Amazones (2)

- Par l'auteur HDS Alexis2 -
Récit érotique écrit par Alexis2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Amazones (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

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Amazones (2)
Plus tard dans la soirée on entendit frapper à la porte d ‘entrée. Seule la jeune femme ne fut pas surprise. Elle se leva et alla ouvrir de sa démarche puissante, sans même prendre soin de cacher sa nudité. Elle s’effaça pour laisser entrer une femme vêtue d’un long imper noir et coiffée d’un chapeau d’homme également noir. Elles s’embrassèrent comme le font deux amies intimes mais sans ostentation.
- Bonsoir Nicole, tu es dans une forme éblouissante, dit la nouvelle venue après avoir observé le corps encore luisant de sueur de la jeune femme. Sa voix était chaude et profonde avec des intonations rauques qui laissaient supposer que cette femme était bien plus âgée que son amie.
Elle effleura des bouts des doigts la hanche nue puis, comme un gourmet devant un plat irrésistible elle enserra la taille de sa cadette qu’elle attira fermement contre elle, écrasant sa bouche sur la sienne. Elle ne lâcha sa prise qu’une fois rassasiée, après plusieurs minutes d’un baiser vorace.
- Cela fait si longtemps mon ange, bien trop longtemps à mon goût, lui susurra t elle à l’oreille.
La jeune femme se laissa caresser par les mains dures et osseuses. Un frisson de volupté lui parcouru l’échine. Elle retrouvait peu à peu le souvenir des étreintes passionnément échangées autrefois, lorsqu’elles se retrouvaient pour faire l’amour des nuits entières.
- J’avais presque oublié à quel point tu es appétissante, ajouta t elle en la baisant dans le cou, mais je ne suis pas venu que pour cela. Montre-moi vite la petite merveille que tu as trouvée.
- J’ai pensé à vous dés que je l’ai vu maîtresse Anne. Sachant à quel point vous étés friande de ces jeunes mâles, je crois que celui-ci vous conviendra.
Elles entrèrent dans la large chambre ou les deux hommes étaient allongés sur la moquette, se reposant de leur nuit particulièrement éprouvante. Ils n’avaient pas perdu une miette du dialogue des deux femmes et les propos échangés n’avaient pas manqué de les inquiéter. Il est vrai que la passivité avec laquelle leur maître avait subit l’assaut de la nouvelle arrivée leur paraissait particulièrement troublant.
Mais déjà Anne avait ôté son pardessus et son chapeau avec des gestes lents, elle les déposa sur le lit avec un soin qui pouvait sembler excessif. Cette femme aimait l’ordre. Elle s’assit sur une chaise en face des hommes. Sa jupe noire remonta jusqu’à mi-cuisse, dévoilant une paire de jambes plutôt courtes mais au galbe superbe, moulées dans des bas de satin luisant. Elles se terminaient par des escarpins au bout pointu d’une finesse extrême pourvus de talons aiguille exagérément hauts.
Elle se pencha légèrement en avant pour mieux observer les hommes qui n’avaient pas bougé. Le moindre de ses gestes était marqué du sceau de la justesse et de la sévérité. Bien qu’il fût difficile de lui donner un âge précis, elle devait avoir passé la cinquantaine, car son visage trahissait l’irrémédiable usure du temps. Sa bouche était formée par des lèvres étroites dont la commissure retombait légèrement. Au-dessus de la supérieure, qui était fine comme une lame, se formaient de très nombreuses ridules. Tandis que l’inférieure, peu charnue, donnait au visage une dureté particulière. Des yeux noirs et excessivement marqués accentuaient encore cette impression de lourde sensualité. Ce n’était pas une femme à la beauté évidente, mais on concevait aisément qu’il soit difficile de lui résister. Son regard s’attarda pesamment sur le corps sculptural d’Antoine. Aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle avait toujours aimé les muscles. Lorsqu’ elle était petite fille, la vue des statues grecques avaient été à l’origine des ses premiers émois, lui causant de mystérieuses et agréables douleurs dans le bas ventre qu’à cet âge elle ne pouvait encore qualifier de jouissance. Plus tard elle ne se priva pas de provoquer ses premiers orgasmes en parcourant avec volupté des publicités vantant le mérite d’appareils de musculation et dans lesquelles des jeunes gens, garçons ou filles, exhibaient fièrement leurs biceps gonflés. Bien vite, le désir de soumettre et de dominer ces êtres physiquement plus forts qu’elle, devint un besoin obsessionnel. Il lui apparut évident qu’il lui serait impossible d’atteindre leur niveau de perfection plastique, mais elle se découvrit un talent très particulier qui lui permit d’atteindre ses objectifs et même de les dépasser au-delà de ses espérances.
- Toi le blondinet, approche !
Elle avait désigné Antoine d’un léger mouvement du menton. Cela suffit pour que le garçon, impressionné, obtempère.
- Assied-toi là sur mes genoux, face à moi.
Il enjamba les cuisses de la femme et s’assit juste au-dessus des genoux qu’elle avait écartés au dernier moment d’une vingtaine de centimètres. Ses parties intimes pendaient dans le vide et le jeune homme se sentait très vulnérable, il s’en inquiéta sans oser s’y opposer, déjà si impressionné par le regard sévère posé sur lui qu’Il n’osait pas regarder le visage pourtant à quelques centimètres du sien. Anne posa ses mains sur les cuisses fermes et les caressa lentement. La peau était douce et veloutée par des poils blonds presque invisibles. Puis elles descendirent jusqu’aux mollets saillants qu’elles palpèrent en expertes.
-Tu es un joli brin de garçon, dit-elle. Jeune et ferme, juste comme je les aime. Quel âge as-tu ?
- Dix huit ans madame.
-Magnifique vraiment, ajouta t elle, comme en se parlant à elle-même. Si jeune et déjà ce corps d’adonis. Et tellement obéissent, je te félicite Nicole tu l’as préparé sans lui faire trop de mal. Il aurait été dommage que tu sois obligée d’insister d’avantage.
La jeune femme, qui été restée debout derrière la chaise, sourit, ravie du compliment.
Elle scruta le visage juvénile. Le parcourant du bout de ses doigts aux ongles longs et soignés. Elle descendit sur le cou puis flatta les pectoraux saillants en insistant sur les mamelons qui durcissaient à la sollicitation. Pour finir, elle empoigna solidement le garçon sous les fesses et l’approcha d’elle brusquement. C’était un geste vigoureux qui surprenait par la force qu’il dégageait et qui sous-entendait que la femme était bien plus robuste qu’elle le paraissait. La bouche gourmande s’empara d’un téton qu’elle suça en l’aspirant comme si elle voulait en extraire un improbable et savoureux élixir. Cependant ses mains ne restèrent pas inactives. La droite s’immisça entre les jambes, frôlant le sexe en train de gonfler. Un doigt inquisiteur força le passage anal sans un soupçon d’hésitation, déjà en territoire conquis. Il farfouilla sans ménagement dans la cavité avec une telle énergie que le jeune homme ne put retenir une plainte. Ce n’était pas encore un cri de douleur mais plutôt une manifestation de surprise qui pouvait passer pour un encouragement, les prémices d’un plaisir inattendu et brutal. Une manifestation de consentement à l’abandon absolu de son corps au bon vouloir de cette maîtresse femme qui lui fouillait les entrailles. C’était de plus en plus douloureux car après le premier elle introduisit deux puis trois de ses doigts dans la cavité rectale, alors il fit un effort pour se détendre, se cambra pour s’ouvrir encore, s’abandonner à l’attouchement et laisser cette femme farouchement déterminée abuser de lui outrageusement.
- Oui, je sais que ça te fait mal mon petit, mais c’est nécessaire, car vois tu, plus tu souffriras plus tu m’appartiendras, et plus tu seras mien plus je prendrais du plaisir avec toi. Crois-moi, il n’y a pas d’autre façon d’atteindre ce but et c’est dans la souffrance que se forgent les chaînes les plus solides. Après cela ta vie ne sera plus jamais la même parce que ta confiance en moi sera absolue. Tu comprends ce que cela veut dire ?
L’adolescent acquiesça d’un bref hochement de tête bien qu’il ne fût pas très sur d’en saisir toutes les implications. Mais les doigts douloureusement enfoncés au fond de son rectum étaient une raison suffisamment convaincante pour ne pas contredire ce qui avait été dit. C’était aussi une raison suffisante pour obéir sans restriction car jamais il n’avait ressenti une douleur aussi vive, son cerveau en était comme embrumé. Des fulgurances partaient de son intimité profonde et se propageaient à l’intérieur de son corps comme des lames de rasoirs acérés tailladant sans merci dans la chair à vif. Il avait ainsi un aperçu de ce que pouvait endurer un condamné soumis au supplice du pal, enfin il implora la clémence, ne pouvant en supporter davantage. Son bourreau, satisfait, lâcha sa proie. Sure à présent de son emprise absolue. Le jeune homme s’écroula sur le sol et se recroquevilla sur lui-même essayant de calmer le feu qui le dévorait. Puis, à bout de nerfs et de douleur, il éclatât en sanglots et pleura comme un enfant qu’il était encore aux pieds de la femme qui s’était levée et le toisait de toute sa hauteur. Dans un geste instinctif de totale servilité, il baisa les pieds de sa tortionnaire en sanglotant. Le spectacle en devenait terrifiant et pitoyable dans son excessive cruauté. Soumettre hommes ou femmes à leurs absolues volontés semblait la seule raison d’être de ces deux femelles. Race nouvelle d’amazones ne connaissant ni la pitié ni le remord qui torturent et avilissent au gré de leur humeur et pour la satisfaction primaire de leur plaisir sadique. Conjuguant force physique et volonté inébranlable pour se transformer en d’implacables monstres obscènes.

La femme enjamba le corps étendu et s’assit sur le ventre avec une douceur inattendue. Mais le temps du dressage était révolu et il était temps pour elle de prendre son plaisir. Elle se pencha et sécha des lèvres les grosses larmes qui coulaient encore sur les joues, puis elle baisa la bouche enfiévrée qui s’offrait tel un fruit pulpeux. Elle le dégusta lentement et longuement, en gourmet qui connaît la valeur des bonnes choses. La garce savait exciter un homme et le garçon fut très rapidement en état de satisfaire ses caprices malgré la douleur encore vive qui le tiraillait. Dans un geste naturel son membre glissa à l’intérieur du vagin ruisselant ou il s’enfonça sans efforts. Profitant de l’impressionnant engin, Anne astiqua longuement sa vulve distendue sur l’épaisse colonne qui comprimait le clitoris saillant. Elle sentit les prémices du plaisir l’envahir peu à peu, se diffuser dans le ventre et les reins. Alors elle serra ses jambes davantage autour de la taille de son jeune partenaire pour l’encourager et le contrôler comme l’eut fait une cavalière experte sur le dos d’un étalon dompté. Elle se redressa, se cambra pour s’empaler bien à fond, exploitant toute la ressource du sémillant outil dont elle était maintenant l’unique propriétaire. Car il était évident que l’adolescent n’était plus qu’un objet de plaisir entre les cuisses de l’insatiable femelle, qu’elle le façonnait inexorablement à la mesure de sa perversion en perturbant à jamais son épanouissement sexuel et émotionnel, nul ne pouvant sortir intact d’une expérience aussi traumatisante.
Mais de cela la quinquagénaire s’en souciait autant que de sa première petite culotte. Seul son plaisir et sa volonté d’humilier lui importaient. Du plaisir le garçon lui en donna, certes malgré lui, mais Anne ressentit un orgasme d’une rare intensité. La jeunesse et la beauté de son partenaire, et la manière avec laquelle elle l’avait totalement soumis à sa volonté, contribuèrent à atteindre un tel paroxysme. Jamais elle ne s’était sentie aussi puissante, aussi sure de sa force et de son savoir-faire. Dans ces instants là, elle aurait souhaité avoir un sexe d’homme entre ses cuisses afin de sceller définitivement sa possession de la façon la plus virile qui puisse être. Ce jeune homme avait de bien belles dispositions et il aurait certainement mérité d’être l’amant d’un homme fort qui l’aurait satisfait comme il le mérite. Mais elle saura le combler, elle aussi. Il existait aujourd’hui des imitations de grande qualité et elle savait s’en servir.

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