Le plan cul - La dispute

- Par l'auteur HDS HugoSud -
Récit érotique écrit par HugoSud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le plan cul - La dispute Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Le plan cul - La dispute
Je me réveille avec un mal de crâne terrible, sûrement dû aux shooters de vodka de la veille. Je ne me suis pas rhabillé depuis le départ du petit asiatique. Je m’en veux de l’avoir traité comme ça. C’est moi qui ai insisté pour qu’on baise et au final, c’est moi qui ne voulais plus. Un cachet et une douche plus tard, je décide d’aller m’excuser auprès du gars en question. Je dois avouer que je ne suis pas de ce genre-là d’habitude, mais j’en ressens comme un besoin. Il m’avait indiqué qu’il travaillait le samedi, je passe alors devant tous les salons de coiffure du secteur. Au bout d’un moment, je le vois enfin, derrière la vitrine. Le pauvre, la nuit a été courte pour lui. Il est en train de coiffer une dame. J’entre dans le salon, il vient m’accueillir. Le ton est cordial et poli.
- Salut, tu me reconnais ?
- Salut, oui bien-sûr ! me répond-il de sa voix aiguë
- Je voulais ... m’excuser pour hier ! Je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé !
- Ne t’inquiète pas, ça arrive !
Voyant que la dame nous écoute, je baisse d’un ton.
- Je m’en veux beaucoup, j’ai quelques soucis et je ne voulais pas que tu gardes une mauvaise impression de moi !
Il comprend.
- Pour me faire pardonner, je peux t’offrir un verre ?
- Ne te sens pas obligé, y a pas de soucis pour moi ! me rassure-t-il
- J’insiste ! C’est juste un verre !
Il me sourit et le rendez-vous est pris pour le soir-même, après son service, aux alentours de 18h30.

Le soir venu, nous nous retrouvons dans un petit bistrot, sur la terrasse. Il arrive avec quelques minutes de retard et nous commandons enfin. Nous nous échangeons nos prénoms, il s’appelle Fabien. Nous faisons connaissance et revenons sur ce qu’il s’est passé la veille. Je me sens en confiance avec lui et donc, je préfère être franc avec lui et je lui raconte l’histoire, de la rencontre à la dispute de la veille. Il me pose quelques questions sur moi, sur lui, il essaye de dédramatiser, mais je trouve toujours des arguments pour aller à l’encontre de ce qu’il dit. Il me pose une ultime question : « Ça se voit que c’est un mec spécial pour toi, tu as des sentiments pour lui ? ». Un ange passe … Je réponds que je tiens à lui, mais que même si peut-être, je suis attaché à lui, je sais qu’une relation sérieuse est impossible entre nous, à cause de sa copine et surtout parce qu’il m’a clairement dit qu’il ne tomberait jamais amoureux d’un mec. « Ne jamais dire jamais ! » lance Fabien, amusé par la situation. Je lui demande des conseils pour la suite, il m’explique : « Je suis déjà tombé amoureux d’un plan cul, mais lui, pas du tout. C’est à toi de voir, si quand tu le revois, tu ressens que tu as envie de plus et que tu sais que c’est impossible, tu arrêtes tout. Si tu arrives à passer outre, continue ! ». Nous clôturons le sujet, puis nous échangeons sur son histoire. Je ne regrette pas d’être allé présenter mes excuses à Fabien, c’est un garçon très gentil. Il est trop passif pour moi, peut-être que c’est pour cela que je n’ai pas réussi à être au garde à vous la veille. Nous décidons de commander quelques tapas pour nous remplir le ventre. Le serveur nous emmène un grand plateau avec plein de choses à grignoter. J’entends une voix masculine derrière moi qui me dit « Salut. ». Je me retourne et vois Alex, un carton de pizza à la main. « Je t’ai vu en passant, j’ai voulu savoir comment tu allais ! » se justifie-t-il. Nous échangeons quelques banalités. Le ton est plutôt froid. Il me demande de lui présenter mon ami, ce que je fais, avant qu’il ne se décide enfin à nous laisser. A peine parti, Fabien me dit : « C’est qu’un porno ! » dit-il en faisant référence à l’histoire de la veille. « Je pense très sincèrement que vous devez avoir une discussion pour mettre tout cette histoire au clair ! On dirait des enfants ! ». Fabien est franc, je ne sais pas trop quoi dire. « Tu n’as pas remarqué qu’il t’a fait une crise de jalousie là ? ». Je reprends des couleurs, mes sentiments sont peut-être partagés ! Bon, il faut que j’arrête de rêver là ! Fabien finit par me dire : « Alors, arrêtez-vous de faire la gueule, appelez-vous et réconciliez-vous sur l’oreiller ! ». Il est trop mignon ! Nous reprenons la conversation que nous avions abandonnée, à savoir, sa recherche du prince charmant ! Suite à ça, on s’échange nos numéros de téléphone et je pars rejoindre mes amies au cinéma.

En sortant de la salle obscure, je remarque qu’Alex a essayé de m’appeler plusieurs fois. Tiens, je l’avais oublié celui-là ! J’écoute ses trois messages vocaux qu’il a laissés sur la messagerie. A la fin, il s’impatiente, veut que je le rappelle, il veut que l’on s’explique. Il passe me prendre en voiture quelques minutes plus tard et nous nous dirigeons vers chez moi. Je monte dans la voiture, il roule directement. Quelques secondes de silence se font entendre jusqu’à ce qu’il me demande :
- Tu étais avec ton petit asiatique ?
- Il n’est pas venu au ciné, pourquoi ?
- Vous avez couché ensemble ?
Je sens de l’agressivité dans ses propos.
- Mais pourquoi tu dis ça ?
- Je te fais une crise de jalousie pour me venger d’hier !
- Pour te venger ? Ça voudrait dire que tu crois que je suis jaloux d’une fille ?
- C’est le cas non ?
- Non, justement ! Je m’en fou de la fille, c’est juste le fait que tu te branles en matant quelqu’un alors que je suis à deux centimètres de toi ! Ce n’est pas super respectueux !
- Mais ça va, je plaisantais ! Ça ne servait à rien de se mettre dans des états pareils !
Je me rends compte que je me suis mis dans des états impossibles pour rien !
- Bon, alors dis-moi, t’as couché avec ? Tu peux me le dire, je t’ai déjà dit que ça ne me gênait pas !
- On était chez moi …
- Ah et alors ? C’était comment ? Vous avez bien baisé ? C’était soft ou hard ? Il a une petite queue ?
Je sens de l’agressivité dans ses propos. Je ne préfère par répondre. Nous arrivons devant chez moi. Il insiste et s’arrête devant la porte de ma résidence. Vexé, je sors de la voiture dès qu’il s’arrête.
- Attend, me dit-il en me rattrapant le bras, je ne veux pas qu’on se fasse la gueule …
- Tu montes ?

Il se gare et nous empressons de gravir les étages. Il m’embrasse le cou quand je tente d’insérer la clé dans la porte. Je gémis en silence. Il m’ouvre le jean et plonge sa main dans mon boxer. Je n’ose faire de même que lorsque la lumière des parties communes s’éteint. Tout en nous embrassons, on se masturbe mutuellement. Nous sommes déjà bien excités ! Lorsque l’interrupteur s’enclenche, signe que quelqu’un risque de nous surprendre, j’ouvre la porte de l’appartement et nous enferme à l’intérieur. Nous nous débarrassons de nos vêtements, nous nous embrassons si fort ! Nous ne perdons pas de temps avec les préliminaires, même si nous adorons ça, et je me mets à quatre pattes sur le lit. Après une légère préparation virile et bestiale, il me pénètre doucement. Je ressens toute la vigueur d’Alex dans mon petit trou. Très vite le rythme va s’accélérer, je vais jusqu’à pousser des cris de plaisir et de bonne douleur mêlés. Nous entendons le clappement de ses bourses contre moi. Je profite de sa « sortie » de mon petit trou pour me redresser et pour qu’il me prenne assis. Il s’exécute quelques secondes avant de me dire : « Non, arrête, je veux te voir bébé ! ». Je m’allonge sur le dos, soulève mes jambes et je me laisse prendre, face à lui. Il est tellement beau ! Il me lime bien fort, comme j’aime. « Regarde-moi, regarde-moi ! » insiste-t-il. Nous tentons de nous embrasser mais nos gémissements et notre respiration accélérée nous en empêche. Je pose mes mains sur ses fesses, j’adore les caresser. Nous embrassons langoureusement, il me tient la tête des deux mains puis me dit : « Finis sur moi ! ». Il s’allonge sur le dos, je viens m’empaler sur lui quelques instants en prenant appui sur son torse. Je m’allonge à côté de lui. Nous nous masturbons mutuellement jusqu’à la jouissance simultanée, ce qui la rend encore plus intense ! On se sourit et on s’embrasse. Nos regards se fixent durant de nombreuses secondes. Il fait le signe « non » de la tête et me déclare « Putain, je t’aime ! » avant de m’embrasser. « Moi aussi Alex, moi aussi … ».

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