Premiers moments torrides entre filles

- Par l'auteur HDS Loulou566 -
Récit érotique écrit par Loulou566 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Premiers moments torrides entre filles Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Premiers moments torrides entre filles
Comme tous les vendredis après-midi je vais chez ma copine Jess, qui vient chez moi le mercredi. C'est une jeune femme de 30 ans, comme moi. Elle a un visage fin, des cheveux blonds longs et une poitrine qui fait que les hommes la regardent toujours avec insistance, ce qu'elle aime bien : ça l'excite. Quant à moi, je suis brune aux yeux presque noirs. Mes seins sont assez petits, alors que j'aimerais en avoir de plus gros. Nous aimons, l'une et l'autre baiser avec nos époux.
Nous nous connaissons depuis toujours, nous n'avons aucun secret, ni les ordinaires, ni, surtout les sexuels. Quand nous avons commencé nos masturbations, nous étions au collège, nous nous tenions au courant de nos plaisirs et nos méthodes. Nous avons même partagé les petits copains. Plus tard, quand nous nous sommes intéressées aux garçons pour faire l'amour, nous décrivions ce qu'ils nous faisaient ou que nous leur faisions. C'est elle qui a été dépucelée la première: J'ai connu dès le lendemain matin le résultat: je pensais qu'elle avait bien joui. J'étais déçue quand elle me disait que si elle n'avait pas trop eu mal, en revanche vers la fin, tout allait bien. Malheureusement il jouissait trop vite dans son ventre, pourtant elle l’avait plus ou moins masturbé avant. Quelques jours plus tard elle a voulu recommencé à cause d'une de nos copines qui disait que c'était bien meilleur que la masturbation.
Cette fois Jess enfin connaissait le plaisir. Elle m’encourageait même à me donner à son amant, ce que je faisais. J'ai dû avoir de la chance : cette première fois était la bonne : je jouissais rapidement. Nous nous souvenons encore de ce premier, nous l'évoquons souvent.
J'ai été son témoin de mariage, comme elle a été le mien. Comme toujours nos maris étaient dans nos lits bien avant, nous vivions ensemble. Comme toujours nous confions à l'autre nos expériences diverses : au début rien de bien méchant qu'une bite dans un con. C'était normal, puis petit à petit plus la date du mariage approchait plus nous devenions exigeantes. Nous n'avons pas tardé à sucer les queues de nos futurs. Nous bavardions sur les goûts de sperme, j'aimais bien ça, elle un peu moins : ce n'est pas ce qui l'empêchait de faire des fellations comme une reine. Ensuite est venu le moment de la sodomie. Jess aimait ces pénétrations en l'accompagnant de masturbation qu'elle se faisait. J'ai mis plusieurs semaines avant de donner mon cul à la pine de mon futur. J'ai eu mal, l’amour que j'avais pour lui a fait que je continuais jusqu'au moment où il me faisait jouir par le cul, sans doute parce qu'il pensait enfin à mon plaisir.
Maintenant nos conversations sont presque toujours et surtout sexuelles. Nous décrivons notre dernière nuit de baise, ou la dernière masturbation avec nos doigts ou nos godes. Je lui parlais de l'expérience en scooter de la veille ; j'étais sans culotte, les jambes légèrement écartées. Le vent de la vitesse a fait que j'ai complètement écarté les cuisses. Entre le vent et les secousses, j'ai joui en route. Elle en riait : je promettais de recommencer.
Entre deux gorgées de thé, nous ne nous dérangeons pas pour parler sexe. Jess me fait une confidence inouïe pour moi : elle a fait l'amour pour une première fois avec Julie, une copine commune.
Comment toi, tu as baisé avec une autre fille ? Toi, une hétéro ?
Oui, je ne le regrette pas du tout.
C'était comment ?
Bon, très bon même, j'ai bien joui.
Comme avec ton époux ?
Pas pareil du tout. Avec mon mari, nous baisons depuis longtemps nous avons nos petites habitudes puisque nous finissons par....
Une sodomie je sais.
Attends, en racontant comment nous faisions l'amour avec ma main, elle m'a dit que je l'excitais.
On se raconte des machins excitants non ?
C'est vrai, pas au point de mouiller, c'est ce qu’elle m'a dit, elle a ajouté qu’elle devait se branler, comme une petite jeune de 15 ans.
Et alors ?
- Elle a passé sa main sous sa robe, puis sous son slip. Elle a commencé sa branlette. Figure-toi qu'elle m'a donné envie d'en faire autant.
Tu t'es branlée comme elle, devant elle.
Oui, j'avoue que j'étais plus que mouillée. Je n'en pouvais plus. Julie a levé sa robe, enlevé son slip : je voyais sa chatte et son clitoris qu'elle caressait à deux doigts. Elle a pris ma main pour que je la caresse : je n'ai pas résisté, alors que j'aurais dû. Tu te rends compte, j'ai branlé une fille, une copine en plus. Elle m'a rendu la caresse à sa façon : elle m'a doigtée. C'était tellement bon que j'ai joui. Par curiosité j'ai sucé mes doigts plein de son jus. C'était différent du mien. J'avais besoin de plus de chose, je l'ai emmené au lit. Dans la chambre elle m'a déshabillée. Je me suis laissé faire. Elle m'embrassait partout, sur les tétons qui bandaient, dans le cou, Sa bouche est descendue lentement en me léchant. J'étais tendue devant ces caresses inédites, curieuse de connaître la suite. Elle est venue quand sa bouche a franchi le pubis que j'ai poilu.
Elle a dû t'exciter un max ;
Oui, surtout quand sa bouche est venue mordre ma figue à pleine lèvres. Il me semblait que j'allais exploser de plaisir. C'est ce qui s’est passé quand sa langue m'a léché le clitoris avant que ses lèvres le prenne. J'ai senti la différence avec la bouche de mon mec : c'était bien meilleur avec elle, elle était plus douce. Pendant que Julie me suce le clitoris, une main est venu dans mon con, tu te rends compte, j'ai eu une main de femme dans le con. En plus d'un seul doigt elle me branlait le cul. Tu sais que j'aime ça. Elle en a profité longuement ; je ne peux pas te dire combien de fois j'ai joui. J'ai rendu ce que j'ai pu, pas tout.
Elle a joui elle aussi.
Pas assez, elle nous a mis en 69. Tu sais que j'aime faire ça avec mon mari. Là j'ai pu la sucer normalement: si il y a normalité quand deux femmes se donnent du plaisir comme nous. Au début je n'osais pas mettre ma bouche sur son sexe. Je ne le regrette pas du tout, c'était agréable. La seule chose qui manquait était du sperme. J'ai profité de la position pour entrer un doigt dans son rectum. C'était la première fois que je voyais un doigt s'enfoncer dans un cul : elle en a joui.
J'espère ne pas t'avoir trop excité, si oui, je peux te faire les même chose qu'avec Julie
- Si tu m'a excitée, de là à me branler, je peux le faire chez moi, tranquille.
Moi j'ai envie de toi maintenant que j'ai déballé mon histoire.
Sans rien dire de plus, Jess pose une main sur mon sexe, par dessus la robe. Je suis sure qu'elle ne va pas s'arrêter en route : elle semble avoir pris goût au lesbianisme.
Elle m'excite avec sa main sur le ventre : Une main passe sur mes cheveux pour les caresser, elle sait que pour moi c'est presque sexuel. Je lève la tête : Jess en profite pour m'embrasser dans le cou. Je la laisse faire comme elle veut, je veux maintenant goûter à ce fruit défendu. Elle l'a compris, aussi elle passe une main sur mes seins, comme je ne porte pas de dessous, comme souvent en été, elle me fait du bien. Tout en défaisant ma robe, elle m'embrasse sur la bouche, ma fois fort bien. Nos langues s'accordent, je ne rejette surtout pas la sienne. D'une autre main que j'accompagne, elle soulève le bas de ma robe pour la poser sur le début de ma cuisse. Je mouille de plus en plus. Elle monte lentement entre les deux jambes: j'écarte les cuisses. J'ai réellement besoin qu'elle me masturbe. Lentement Jess arrive juste au début de ma chatte. Mon abricot est trempé. La seule solution pour l'assécher est de me satisfaire. Elle le sait bien. Jess a l'expérience de ce qu'elle fait. Elle connaît bien la morphologie d'une chatte, comme elle connaît mes goûts, elle plonge directement sur mon petit trou. Je pousse en avant mon anus pour qu'elle me caresse comme j'aime le cul et qu'elle y entre un ou deux doigts, je ne sais même pas. Elle arrête tout, juste avant que je jouisse pur m'enlever la robe.
Je n'ai aucune honte de me trouver ainsi nue, exposée à son regard qui en dit long : je lui plais. Elle caresse à nouveau mon sein, pendant que sa main dans mon cul me donne les prémices d'un orgasme. Il éclate quand elle enfonce un peu plus sa main. Je reste bête quand elle se déshabille aussi. Je regarde son corps qui me paraît trop bien fait pour son âge. Ses seins surtout m'attire, elle sait que j'envie sa poitrine. Mes lèvres se collent contre les tétons. Je suce avec plaisir quand ils gonflent encore un peu. Elle m'a fait jouir, je vais le lui rendre.
Nous sommes assises toujours à coté. Nos mains sont sur la moule de l'autre. Je la sens quand elle est sur le clitoris. Jess fait la même chose au même endroit. Nous synchronisons nos mouvements. Nos gémissements se confondent. Nous nous faisons un bien fou. Je suis obligée de la caresser de la main gauche : j'en suis mal à l'aise. Il n'empêche que je continue. Nous jouissons, elle un peu avant moi. Ça me fait un drôle d'effet de sentir ses spasmes d'orgasme sous mon doigt. Je ne voulais pas arrêter, elle me demande de me coucher sur le dos : je comprends fort bien ce qu'elle demande : un 69. J'adore faire ça avec mon époux, j'aime son sperme en plus. Mais là pas de semence masculine. Je n'ai « droit » qu'à de la cyprine, sans savoir si je vais aimer ce jus. Je suis bien forcé de mettre ma langue dans sa chatoune. Je suis surpris du goût : délicieux. Maintenant, rassurée je passe ma langue partout. J'oublie volontairement le clitoris pour entrer dans son puits ; J'y trouve une réserve de cyprine, aussi je ne lèche que l'entrée juste sur son point G.
- Je ne pensais jamais lui faire autant plaisir :
- Oui, n'arrête pas, encore, fait moi jouir, baise moi. Je jouiiiiiiis.
- Fais moi le aussi.
Jess obéit, en amour il n'a y aucun refus. Sa langue est dans le vagin elle aussi trouve ce qui me fait jouir comme ne folle. Que c'est bon, je ne regrette pas d'avoir succombé. Sa langue laisse mon sexe pour aller un peu plus bas, sur l'anus. J'ouvre le rectum pour qu'elle y entre. J'éprouve encore ce plaisir de la sodomie. C'est sans doute sale, mais quel paradis avec le bout de sa langue au début de mon boyau. Je lui en fait autant sans dégoût, alors que si mon mari me le demandait je refuserai offusquée.
Quelques fois nos langues dévient de nos parties sensuelles : nous nous léchons presque partout . La salive de l'autre est sur nos corps : c'est excitant d'avoir ces traces.
Arrive le moment où ni Jess ni moi ne pouvons continuer. Il faut nous reposer un instant. Nous allons nous allonger dans la chambre. Nous ne faisons que nous embrasser comme des amants. Mon ventre se réveille, j’ai envie de jouir encore. Je lui lèche les lèvres : elle comprend vite. Seulement elle fouille dans le tiroir de la tête de lit pour sortir son ami comme elle l'appelle. Son gode est double, elle s'en sert pour se baiser et s'enculer en double pénétration. Cette fois il va servir pour deux sexes à la fois :
Je suis en haut du lit, la tête sur l'oreiller. Je peux voir tout ce qu'elle fait : elle s'allonge la tête au pied, approche son entrejambe de la mienne. Nos jambes sont emmêlées pour la première fois. Je me branle devant elle, comme elle fait pour que nous soyons pleines de cyprine. Jess est satisfaite. Elle entre plus de la moitié du gode dans mon puits, elle le fait presque ressortir pour le faire entrer dans sa chatte. Elle le prend par le milieu et commence les allers et venues. Je caresse ma poitrine avant de penser à me masturber encore. J'arrive en forçant à mettre mon pouce sur son bouton. Nous jouissons encore deux fois.
Le soir en allant nous coucher, mon mari voudrait me baiser, ce qui est dans la norme. Je ne veux pas lui raconter mon après-midi. Je simule pour la première fois une migraine. Je le contente en le masturbant comme il aime. Ce n'est que le lendemain que nous baiserons normalement.
Jess, au téléphone me demande pardon de m'avoir entraîner dans cette aventure qui ne se reproduira pas. Je le regrette un peu, ce fut un moment merveilleux.

Jamais je le l’aurait cru et pourtant. Cela fait depuis quelques années que nous sommes installé ensemble Carmelo et moi. Il fait partie de cette catégorie d’homme viril italien à la prestance qui en impose. Moi, habituée à ce style de vie, calme, reposante, très classique et sage même si mes phantasmes les plus secrets sont eux bien différents de mon train train quotidien, je m’occupe des enfants, de ma maison et de mon chéri.
Il faut dire que c’est lassant lorsque vous lisez chaque jour les texto hallucinants que vous envois votre meilleure amie de ses ébats sexuels avec ses multiples partenaires. A côté d’elle, je faisais figure de jeune prude coincée sur tous les plans.
Jusqu’au jour où pour mon anniversaire, Carmelo m’offre pour mon anniversaire une soirée très particulière. Quoi de plus banal mais plaisant qu’une sortie de folie avec ses amies ? Au moins c’est du fou rire garanti.
Je n’ai pas cru si bien dire. En effet, Jess, ma meilleure avec sa vie sexuelle très mouvementée, m’avait réservé un petit programme spécifique pour l’occasion.
Je ne sais pas, je ne sais plus, mon cœur bat la chamade et mon ventre palpite.
De la cage d’escalier monte la rumeur de la fête, ma fête, organisée par mon chéri et mon amie pour mon anniversaire. Les amis sont venus porteurs de cadeaux et de champagne. Est-ce celui-ci qui lui est monté à la tête ?
Quel élan m’a poussé à suivre Jess ?
Jess dont la silhouette lisse depuis si longtemps me trouble.
Lesbienne ? Allons donc, j’ aime bien trop les hommes, le mien surtout, ses fesses musclées, son ventre plat, son pénis vigoureux.
Et pourtant, plaquée par Jess contre la porte de la chambre, je sens en moi monter un irrésistible désir.
Je souris en me remémorant notre seule expérience commune du passé. Jess, qui tient enfin sa douce proie, qui caresse mes longs cheveux bruns, effleure d’un doigt léger mes lèvres entrouvertes.
« Et s’il arrive ? »
-Chut, tu sais très bien qu’il ne viendra pas, tous ses amis sont là, n’aie pas peur. Tu es si belle… »
Et la main de Jess doucement descend le long de mon corps, presse un sein, puis l’autre avant de continuer sa lente exploration.
Nos bouches se mêlent et se confondent : langues aspirées, lèvres délicatement mordues, celles de Jess teintées du rouge des miennes, rouge passion.
Etroitement les ventres se collent, cambrée contre la porte, je sens les mains de Jess se poser sur mes fesses, en masser les rondeurs puis relever ma courte jupe, tirer sur le slip, le faire glisser le long des cuisses.
Ma chair est nue, le ventre offert à la bouche de Jess qui s’agenouille, contemple mon sexe, le fouille de ses doigts agiles, précis, tellement précis qu’un spasme parcourt mes reins.
Ma vulve dégouline d’une eau parfumée que Jess lèche avidement.
Relevant ses lèvres mouillées :
« Mmmmm, tu es salée, j’aime te goûter… ».
Des pas dans le couloir et mon cœur fait un bond, je pourrais dire que ça suffit, et que je ne veux pas prendre de risques mais la bouche de Jess déjà me manque.
C’est moi qui pris l’initiative d’attirer mon amie Jess dans la salle de bains dont elle ferme la porte à clé. Personne ne se doute…. Deux femmes s’enfermant dans les toilettes pour se refaire une beauté ou se raconter des secrets, ça ne choque personne n’est-ce pas ?
S’ils savaient !
S’il me voyait, mon homme, allongée à demi dénudée sur le tapis de la moquette beige, les jambes écartées et relevées pour offrir ma béance humide à la bouche de Jess dont les mains pincent habilement mes tétons dressés, échappés du chemisier.
A la bouche succèdent les doigts, rapides, forts. Je jouis et me liquéfie.
Je veux aussi découvrir le goût de son sexe, le goût intime d’une femme, cette femme. Je glisse une main sous la jupe de Jess qui rit et se déshabille, exhibe son sexe épilé, comme une amande fendue.
Une amande tendre et juteuse qu’elle presse sur ma bouche, chevauchant mon visage, s’empalant sur ma langue.
Nous reposons côte à côte, moites de sueur, décoiffées et le souffle haletant.
Un dernier baiser échangé, une ultime caresse avant de rajuster les vêtement
« Bon anniversaire ! » me chuchotera plus tard Jess en profitant de l’embrassade de fin de soirée pour passer sous son nez un doigt parfumé de cyprine.
« Merci à toi » répondrai-je , le regard vague et le ventre en émoie.Jamais je n'aurais cru, et pourtant.....

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