— Salut ma belle !
— Salut !
— Ça va, t’as une drôle de voix ? Tu ne t’es pas déjà engueulé avec...
— Non, non ! Au contraire, on vient de... de baiser.
— Oh ! Je dérange ?
— Non je suis aux toilettes.
— Oh, nue j’imagine ?

Je souris.

— WAIS, vicieuse.
— Profite en pour m’expédier d’autres photos de nues et de ton amant, j’aimerais bien y revoir la face à celui-là. Pose le veut tu ?

Je déglutis en me cherchant une excuse, je ne me voyais pas lui envoyer des photos de Luce pour que Marie s’imagine que je suis devenu lesbienne. Quoi que ce serait plutôt rigolo mais... Pas question. Je ne me sentais pas prêt à lui dire la vérité.

— Désoler, il déteste se faire poser.
— Mon oeil. T’es en plein tripe de cul ma belle, je t’envie. Je suis heureuse pour toi. Il n’y a rien de mieux pour oublier un divorce.
— Oh oui, t’as raison ! J’étais dû et pas a peut prêt.
— Bon, tant mieux, mais... enfin, je t’appelais pour... Je...

Un silence inquiétant. Ce n’était vraiment pas le genre de Marie de tourner autour du pot, peut importe le sujet me dis-je en regardant mes pieds écarter tourner vers l’intérieur.

— Quelque chose ne vas pas Marie ? T’as un problème, les enfants, Marcel ?
— Non, non ! Ils vont bien, ça va. C’est une vraie délivrance d’expédier les enfants aux camps de vacances l’été, ils s’amusent comme des fous et nous en peut enfin baiser a nouveau au salon en écoutant un bon vieux porno.

La, je reconnaissant ma bonne vielle Marie et ça me fit sourire.

— Alors, qu’est-ce que t’as ? Lui demandai-je anxieuse.
— C’est juste que... Enfin, je ne sais trop comment te dire ça ma belle.
— Ça, c’est nouveau. Tu n’as pas la langue dans ta poche d’habitude. Pas un cancer du sein ? Dis-je en imaginant le pire comme toujours.
— Mais non, mes grosses boules vont bien elles aussi. Merci de t’en soucier et tes seins et leur mystérieuse égratignure. Comment est-ce que tu tes faits ça aux justes ?
— Mes seins sont sur mes genoux ma vieille et ils vont bien et je te raconterai ça à mon retour.

Elle rit, moi je souris en forçant pour bien me vider le vagin ce qui me fit uriner et elle devait l’entendre. Je me mis à rougir en rajoutant :

— Et, accouche !
— Bien, tu sais, j’ai aimer les photos que tu m’as envoyer et ne t’inquiète pas, je les garde pour moi et comme je te le disais si t’en as d’autre... ne te gêne pas. Et... je... enfin, ça m’a rappelé de bons souvenirs. J’y repense souvent depuis quelque temps tu sais, à notre jeunesse, à ce qu’on a fait ensemble. Mais je...

Je sentis un vague de chaleur me remonter au visage en repensant évidemment a ces photos de nu de moi que je lui avais expédié par téléphone sur un coup de tête mais aussi parce qu’elle me reparlait pour la deuxième fois en quelques jours de ce que nous avions fait ensemble a la puberté comme bien d’autres filles, c’est a dire se masturber. C’était rester un sujet tabou entre nous mais j’y repensais de plus en plus souvent. C’était de bons souvenirs et Marie me connaissait bien et respectait ma timidité quand venait le temps de parler de sexe et de ça. Peut-être qu’elle s’imaginait que j’en avais honte parce que je refusais d’en discuter. En revenant à Montréal, je me promis de faire le point là-dessus avec elle, mais pas maintenant, pas au téléphone. Mais soudain je repenser aux photos...

— Marie, qu’est-ce qui se passe ? Personne n’est tombé sur ces photos j’espère ?
— Non, non ! Ne t’inquiète pas pour ça je te l’ai dit. Mais tu ne te fâcheras pas, tu es ma meilleure amie Julie ?

Je soupirer de plus en plus intriguer en finissant d’uriner et la vulve me chatouillait. Elle et moi on c’était si rarement embrouillé que je ne pouvais imaginer quoi que ce soit qui me mettrait en rogne après elle sauf si avant mon divorce elle m’aurait appris qu’elle avait baisé avec mon ex. Et si c’était ça ! Si elle se décidait soudainement a me l’avouer maintenant que j’étais divorcer parce qu’elle se sentait coupable. Avec les seins ballons quelle avais, j’avais surpris souvent mon ex a la regarder comme bien d’autres, un homme reste un homme. Je me mis à sueur à grosses gouttes, ma meilleure amie et mon ex. Où... elle savait qu’il me trompait et ne me l’avait jamais dit ? Mon coeur bondit, je me sentais déjà trahi.

— Non, promit ! Dis-je tout de même. Mais là, j’imagine plein de choses. Tu n’as pas baisé avec Charles Marie ?
— Hein ! Mais non voyons, jamais... mais...

Je me redresser le dos bien droit le feu aux joues.

— T’as baisé avec lui ? Dis-je un peu sèchement.
— Non, je te le jure Julie ! Rassure-toi. Mais il s’est essayé un soir. Il me raccompagnait chez moi après une soirée chez toi. Marcel travaillait cette fois la et il ma mit la main sur la cuisse, faut dire que j’avais un peut forcer sur le décolleter mais je ne l’avais pas provoquer Julie croît moi. Jamais je ne t’aurais fait ça. J’y ai quasiment cassé le bras je te jure, ça la comme réveiller. Il avait pas mal bu et c’est confondu en excuse et a réussit à me faire promettre de ne jamais te le dire. J’aurais dû, maintenant que je sais ce qu’il t’a fait.

Je souris en me décrispant tout en la rassurant.

— Seigneur, tu m’as fait peur ma vielle, t’aurais du lui casser son maudit bras. T’inquiète pas, ce n’est rien et ça ne m’étonne pas de lui maintenant.
— Et toi avec Marcel ?

Ma bouche s’ouvrit de surprise et je ris un moment.

— Ben voyons Marie, t’es malade ?
— Il y a trois ans, quand on se baignait tous les trois dans ma piscine, les enfants étaient au camp de vacances, toi et lui êtes allés dans le cabanon au fond de la cour et pas mal longtemps.

Ça me prit un petit moment avant de me rappeler cette journée-là et cette fois j’éclatai de rire.

— Tu trouves ça drôle en plus Julie Demers. Fit-elle moqueuse.

Je m’essuyer les yeux en disant :

— Oh oui !
— T’étais pas mal sexy cette journée-là dans ton petit bikini.
— WAIS ! Mais ton Marcel tu le connais.
— Of... tu le sais bien maintenant, on ne connaît jamais les hommes vraiment.
— Je suis d’accord, mais toi, t’en as attrapé un bon.
— Explique la bombe, pourquoi le mien n'aurait pas flanché pour toi ?

Elle n’était pas sérieuse du tout et je le savais et je la connaissais si bien que je savais également quelle voulait m’avouer quelque chose mais n’y arrivait pas.

— Ton incroyable Marcel a passé 20 minutes a me vanter sa nouvelle tondeuse ma vielle tandis que je bâillais aux corneilles et sans même me regarder plus bas que le menton. Il l’aimait tellement qu’il a réussi à me convaincre que je devais en parler à mon émission de bricolage et je l’ai fait.

Cette fois ces Marie qui éclata de rire et ce fut contagieux. On rit cinq bonnes minutes avant de pouvoir se reprendre, j’en avais mal au ventre et elle dit :

— Je le savais Marie, il s’en est vanter a tout le monde de sa maudite tondeuse.

Je rit encore, ça me faisait tellement du bien de rire avec elle, mais la je voulais savoir ce qu’elle avait vraiment sur le coeur et lui demandai. Un petit silence et elle dit sérieuse cette fois :

— Bon, je me lance, ne te fâche pas hein ?
— Accouche tabarouette ma vieille, je ne vais pas rester assit sur la toilette toute la journée, j’ai les fesses engourdit.
— Bon ! ( Gros soupir ) J’aimerais que toi et moi, bien... Je... ( un autre gros soupir ) je voudrais passer une nuit avec toi Marie. Lâcha-t-elle rapidement.

Mon dos se raidit encore en réalisant pleinement ce qu’elle venait de me dire. Passer une nuit avec moi, ça voulait dire... baiser ensemble. Je déglutis bruyamment sans rien dire, mais mon coeur pompait déjà plus vite. J’ouvris la bouche pour répondre mais elle continua...

— J’ai envie de savoir comment c’est avec une autre femme, continua-t-elle, et j’aimerais que ce soit toi à cause de ce qu’on a déjà fait ensemble. Tu sais, enfin je ne sais pas pour toi mais... moi ça m’a plus à l’époque. J’aimerais revivre ça mais avec toi, pas avec une inconnue, en fait... je me masturbe souvent en y repensant Julie et plus souvent ses derniers temps. Ne m’en veut pas de te dire sa... Hein ?

Je déglutis encore en sentant mon coeur accélérer beaucoup plus en imaginant Marie se branler en pensant a moi comme je le faisais parfois en pensant a elle et de plus en plus souvent depuis quelque temps. Je soupirer en essayant déjà de nous imaginer baiser ensemble. Marie et moi, nues dans un lit se collant, nous frottant, se touchant tout partout sans pudeur cette fois bouche contre bouche. Il y a seulement quelques jours j’aurais dit non, par gêne surtout, mais la... Je réaliser que j’en avais autant envie qu’elle et que j’oserais le faire. Le faire au moins une fois avant d’être trop vieille, baiser avec une vraie fille. Mais Marie... on se connaissait tellement et penser à caresser ses seins ballon me fit sourire quant à savoir si j’oserais lui mettre la langue ou je pense, mais d’imaginer le contraire me fit frissonner. Avec une bonne bouteille de blanc, même deux... Pourquoi pas ! Je suais a grosses goûtes en fixant le vide perdu dans mes pensées en réalisant que je mouillais a nouveau et que j’avais encore des papillons dans le bas ventre. Je résistais même à une envie violente de me masturber. Je me sentais de nouveau exciter.

— Julie, t’es là ? Tu m’en veux ? Bof, oublie ça veut tu, je ne sais pas ce qui m’arrive depuis que j’ai dépassé la cinquantaine. C’était idiot, excuse-moi.
— Mais non, moi aussi j’y repense souvent depuis quelque temps et.. Je me masturbe en y repensant.

Un petit silence, elle était sans doute pas mal surprise par ma réponse. Et franchement... moi aussi et j’avais vraiment chaud tout à coup.

— C’est vrai ? Fit-elle comme soulager et je la comprenais, je me mettais trop bien a sa place.
— Oui, c’est vrai et OK !
— OK ?
— Oui, OK ? Mais tu apportes le vin vu que c’est toi qui m’invites. Je vais en avoir besoin.
— Wow ! Moi aussi. Ouf ! Ça fait deux heures que j’hésite à t’appeler. J’ai le coeur qui débat si tu savais. Je me disais que ce n’était qu’une pulsion idiote, de me soulager avec mon vibro et d’oublier ça. J’avais si peur de perdre ma meilleure amie.
— Ça, j’imagine. T'inquiètes pas Marie, moi aussi il y a longtemps que je me demande comment c’est avec une autre fille, enfin, d’aller jusqu’au bout et je suis heureuse d’enfin pouvoir l’essayer et avec une femme qui as des grosses boules en plus.

Cette fois on rit de soulagement pour évacuer notre nervosité et je me sentais étrangement bien, même déjà plus complice avec mon amie. Je ressentais une étrange excitation de partager ce fantasme avec elle et j’aimais ça. Je sentis de délicieux frissons me parcourir la colonne, les mêmes frisons qu’a l’époque ou l’on s’était masturbé ensemble et ça me plaisait énormément.

— Merci ma belle. Dit-elle finalement.
— De rien et Marcel, tu n’as pas honte de vouloir le tromper, avec une femme en plus ?
— Ce n’est pas tromper ça. Non ? Et puis il a une nouvelle tondeuse, je passe en deuxième.

Encore un fou rire.

— Je ne suis pas sur, dis-je à bout de souffle, mais c’est toi qui vois Marie.
— On fera ça chez toi si tu veux, a ton retour, si tu reviens un jour.
— Seigneur, je ne vais pas m’installer au bout du monde ma belle t’inquiète pas.
— Et ton mec, ça se passe comment, bien j’imagine vu que tu viens de baiser avec ?

Je réfléchis un moment en ayant envie de lui dire la vérité sur mon mystérieux amant. Je savais que je le ferais de toute façon, mais pas maintenant. Quand elle viendrait chez moi pour... Je déglutit en réalisant que j’avais hâte de la voir nue, de la toucher... C’était si agréable de dormir en cuiller avec Luce la nuit, une main sur un de ses seins si doux en sentant son cul de femme contre mon ventre.

— WAIS, vraiment bien ! Dis je la vois un peu rauque.
— Good !
— Marie ?
— Oui !

Mon coeur se mit à cogner pour ce que je me préparais à lui demander.

— J’aimerais une chose en échange pour t’accorder mes faveurs pour une nuit.
— Tout ce que tu veux la prétentieuse, sauf baiser mon homme, même avec moi, je le perdrais. Tu ne veux quand même pas que je te paye ?

Là, j’éclatai de rire encore une fois avec elle avant de lui dire timidement.

— Moi aussi j’aimerais avoir des photos de toi.

Un petit silence, j’en profiter pour m’essuyer le sexe en calant le téléphone contre mon épaule attendant anxieusement sa réponse.

— Wow ! Mais t’en as des tonnes.

Je soupirer en jetant les papiers dans l’eau et reprenant mon téléphone.

— Tu sais très bien de quoi je parle.
— Non, je ne sais pas, fit-elle moqueuse, spécifie.
— Ah ! Fis-je agacer. Arrête.
— J’aimerais te l’entendre dire Julie. Dit-elle tout bas, en fait, c’était presque un murmure.

Je compris soudainement que cela l’exciterait de m’entendre le dire et... Moi aussi. Je déglutis, exciter.

— J’aimerais que tu m’envoies de belles photos de toi Marie et nue comme au jour de ta naissance.

Je sentis mon coeur cogner de plus en plus fort et même mon sexe pulser.

— Pas de problème Julie en espérant que tu ne soit pas trop déçut, je ne vieillis pas aussi bien que ma meilleure amie et toi aussi tu les gardes juste pour toi. Promis ?
— Promis, et t’es mignonne comme tout et tu le sais ma belle.
— OK ! Ta changée ma grande, c’est ce gars ?
— WAIS ! Je me sens vraiment bien Marie, vraiment.
— Tant mieux, tu en avais bien besoin, je suis vraiment heureuse pour toi, mais n’oublies pas; ne tombe pas amoureuse de lui nonote.
— Je sais !
— Et de moi non plus hum !

J’éclatai de rire encore une fois et dit :

— C’est Marcel qui serait démoli d’apprendre que tu le laisses pour vivre avec moi sans parler des enfants qui se retrouveraient avec deux mères. Bon ! Merci Marie, bye !

Elle riait encore quand je couper et moi aussi.

Je rester là, a regardé la photo de mon amie sur le téléphone un peut abasourdit en réalisant pleinement quelle et moi on allait baiser en me disant que cela allait changer bien des choses sans doute entre nous et soudain... Je la rappeler en fermant la porte de la salle de bain avec un pied tout en me disant que j’étais dû pour me remettre du rouge sur les ongles.

— T’as déjà changé d’idée ? Dit-elle aussitôt et visiblement déçut.
— Mais non, ses justes que... je me demandais... enfin... Je... et merde ! Marie, ça fait quoi de se faire enculer ?
— Hein !

Je ris de nervosité avant de rajouter :

— J’ai le goût mais ça me stresse.

Un autre silence et un rire contagieux de Marie.

— Oh ! Fit-elle finalement. C’est un cochon si y veut déjà de la mettre la. Moi à ta place je le gâterais pas trop et si rapidement sinon il va te larguer vite ma grande. T’as jamais fait ça ?

Je soupirer agacer et gêner.

— Non et... c’est moi qui en ai envie.

Je me sentis à nouveau rougir, j’avais de grosses chaleurs, j’étouffais dans la pièce étroite, surtout la porte fermer.

— Et bien, je ne te reconnais vraiment plus ma grande et j’aime ça que tu te dégênes surtout avec moi. Bon ! C’est le fun dans le derrière, ça agace en tabarnouche à condition d’y aller doucement qu’il ne l’ait pas trop grosses mais ça tu le sais et qu’il utilise un bon lubrifiant. Masturbe-toi en même temps, moi ça me fait jouir souvent. Mais ce que j’aime surtout c’est quand Marcel passe par les deux et...

Je ris décourager et dit.

— Merci Marie ! J’attends les photos. Bye !

Je raccrocher en riant et rester la un moment songeuse, pencher vers l’avant sentant mes seins écraser sur mes cuisses a nouveau et ça me chatouillait agréablement, me procurait même de délicieux frissons. La sodomie, ce mot me fit tourner la tête un peut, j’étais bien décidé a essayer avec Luce si elle en avait envie et des ce soir. En fait, je l’espérais et soudain je me vis en train de fourrer ma langue dans le vagin de mon amie et de lui caresser les seins, ses gros seins ballon. Un trip de lesbienne, ça aussi ça me tournait la tête. Je fixais mon téléphone en réalisant que j’attendais anxieusement la sonnerie qui m’annoncerait l’arrivée de photos. Des photos de ma meilleure amie, nue, et ça m’excitaient en plus. Je nous revoyais nous masturbant toutes les deux quand nous étions gamines, conscientes de faire quelque chose d’interdit et c’était drôlement plus excitant que de le faire seul dans son lit ou dans le bain. Surtout quand on se l’était fait mutuellement et timidement et même toucher la poitrine, nos petits seins qui poussait à peine et...

Je me lever en expirant longuement, décourager de moi, décourager de ne penser qu’au sexe. Moi qui ne pensais qu’au travail depuis si longtemps, trop longtemps. Étourdi par ces souvenirs et la chaleur moite, j’étais en sueur. Comment est-ce qu’on pouvait avoir un 4x4 à cent mille dollars et pas d’air climatiser. Je rêvais d’une bonne douche quand, par la petite fenêtre, j’aperçus la rivière. Mais avant d’aller me rafraîchir je me repris en photo encore une fois réalisant que j’aimais ça et sous toutes les coutures allant même jusqu’à écarter les cuisses un pied sur la cuvette pour faire un gros plan de mon sexe. Comme il y avait un grand miroir j’en profiter en évitant de me poser le visage, je réussis même a photographier mon anus cette fois et en gros plan. Quand je regarder les photos sur l’écran minuscule je me trouver encore pas si mal. C’était tout de même étrange de me voir nu en photo, surtout mes parties intimes, mon trou de cul brun rose et plisser. J’éliminai celle qui était floue et hésiter un moment avant d’expédier celle de mon sexe et de mon anus a Marie, mais je le fis en ressentant un étrange plaisir interdit comme autre fois. J’en frissonner malgré la chaleur.

En entrant dans la chambre pour prendre mon shampoing dans mon sac de voyage et différente chose, je trouver Luce endormit sur le dos, bouche entrouverte, un bras sous sa tête se qui relevait sa belle poitrine. Son sexe ramolli si joli sans prépuce reposait sur ses couilles glabres et je ne pus m’empêcher de prendre mon téléphone pour la photographier et même la filmer. Il me fallait des souvenirs d’elle et de l’endroit. En le faisant je vis le sac aux pieds du lit, celui du sex shop toujours bien fermer et fut tenter de l’ouvrir mais j’y résister. Je détestais qu’on fouille dans mes affaires, alors... Comme je ne m’endormais plus je sortis toujours nue pour aller me baigner, me shampouiner les cheveux et me savonner dans la rivière pour me débarrasser de cette couche de sueur qui me couvrait la peau mais avant je filmer la roulotte, la rivière et les alentours. Puis je caler le téléphone dans le sable pour me filmer en me baignant en réalisant que je faisais ça pour le montrer a Marie.

Séance de photos

Une fois mes cheveux et mon corps bien laver et rafraîchit je sortis de l’eau comme dans un état second. Je refermer les bouteilles de savon et ramasser mon téléphone qui filmait toujours pour l’arrêter. La pile était encore chargée et il me restait beaucoup d’espace pour filmer. Sans m’essuyer j’allai chercher une des chaises de camping rester dans le 4x4 pour l’installer au bord de l’eau et me laisser tomber dedans et redémarrer l’enregistrement me filmant le visage en disant :

— Hum, l’eau est bonne Marie si tu savais, toi qui es coincé dans la chaleur humide de Montréal, regarde mes seins, ils sont couverts de chair de poule tellement l’eau est fraîche ici.

Je ressentis un frétillement dans mon bas ventre en me filmant mes seins en gros plan allant même jusqu’a me les soulever l’un après l’autre pour me les presser et me les caresser se qui me fit mouiller. De l’eau me coulait des cheveux sur le corps rajoutant a mes sensations avec le soleil en plus qui brillait dans le ciel bleu me cuisant la peau. Sans plus réfléchir, je remonter mes jambes bien écarter pour poser mes genoux sur les accoudoirs et me filmer le sexe en commençant a me caresser en pensant a Marie. Le simple fait d’oser me filmer pendant que je me masturbais m’excita au plus haut point et j’eus rapidement un orgasme qui m’électrisa et me fit gémir en me tortillant sur la chaise sans cesser de me filmer. Puis, finalement, soulager de mes pulsions pour le moment, je me filmer encore le visage en me léchant les lèvres avant de dire :

— Ça, ses pour toi Marie, je pensais a toi, enfin a nous et je ne faisais pas semblant. Pas besoin de te dire que si jamais ça se retrouve sur internet je t’arrache tes jolis petits yeux ma belle. J’attends toujours tes photos. Bye !

Je stopper l’enregistrement en reposant mes pieds dans le sable doux et brûlant pour regarder le film. Je n’ai jamais aimer me voir a la télé n’y même en photo, mais la c’était différent. Me voir nue entrée dans la rivière pour m’y laver, me voir en sortir les cheveux plaquer sur la tête, les seins ballottants aux mamelons tendus, le corps dégoulinant d’eau claire, me sembla très érotique et me voir le sexe en gros plan et ma main s’y agitant me troubla terriblement. C’était à la fois étrange et excitant. J’hésitai un long moment avant d’expédier le film, si jamais elle laissait traîner son téléphone et que son mari voyait ça... ou qu’elle le perde. J’en mourrais de honte. Mais, en imaginant Marie se masturber en me regardant le faire je ne pus m’empêcher d’appuyer sur expédition. Aussitôt que ce fut fait je le regretter en sentant des noeuds dans mon estomac. Et si elle le prenait mal... Mais c’était trop tard, tant pis. Je devais l’assumer maintenant. Je reposer mon téléphone sur le sable impatiente de l’entendre sonner.

Je m’enduis d’huile solaire tout partout et me laisser dorer au soleil, assise, jambe écarter, le visage tourner vers le ciel. Jamais je ne m’étais senti aussi bien de toute ma vie; être nue comme ça au soleil et sans crainte, mon histoire de cul avec Luce et maintenant avec ma meilleure amie et tout ça en quelques jours. Je me mis rapidement a naviguer entre rêve et réalité, la tête emplie d’image de sexe et...

— On se réveille la marmotte, fit Luce en me secouant l’épaule, le souper est servit et a l’extérieur madame, sur la table de jardin et ton téléphone clignote.

Je vis anxieuse et énerver qu’une petite lumière bleue clignotait effectivement pour m’avertir que j’avais reçut quelque chose mais pas question que je regarde maintenant a moins de l’amener aux toilettes. Et soudain, finissant de me réveiller je m’aperçus que Luce portait la magnifique robe noire qu’elle m’avait achetée et elle lui allait à merveille surtout sans soutien-gorge et pieds nus. Elle c’était maquillé en plus et était tout bonnement magnifique et en la détaillant, j’eus un étrange pincement au coeur en même temps que je ressentais un sentiment de fierté d’être la, avec elle, et de savoir qu’on baisait ensemble. En fait, je me rendis compte que je tombais amoureuse tout doucement et que je n’y pouvais rien. Je la trouvait exceptionnellement belle ce soir mais il y avait plus, j’avais des atomes crochus avec elle, je le ressentais jusqu’au fond de mon être pourtant je la connaissais à peine. Je me sentais si bien avec Luce que cela devenait comme une drogue. J’avais déjà presque oublié de quoi elle avait l’air en homme et je m’en foutais carrément, même que maintenant je la préférais comme ça, en femme. J’ai toujours été ouvert d’esprit, alors, ça ne m’étonnait pas vraiment. Mais je me sentais ambivalente par rapport à ce que je ressentais et je ne savais plus si c’était une bonne chose ou non. Peut-être que prendre mes distances avec elle et de repartir a Montréal comme je l’avais prévu lundi matin me remettrait les idées en place. Mais j’étais certaine d’une chose, c’est que présentement... j’étais heureuse.

— Mais, c’est ma robe ! Dis-je faisant semblant d’en être offusquer.
— Oui, elle me va bien non, fit-elle rieuse en tournant sur elle même.

« Même mieux qu’à moi, » me dis-je décourager. Tout à coup je me sentis ridicule d’être nu.

— OK ! Et moi, qu’est-ce que je mets ?
— Ah ! Ce que tu veux ma belle. Va fouiller dans mes affaires ou reste comme ça. Mais te voir porter mes vêtements c’est... drôlement excitant Julie Demers.

Je souris en comprenant très bien se qu’elle devait ressentir a me voir nue, chez elle et de me baiser. Elle qui avait fantasmé sur moi pendant tant d’années a la télé.

Je ramasser mon téléphone et rentrer pour aller m’asseoir sur le lit et regarder ce que j’avais reçu comme message presser de savoir ce que Marie avait pensé de mon film, mais surtout ce qu’elle m’avait envoyé, si cela venait d’elle évidemment tandis que par la fenêtre je voyais Luce assise a la table a m’attendre en allumant des grosses chandelles au milieu des plats. Je ressentis encore ce pincement au coeur. Merde ! Je ressentis même l’étrange impression de vouloir la tromper avec Marie.

Je soupirer longuement un peut perdue et comme je déteste qu’on me fasse attendre je fermer l’appareil pour fouiller dans son sac de voyage. J’attendrais une occasion pour filer aux toilettes et regarder Marie nue, du moins je l’espérais. Que des affaires de fille et pas grand-chose pour quelqu’un qui se préparait a passé l’été ici. Finalement j’enfilai une petite culotte noire que j’avais achetée et la magnifique blouse bourgogne quelle portait hier matin a Montréal qui m’allait comme un gant et cachait mes slips et rien d’autre histoire de l’exciter a la rendre folle. Je le voulais de tout mon être. Je fourrer mon téléphone dans mon sac résistant encore a l’envie de l’ouvrir et j’allai a la salle de bain me laver rapidement puis me maquiller en vitesse, me coiffer, me parfumer et me déboutonner jusqu’au nombril. Tant qu’a être provocante autant ne pas l’être a peut près. Je me regarder dans la glace et, un peut prétentieuse, me trouver canon aussi décolleté même si mes seins tombaient, mais je m’y habituais depuis que j’étais ici, je n’avais pas le choix de toute façon. Satisfaite, je la rejoignis mine de rien sentant le tissu léger de la blouse chatouiller mes mamelons tellement mes seins se baladaient et ça pointait sérieusement.

— Wow ! Fit-elle en me regardant arriver. Tu me fais pensé a Faye Dunaway dans Barfly, tu as d’aussi belles jambes ma belle.

Je ne savais pas de quel film elle parlait et me rappelait vaguement cette comédienne. Je n’ai jamais eu beaucoup de temps pour visionner des films. Mais a la voir les yeux si brillants, je deviner que cette Faye Dunaway devait avoir de sacrée belle jambe et je trouvais que moi aussi, je le savais bien depuis le temps. Je me réconciliais avec mon corps vieillissant finalement et ça, je lui devais.

— Ah ! Merci ! ! Fis-je amuser en m’assoyant, croisant mes longues jambes sous la table, heureuse de l’effet que je produisais sur elle. Elle me dévorait des yeux littéralement et ça me plaisait terriblement.
— Je peux te filmer Julie ?
— Non !
— Alors juste des photos ?
— Pas question !
— Bon ! Je vais te faire boire.
— Bonne idée.

Elle me regarda étonner.

— T’es une drôle de fille Julie. Magnifique mais un peut bizarre parfois et c’est... troublant.
— Ah oui ! Mais pas autant que toi.
— Ah oui ! Bois !

Je caler mon verre de vin tandis qu’elle me regardait faire étonner et lui tendis aussitôt pour quelle la remplisses a nouveau en disant;

— J’aimerais bien te voir bander sous ma robe ma belle.

Ses jolis yeux noirs se plissèrent de malice tandis qu’elle me versait du vin.

— C’est bien parti pour ça, t’inquiète pas la bombe et mange aussi hum ! Je n’ai pas envie de te voir rouler sous la table en riant comme une idiote. Mais ça ferait un bon YouTube.
— Que je t’y vois ma belle et là, je t’assomme vraiment avec la pelle.

Elle rit tandis que je reprenais une bonne gorgée en sentant déjà l’alcool me réchauffé l’estomac. Le soleil se couchait derrière les montagnes et une odeur entêtante provenait des bougies parfumées. Pas le moindre souffle de vent, le calme plat et même les sons de la forêt c’était tu. Affamé, je piger dans un grand bol de salade tandis quelle me servait du saumon fumé par des Amérindiens du coin m’apprit-elle.

30 minutes plus tard je roter bruyamment et m’excuser en me frottant le ventre qui me semblait avoir grossi. J’avais posé les pieds sur ses genoux par-dessous la table et elle me les massait délicatement, un pur bonheur. Le vin délicieux qui coulait dans mes veines m’avais légèrement grisé et je dis :

— Ah que c’est bon ! T’es la fille à marier Luce. Tu fais la vaisselle, le ménage, la bouffe, t’es prévenante, tu masses bien, t’es sexy et... t’as une belle bite et tu me baises bien.

On rit comme des folles un moment et je lui demander en me réservant du vin :

— Et toi, comment me trouves-tu et je ne parle pas de ma beauté exceptionnelle bien sûr ? Dis-je tout sourire en devant me concentrer pour ne pas renverser du vin sur la table.
— Eh ! T’es la fille a marié Julie c’est sure. Tu ne fais pas la vaisselle, pas de ménage, tu te laisses servir, tu dors tout le temps et tu menaces sans arrêt de m’assommer avec une pelle. Mais... t’es une sacrée bonne suceuse, ça te sauve finalement.

On rit encore puis je lui tirer la langue, elle me tordit un orteil mais pas trop méchamment.

— C’est pas juste. Dit-elle au bout d’un moment toujours en me massant les pieds appuyer contre ses seins et j’adorais.
— Quoi ? Fis-je me sentant très détendu allant jusqu’a lui agacer un mamelon avec un gros orteil le faisant surgir sous le tissu de ma belle robe noire. L’autre aussi se pointa.
— Tu m’as photographié cet après-midi.
— C’est toi qui me la demander je te rappelle et tu ma même promise de ne pas me supplier pour que je pose aussi.
— Et je ne le fais pas, mais...
— Mais...
— Mais ce n’est pas moi qui t’ai demandé de me photographier tout à l'heure dans la chambre.

Comme tout le monde je déteste être prise en défaut, je me mordiller les lèvres embarrasser en disant :

— Je voulais un souvenir de toi c’est tout.
— Moi aussi j’en veux un. T’es l’une des plus belles femmes du Québec Julie et je ne suis pas le seul à le penser et j’ai la chance de pouvoir baiser avec toi en plus et je n’aurais même pas de belle photo sexy en souvenir, juste pour moi.

Je souris en plissant les yeux y réfléchissant sérieusement tandis que ses doigts fins se faufilaient entre mes orteils me chatouillant agréablement, pas trop, juste ce qu’il fallait pour me donner le frisson. J’en avais envie c’est certain, de belles photos de moi légèrement vêtu avant que je sois trop vielle pour le faire. Mais est-ce que je pouvais lui faire confiance. Contrairement à Marie, elle, je la connaissais si peu. Mais pourquoi pas, et tant pis si cela se retrouvait sur internet, je ne serais pas la première personnalité a me dévoiler un peut a mon âge. À vingt ans c’était si facile de me convaincre de poser en maillot. Mais ce serait juste des photos sexy, rien d’autre. Et puis j’étais un peu saoule et mes inhibitions prenaient le champ. J’espérais juste ne jamais avoir à le regretter.

— Ok Luce ! Mais pas de nue.
— Super, fit-elle en jetant mes pieds par terre brusquement.
— J’aurais dû attendre pour répondre. Dis-je amuser en me redressant sur ma chaise pour croiser les jambes.
— Va près de la rivière, avec le soleil qui se couche ça va être super. Dit-elle en se levant pour aller chercher son appareil.

Je ris en prenant mon verre pour le remplir et l’apporter au bord de l’eau, réalisant en marchant que j’étais un peut saoule, même pas mal, je tanguais en lâchant des « oups ! » pour ensuite rire toute seule comme une idiote en renversant du vin. Comme j’étais un ancien mannequin je réfléchissais déjà aux poses que j’allais prendre, de plus, avec ma carrière à la télé on m’avait photographié si souvent que je savais quoi faire, une vraie pro. En m’approchant du bord de l’eau je regarder la blouse ouverte jusqu’au nombril dévoilant une bonne partie de mes seins et sourit en imaginant déjà les photos sexy que cela allait donner. J’entrai dans la rivière jusqu’au genou, sentir l’eau fraîche sur mes mollets fit resurgir mes mamelons qui me chatouillaient. Je me les regardai amuser et, tout à coup, m’empêtrer les pieds dans le sable pour basculer dans l’eau sur le ventre dans un grand splach spectaculaire en hurlant.

— Super Julie ! Fit Luce qui arrivait déjà en riant tandis que je me débattais pour me retourner dans l’eau tiède peut profonde. Je me redresser assise en crachant de l’eau et clignant des yeux, furieuse d’avoir gâcher mon beau maquillage en repoussant mes cheveux sur mon dos de la main droite car je tenais toujours la coupe mais elle était remplie d’eau. La blouse satiner me collait tellement au corps, quelle moulait mes seins et mon ventre comme une seconde peau et qu’on apercevait parfaitement mon nombril creux et mes mamelons qui grossissaient encore plus, même la forme de mes auréoles était nettement visible et Luce prenait photo sur photo et je me surpris a aimer ça et me prit aux jeux en me relevant difficilement car je tanguait et peinait a garder mon équilibre en riant.

Une fois debout, un peut essouffler tandis que l’eau s’écoulait sur mon corps, je lever les deux bras en l’air pour laisser le verre se vider bien consciente que cela soulevait la blouse pour dévoiler mes slips devenus complètement transparente. Je jeter le verre sur le sable et commencer a prendre des poses sans sourire, dos au soleil qui disparaissait rapidement derrière les montagnes arrondies. J’en avais assez de me voir sourire dans les magazines. Je me pris même les seins par dessus la blouse pour les soulever en cambrant le dos, puis me pincer les mamelons en frémissant les faisant surgir beaucoup plus et j’aimais ça. Ça m’agaçait tellement à cause du tissu mouiller. Ensuite je me pencher vers l’avant, mains sur les genoux sentant mes seins étirer la blouse détremper prenant des temps d’arrêt pour qu’elle face le point et pose, puis je me redresser et secouer les épaules jusqu’a ce qu’un de mes seins prenne l’air. Je me pencher a nouveau pour le faire pendre et la laisser le photographier sous toutes les coutures de près ou de loin. Mon sein tout blanc, mouiller et couvert de grosse chair de poule surtout autour du mamelon se démarquait nettement du rouge de la blouse. Je me le pris pour le soulever et le projeter vers l’avant en prenant un air provocant. À quelque pas de moi Luce appuyait a répétition sur le déclencheur, tournait l’appareil et recommençait, s’agenouillait sans rien dire et prenait photo sur photo.

Je la laissais profiter de la vision que je lui offrais et ça m’excitait de plus en plus. Le fait qu’elle me pose comme ça, dans la rivière avec de l’eau aux genoux ; toutes mouiller avec la blouse qui me collait a la peau, un sein a l’air, me le caressant sans gêne aucune n’a présent, ma toison noire bien visible sous les slips : oh oui, j’adorais ça. Tellement que, lentement, je détacher les deux boutons restant pour ouvrir la blouse et dévoiler ma poitrine complètement. Un délicieux frisson me parcourut l’échine. Je changeais de position me mettant d’un côté puis de l’autre en bombant le cul, faisant des moues de pin up sans me trouver ridicule le moins du monde même à mon âge. En pleine crise de la cinquantaine avant de venir ici, j’acceptais mon corps comme il était à présent grâce à Luce. Je me savais encore belle, sexy et désirable et je décider d’aller plus loin, pour elle et... aussi pour moi.

Quand j’enlevai la blouse tout doucement pour la jeter sur le sable et qu’il ne me resta que les slips transparents sur le dos, elle banda cette fois sans cesser de me mitrailler pendant que j’alternais les poses. Ça, c’était vraiment étrange de la voir en érection sous la robe légère que le membre soulevait facilement. Elle était aussi grande que moi avec un corps de femme tout aussi sexy. Ses jambes sveltes et galber, sa poitrine lourde qui se balançait et cette bite qui palpitait sous la robe la soulevant un peut dévoilant un peut plus de ses jolies cuisses m’allumais complètement.

Chaque fois qu’elle bougeait ça bite tanguait me faisait saliver et la désirer ardemment tout comme elle me désirait. Je me débarrassai des slips en me tortillant plier en deux, dos a elle, les baissant lentement sur mes fesses, puis mes cuisses me donnant le frisson. Je faillis tomber en les passant sous mes pieds avant de les jeter aussi sur la plage pour ensuite poser comme une vamp de Playboy débarrasser de toute pudeur. Je pris des poses professionnelle, mais nue cette fois et toujours dans l’eau jusqu’à genoux et le sexe détremper et gonfler. L’alcool et le désir violent que je ressentais me fit devenir de plus en plus audacieuse. J’amenai un mamelon à ma bouche pour le sucer en me frottant le pubis lui laissant le temps de bien photographier. J’allai même jusqu’a me retourner pour me plier en deux, seins pendants se frappant mollement et m’écarter les fesses pour quelle puisses poser mon anus et ensuite m’ouvrir le sexe mouiller et même m’y passer un doigt me procurant du plaisir au passage. Je ramener se même doigt glissant de cyprine sur mon anus ou il entra facilement m’arrachant un gémissement de plaisir. Oser faire ça devant elle me fit perdre la tête et comme la fraîcheur de la nuit s’installait mon corps mouiller et si blanc qu’il se démarquait de l’eau devenue presque noire se couvrit presque complètement de chair de poule. Moi qui c’était toujours juré de ne jamais poser nue. Jamais mon ex-mari n’avait pu me poser comme ça et surtout nous filmer en baisant comme il aurait aimé le faire et la, étrangement j’y songeais. « T’es en train de devenir une sacrée vicieuse, » me dit une petite voix. « Oui, et après, j’ai bien le droit de m’éclater un peut. »

Comme posséder par le démon du vice et après sans doute une bonne centaine de photos, je fini par sortir de l’eau lentement en marchant comme on me l’avait appris a l’école de mannequin, un pied devant l’autre, le dos droit, menton relever, les bras le long du corps, les yeux river sur ceux de Luce qui ne me posait même plus. Elle fixait ma poitrine lourde qui se balançait mollement avec mes mamelons tendus à l’extrême. Mon regard s’attarda sur son pénis qui sursautait sous la robe légère à chaque battement de coeur faisant accélérer le mien. Un désir violent me submergea que je dut contrôlé car cette fois j’avais bien l’intention de réaliser mon fantasme.

Je me planter devant elle et me laisser tomber à genoux sur le sable dans la pénombre du soir qui s’installait pour refermer une main sur son sexe dur par dessus la robe la sentant se crisper aussitôt tandis qu’elle jetait son appareil sur la chaise juste a côté. Le tissu noir était si léger que je distinguais parfaitement la forme de son gland. Je déglutis avant d’avancer la tête bouche ouverte langue sortit et d’avaler son membre. Je la sucer lentement sans bouger la main en sentant bien la robe mouiller de salive sur ma langue que j’agitais, je ne voulais surtout pas qu’elle éjacule, juste lui faire encore plus perdre la tête. Je glisser mon autre main sous la robe sur le dos de sa cuisse ferme jusqu’a ses fesses si douces et fermes qui se contractait sans cesser de donner de la tête, lentement narine dilater. Je glisser un doigt sur son petit anus que je sentis plisser et me contenter de le tapoter un moment avant d’y glisser le bout du doigt très lentement. Je le sentis étroit comme le mien, chaud, poisseux. Ses genoux de fille se cognèrent tandis quelle gémissait mains sur ma tête. Je lever les yeux pour la voir grimacer d’un plaisir évident, se mordiller les lèvres juteuses et couvertes de rouge. Ses yeux larmoyants semblaient me supplier de la faire jouir, je la pris presque en pitié mais pas question. Tout aussi exciter qu’elle, sentant ma cyprine me couler a l’intérieur des cuisses, je pousser mon doigt dans son rectum le plus loin possible et l’agiter, elle ralla de plaisir puis gémit comme si je lui faisais mal, mais je savais bien que non. Son sexe me parut prendre de l’ampleur dans ma bouche, je resserrer ma main a la base de la hampe pour l’empêcher d’éjaculer, au cas ou. Le tissu de la robe détremper par ma salive adhérait à sa bite comme un condom. J’avais beau ravaler ça me coulait sur le menton et le ventre. Je suçais toujours aussi lentement en sentant mes seins me frapper le torse. La tête me tournait tellement j’aimais être la a pratiquer cette fellation avec un doigt enfoncer dans son cul. Et soudain un goût saler m’emplis la bouche tandis que ses ongles me griffaient le cuir chevelu. Merde ! Mais, je me rendis vite compte que ce n’était que du liquide séminal. Ouf !

Je sortis mon doigt de son cul et laisser également son membre sortir de ma bouche d’ou s’écoula une salive abondante qui s’étira de mes lèvres a mon menton puis jusqu’a mes seins et je m’en foutais. Je sortis la langue pour lui titiller le gland un moment, jouant avec le feu, il sursauta violemment contre mon nez. Luce se tortillait comme une fille qui retient depuis trop longtemps une envie de pisser, serrant les cuisses genoux fléchit, les orteils recroqueviller dans le sable m’arrachant presque les cheveux et elle dit dans un souffle :

— Arrête Julie, je n’en peux plus, rentrons.

Je me contenter de la regarder en me relevant essuyant ma bouche du dos de la main, ses mamelons tendus pointaient fièrement sous la robe. Je lui pris les seins pour les malaxer, les soulever, les presser en lui agaçant les bouts avec les pouces, elle gémit de plus belle en agrippant les miens avec forces, presque avec rage. Mes orteils se replièrent dans le sable sous le coup du plaisir que je ressentais. On se les caressa mutuellement un moment en se fixant les yeux brumeux toutes les deux. J’en frémis de tout mon être avant de me plaquer contre elle pour l’enlacer le plus fort que je pouvais laissant mes mains glisser sur ses hanches jusqu’a ses fesses que je presser en me regardant faire par-dessus son épaule sentant ses mains descendre sur les miennes. Son sexe écraser contre mon ventre palpitait sans doute prêt à exploser et je le redoutais. J’amenai mes lèvres a son oreille et ne put m’empêcher de lui dire le coeur battant avec des papillons dans l’estomac :

— Je... je tombe amoureux Luce.

Rien, aucune réponse, mais elle m’enlaça a me casser le dos, presque a nous faire éclater les seins, son sexe sembla se mouler dans mon ventre un peut moue. Je reculer la tête pour m’apercevoir quelle pleurait. Je fus surpris de la trouver si sensible, si vulnérable et de la savoir heureuse. Je souris en lui prenant le visage avant de lécher ses larmes saler sur une joue, puis sur l’autre et de l’embrasser furieusement un long moment. Quand nos bouches où toute trace de rouge avait disparu se séparèrent elle dit en séchant ses larmes :

— Ne te fout pas de moi Julie, ça m’est arrivé trop souvent. Je les excite un moment, hommes ou femmes, ils disent m’aimer et ils disparaissent soudainement.
— Je ne ferais jamais ça ma belle, tu le sais. Dis-je aussitôt pour la rassurer.

Elle me scruta si intensément je celai me troubla au plus haut point tout en soutenant son regard. Je me sentais soulager de lui avoir avoué, beaucoup mieux dans ma peau et je savait bien maintenant que ce n’était pas juste une histoire de cul. À peine divorcer je me rembarquais et dans une aventure des plus étrange mais aussi très stimulante. Marie allait sûrement me sermonner et pas à peu près.

— C’est fantastique mais... promets-moi une chose. Me dit-elle.
— Quoi !
— On est plus des ados toutes les deux, soit franche avec moi, moi je le suis toujours croît le ou non.

Je ne pus m’empêcher de pense ra Marie et dit :

— Promit.
— Je ne veux pas te compliquer la vie, t’inquiète pas. De retour à Montréal, ne t’empêche surtout pas de vivre pour moi, tu es libre maintenant. Je te crois quand tu dis que tu m’aimes mais, une histoire avec une fille comme moi, ce n’est pas évident Julie.
— Je sais, on verra. Mais pour l’instant, parlant de franchise, je meurs d’envie d’essayer quelques choses.

Juste de lui dire ça en sentant nos poitrines écraser l’une contre l’autre me fit frissonner.

— Oh... et quoi ? Demanda-t-elle en souriant un peu tandis que je lâchais son doux visage anguleux.

Je soupirer longuement en la regardant s’essuyer les yeux une nouvelle fois et dit :

— Ben... je n’ai jamais essayé par... par le derrière.

Elle eut un petit sourire malicieux, même moqueur et je ne pus m’empêcher de lui tirer la langue.

— Je vois, c’est pour ça que tu ne m’as pas laissé jouir dans ta jolie bouche ?
— Oui !
— Pas de problème Julie. Dit-elle en passant sa robe par-dessus sa tête pour l’enlever et la poser sur la chaise. Son sexe toujours tendu à l’extrême semblait me narguer, il me parut plus gros tout à coup et cela me stressa. Son beau scrotum presque formait une boule parfaitement ronde.

— Mais en douceur hum ! Lui dis-je en la pointant du doigt.
— Ne t’inquiète pas, rentrons.

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