HISTOIRE SURPRENANTE 3

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : HISTOIRE SURPRENANTE 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2013 dans la catégorie A dormir debout
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HISTOIRE SURPRENANTE 3
Nous avons continué a discuter un bon moment en dégustant nos casa puis il s’est lancé : - Vous n’allez pas repartir le ventre vide, vous allez rester manger avec nous.
- Oui si vous insistez.
Apres deux autres tournées nous sommes passés à table et j’ai revu la belle Gina. A la fin du repas, comme je semblais avoir un petit coup dans l’aile, ils ont tous insisté pour que je dorme au village, Gina s’est proposé pour m’accompagner. Une foi dans la maison nous nous sommes fougueusement embrassé en nous déshabillant mutuellement. Elle a gémi langoureusement quand je l’ai pénétré puis elle s’est raidie.
- Fait attention, je t’en supplie, je ne prends rien et je ne veux pas être enceinte.
Nous avons fait l’amour très longtemps avant que je me retire pour exploser sur son ventre. Apres un petit moment de repos, je lui ai demandé :- Tu ne prends vraiment rien comme contraceptif ?
- Non rien- Et l’autre jour, je suis resté en toi.
- Oui mais je venais d’avoir mes règles, je ne craignais rien par contre maintenant…. Tu t’imagine, ça fait plus de six mois que je n’ai pas vu mon mari alors si je me retrouve enceinte tu t’imagine ce que vont penser les gens.
- Oui je comprends.
Sur ces paroles nous nous sommes endormis, l’un contre l’autre, tendrement.
Le lendemain matin, malgré une envie folle de lui refaire l’amour, je me suis contenté de déjeuner avant de partir. Une foie en ville mon premier achat fut des préservatifs au cas où puis je suis parti retrouver les inspecteurs qui se préparaient a donner l’assaut au mas le lendemain dans la journée. Le soir venu je suis rentré chez moi pour bien dormir et être en plaine forme le lendemain.
A dix heures les équipes de police étaient prêtes, vers seize heures, tous les motards étaient sous les verrous et l’assaut était donné à la villa. Il n’y a pas eut beaucoup de résistance, ils étaient entrain d’essayer leur nouvelle drogue sur les filles. Le soir venu, je suis reparti au village pour leur expliquer que tout était fini. Apres mon discours, alors que tout le monde buvais un coup pour fêter ce moment, j’ai revu Gina, elle avait les larmes aux yeux, son frère le maire du village m’a expliqué qu’elle venait d’avoir des nouvelles de son mari, après une très grave avarie ils avaient réussi a rejoindre un port et maintenant il allait revenir. Son retour était prévu le lendemain. Je me suis faufilé à travers la foule pour me rapprocher d’elle.
- Pourquoi as-tu l’air si triste ? il est vivant.
- Oui mai j’aurais préféré le contraire, quand il va rentrer, il va encore boire, me battre et me violer.
- Mai non, tu as maintenant une super arme pour faire de lui tout ce que tu veux, l’eau de la source, tu te souviens.
- Non, ça ne marchera pas, c’est efficace sur les filles et c’est tout.
- Je ne pense pas, il suffit d’essayer, je pars en chercher une bouteille.
Apres mon retours, il ne restait presque plus personne a la fête, Gina était la et m’attendais. Avec elle nous sommes partis à la villa de ses parents.
- voila l’eau, tu me sers un jaune ?, je veux bien êtres le cobaye, j’ai acheté un paquet de préservatifs, ils sont la.
- T’es sur de vouloir essayer cette drogue ?
- Oui il faut bien, tien tu vois, ça ne change pas le gout du Casanis, si c’est efficace, tu me raconteras.
Au bout d’un petit moment je me suis senti très excité puis je ne me souviens de plus rien. Quand elle m’a réveillé, j’étais très fatigué et tout courbaturé comme si j’avais passé une grande partie de la nuit à faire de la gymnastique. Elle au contraire était radieuse. En regardant autours du lit, j’ai remarqué plein de préservatifs usagés, tout mon paquet y était passé.
- Alors que c’est il passé cette nuit ?, Je ne me souviens de rien.
- Cette nuit fut la plus belle de toutes les nuits d’amour que j’ai connu, tu étais entièrement a mes ordres, tu faisais tout ce que je voulais, et en plus tu n’arrêtais pas de bander, c’étais merveilleux.
- Et bien tu vois, cette drogue pourra calmer ton maris.
- Oui c’est sur et plus jamais il me tapera.
- C’est très bien tout ça mais il faut que je parte, le docteur Juliani rentre cet après midi, il faut que je rentre mettre un peu d’ordre dans son cabinet.
Apres une très profonde embrassade, nous nous sommes quitté, elle pour retrouver son mari et moi pour rendre la voiture, ranger le cabinet et repartir vers de nouveaux remplacements. Apres deux mois dans la grisaille de la France, je me suis porté volontaire pour une mission humanitaire en afrique. J’en suis revenu trois ans après. J’étais en vacances, j’ai eut envi de revoir ce si petit village corse a flanc de montagne ou j’avais passé une si bonne période de ma vie et aussi, j’espérais voir la très belle Gina. A ma grande surprise il ne fallait plus un 4X4 pour arriver au village, une charmante petite route serpentait à flanc de montagne, bien goudronnée. Autre surprise, a l’entré du village un grand parking plein de voitures. Plus loin, un grand escalier qui débouche sur la place du village, face à la mairie. J’allais de surprises en surprises, le bar était toujours la mai a la place de la petite épicerie, une superette, a la place de la grande maison en ruine, un hôtel trois étoiles, il y avait beaucoup de touristes qui se promenaient dans les rues, c’étais impressionnant la saison n’avais pas commencée et le village était plein de monde. Une foie a la mairie, j’ai demandé a voir le maire, on m’a fait patienter un moment puis une silhouette qui m’étais familière est apparu.
- Bonjour docteur, comment allez vous ?
- Bien, très bien, je suis en vacances.
- Et qu’est-ce qui vous amène ici.
- Rien de particulier, j’avais envie de revoir votre village, ça a bien changé- Oui, un peu, et c’est grâce a vous.
- A moi ?
- Oui a vous, c’est vous qui avez montré la voie a ma sœur, Gina- Gina, comment va elle ?
- Très bien, elle est dans son bureau, vous pouvez aller la voir si vous voulez, elle vous expliquera ce qu’il en est. Je vous accompagne. C’est la, allez y frappez, je dois partir au mas. A bientôt.
- Entrez.
- Bonjour, madame.
- Jean Marc, quelle surprise, je suis très heureuse de te voir.
- Ton frère, m’a dit que tous les chamboulements dans le village étaient de ma faute et que tu allais m’expliquer.
- Oui c’est vrai, tu te souviens de notre dernière nuit ?
- Non, j’avais bu de l’eau de la source.
- Et bien, ça a été la plus belle nuit d’amour de ma vie, j’ai a nouveau essayé avec mon maris avant qu’il me quitte et a nouveau j’ai eut énormément de plaisir. ça m’a donné une idée, j’ai fait du village l’endroit ou les couples en difficulté viennent se retrouver et ça marche le feu de dieu. C’est la fortune du village.
- Tu drogue les touristes ?
- Non je leur fait juste boire un peut d’eau de notre source d’amour.
- Ça marche toujours.
- Oui bien sur, une de mes amie, Nathalie, est chimiste, elle a ajouté un produit dans l’eau pour qu’elle garde ses effets mais bloque l’oubli complet que produisait la drogue. Maintenant, après avoir bu de l’eau de notre source, les gens font l’amour comme des fous et s’en souviennent. C’est surprenant, après une véritable nuit d’amour fou les couples se reforment, j’ai très peu d’échecs. Nous avons transformé le mas des allemands en centre de remise en forme avec des chambres que nous louons très cher, elles sont réservées aux vedettes qui souhaitent vivre a l’écart du monde. Certains viennent tous les ans, d’autres achètent des flacons remplis de l’eau de notre source, c’est comme a Lourde mai avec nous, ils boivent l’eau. C’est la fortune pour notre village.
- Et ton mari, il en pense quoi ?
- Il n’est plus mon mari. Apres son retour et mon traitement, il est reparti et n’est jamais revenu. Quelques mois après son départ, j’ai reçut des papiers pour que nous divorcions, il avait rencontré une fille sous les tropiques, son père dirigeait une flotte de navires marchand, il faisait de lui le directeur de sa société s’il épousait sa fille. Je ne l’ai toujours pas remplacé, et j’espérais que tu repasse par ici un jour. Nous n’avons toujours pas de médecin a la clinique de la mairie.
- On verra plus tard, tu as du travail maintenant, je ne veux pas te déranger. Je repasserais ce soir, tu habite toujours chez ton frère ?
- Non, j’ai repris la maison de mes parents, et toi, ou loge-tu ?
- A Sarthéne, à l’hôtel.
- Si tu veux, tu peu aller chercher tes affaires, je t’héberge.
- Je te laisse travailler et je repars tout de suite récupérer mes bagages.
Je suis vite reparti chercher mes bagages et payer mon hôtel en chemin j’ai rencontré le docteur Juliani qui m’a invité a boire un verre et qui m’a longuement parlé de son futur départ a la retraite et au plaisir qu’il aurait à me voir reprendre sa clientèle. Apres l’avoir quitté, a titre préventif, me rappelant les nuits torrides passées avec Gina, j’ai acheté deux paquets de préservatif. A mon retour au village, il était tard et il faisait nuit depuis longtemps. Apres m’êtres rangé sur le parking, j’ai vite rejoint la maison de Gina ma valise a la main. Elle m’a ouvert, en robe de chambre, une serviette enserrant ses cheveux.
- excuse-moi, mai je viens de prendre une douche. Entre et va poser tes valises dans la chambre du premier. J’espère que tu as déjà mangé, à cette heure le restaurant est fermé.
- Non pas encore.
- Tu as du pain, de la charcuterie, et du fromage dans la cuisine. Excuse-moi mais je suis très fatiguée et demain une rude journée m’attend. Je pars me coucher dans ma chambre.
Cette réception très froide a fait tomber toutes mes envies de câlins sous la couette, j’ai rapidement mangé un bout et je suis parti me coucher tout seul.
Quand je me suis réveillé le lendemain matin, elle était déjà partie, sur la table, elle avait laissé un bol vide avec un mot : le café est dans la micro-onde. J’ai déjeuné, fait ma toilette et suis parti a la découverte de ce village qui avait tellement changé depuis ma dernière visite. En chemin j’ai rencontré Myriam la belle rousse, elle m’a tout de suite reconnu et embrassé fougueusement sur la bouche.
- Bonjour docteur, vous êtes revenu pour nous ausculter comme avant.
- Non, je suis en vacances, et je suis venu voir ce que devenais le village.
- Vien avec moi, je vais te montrer notre entreprise à Christine, Berthe et moi. Nous sommes en S A R L, c’est mieux vu le nombre de clients que nous avons.
Je l’ai suivie, elle m’a amené au mas qu’habitais les allemands. Tout avait changé, c’étais devenu un grand centre avec des bungalows tout autour. Dans la maison, le grand salon était devenu une salle de restauration, le hangar qui servait de laboratoire était devenu une salle de remise en forme, le grand garage s’étais transformé en écurie. J’en revenais pas, c’étais magnifique.
- Tu voies, c’est nous qui avons tout fait, quand les allemands ont été condamnés pour trafic de drogue c’est la mairie qui a récupéré leur maison, ils n’y faisaient rien et elle commençait à se dégrader alors nous l’avons acheté pour une somme modique et maintenant nous sommes le centre de traitement privé le plus connu au monde.
- Vous traitez quoi au juste ?
- Nous nous occupons des femmes qui veulent un enfant et qui n’y arrive pas naturellement.
- Vous avez des médecins qui travaillent avec vous ?
- Non pourquoi, dans notre travail le seul truc qui compte c’est le résultat. Pour nous c’est cent pour cent de réussite.
- Quel est votre secret ?
- L’eau, nous avons découvert par accident que si l’on mélange l’eau de la source avec du gingembre, du myrte et de l’absinthe nous obtenons un produit magique qui provoque l’ovulation chez n’importe quelle femme. C’est le gynéco de Christine qui a découvert ça. Elle était enceinte de plus de six mois quand elle a eut les symptômes d’un début de grossesse. Apres l’avoir ausculté, il s’est avéré qu’elle débutait une nouvelle grossesse malgré le bébé qu’elle portait. Apres pas mal de recherches ils ont trouvé ce qui s’étais passé. Nous avons commencé avec quelques femmes puis maintenant le bouche à oreille marchant très fort, nous avons une cinquantaine de femmes du monde entier sur notre liste d’attente.
- Et quand ça provient du mari ?
- La nous avons notre secret.
- Et qu’est-ce que c’est ?
- C’est le camp de légionnaire, nous avons le chois pour tout type d’homme, du scandinave a l’africain en passant par les asiatiques. Nous récupérons leur sperme et nous l’injectons a nos patientes et ça marche super bien.
- Comment collectez-vous le sperme.
- Mon copain le colonel du camp m’envoi les hommes que je lui demande, ils passent une nuit torride avec mes copines, bien sur ils portent des préservatifs. A la fin de la nuit, je récupère tous les préservatifs usagés et j’injecte tout le sperme dans mes patientes. Ça marche super bien.
- Vous n’avez jamais de problèmes ?
- Non jamais, elles sont si contentes d’être enceinte qu’elles ne posent pas de questions sur notre mode de fonctionnement. En plus a leur arrivé nous leur faisons signer une décharge.
- Comment injectez-vous le sperme dans vos patientes ?
- Avec ça, c’est un gode éjaculateur, nous le remplissons avec le sperme et ces dames prennent leur pied avec. Ça marche à tous les coups.
Je ne m’étais pas aperçu du temps qui passait, très vite je suis parti faire quelques courses puis une foi a la maison j’ai préparé le diner, arrangé la table, allumé la cheminée et tamisé les lumières. Je venais juste de terminer quand Gina est entré, elle a été très surprise par l’accueil que je lui avais réservé. A peine entré, elle a refermé la porte à clef puis elle s’est retourné et m’a embrassé goulument. Je n’avais plus affaire a la froide et frigide chef d’entreprise rencontré la veille ou même ce matin. Je retrouvais la torride maitresse dont j’avais gardé le souvenir. Tout en m’embrassant elle a commencé a me déshabiller en me caressant. J’en ai fait autan, laissant jaillir sa magnifique poitrine que je me suis empressé d’embrasser tout en avançant vers le canapé. Puis je suis descendu pour lui embrasser le ventre puis son minou elle a gémis de plaisir quand ma langue s’est enfoncée en elle.de ses mains elle m’a bloqué la tète pour que je ne m’arrête pas et elle m’a inondé de son plaisir. J’avais mon pantalon et mon caleçon a mi mollets, je suis remonté et j’ai essayé de la pénétré. Elle s’est reculée pour m’empêcher d’entrer en elle puis tendant le bras vers une bonbonnière posée sur une table basse elle a murmuré :- je suis en pleine période d’ovulation, il faut se protéger.
Elle m’a poussé, je me suis retrouvé assis sur le canapé, elle a attrapé un préservatif et prestement me l’a enfilé puis elle est remontée sur moi, et s’est empalé en gémissant de plaisir. Très longtemps, nous sommes restés, l’un dans l’autre en s’agitant tout doucement avant d’être submergé par l’orgasme. Apres avoir repris notre souffle nous avons récupéré nos vêtements éparpillés dans toute la pièce et nous sommes partis nous coucher. Dans le lit elle est venue se blottir contre moi pour que je la réchauffe. Au contact de son corps nu je n’ai pas pu m’empêcher de bander à nouveau, elle s’en est vite rendu compte et au lieu de s’éloigner de moi, elle s’est arrangée pour que je la pénètre. J’étais bien immobile, tout au fond de son corps. D’une main je lui caressais doucement la poitrine, de l’autre le clitoris et sans bouger, je la sentais frémir et monter vers l’orgasme. Quand elle s’est mise à jouir j’ai eut l’impression d’être aspiré au plus profond de son corps. Mon gland avait passé la bouche de son utérus et était comme pompé par les vagues de contractions qui accompagnaient sa jouissance. Il ne m’a pas fallu longtemps avant de sentir la sève monter en moi et rapidement me retirer pour ne pas l’inonder. A peine j’avais fini d’éclabousser ses fesses que j’ai replongé dans ce brulant petit minou qui n’attendait que ça. Nous nous sommes endormis, l’un dans l’autre étroitement enlacés. A mon réveil je bandais toujours en elle, c’étais merveilleux, elle dormais encore, j’ai recommencé tout doucement a la caresser, elle s’est mise a gémir de plaisir, je sentais a nouveau la bouche de son utérus me pomper le gland, j’ai accentué mes caresses, elle s’est réveillé et en jouissant elle m’a bloqué au plus profond d’elle, je ne pouvais plus tenir, j’ai explosé.
Neuf mois après elle mettait au monde mon premier enfant. Oui c’est vrai je ne vous ai pas dit, je l’ai épousé deux mois plus tard, je suis devenu le médecin de ce magnifique petit village. C’étais il y a quinze ans, maintenant, j’ai cinq enfants, et nous continuons à nous éclipser de temps en temps pour des nuits d’amour torride. La source a perdue au fil des années son action mai nous continuons a recevoir des touristes qui désirent retrouver l’amour.

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