La découverte de la bisexualité avec ma coloc'

- Par l'auteur HDS Amélucie -
Récit érotique écrit par Amélucie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La découverte de la bisexualité avec ma coloc' Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La découverte de la bisexualité avec ma coloc'
Bonjour à tous et à toutes, je m’appelle Amélie, j’ai 26 ans et je vais vous raconter comment j’ai découvert ma bisexualité et le sadomasochisme.

A l’époque des faits, je venais d’avoir 24 ans, et je finissais mes études à l’université. N’étant pas très riche, je faisais de la colocation avec un garçon de 23 ans, Romain, homosexuel affirmé, et avec Lucie, une amie âgée de 26 ans. Notre vie en commun était fort sympathique, et tout se passait avec une bonne ambiance : cuisine commune, soirées délires ensemble, et même une partie de jambes en l’air ensemble. Sur ce dernier point, Romain nous avait en effet laissé regarder, Lucie et moi, à la demande d’un de ses amants, à leurs ébats entre hommes, et je dois avouer que c’est diablement excitant de voir un homme bien membré s’insérer dans le cul d’un autre et le prendre sauvagement. J’avais aussi pu constater que sa technique de fellation était différente et plus efficace que la mienne.

Permettez-moi de délaisser Romain pour le moment, sa participation à mon récit n’est qu’assez minime, et je reviendrais dessus le moment venu. Laissez-moi plutôt vous parler de moi et de Lucie. Je suis brune, d’1m70, et de 53 kg, avec des beaux yeux marrons et des formes là où il faut. Je ne me considère pas comme belle, mais la plupart de mes amis me décrivent comme mignonne, dynamique mais également timide. Je ne suis pas la fille qui attire tous les regards quand elle entre dans une pièce, mais j’ai un certain magnétisme et les garçons me trouvent plutôt sexy. Sexuellement, je suis hétérosexuelle, et je n’ai pas beaucoup d’expérience (4 garçons dans ma vie jusque là, depuis mes 19 ans). Je manque de confiance en moi, et, en fervente admiratrice de Jane Austen, je crois plus dans le prince charmant qu’en des plans culs destinés à assouvir mes pulsions.

Lucie est mon exact opposée, si l’on peut dire. Elle est brune, grande, fine, avec un corps parfaitement sculpté par de nombreuses heures de gymnastique et de piscine, et elle est autant jolie que mignonne. Elle est d’une nature énergique, un peu excentrique et libérée. Contrairement à moi, elle n’hésitera pas pendant des heures pour se décider à faire ou non quelque chose, elle est spontanée et s’amuse beaucoup. J’avoue être un peu jalouse d’elle, elle a tous les garçons à ses pieds et en fait ce qu’elle veut. Sur les 4 garçons avec lesquels je suis sortie, il y en 2 d’entre eux qui l’ont été sur ses conseils.

Au vu de ses traits de caractères, je pense que personne ne sera surpris si je vous dis qu’elle a une sexualité débridée et imaginative. Je ne compte plus le nombre de nuits où je suis rentrée seule de boite alors qu’elle était en train d’allumer un quelconque garçon (et plus probablement en train de lui faire passer la nuit la plus magique de sa vie). Lorsqu’elle me parle des garçons avec qui elle a couché, je n’obtiens quasiment jamais de prénom mais plutôt un chiffre, accompagné de commentaires sur la taille de leur sexe et sur leurs performances. Ces discussions ont tendance à me faire rougir, mais je continue à les écouter car cela m’excite malgré moi et j’admire sa témérité.

Je savais de sa propre bouche qu’elle avait déjà eu des relations avec plusieurs garçons en même temps, mais jusqu’à un fameux soir, je n’avais pensé qu’elle avait déjà couché avec une fille. Il faut avouer qu’en tant que colocataire, elle n’a jamais tenté de me draguer. J’ai découvert que c’était le cas un dimanche soir, où je croyais être seule à l’appartement. Je venais de faire une longue sieste en t-shirt et sous-vêtements, et en voulant m’habiller, je me rendis compte que Lucie m’avait emprunté mon haut préféré. Comme il y avait de grandes chances pour que celui-ci soit dans sa chambre, je suis allé le récupérer, sans frapper à la porte.

Alors que je venais d’ouvrir la porte, je me suis figée net, incapable de bouger ni de détourner le regard de ce que je voyais. Sur le lit était allongée sur le dos une fille noire nue avec des gros seins et une toison fournie, les mains attachées au sommet du lit par une ceinture de peignoir, un sextoy enfoui dans son intimité, avec en dessus de son visage, ma colocataire, nue également, en train de se faire lécher jusqu’à l’orgasme. Lucie était en train de saisir la tête de sa partenaire avec ses mains pour ramener la langue de celle-ci au plus profond de son sexe, alors qu’elle lâchait un puissant cri de jouissance.

Complètement rouge, les joues plus chaudes que jamais (on aurait pu y faire cuire un œuf dessus sans aucun souci), j’ai refermé la porte rapidement et ai battu en retraite vers ma chambre. Dans ma précipitation, je crois que ma sortie a été moins discrète que mon entrée dans la chambre. J’ai ouvert la fenêtre pour prendre l’air, je crois que j’en avais besoin. Je suis restée ainsi un bon moment, incapable de penser à autre chose que ce que je venais de voir. Le cri de jouissance de Lucie continuait à résonner dans mes oreilles, je ne l’avais jamais entendue jouir aussi fort (et, pour habiter dans la chambre connexe, je peux vous dire que je l’ai déjà entendue jouir, que ce soit avec des garçons ou avec des sextoys).

Mes pensées ont été interrompues par quelques coups à ma porte. J’ai machinalement répondu oui, et ma porte s’est ouverte, laissant apparaitre Lucie habillée d’un peignoir blanc, les cheveux remis à leur place, mais encore humides de transpiration. Elle s’est adressée à moi, avec un ton un peu inquiet :

- Ca va Mél’ ? (le petit nom affectueux qu’elle aime me donner)
- Je … Désolée d’être entrée dans ta chambre, répondis-je les yeux baissés.
- Non, c’est de ma faute, j’aurais du verrouiller, mais je pensais que tu n’étais pas là.
- Je dormais (j’avais besoin de me rattacher à un semblant de normalité) …

Je tiens à préciser quelque chose à ce stade de mon récit, je n’ai rien contre les lesbiennes, j’aurais été probablement aussi surprise et confuse si je l’avais surprise avec un mec. C’est juste que entendre parler des prouesses sexuelles de sa coloc’ est une chose, la voir le faire en est une autre.

- Ah cela explique pourquoi tu n’as pas répondu quand je suis arrivée avec Alyssa.
- Elle est toujours là ?
- Non, elle est repartie mais ne t’inquiète pas, elle ne sait pas que tu nous as vue, elle était … occupée, me dit Lucie, avec un petit sourire.

Lucie s’est approchée de moi et m’a serrée dans ses bras pour me réconforter. Je dois avouer que cela m’a fait du bien et je me suis laissée serrer. Elle avait chaud et sentait le sexe, mais ça ne m’a pas perturbé.

- Tu as aimé ?
- Quoi ?
- Tu as aimé me voir jouir grâce à Alyssa ?
- Je …

Je n’ai rien pu répondre, stupéfaite. Lucie a mis sa main contre ma culotte, et a passé ses doigts le long de mon intimité.

- Je vois que oui ma puce, regarde, tu es toute mouillée.

Alors qu’elle me met ses doigts devant les yeux, je peux constater qu’elle a raison, ses doigts sont humides, et ma chatte est en feu. Ma culotte est trempée (pendant l’espace d’un instant, j’ai même cru m’être fait dessus mais non). Je suis toujours aussi rouge, et les yeux baissés vers mes pieds, j’essaye de bégayer une réponse. Rien ne sort de ma bouche car Lucie vient de me redresser le visage avec ses doigts sous mon menton, et me fait un grand sourire avant de m’embrasser.

Je me laisse embrasser, elle fait ça tellement bien, mieux que mes ex petits copains. Sa bouche est douce et chaude, et alors que sa langue force l’entrée de ma bouche, je ressens un goût de menthe sur la mienne. Je suis prise dans l’acte et je me surprends à lui rendre son baiser. Une de ses mains est derrière ma tête et m’empêche de me retirer (bien que je n’en n’aie pas envie) tandis que l’autre est en train de me caresser les fesses. Le contact est électrique, j’ai l’impression de n’avoir jamais ressenti autant de choses. Je sens ses lèvres s’éloigner, et alors que je lève les yeux vers elle, curieuse de savoir ce qu’elle fait, Lucie me dit :

- Si tu veux continuer, tu te laisses faire et tu m’obéis. Compris ?

J’acquiesce de la tête, et je la vois arborer un grand sourire. Elle m’ordonne de lever les bras. J’obéis et elle en profite pour me retirer mon t-shirt, dévoilant ainsi mon soutien-gorge blanc. Le t-shirt vole dans un coin de la chambre, et Lucie m’embrasse de nouveau et alterne avec des baisers le long de mon cou et de mon oreille droite. Je gémis et j’ai le souffle court, c’est tellement bon. Je suis tellement absorbée par ses baisers que je sens à peine qu’elle dégrafe mon soutien-gorge. Je ne le remarque que lorsque ses mains se posent sur mes seins, les attrapant doucement et les massant. Sa bouche se pose sur la pointe de mes seins, et je la sens m’aspirer les tétons avec sa bouche. Je rejette ma tête en arrière et je gémis.

- Oui, continue …

Lucie continue de me sucer les seins, mais libère une main, qui frotte mon ventre et trouve son chemin vers mon intimité. Elle frotte un peu ma culotte humide sur mes lèvres vaginales, et je sens deux de ses doigts s’enfoncer un peu, freinés par ma culotte. Sa langue revient trouver la mienne et décide de faire avec celle-ci une valse endiablée, tandis que sa main remonte légèrement pour entrer dans ma culotte et me frotter le clitoris. Mon corps frémit alors que l’orgasme monte en moi, et seule la langue de Lucie m’empêche d’hurler ma jouissance (et de réveiller les voisins).

Je suis pantelante, Lucie s’écarte de moi pour retirer son peignoir et dévoiler la splendeur de son corps. Elle me pousse sur mon lit, et je tombe en arrière, sur le dos, vêtue de ma seule culotte (en principe blanche avec un petit nœud mais je suis tellement mouillée qu’elle en est presque transparente). Je relève la tête et je vois Lucie avancer vers moi, magnifique (on dirait une lionne en train de se lécher les babines devant une gazelle). Je note au passage qu’elle a un peu de poils au niveau du sexe, taillé en ticket de métro. Elle se penche, m’écarte un peu les jambes et me retire ma culotte. Je suis désormais en complète tenue d’Eve, comme Lucie. Celle-ci porte mon dernier vêtement à son nez, le sent un peu et continue à me sourire.

Elle monte sur le lit et tout en me caressant, allonge son corps sur le mien, de telle façon que ses seins sont pressés sur les miens et qu’une de ses mains me caresse un sein tandis que l’autre se dirige vers mon entrejambe et que sa bouche se colle une fois de plus sur la mienne.

Je sens alors un changement. C’est léger, je le remarque à peine mais elle m’embrasse de façon plus agressive, et insère deux de ses doigts dans ma chatte humide. Mon corps s’arcboute un peu mais le corps de Lucie m’empêche de me courber en deux. Puis, la bouche de Lucie descend en même temps que son corps, et sa bouche passe de mes seins à mon nombril, puis trouve son objectif : ma chatte.

J’ai les jambes à moitié pliées, les pieds posés sur le lit, la tête de Lucie disparait vers mon entrejambe, ses bras enserrent mes cuisses. Je sens le souffle chaud de sa bouche sur mes lèvres et mon clitoris. J’ai l’impression que ma respiration se bloque, que tout s’arrête et ne reprend que lorsque ses lèvres entrent en contact avec ma chatte. Elle sort sa langue et me dispense des grands coups qui récupèrent tout mon jus, et explore tous les replis de mes lèvres vaginales. Par moments, elle alterne et m’aspire le clitoris, comme elle l’a fait avec mes seins. L’instant est magique et je gémis de plus belle.

Lucie décide alors de me doigter encore, mais cette fois rajoute l’index de sa main gauche aux deux doigts de sa main droite qui sont déjà dans mon vagin, recourbés, pour l’humidifier. Alors que je ne m’y attends absolument pas, son index, désormais lubrifié, vient se poser sur mon anus. D’une légère pression, elle l’enfonce doucement, puis une fois celui-ci entré, elle commence un va et vient, au même rythme que ses autres doigts.

Mes jambes se tendent et je m’arcboute à nouveau mais cette fois, le corps de Lucie n’est plus là pour m’en empêcher. Celle-ci retire ses doigts et place ses mains sous mes fesses pour me maintenir partiellement en l’air, et plonger son visage vers ma chatte et enfoncer sa langue le plus profondément possible dedans, effectuant des mouvements tourbillonnants à l’intérieur. L’orgasme qui s’ensuit est le plus intense que j’ai jamais vécu, tant avec des mecs qu’avec mes doigts ou mon vibromasseur. J’inonde bruyamment la bouche de Lucie de cyprine, qui se fait un plaisir de tout avaler. Enfin, elle retire ses mains et mon fessier retombe doucement sur le matelas.

Lucie se relève et me fait me redresser pour m’embrasser et me faire goûter mon orgasme. Malgré l’odeur de sueur et de sexe qui se dégagent de nos deux corps brûlants, je ressens néanmoins un goût qui n’était pas là précédemment. Je ne saurais le décrire mais ce n’est pas repoussant, c’est même légèrement sucré et excitant.

Lucie sort du lit et me dit :

- A ton tour maintenant !

Je me relève maladroitement, je titube, encore épuisée par cette débauche d’énergie et de sexe, à un point que je manque m’étaler par terre. Lucie m’ordonne de me mettre à genoux, et je m’empresse d’obéir. J’avance vers elle, et je me laisse tomber à genoux, les fesses sur mes talons. Lucie s’approche de moi et place sa chatte juste devant mon visage. Je constate que son petit ticket de métro de poils est excitant, et je place mon nez devant ses lèvres, pour m’imprégner de son odeur intime. Elle sent bon et est également mouillée, mon nez qui s’enfonce un petit peu entre ses lèvres se retrouve soudainement humide. Elle frotte un peu sa vulve sur mon visage, de mon menton à mon front, puis m’ordonne de la lécher.

Je place mes mains le long de l’arrière de ses cuisses, presque sur ses fesses, et je sors timidement ma langue, encore un peu intimidée par tout ce qui est en train de se passer. Je donne quelques petits coups de langues, doucement tout d’abord puis avec plus d’entrain. Sa cyprine a un goût un petit peu plus amer que la mienne mais tout aussi intoxicant et excitant. Désormais, c’est Lucie qui émet des gémissements, et elle place ses mains derrière ma tête pour m’attirer vers son entrejambe et pousser ma langue plus loin dans son intimité. Je n’en n’ai pas conscience à cet instant mais si l’on excepte le fait que je sois à genoux et non allongée et attachée, Lucie est dans la même position qu’elle était avec Alyssa tout à l’heure lorsque je les ai surprise.

Ma langue s’enfonce dans son intimité et déclenche un puissant orgasme chez ma partenaire. De nouveau, elle pousse un cri puissant et bestial, et je sens un flot de cyprine m’envahir la bouche et percuter ma gorge. Vu ma position, je ne peux qu’avaler ce liquide jusqu’à ce que Lucie me libère la tête et que je puisse me dégager. Je ressens un grand plaisir à l’idée d’avoir rendue la pareille et d’avoir fait jouir mon amie. Lucie se frotte une dernière fois le sexe sur mon visage, étalant encore un peu de mouille, et se dégage totalement.

Alors qu’elle s’écarte de moi, j’entraperçois mon visage dans le reflet de la glace de ma penderie, et je me rends compte que je ruisselle de sueur, que j’ai les cheveux trempés et le visage brillant de cyprine. Je ne me suis jamais sentie aussi bien qu’à cet instant précis et lorsque Lucie m’annonce :

- Désormais, tu es à moi Mél’ !

Je ne peux qu’acquiescer, je crois que je suis amoureuse …



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N'étant pas écrivaine de profession, je remercie ceux et celles qui mettront un petit commentaire sur ce qu'ils ont pensé de mon histoire, ce que je pourrais améliorer et si vous souhaitez avoir la suite (encore du sexe avec Lucie, avec d'autres partenaires, et de la domination). Au plaisir de vous lire

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