Titre de l'histoire érotique : on paye toujours ces erreurs.

- Par l'auteur HDS Helene -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : on paye toujours ces erreurs. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : on paye toujours ces erreurs.
Cela étant anonyme, je me decide à raconter mon histoire.
Je me présente, helene, celibataire, 26 ans, employée de mairie dans un petit village. Je suis blonde cheveux longs yeux vert 1m72 54kl, je mets du 38 en culotte et 90C en soutien george. Je porte de petites lunettes rondes (excitant au dire des hommes).

Il y a quelques temps, je faisais mes courses dans une petite ville voisine dans un super-marché, il était 21h et le magasin allait fermer. Comme les allées etaient désertes, je me suis laissée aller et j'ai chapardé 3 ensembles de sous vetements sexy.
Ce qui devait arriver arriva. A la caisse je me suis fait interpeller par un vigil. Conduite dans le bureau du directeur, je ne pus que reconnaître le méfait. Je signais donc une déclaration reconnaissant mon vol puis je fus prises en photo.
Le directeur me dit:

- voilà ! cela sera affiché à l'entrée du magasin.
- c'est pas possible tout le monde va le savoir.
- oui justement cela decourrage la récidive.

Je fondais en sanglots.
- pas de ça, il fallait y penser avant.

Il y eu un silence de plusieurs minutes puis le directeur demanda au vigil :

- tu l'as fouillée?
- non c'est une femme !

eh oui ! une loi leur interdit de procéder à une fouille corporelle.

- au regard de ce qu'elle a pris, elle en porte peut-être sur elle... appelle la gendarmerie et demande à ce qu'une femme vienne.

- ho non pas ça, pas de gendarmes... je vous jure que je n'ai rien de plus sur moi

-comment en être sûr ?

Sans plus réfléchir je dis:

- je peux vous montrer ?
-ok

Cela etait humiliant, j'etais vétue d'un kilt sur des bas noir et un chemisier sous une veste légére.
Je retirais ma veste et dégraffais mon chemissier.

- voila ça suffit ?
- non et sous votre jupe

Je la soulevais pour leur montrer

- non non non enlevez votre jupe et ce chemisier que l'on soit bien sûr

Je m'exécutais et me retrouvais au milieu de ce bureau en culotte, soutien-george en dentelle blanche, en bas noir et sur des escarpins à talons noir. Quelle honte!!!! le paroxisme de l'humiliation.

- va poser ça sur le tableau à l'entrée du magasin
- non vous pouvez pas faire ca ?
- et pourquoi je ne le ferais pas ?
- je vous paye ce que j'ai pris.

Il me regarda pendant quelques secondes, regarda son vigil faisant mine de réfléchir.

- dites-moi ce que vous voulez

Je ne faisais plus cas de ma quasi nudité au milieu de ces deux hommes. Il se leva de son bureau, s'approcha de moi et dit:

- ok... il y a quelque chose que tu peux faire... helene. (tiens comment se fait-il qu'il me tutoye et m'appelle par mon prénom?).

- tu es une belle femme et je ... nous ne sommes pas insensibles à tes charmes.

Sa main se posa sur ma taille et commença à me caresser, puis elle se dirigea vers mes seins. Je n'osais pas bouger. Que choisir entre la honte d'être cataloguée comme une voleuse par toutes les personnes qui veront cette affiche et celle d'etre etiquettée comme une salope par ces deux hommes. Le choix fut vite fait.

- ici ?
- pourquoi on est pas bien ici ? tranquille plus personne pour nous déranger.
- d'accord

J'enlevais donc mon soutif et je fis glisser ma culotte sur mes pieds. Eux aussi se dévétirent.

- viens ici, agenouille toi, montre nous ce que tu sais faire avec ta bouche.

A genoux devant eux, je papillonais entre leurs sexes gonflés

- hum elle est douée la cochonne je sents qu'on va se régaler.

Ils me mirent sur le bureau, allongée sur le dos les fesses au bord du bureau. Le directeur commença à me pénétrer pendant que le visage tourné vers le vigil il continuait à prendre ma bouche.

- elle a la chatte trempée cette salope.
- regarde comment ses nichons bougent à chaque fois que tu la bourres.

Puis ils échangèrent de place, le vigil me pénétra à son tour, son sexe plus gros que l'autre m'arracha quelques gémissement. le directeur prenait quelques photos sans que je ne m'en aperçoive. Puis le vigil s'allongea sur le bureau les fesses au bord, je vins le chevaucher. Le directeur passa derriere moi et mouillant mon anus avec sa bouche me doigtait avec l'index. Puis je sentis son gland forcer mon cul.

- non pas comme ça
- ta gueulle... tu vas aimer ça... en plus t'as pas tellement le choix.

Il attrappa mes seins et enfila sa queue en moi. Ne pouvant me retenir je lachais un grand 'ha'

- tu vois bien que tu aimes ça... quelle salope ... tu dois pas t'ennuyer à la mairie.

- ho oui c'est bon je vais jouir

Ils me changérent de place en m'agenouillant sur une chaise, les fesses bien en arriere, complétement écartées. Le directeur prit ma bouche et le vigil mon cul.

- doucement tu es gros
- vas y enfile-la cette pute

Il mit un coup de rein et me pénétra, aprés quelques coups de bites je jouissais. Le directeur inonda ma bouche et mon visage. Le vigil mon cul et mes fesses.

Chacun me demanda de nettoyer sa queue avec ma bouche. Puis nous nous sommes revetus.
En touchant mes fesses le directeur me dit :

- t'es une drôle de salope.
- je peux partir ?
- oui bien sûr... à la prochaine
- ça, ça ne risque pas
- regarde avant de dire ça

Il me montra les photos et la déclaration. J'étais coincéé, je me dirigeais vers la porte quand il me dit:

- tu oublies ça (me montrant les 3 ensembles de sous vetements)
- pourquoi?
- parce que les putes on les paye toujours et toi t'es vraiment la meilleure.

En rentrant, je pensais à ce qui venait de se passer. J'étais à la merci de ces 2 hommes qui malgré les circonstances m'avaient fait jouir.

Qu'allait me reserver l'avenir ???
je vous racconterais bientôt

gros smack à tous.

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