la face cachée du cirque - histoire érotique

Un cirque a élu domicile dans notre ville a deux pas de chez, nous pour une semaine,
j’adore les ménageries et ses animaux exotiques aussi je tarabuste Hervé mon mari pour
que nous y allions dés cet après midi, il ne fait pas chaud c’est la fin de l’hiver la
plupart des bêtes sont a l’abri sous chapiteaux nous arrivons a l’enclos des chevaux
et des zèbres, les poneys a code barre comme dit mon mari ! Soudain il me serre les
doigts et me fait un signe … wouaaaaah, sous le ventre de deux d’entre eux une longue
tige rose tachetée de noir pendouille, je reste émerveillée et excitée devant de tels
membres ma chatte fait des bulles, combien de temps suis-je restée comme une imbécile
à mater ces phallus hors normes ? C’est une voix nasillarde qui me fait réagir
- Ils sont beaux n’est-ce pas ?
Je me retourne et ne vois personne c’est en baissant les yeux que je vois un nain
hideux muni d’une fourche qui refait les litières des animaux, j’ai l’air fine ! Et il
rajoute
- Les zèbres savent reconnaitre la femelle en chaleur madame, ils ont ce qu’il
faut entre les pattes pour les satisfaire, comme moi ….
A coté les nains de ‘fort boyard ‘ font figure de Play- boys, on dirait qu’il a reçu
un coup de marteau sur la mâchoire, une épaule bossue, vouté, sa colonne vertébrale
est arquée sur le coté, son regard perçant et vicieux me baise littéralement et j’aime
ça, comment puis-je être attirée par un tel monstre ?
En entendant les propos tenus Hervé prend la mouche
- Monsieur je ne vous permets pas de parler ainsi à ma femme ! vient chérie
partons … tu as vu cet imbécile comment il te traite ?
- Oui chéri rentrons …
Une fois a la maison je ne sais pas ce qui m’a pris je me suis affalée sur le canapé
les cuisses ouvertes, ma chatte était trempée, j’ai remontée ma robe
- Baise-moi
- Qu’est ce qui te prend ? c’est les chevaux ou le nain qui te mettent dans un
pareil état ?
- Les deux mon chéri, tu imagine un petit bonhomme avec une telle queue ?
- J’ai entendu dire que pour leur taille ils étaient très bien montés, je vais
te saillir comme il se doit …salope tu te laisserais approcher par un nain ? il te
baiserait lui debout et toi a quatre pattes, il avait les yeux a hauteur de ta chatte
le salaud il n’avait qu’une envie, te la toucher… tu as la moule en eau
…..ouuuuuuuuuuuuuuuuuh je vais jouir bordel !
J’ai joui deux fois avant d’être calmée, le lendemain en voyant le chapiteau depuis la
maison je repense a mon nain …est-ce que les zèbres bandent encore ? Une force
irrésistible me pousse à y revenir, aussitôt déjeuné j’enfile mon manteau et me dirige
vers la ménagerie, les animaux sont là paisibles mais pas de queues sortie, zut ….
- Mais c’est la p’tite dame d’hier ? déçue de ne pas voir les zèbres excités ?
bougez pas je vais arranger ça …
Il se munit d’un bâton et flatte la gaine poilue sous le ventre de l’animal, aussitôt
un bout rose apparait et rapidement c’est tout le tuyau qui sort, le gland traine
presque dans la paille, ma chatte réagit immédiatement comme la veille
- Vous voyez ? il vous a sentie, dommage que vous soyez en pantalon vos effluves
lui parviennent moins bien a moi aussi d’ailleurs… vous avez une belle croupe de
jument la- dessous …
Joignant le geste à la parole il flatte mon cul de sa petite main boudinée
- Bas les pattes ! pour me toucher il faudrait que vos mains soient propres et
vos ongles coupés
- Qu’a cela ne tienne revient demain a treize heures c’est fermé au public, nous
serons tranquille seuls toi et moi parmi les animaux … j’aurais pris une douche et
soigné mes mains, mais de ton coté ne vient pas en pantalon
Je n’ai rien répondu et suis rentrée directement pour me masturber, quelle queue
cache- t- il sous ses haillons ? C’est de la folie, il faut que je m’enlève ça de la
tête, demain j’irais faire du shoping en ville, effectivement le lendemain a treize
heures je quitte la maison, sous mon manteau … j’ai ôté mon jean, a la place je porte
une petite robe d’été, des bas dim-up et pas de culotte ni soutient gorge, est-ce une
tenue pour se balader en ville ???? Au carrefour soit je tourne a droite pour aller en
ville soit je tourne a gauche …. Le choix est vite fait …
Je contourne la barrière, je sens déjà l’odeur d’urine des chevaux mon cœur bondit
dans ma poitrine, mon slip s’humidifie, je passe sous la toile, mon nain est là
triomphant
- C’est bien d’être venue, ça ne sers a rien de refouler ses envies, rassure
toi tu n’es pas la première à venir te donner au nabot que je suis, ma laideur attire
les vraies femelles, que cache tu sous ton long manteau aujourd’hui ?
J’écarte les pans sous son regard avide
- Bien ! c’est mieux mais si c’est un collant c’est pareil qu’un froc !
Lentement je tire sur le bas de ma robe jusqu'à la limite des bas il pousse un cri
satisfait
- Ahhhhhhhhhh !c’est bien, tu t’es habillée en pute ! remonte un peut plus haut
pour voir ?
Je sépare mes pieds et remonte d’un coup la robe a ma taille, ma chatte est exhibée a
hauteur de ses yeux exorbités, il reste sans voix
- Ce n’est pas ce que tu voulais ?
- Regarde mes mains elles sont nickelles, j’ai même passé de la crème, les
ongles courts, ma queue est propre mais pour toi j’ai parfumés mes poils a la semence
de cheval, je peux toucher ta fourrure ?
Du dos de sa mini main il caresse ma touffe, un doigt qui ressemble à une saucisse
cocktail lisse ma fente avant d’écarter une lèvre, ma mouille suinte le long de sa
main
- Vient t’assoir sur cette botte de paille
Les jambes écartées je pose mes fesses au bord de la botte, debout il n’a qu’a se
baisser un peu pour me bouffer, je me laisse partir en arrière pour mieux ressentir sa
langue dont la douceur contraste avec sa barbe rêche
- T’es bonne, les chevaux ne vont pas tarder à hennir dés qu’ils auront sentis
ton odeur de pouliche en rut
Il retire son visage d’entre mes cuisses pour mettre ses doigts dans ma vulve qu’il
force à s’ouvrir en tournant son poignet, je roule mes tétons dressés entre mes
doigts, mes cuisses tremblent ma cyprine coule a flot, les chevaux énervés piaffent et
hennissent
La main progresse, mes lèvres sont étirées je vais hurler de bonheur et de crainte
qu’il ne me déchire quand sa main est absorbée soudainement par mon vagin, ses doigts
se referment pour former un gland énorme qu’il tourne et retourne avant de jouer avec
comme un piston dans ma gaine vaginale, l’avant bras du monstre s’enfile de plus en
plus profondément, je pose mes deux mains sur son bras non pas pour le retirer mais
pour me l’enfoncer a fond tel un énorme gode, ma moule est ravagée , je perçois le
bruit se succion provoqué par le maniement , du jus suinte sur ma rosette, le nain
souffle comme un bœuf médusé par ma détermination
- Baise moi avec ton chibre, défonce moi comme le ferait un pur-sang
- Putain c’est la première que je vois comme ça, quelle chienne ! sa connasse
est prête à craquer et elle en veut encore ! attention je vais retirer mon bras …..
La masse qui me perfore laisse la place à un grand vide, un flop énorme achève le
retrait, je reste allongée pour récupérer tandis que je l’entends ôter ses vêtements
- Je suis prêt, regarde ce qui va te remplir la chatte
Péniblement je soulève la tête, un membre disproportionné assorti au corps du nain,
tortueux veineux, se balance horizontalement
- Tu va te mettre a quatre patte je reste debout pour te saillir comme une
jument
- Je veux d’abord gouter à ton épée de chair, monte sur la botte
Le monstre a quatre patte n’a pas menti, sa queue traine quasiment sur la paille il se
redresse sans souplesse et tend son chibre vers moi
- Va y suce salope !
Je me penche vers cette chose, mon nez est attiré par une odeur nauséabonde, des
traces blanches sont mêlées a ses poils hirsutes
- Tu sens l’odeur de l’étalon ? il en décharge des litres de quoi te péter les
miches, lèche ma queue tu va comparer les odeurs très vite
En fermant les yeux j’ai l’impression de lécher un animal a cause des relents de fauve
et de la texture qui n’a rien à voir avec celle d’une bitte humaine, je suce j’aspire
je branle comme une damnée, il se tient a mes oreilles en râlant, je me prépare
mentalement a recevoir un foutre infect dans la bouche
- Voilà ma sauce ma biquette … Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, Avaaaaaale tooooooouuut
!!!
Pas une goutte n’échappe à ma succion, je me redresse fière d’avoir pompé le nain
jusqu’au bout
- A moi de te saillir maintenant, pose toi a plat ventre sur la botte je vais te
baiser debout, tend bien le cul, fait ressortir tes trésors, quelle croupe ! il ne
manque qu’une queue en crin pour que tu ressemble a une pouliche
Pour l’énerver je dandine des hanches, par des contractions je fais palpiter ma
rosette
- Tu mériterais que je t’encule direct, je garde ton cul pour demain, voyons
voir ce trou de femelle ?
Les doigts boudinés ouvrent ma vulve, il en met deux dans mon vagin pour s’assurer
qu’il est bien lubrifié, le gland passe et repasse sur ma fente, va-t-il se décider à
m’embrocher ?
- Qu’attends-tu pour me la mettre ?
- Y’a pas la feu, j’aime me concentrer car je pars vite, passe ta main entre tes
jambes, choppe moi le nœud et enfile toi toute seule, je regarde …
La queue noues entre les doigts je cherche l’entrée visqueuse et pousse mon cul en
arrière, le membre ouvre enfin mon vagin, mes chairs sont déployées foulées caressées,
étirées, une fois logé entièrement en moi ses menottes cramponnes mes hanches
- Tu me fais trop bander salope je vais te défoncer, ça va être bref mais
énergique, tu entends les mâles ? à l’odeur que tu dégage ils savent qu’on baise, leur
litière va être nappée de foutre, j’aurais dut t’allonger entre leurs pattes tu aurais
profité de la douche, prends ça pute !
- Ooooohhh oooooouuuuuuuui va y ! encore ! encore ! je jouis salaud !
Le petit homme ma niquée sans ménagements avant de se bloquer a mon cul une giclée
continue m’a arrosée copieusement le vagin, soudain une fanfare de cirque émise par
les hauts parleurs l’on fait réagir il s’et retiré de mon con comme un diable jaillit
de sa boite
- Magne toi il faut te tirer les visiteurs vont arriver !!!
Décoiffée, de la paille dans les cheveux, le maquillage qui dégouline, j’ai l’air
d’une folle, j’enfile mon manteau qui heureusement cache les dégoulinages qui glissent
lentement entre mes jambes