02-Que la lumière soit...

- Par l'auteur HDS Christiankiki6 -
Auteur homme.
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Récit libertin : 02-Que la lumière soit... Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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02-Que la lumière soit...
Marie-Jeanne m'avait rappelé le jeudi suivant, au lieu des deux semaines prévues, car elle n'avait plus de lumière du tout. C'était un fil qui faisait masse, car au contact d'un point d'humidité, et j'en profitai pour terminer ce que j'avais commencé quelques jours auparavant. Je ne pouvais rester, et nous eûmes juste un peu de temps pour échanger quelques baisers, nous caresser un peu, superficiellement, rien de bien particulier. Je lui dis que je reviendrai, de toute manière, plusieurs fois, pour tout remettre aux normes et elle me demanda de voir si c'était possible, le lundi suivant, de très bonne heure, pour le petit déjeuner, son mari et son fils partant vers cinq heures le matin à Paris pour une exposition.

Au jour venu, après avoir déposé ma femme au travail, vers 6h30, je gagnai sa maison, en cinq minutes, et elle m'accueillit avec chaleur. Elle m'enlaça littéralement dans ses bras, et je sentais contre ma chemisette la pointe de ses seins sur mon ventre. Le petit déjeuner fut vite expédié, mes yeux pleins d'envie, rivés sur sa volumineuse poitrine, que l'on voyait presqu'entièrement sous son peignoir mal fermé. On devinait la large aréole qui entourait des tétons bien fermes, et je ne pus attendre bien longtemps. Me mettant à genoux, elle, encore assise sur sa chaise, je commençai à sucer ceux-ci, à les avaler entièrement, avec l'idée de descendre ma langue plus bas, vers son mont de Vénus et sa vulve, mais elle se releva, moi avec, et alla se poser confortablement sur son canapé, m'ordonnant de me déshabiller complètement, short, chemisette et slip, chaussettes aussi, et de me poser en position allongée sur ses genoux, tel un bébé tétant sa mère. Et pendant que je la tétais, lui suçais les seins, les malaxais, ou l'embrassait sur les joues et dans le cou, elle m'expliqua qu'elle avait allaité longtemps ses trois enfants, ainsi que plusieurs bébés du quartier, parce qu'elle avait toujours eu beaucoup de lait. Maintenant, elle n'en n'avait plus, mais elle m'avoua ressentir autant les mêmes plaisirs de la succion, plaisir qui lui traversait le bas-ventre, jusqu'au pubis, enfin, le ressentir de nouveau, disons, après de nombreuses années sans. Elle avait allaité pour la dernière fois, en effet, une quinzaine d'années auparavant.

Je dois dire qu'il y avait pire en matière de petit-déjeuner, même si j'eus bien aimé pouvoir boire pour de vrai son lait, comme je l'avais fait avec ma femme, dans les premiers mois de vie de nos enfants. Un quart d'heure s'écoula ainsi, pendant lequel je me laissais aller avec délices, tandis qu'elle me massait légèrement la poitrine, et jouait négligemment avec mes boules et ma queue. "Oh, mais le petit garçon commence à avoir des envies, je vais le calmer, je vais lui mettre une couche", dit-elle, et sitôt dit, sitôt fait. Alors là, je m'attendais à tout, sauf à cela! Allongé sur son canapé, qu'elle avait libéré, elle avait déjà passé une couche sous mes fesses, me talquai le zizi, et noua celle-ci des deux côtés de mes hanches, avant de me faire enfiler une culote plastique imperméable. Une fois remis debout, elle me fit enfiler une grande robe de chambre à elle, mais qui m'arrivait seulement à la moitié des jambes, vu ma plus grande taille. "Bon, me dit-elle, je te laisse travailler comme çà jusqu'à midi, et surtout, interdiction d'aller aux waters d'ici là".

Elle était bien gentille, Marie-Jeanne, mais une couche justement le matin, moi qui urine souvent, çà n'était pas très pratique pour effectuer les travaux. "C'est vrai", me dis-je, "qu'une chemise de nuit, c'est pas plus pratique". Et puis, je me mis au boulot, monter et descendre l'escabeau, ou aller au sous-sol, me contorsionner dans toutes les positions, ou presque, selon les besoins, bref, je n'y fis bientôt plus attention
jusqu'à ma première envie de pisser, une demi-heure plus tard. Je me retins ainsi encore près d'une heure, avant de me lâcher complètement dans ma couche, n'en pouvant plus. Je ne lui dis rien, bien sûr, et recommençai au moins trois fois, au point que la couche devenait de plus en plus lourde à porter, plus trempée aussi, et elle commençait même à sentir un peu, à déborder aussi. Vers midi moins vingt, j'appelais Marie-Jeanne à mon secours, et elle arriva aussitôt, toujours dans son peignoir. "Ah, je vois que mon bébé est bien mouillé, c'est pas bien, çà, tu vas avoir droit à la fessée". Elle étendit une grande alèze sur le lit, m'y fit allonger, et commença à me débarrasser de ma culote et de ma couche, puis elle me passa une lingette humide sur les fesses et ma queue, les saupoudra d'un peu de talc, qu'elle laissa sécher une ou deux minutes, et moi, j'avais toujours le regard rivé sur sa poitrine généreuse.

"Tu vaux pas mieux que Michel" (son fils), "tu n'es qu'un vieux pisseux, comme lui", me dit-elle en me faisant allonger sur ses genoux, toujours nu comme un ver, sous ma chemise de nuit remontée au menton, "si c'est pas malheureux, à bientôt trente ans, tous les matins, je suis obligé de le changer et de lui faire sa toilette. Il est incapable de se débrouiller tout seul". Je n'osai pas lui dire que finalement, cela n'était sans doute pas pour lui déplaire, à elle, et peut-être à lui aussi, qui ne savait sans doute même pas ce qu'était une femme, mais me contentai de lui indiquer gentiment que si elle l'avait gardé chez elle, c'était justement parce qu'il n'aurait pu être autonome au jour le jour. "Tu as un peu raison, je suis injuste" répondit-elle, en commençant une bonne fessée à mains nues, "mais quand tu penses que je dois le laver tous les jours, une douche trois fois par semaine, et qu'il ne me dit même jamais merci"! Elle m'avoua lui donner la fessée comme elle me le faisait présentement, de temps en temps, et surtout au martinet, mais rien n'y faisait. "Il est malade, voilà tout", répondis-je quand ma fessée fut terminée, "et après tout, tu en profites aussi pour te rincer l'œil. Me dis pas que cela te déplait". Elle finit par reconnaître que oui, m'indiquant même qu'il était pas mal monté du tout, et que cela l'excitait. "Mais je suis quand même sa mère, alors, si je peux le caresser un peu, profiter un peu, dans ces moments là, çà ne va pas plus loin. Je suis obligée de le prendre sur mes genoux pour qu'il me donne un peu de tendresse filiale, et je ressens du plaisir ainsi, au fond de moi, mais çà s'arrête là. J'ai envie de son corps, souvent, mais c'est mon fils, je n'ai pas le droit d'aller plus loin".

Nous nous apprêtions à passer à table, elle entièrement nue sous son peignoir largement ouvert, et moi, toujours en chemise de nuit à fleurs, quand le téléphone sonna. C'était son amie Hélène qui se proposait de venir prendre le café, après manger. Elle avait l'air sincèrement désolée pour moi... pour elle aussi, j'imagine, et le repas terminé, nous eûmes juste quelques minutes pour nous caresser, nous embrasser aussi, la téter encore une fois, mais toujours pas dé pénétration complète, comme nous le désirions ardemment tous les deux. Je la doigtais longuement, par devant et lui léchais sa petite rosette arrière, qui sentait encore la savonnette, tandis qu'elle avala goulument mon membre, lui imprimant un va et vient de plus en plus frénétique, qui me déclencha un fort orgasme. Comme la première fois, j'éjaculais sur elle, sur son visage un peu et son cou aussi, cette fois-ci, et comme la première fois, elle s'essuya avec "ma" chemise de nuit, remontée à ras du cou. Ah, si nous avions eu plus de temps, elle avait tant espéré, elle aussi, mais ce n'était que partie remise. Tandis que Marie-Jeanne remettait de l'ordre dans sa coiffure, et s'habillait enfin, je me rhabillai également, l'embrassait goulument sur ses lèvres, et repartis chez moi. Deux heures venaient de sonner à l'église voisine, et je croisais son amie en voiture comme je quittais la maison, sans qu'elle puisse se douter de nos aventures amoureuses.
Chris

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