Loin de la peau

- Par l'auteur HDS Antares -
Récit érotique écrit par Antares [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Loin de la peau Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Loin de la peau
LOIN DE LA PEAU


Merci pour vos commentaires. C'est un des commentaires concernant ma précédente nouvelle "le SEJOUR" qui m'a convaincu de vous faire connaître celle là. Vous devriez lire "LE SEJOUR" pour mieux l'apprécier...


11 nov 2012

1ère conversation avec ma belle sœur par Webcam alors que ma femme est sortie et que je suis à la maison. Le logiciel permettant de communiquer par Webcam "sonne" alors que je ne suis pas au bureau et travaille à la maison sur mon ordinateur. J'apprends à ma belle sœur que sa sœur est sortie, mais la conversation se poursuit. C'est un dialogue léger ponctué d'éclats de rire, souvent pour masquer au début une certaine gêne que nous partageons tous deux. Il y est question du temps, de nos métiers, mais surtout PAS de ce qui s'est passé la dernière fois qu'elle est venue en France et où le PAS a failli être franchi (Voir nouvelle LE SEJOUR), mais j'y pense et je sens qu'elle aussi. Je lui fais voir que je porte la montre qu'elle m'a offerte, ce qui lui fait plaisir (j'aurais tort de me priver de la porter, elle est magnifique bien que le bracelet, réglé au plus large, me serre un peu le poignet) Nous achevons au bout de vingt minutes la conversation. Je lui dit que j'y ai pris plaisir. Nous convenons de la réitérer.

13 nov 2012

2ème conversation en l'absence de ma femme. Sa sœur a appelé deux fois la veille, un lundi, alors que j'étais au bureau, je l'ai appris par mon épouse qui s'en était amusé. Ce mardi 13 nov, c'est moi qui la rappelle car je suis seul chez moi et je sens que c'est à moi qu'elle a voulu parler. La conversation est merveilleuse. Elle admet sans gêne qu'elle était déçue de ne pas m'avoir eu lundi. Dès cet instant, nous savons tous deux que cela n'est plus orthodoxe mais je n'en ai cure. Je sais que rien de "grave" ne peut être tant que nos peaux ne se touchent pas. Nos regards sont tendres, j'ai en tête l'épisode de sa venue dernière il y a quelques mois. Je sens qu'elle aussi. Nous n'en disons rien mais les mots me brûlent les lèvres: j'ai envie d'en parler. J'ai le rouge aux joues car je la vois, si belle, sur l'écran et j'ai envie d'elle. Ses yeux clairs, la fraîcheur de sa peau pâle. Ses longs cheveux châtains pleins de santé. Je sais que ses aréoles sont brunes, douces, tendres, je sais qu'elle cache entre ses jambes un sexe rouge et charnu, très vite mouillé, et je bande...et je le lui dit !
-Entre mes jambes, c'est comme cet été, lorsque je te regarde en ce moment. Tu te souviens ?
-Je ne pense qu'à ça ! Depuis que je suis venue, répond-t-elle.
-Moi aussi, j'y pense très souvent... à ton corps parfait.
-Et tu bandes comme la dernière fois quand tu étais allongé avec moi sur le tapis, tout dur, comme ça, en pensant à moi ?
-Oh oui, et ça m'arrive très souvent.
-Moi je me caresse, je me masturbe, tout les jours presque en pensant à toi..., dit-elle.
-Je suis heureux qu'on en parle, on ne fait rien de mal par webcam, comme ça à en parler, et même si on se regarde faire des choses ensuite, on ne se touche pas, réponds-je.
-Non, on ne fera jamais rien de mal comme ça. Elle rit.
-C'est clair. Je ne regrette pas ce qu'on a fait et ce qu'on a failli faire, en fait.
-Oh, moi non plus, d'ailleurs, il ne s'est pas passé grand chose....
-Ouais.
-Si c'est comme cet été, tu dois bander comme un fou en ce moment, non ? demande-t-elle.
-Absolument exact !
-J'aimerais bien "le" revoir.
-Ah! dis-je en riant, tu te souviens que c'est mon fantasme de me masturber devant une fille, tu vas me demander de le faire devant toi !
-Tu as tout compris ! Tu ne veux pas ?
-Si, à mort.
-On ne risque pas d'être dérangés ?
-Non aucun soucis. D'ailleurs si on vient, je coupe et c'est moi qui te rappelle. Ne rappelle pas toi même, ça ne sert à rien, je suis très souvent au bureau.
-D'accord, oui c'est mieux, admet-elle. Elle demande:
-Pourquoi as-tu ce fantasme d'ailleurs ?
-A cause d'une de mes première vraie relation sexuelle qui a eu lieu avec la mère d'une amie. Je te raconterais.
-Si j'étais à côté de toi, je te déshabillerais mais là, il va falloir que tu le fasses tout seul, dit-elle.
-Oui, voilà.
J'enlève ma chemise, baisse mon pantalon puis mon slip. Je la vois qui regarde mon sexe qui oscille alors que je m'assois.
-Toujours aussi beau et gros. Montre le moi mieux, rapproche la caméra.
Je rapproche la caméra et la braque sur ma bite.
-Recule là, je ne vois plus tes couilles. Oui, voilà, elle sont encore gonflées comme la dernière fois !
-Oui, à bloc.
-Met ta main sur elle. Elles sont comment ?
-Douces.
-Il n'y a pas de poils dessus, tu les rases ?
-Oui, j'enlève les poils à cet endroit et aussi un peu plus haut, mais pas tout car elle ne veut pas.
-Oui, elle a raison, c'est mieux d'en garder un peu. Tire dessus pour sortir toute la tête, demande-t-elle.
Je m'exécute et dégage le sillon du gland. Je bande vraiment fort, maintenant.
-Passe ton doigt le long du plis. Voilà, encore.... encore... comme ça, oui, tu ressens quoi ?
-Terrible, c'est très bon.
-Oui, ça se voit, il y a une petite goutte de ton sperme au bout de ton sexe qui est sortie. Prend-là avec le doigt et met la sur ton téton. Oui, comme ça. Caresse toi le téton du coup. C'est bon ?
-Super, c'est génial, je sens des ondes dans le corps... dis-je.
Je me caresse le bout de pectoraux comme elle me le demande toute en effleurant le bord sensible de mon gland, alors qu'elle me regarde faire. C'est mon fantasme et elle le sait, je me masturbe devant elle.
-Oh làlà, on dirait que ton sexe va exploser. J'adorerais le toucher. Et tes couilles aussi... Toutes grosses et pleines. Masturbe toi complètement... Oui, comme ça... Tu es beau, un apollon.
Elle met la main entre ses jambes :
-Je suis mouillée, j'ai la culotte toute trempée avec le jus de mon sexe !
-Sors-là, mets toi toute nue !
Elle se déshabille. La robe roule le long de ses jambes. Ses seins apparaissent. Aréoles brunes, peau claire.
Tendre ventre, peu de graisse, chair drue, seins hauts, cheveux châtains détachés sur les épaules, cou solide.
Chair saine. Elle s’assoit, elle repositionne la caméra. Elle écarte les jambes. C'est un trésor. Sexe rouge, très mouillé. Grands lèvre bordés de poils par endroit, petites lèvres plissées et épaisses, clitoris rose et saillant. Elle est là, les jambes écartées, elle bouge un peu le bassin, elle attend. Sa fente. Elle demande:
-Tu veux que je fasse quoi avec mes mains ?
-Touche les bouts de tes seins pour les faire devenir tout durs. Comme cet été.
-Comme ça? ...
Elle tourne avec son index sur ses aréoles. Les bouts en sortent, durs, longs et gros comme des cornes, elle les griffe de l'ongle, l'un, l'autre... elle continue, ils dardent comme des dés à coudre.
-Ils sont gros tes tétons, c'est super excitant, oui... comme ça. Pince-les, je demande.
Elle pince ses tétons entre le pouce et l'index. Ils paraissent devenir, si c'est possible, plus durs encore.
Ses joues sont rouges, elle dit:
-Caresse ton sexe plus lentement, que je le vois bien, comment dire le sexe d'un homme, le bite?
La bite.
-Caresse bien ta bite... voilà... Oh, je coule. Mouille là avec ta salive. Si j'étais là je mettrais mon jus dessus.
Elle se renverse en arrière, un peu, ses yeux sont brillants, ses joues rouges et sa poitrine monte et descend avec sa respiration, elle écarte bien les jambes, je vois bien son sexe, sa grosse fente de satin. Si érotique.
Tu mouilles tellement, ça coule le long de tes belles jambes... Je regarde ses jambes superbes, pleines sans excès, constitution pleine de santé et à l'intérieur de ces cuisses, son sexe magnifique. Il parait palpiter d'une vie propre.
-Touche un peu ton ventre, descend tes mains sur ton ventre.
-Comme ça ?
-Oui, caresse le, avec les seins.
-J'ai très envie de toucher mon sexe, ma chatte, comme il faut dire.
-Pas encore, on a le temps, touche encore tes seins.
-Oui, c'est bon. Toi, arrête de toucher ta bite. Je veux que tu attendes, aussi... Voilà, mets tes mains sur tes petits tétons de garçon, touche les, mais pas le reste. Si, tu peux toucher tes couilles si tu veux, mais pas ton sexe. Voilà... Comme ça, toi aussi, tu attends.
-Ah, c'est terrible! Mes couilles vont exploser... mhhh c'est très très bon.
-Oui, je sens le désir monter c'est infernal, je ne sais pas où ça va s'arrêter, dit-elle.
-Attends, je me mets plus en arrière sur ma chaise... Voilà, oh làlà...
Je caresse mes bouts de seins et mes couilles, en arrière sur ma chaise. Elle a fait pareil, elle s'est adossée au maximum. Elle crochette ses tétons et masse parfois son ventre. Son sexe ouvert dégouline et paraît s’asphyxier de désir. Mes couilles sont tendues comme une balle de tennis.
-Je vais pas dormir, ce soir, dis-je, et tous les soirs ensuite rien qu'en pensant à ça.
-Si, si, tu dors comme un bébé, affirme-t-elle en un souffle de jouissance.
-Qu'en sais-tu ? Elle ralentit le mouvement autour de ses seins et répond:
-Tu ne le sais pas et tu ne l'as jamais su, mais lorsque j'étais chez toi, les derniers soirs tu ne fermais plus ta porte de chambre.
-Oui, je faisais exprès pour que tu regardes et viennes mais tu n'es jamais venue.
-Tu te trompes, la veille du jour où on a fait des choses, le soir, je suis venue !
-C'est pas vrai!
-Si. Tu dormais déjà. Tu étais tout nu sur ton lit, sur le dos et tu bandais et ton sexe était énorme.
-Noooon...
-Si, je suis restée là, à te regarder pendant au moins 10 minutes, en n'osant pas te toucher mais j'espérais que tu te réveillerais... Je cherchais même une excuse. Et après ton sexe est redevenu normal et je suis partie. J'étais mouillée entre les jambes comme ... je ne sais pas, comme jamais. Et je suis revenue au milieu de la nuit.
-Incroyable, mais je dormais ?
-Oui, comme un bébé.
-Tu as fais quoi ?
-Je te regardais et tu ronflais d'ailleurs très fort.
-Oui, il parait que je ronfle.
-J'ai touché ton sexe et de suite il est devenu gros, je l'ai tenu sans oser rien faire de plus, je l'ai senti et je lui ai fait un bisou, pas plus. Ha si, je l'ai léché du bas, des couilles, jusqu'en haut. Une seule fois.
J'ai pris tes couilles dans mes mains, aussi. Après je suis restée là un moment à te regarder encore et je suis partie.
-Incroyable, je ne m'en suis jamais douté.
-Arrête de te toucher maintenant... oui, reste ta bite en l'air, comme ça. Moi aussi j'arrête. Regarde, les jambes écartées, comme je coule.
-Tu es si belle c'est une vision de pur enchantement.
-Pourquoi ?
-Ton sexe, on dirait du velours. Ta peau, tes seins, tout est si beau, j'ai trop envie de te toucher, c'est terrible de ne pas pouvoir.
-C'est mieux, cher beau frère. C'est bien mieux.
-Oui, oui.
-Tu continues de bander, même sans rien faire. Tu bandes comme ça rien qu'en me regardant...
-Oui, c'est terrible comme vision. On est là, tout nu, pleins de désir, complètement exposés et on attend parce qu'on sait qu'on finira pas se faire jouir.
-C'est tout à fait ça.
-Les lèvres de ta chatte, elles sont magnifiques. J'adore ta chatte, ces replis de peaux. Ton sexe est voluptueux chère belle sœur.
-Pourquoi ?
-Elles sont épaisses, et je sais qu'elles sont trop douces, comme du velours. Passe ton doigt sur ta chatte...
-Oui, comme ça... Sur tes lèvres. C'est doux ?
-Ah, c'est terrible, oui c'est doux. Très très doux.... ça fait des petits bruits mouillés. Oh, c'est bon...
-Tu as raison de laisser un peu de poils. Je préfère. Ils sont bruns, quel contraste avec le rouge de ta chatte.
-Regarde, mon clitoris... Il est ultra dur et sensible, je n'en peux plus. Oh làlà voilà je mouille encore.
-C'est très bien, ça montre ton plaisir. Arrête de te toucher, coquine!
-Oui. Oh j'ai chaud...
-Merde, on sonne à la porte, le voisin sûrement, je dois lui rendre son chat. Ta soeur va rentrer de toute façon, il est déjà 17h00.
-Non!
-Je te rappelle demain, dis-je.
-D'accord, on reprendra là où nous nous sommes arrêtés. Promets-moi que tu n'éjaculeras pas, interdiction de te toucher ou que ma sœur te touche. Moi, pareil, je ne me toucherais pas.
-Oui.
Je coupe alors le signal.

15 nov 2012

Jeudi, seulement. Je n'ai pas pu l'appeler plus tôt. J'attends que ma femme soit partie de la maison, j'attends.
J'attends encore 10 minutes, bon, elle serait déjà revenue. J'ouvre le logiciel de communication et vérifie le branchement de la webcam, tout fonctionne. Enfin, j'appelle sa soeur.
-Elle est partie de la maison ? demande-t-elle, directe.
-Oui, c'est pour ça que je n'ai pas pu t'appeler plus tôt.
-Tu as pu faire ce que nous avions convenu ?
-Oui, je ne me suis pas touché. J'ai les couilles qui vont exploser.
-Moi pareil, je ne me suis pas touchée. J'ai juste un peu rasé mon sexe. J'ai un nœud dans le ventre tellement j'ai envie de jouir. J'ai salie tout mes draps. Cette nuit... Je repensait à ta grosse bite et à ton corps d'apollon. Toute l'eau de mon ventre s'en allait par ma fente.
-Tu me montres ?
-Oui, regarde.
Elle écarte son peignoir. Elle est nue. Elle enlève complètement le vêtement. Je vois son sexe. Elle l'ouvre de la main. Effectivement, elle l'a presqu'entièrement rasé jusqu'à l'anus. Il est luisant et tout propre. La peau, blanche, tranche avec la couleur rouge rosée du sexe.
-C'est très beau, j'adore ta chatte. Tu es super sexy.
-Montre moi ta bite.
Je me déshabille et règle comme la dernière fois la caméra pour qu'elle me voit bien.
-Quel beau mâle ! Tes couilles sont gonflées comme la dernière fois...
-Oui, je n'ai pas éjaculé depuis.
-Tu dois en avoir très envie, dit-elle.
-C'est clair, à mourir. Il faut que j'éjacule. Cette nuit ça a été terrible. Je pensais à ce que tu m'as raconté, que tu es venue la dernière fois me regarder dans mon sommeil. J'imaginais que tu étais là à côté de moi, j'ai repoussé les couvertures et pendant une heure j'ai bandé, la bite et les bourses en l'air, en l'attente d'un contact en imaginant que tu me regardais.
-Ohhh, excitant... Tu ne t'ai pas touché?
-Juste un peu frotté le sexe contre le drap, et le bout de mes pectoraux...
-Tes petits bouts... Moi lorsque je me suis rasé, je dégoulinais et je me suis un peu frottée le clitoris mais c'est tout. J'en peux plus!
-Ouais, moi aussi...
-Attends, regarde, je vais m'allonger sur le sol.
-Rapproche la caméra... Oui ... C'est quoi? Une bougie ?.
-Oui, regarde, dit-elle.
Elle s'allonge au sol, totalement nue, sur le dos, elle écarte les jambes et s'adosse contre son lit. Spectacle enchanteur de sa santé exposée, de son sexe. Vision pornographique et belle. Il est rouge son sexe, la peau des cuisses est un peu sombre en sa périphérie. Elle a les mollet musclés et ses pieds semblent en porcelaine. Ils sont sains et blancs. Elle approche une bougie allumée. Une goutte de cire brûlante tombe sur le sol et fait une tache d'un blanc transparent. Elle dit:
-Regarde! Je m'en fais tomber une goutte sur le téton.... ça brûle, mhhh ... c'est délicieux... L'autre...
Elle fait couler quelques gouttes de cire sur ses tétons qui se dressent à craquer. Elle se met à onduler du bassin, son sexe est luisant de cyprine.
-Oh! Les bouts de tes seins, on dirait du bois... c'est bon ?
-Délicieux... Vas-y, met toi par terre, toi aussi ... oui. Regle bien la caméra... Comme ça parfait. Serre ton sexe. Oui, parfait... on dirait qu'il va exposer avec sa grosse tête rouge et les grosses veines. Caresse le et caresse toi les muscles du torse.
-Comme ça ?
-Parfait. Oh... c'est bon.
Alors que je presse mon sexe, impudique, à demi allongé, me caressant en cercle le torax et la bite tendue à craquer, elle fait tomber quelque nouvelles gouttes de cire sur ses seins, ses tétons, et ... son sexe. Elle frémit. Tremble. Son bassin avance et recule. Un petit jet de cyprine se fait voir. Elle est si belle. Elle demande:
-Écarte bien tes jambes, je veux voir tes couilles. Oui ... Écarte les fesses un peu, je veux tout voir. Enfonce ton doigt, je sais que tu n'aimes pas mais fais moi plaisir... Oui, comme ça!
-Vas-y fait tomber encore de la cire sur ta chatte. Oui... Oh j'en peux plus, il faut que je me branle plus fort.
-Non, retiens-toi.
-J'ai envie de te toucher, de lécher ta chatte.
-Moi j'ai envie de te lécher partout, partout et de prendra ta bite dans ma bouche. Tu as des pinces à linge ?
-Oui ?
-Prends-en deux et met-les au bout de tes petit tétons de garçon.
Je me lève et vais dans la buanderie. Je prends deux pinces à linge. Je les mets comme elle me l'a demandé.
L'effet est instantané. Je sens mes couilles se resserrer. Ma bite va exploser. Elle continue et demande:
-Mets-toi un élastique autour de la base de ton sexe.
Je me lève et vais au tiroir. Il n'y a pas d'élastique. Elle me dit de prendre une ficelle... Je cherche ... Je trouve un lacet. Je le positionne sur mon sexe, près des couilles et fais un nœud en serrant. Le résultat est incroyable, je deviens tourniste à force de bander. Je me rejette en arrière, le sexe turgescent pointé vers mon visage.
Alors je me masturbe lentement devant elle. Mes tétons souffrent sous les pinces, ma bite est comprimée par le lacet, le tout me procure une grosse jouissance, encore augmentée par le spectacle de sa fente, de sa peau, de sa chair, sein, cheville, pieds, poitrine et ventre de cette jolie princesse devant moi, qui tremble de plaisir sous les piqûres brûlante de la cire ; cire versée doucement sur sa peau. Sur la peau de sa poitrine, de son sexe, de son ventre. Encore ses tétons, son sexe, son clitoris qui darde entre les trésors secrets des replis charnus de son sexe. Pornographique. J'entends alors le téléphone sonner chez elle. Elle me fait un sourire, me demande de ne pas me toucher et de la rappeler. Elle coupe.

18 nov 2012

Mon épouse s'est absentée ce dimanche. Je suis déjà dans un état d'excitation indescriptible lorsque je sélectionne le nom de ma belle sœur dans l'agenda du logiciel de communication à distance... ça sonne... enfin elle répond: son image s'affiche sur l'écran. Elle porte un jolie chemisier, ses cheveux sont attachés.
-Alors, tu as apprécié, le lacet ?
-C'était terrible. Je l'ai pas gardé après, ça me coupait la circulation.
-Oui, après il faut l'enlever. Tu as éjaculé?
-Non, je ne me suis pas touché, et pourtant je n'ai pas arrêté d'imaginer ta main sur ma bite. Et toi?
-Moi non plus. J'ai juste fantasmé. Tu sais, j'espère que ce dimanche, rien ne viendra nous interrompre. J'ai tout éteins.
-Moi non, mais je ne répondrais à rien. Et ta sœur ne rentrera que ce soir, tard. On a toute la journée.
-Super... C'est quoi, un pyjama?
-Des vêtements de maison.
-Enlève-les, garde juste ton slip.
Je me lève, me déshabille. Mon sexe fait une grosse bosse en distendant mon slip à carreaux.
-Tu es très costaud, décidément. Tu reviens du sport ?
-Oui. A toi, enlève ta robe. Tu as une culotte dessous?
-Oui, blanche. Je la garde ou je l'enlève ?
-Garde-la.
Elle se lève à son tour et sa robe descend le long de ses belles jambes. Elle a aussi des genoux très jolis. Sa peau comme de l'albâtre. Son ventre ferme, plus bas, il y a son sexe, le renflement généreux de son sexe derrière la barrière du tissu. Si elle se couche en arrière et qu'elle écarte les jambes, je vais voir les lèvres de son sexe dessinées dans le tissus, surtout si elle mouille... putain ça y est, je bande. Pour le moment, je vois ses jolis seins aux aréoles brunes. Santé, beauté. Les longs cheveux châtains, le visage pur, les yeux verts, les dents blanches, son corps sain et comestible comme un arc en ciel de chair dédiée au plaisir et à la reproduction.
-Tu bandes déjà, je vois.
-Oui, infernal, à me retenir comme ça des derniers jours, j'ai l'impression que toute ma peau est érogène.
-Elle l'est devenue, la mienne aussi, dit-elle. Vas-y, commande-t-elle, libère ton sexe!
J'enlève mon slip. Ma bite se dresse comme un bâton de chair.
-Et maintenant ?
-Qu'est ce que tu bandes, encore ! Quel sexe tu as. Il me rend folle. Regarde moi, regarde, je touche mes seins à nouveau, regarde comme ils se dressent, mes tétons... tu vois ?
-Oh ouais, je vois, ta poitrine est magnifique, si désirable surtout dressée comme ça. Putain j'en peux plus, il faut que je touche ma bite.
-Non, ne la touche pas encore. Regarde-moi simplement en touchant les petits bouts de tes pectoraux.
-Oh putain, tu mouilles à fond, ta culotte est trempée. Écarte les jambes.
-Comme ça ?
-Oui, c'est juste terrible, on voit ta chatte à travers.
-Tu aimes ma chatte?
-Elle est magnifique, pleine de peau, là... Oh putain je veux me toucher.
-Ta grosse bite bouge toute seule, elle n'en peut plus, elle aussi. Il y a une goutte de ton sperme au bout.
-C'est le désir je n'en peux plus, c'est vrai. Toi aussi, ta culotte est à tordre...
-Oui, je dégouline par terre même, regarde comme ma chatte est ouverte derrière le tissu!
-Je vois que ça! Je devine tes grandes lèvres, tes petites lèvres...
-Mon clitoris.
-Oui, ton clitoris, son capuchon...
-C'est quoi?
-La peau qu'il y a dessus.
-J'en peux plus de me toucher la chatte, moi aussi!
-Résiste, si je résiste tu peux le faire, retire juste ta culotte!
Elle fait glisser sa culotte qui boule en bas de ses chevilles puis écarte les jambes. Sa chatte, sa vulve, explose à mon regard, humide, pleine de plis et de désir. Ses yeux sont brillants, ses joues rouges. Elle demande:
-Caresse doucement la tête de ta bite.
-Comme ça? Ohhh...
-Oui, c'est bon, hein, de se masturber devant moi?
-Oui, j'adore. mhhh
-Touche aussi ton torse, ton ventre, tout, vas-y caresse toi doucement, cher garçon de mon coeur.
-Comme ça?
-Oui, c'est bon? demande-t-elle.
-Infernal.
-Elle est douce, ta grosse bite, la peau rouge de sa tête? Je vois ton sperme au bout qui n'arrête pas couler...
-Oui, très douce.
-Vas-y touche tes couilles. C'est bon hein? Elles sont grosses tes couilles, deux oeufs, Oh, j'en peux plus, je veux toucher ma chatte, il le faut! Demande le moi !
-Tu crois ?
-Vas-y!!
-Touche ta chatte, caresse juste tes grands lèvres... oui comme ça, putain, ça coule... autour de tes grands lèvres.... Tes petites lèvres maintenant.
-Ohhhhh, fait aller et venir ta main sur ta bite. Oui... Serre tes couilles... Oui comme ça... Ohhh, je veux toucher mon clitoris. Il faut que je le touche! Demande le moi !
-Frotte-le. Oui comme ça, c'est bien ? dis-je.
-Oui, terrible, vas-y branles-toi fort!
-Oh... enfin... ça fait du bien... Ta chatte est belle, j'ai envie de la lécher...
-Et moi de lécher ton sexe et tes couilles. Ohhh
Nous nous masturbons très fort l'un devant l'autre. Elle regarde mon sexe, mon corps, je regarde son sexe, son corps, elle jouit, un jet de cyprine fuse, puis un autre. J'éjacule, j'en met partout. Mon sperme, partout, devant elle, mais loin de sa peau...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe histoire terriblement bandante
On en redemande !!!

Merci pour vos commentaires. J'ai failli une fois passer à l'acte l'année dernière
avec elle (relaté dans la nouvelle le SEJOUR sur ce site), mais cela n'aura plus lieu
car je ne l'inviterais plus chez moi, cela pourrait dégénérer et je ne veux pas
tromper ma femme. Mais je reconnais qu'il y a un sacré magnétisme entre ma belle soeur
et moi et nous le subissons tous les deux. Je ne ressens ce genre de magnétisme
qu'avec ma femme (c'est encore plus fort), et sa soeur. Une sacré famille, enfin je
peux pas les épouser toutes...

Histoire Erotique
Vivement une suite :D vous devriez passer à l'acte vous 2.
J'aimerais bien voir comment elle est faite !

Histoire Erotique
J'aime beaucoup ta façon d'écrire
Et ta belle santé intellectuelle, saine et solide



Texte coquin : Loin de la peau
Histoire sexe : Une rose rouge
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