La Démoniaque Sarah 1

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Démoniaque Sarah 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2013 dans la catégorie A dormir debout
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(8.0 / 10)

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La Démoniaque Sarah 1
C’est après une soirée un peu chaude que J’ai rencontré Sarah il y a presque six mois. Ce qui m’a beaucoup plu chez elle c’est son côté très mystique qui allait très bien avec sa rousseur flamboyante. Nous avons commencé à sortir ensemble lors d’une soirée chez un copain puis petit à petit nous nous sommes rapprochés de plus en plus. J’ai couché avec elle dix jours après notre rencontre, ça a été une des nuits les plus chaudes que j’ai connues Sarah était vraiment très imaginative en amour et c’est même la première fois de ma vie que j’arrivais à jouir quatre fois à la suite.
Quelques jours après, elle m’a proposé de participer à une cérémonie magique qu’elle organisait. Comme je n’en avais pas trop envie, pour me convaincre, elle m’avait promis que je pourrais baiser Catherine. C’était une des filles les plus en vue de tout le lycée. Je ne connaissais pas un garçon qui ne rêvait pas de se la faire. Elle était intouchable, je la pensais même peut-être lesbienne pour tout dire. Alors quand Sarah m’a promis que je la baiserais avec sa bénédiction si je venais à sa cérémonie, j’ai accepté.
L’impatience commence à me mordiller les entrailles. Elles m’avaient promis que je n’aurais pas longtemps à attendre mais cela fait deux heures que je suis là, à compter les grosses pierres bleues qui forment les murs de cette pièce vide. Au début, la fraîcheur de l’endroit m’avait ragaillardi mais le soir qui tombe crache par la fenêtre sans vitre l’humidité des bois qui, petit à petit, me glace les os.
Je commence à rêver de ce soir. Une bonne bière, accompagnée de morceaux de fromage, dégustés étalé dans le fauteuil du chalet, en écoutant le bois se tordre sous les flammes du feu de cheminée et en matant la belle Catherine.
Qu’elles finissent leur rituel à la con et qu’on rentre !
J’entends enfin la porte qui s’ouvre. Ouf ! Je ne sais pas ce qu’elles vont me faire, mais au moins, je vais bouger d’ici ! Sarah entre d’abord dans la pièce, suivie de Catherine et de sa frangine Julie. Le spectacle est joli, ma fois. On s’y croirait ! Toutes les trois sont vêtues d’une toge blanche qui leur arrive au ras des fesses, elles ont du lierre dans les cheveux et de larges bracelets aux poignets. Les trois grâces tiennent chacune une bougie allumée en main. La faible lueur, éclairant leur corps dans cette pièce que la venue du soir rend de plus en plus obscure, m’offre un assez joli spectacle.
- Enfin, vous êtes là ! Il était temps !
- Tais-toi, Pierre. À partir de maintenant, tu ne parles que lorsque nous te le demandons. C’est un jeu pour toi, mais pas pour nous !
- Comme tu veux, ma belle.
Ouais, c’est ça. Ma copine, Sarah, est une allumée de première. Je suis certain qu’elle a manipulé les deux autres pour participer à son rituel de magie à la con. Que leur a-t-elle promis, à elles ? Quand elle m’a juré que j’aurais le droit de baiser Catherine, je n’ai pas hésité une seconde. La plus top de ses copines est une bombe genre suédoise et actrice de film de cul. Je mate ses jambes bronzées presque entièrement dénudées. Mon regard s’arrête sur ses pieds nus. J’aimerais déjà te les réchauffer, ma belle, plutôt que de faire le singe pour ma copine.
- Suis-nous !
Sarah mène la danse, évidemment. Elle se tourne et je suis le cortège. Sortir me fait un bien fou, il fait bien plus chaud dehors que dans cette vieille grange. Nous empruntons un petit chemin qui serpente dans la forêt. Il fait de plus en plus noir. Julie est juste devant moi, mais je ne parviens presque plus à distinguer son derrière dont la plastique n’est pas en reste sur celle de sa sœur. Je ne vois plus que des tissus blancs qui ondulent et trois petites lumières qui vacillent.
Après dix minutes de marche environ, nous arrivons dans une petite clairière éclairée par des torches posées sur des petits poteaux installés en cercle, à distance égale. Au milieu du cercle, une pierre plate trône au milieu d’un pentagramme tracée au moyen d’un épais fil blanc. Décidément, elle a tout prévu, notre sorcière. Du moment qu’elle ne me sacrifie pas, tout va bien.
- Mes sœurs, prenez place ! La cérémonie va commencer. Pierre, attend en dehors du cercle.
Les trois vestales se placent autour de la pierre, en se tenant les mains. Sarah lève la tête vers le ciel.
- Grande Déesse ! Nous nous présentons à toi pour te célébrer. L’heure du solstice d’été touche à sa fin, tu nous as comblés de bienfaits. Bénis-nous, donne-nous la force pour accueillir les ténèbres !
- Bénis-nous, donne-nous la force d’accueillir les ténèbres ! répètent les deux autres, à l’unisson.
J’ai envie de pouffer de rire. Mais ma fanatique de copine risquerait de bien mal le prendre. Cela fait des mois qu’elle prépare ce truc. Elles continuent pendant de longues minutes leurs litanies, je ne fais plus attention aux paroles. Elle allume un petit feu sur la pierre. Il prend rapidement. Dedans, elle jette des herbes aromatiques qui répandent une odeur âcre. De la sauge ? Je la vois jeter une sorte de poudre dans les quatre directions, tout en continuant ses incantations.

Un gong me tire de ma torpeur. Sarah vient de taper sur une sorte de disque en étain.
- Mes sœurs, l’heure est venue pour l’offrande.
Elle disparaît du cercle et je crains déjà que dans sa folie, elle ne tue une poule ou un autre petit animal. C’est que je suis sensible, moi ! Je la vois revenir en tenant dans une main une corbeille et dans l’autre une bouteille. Ouf !
Je commence à me lasser. Voici plus d’une heure que je regarde leurs conneries. C’était marrant au début, mais cela devient lourd. La fatigue me gagne. Je regarde ma montre : onze heures ! Comment perdre son temps efficacement…
Ma prêtresse de copine dispose quelques fruits au pied de la pierre. Elles se mettent à chanter, maintenant !
- L’heure arrive. Le solstice d’été sera terminé. Le Seigneur va réapparaître et faire petit-à-petit son travail, jusqu’au solstice d’hiver. Il grignotera nos journées. Accueillons-le comme il se doit !
Sarah s’approche de Catherine. À ma stupéfaction, elle retire la broche qui maintenait sa toge et celle-ci glisse à terre. Nue. Mon sang ne fait qu’un tour, mon adrénaline monte. Ma fatigue disparaît, je renais. Et en même temps, je ne sais plus où me mettre… Catherine a les formes voluptueuses que j’avais devinées. De beaux seins lourds, de larges hanches, un beau cul rond, de bonnes cuisses. La lumière des torches rend le spectacle encore plus sensuel. En dehors du cercle, dans le noir complet, je peux la mater à loisir. Sarah va ensuite vers Julie et réédite le meilleur moment de la soirée. Julie est très belle aussi, mais beaucoup plus fluette. Le corps bronzé de Catherine a, à la lueur des flammes, des reflets dorés. Celui de sa sœur est tout blanc. Des petits seins bien fermes, un derrière bien dessiné, des jambes frêles. Elle est un peu moins sexy, mais néanmoins jolie. C’est au tour de la meneuse d’ôter son déguisement. C’est marrant de voir comme ma copine a un peu du physique de ses deux amies : plus ronde que Julie, ses formes sont cependant moins provocantes que celles de Catherine. Sa rousseur parcourt tout son corps et cache sa blancheur, ce qui fait vraiment d’elle un « modèle » intermédiaire des deux autres. Elles se prennent par la main, reprennent leurs incantations. Mais c’est qu’elles connaissent bien leur texte, les poulettes ! Elles s’asseyent, Sarah prend une bouteille.
- Par ce breuvage, nous t’accueillons dans nos corps, Seigneur !
Et elles se passent la bouteille. Je me rends compte que ma gorge est complètement sèche et leur demanderais bien un coup si je n’avais pas peur des représailles de la Grande Prêtresse.
Pendant environ dix minutes, elles boivent, chantent, tournent en rond. Mes yeux, jusque là toujours scotchés sur la scène deviennent à nouveau lourds… le sommeil est persistant, malgré le spectacle.
- Il est là, je le sens. Grand Cornu, fais de nous ce que tu veux !
Sarah avait dit ça d’une voix forte, presque rauque, les yeux grands ouverts. Elle commence à me faire flipper.
Comme en transe, elle s’approche de moi. Enfin, le final !
- Déshabille-toi !
- Hors de question, Sarah !
Les deux autres me regardent, effarées.
- Tu ne la contredis pas ! À poil ! dit Catherine.
- Non ! Laissez tomber et faites comme si je n’étais pas là !
Sarah devient rouge. Elle s’approche de moi et tire sur le col de mon t-shirt si fort qu’elle me fait mal au cou.
- Tu n’as pas le choix. Tu as promis. Ne fais pas attendre notre Roi, Pierre. Cela va mal se terminer !
- Ouais et qu’est-ce que vous allez me faire ?
- Catherine, Julie, occupez-vous de lui.
Sans attendre, Catherine se jette sur mon short et le déboutonne avec rapidité pendant que Julie me tient les bras. Elle abaisse le tout et mon membre pend, maintenant à la vue de toutes. Bon, trop tard maintenant. Résigné, j’enlève mon t-shirt. Je tire la gueule.
- Ouaaah ! Il est bien foutu, ton ami ! dit Catherine, l’air emballée.
Cela m’émoustille un peu, d’être à poil comme ça, devant les autres. Je me sens un peu bête et gêné mais curieusement, excité. Sarah me tend la bouteille. Je porte le goulot à mes lèvres et vide un grand trait. Pouah ! Que c’est fort !, ça a un gout étrange, de l’alcool bien sûr mais aussi des herbes.
- Bois encore !
Je prends un plus petit coup. L’estomac vide depuis midi, l’alcool me monte à la tête rapidement. Elles se repassent la bouteille.
- Couche-toi à côté de cette pierre !
- Après, c’est fini ?
- Couche-toi et tais-toi !
Bon, je vais les laisser terminer… je me couche.
- Il est à toi, Catherine. Offre le plus beau spectacle que tu peux au Maître !
Catherine se rapproche. Elle se tient debout, à cheval au-dessus de moi. Je vois sa chatte rasée, ses seins énormes qui se détachent sur le fond étoilé, reflétant la flamme des torches. Elle commence à onduler, s’abaisse doucement. Je sens maintenant son minou humide et lisse contre mon ventre. C’est chaud. Elle approche son visage du mien, sort la langue et me lèche du menton au front. Elle commence à bouger son bassin. Je deviens dingue. L’attente valait le coup ! Elle lèche mes épaules, à grandes lapées. Comme une affamée, elle me renifle, s’excite sur moi. J’ai honte que ma copine soit là et la cherche du regard.
Ce que je vois me fait oublier mon petit coin de paradis. Debout, l’une contre l’autre, Sarah et Julie flirtent à pleine langue. La jambe de ma copine est avancée dans l’entrejambe de son… amante et cette dernière s’y frotte doucement.
Je les avais toujours vues sortir avec des mecs. Jamais je n’aurais imaginé qu’elles étaient bi. Peut-être encore une de ces modes. En colère et considérant le spectacle que m’offre ma copine comme une permission pour me laisser aller avec Catherine, j’essaie d’oublier les deux dingues qui se touchent et regarde Catherine dont la langue est en train d’explorer l’intérieur de ma cuisse. Cela me procure des frissons. Elle continue son chemin, me lèche les pieds. Jamais on ne m’avait fait ça, c’est agréable. Je bande de plus en plus fort. La blonde est comme un petit animal, elle souffle fort, joue tellement de sa langue que son visage en est un peu déformé. Elle arrive à mon sexe. Sans douceur, elle le prend en bouche et commence à le sucer avec un rythme d’enfer. Sa main me masturbe pendant que sa langue fait des miracles sur mon gland. Je me sens prêt à exploser. Elle se tourne, met sa chatte au-dessus de ma bouche. Elle est trempée. Avide d’elle, j’ouvre la bouche bien grande en essayant de prendre la plus grande part possible de cette partie de son anatomie. Je la lâche, observe ce magnifique sexe glabre, écarte ses lèvres, viens titiller son clitoris de ma langue.
- Oh… laisse-la-moi un peu, …
Je sens le visage de Sarah à côté du mien, en extase devant le cul de Catherine. Ça me dégoûte, j’ai envie de la repousser.
- S’il-te-plaît, laisse-moi… tu dois tout partager avec la grande prêtresse…
Elle parle comme une folle. Elle semble avoir l’esprit ailleurs, d’être complètement à l’ouest. Je me sens un peu ivre aussi. Je me sens incapable de lutter et la laisse faire.
- Fais comme tu veux !
Comme un pèlerin qui découvre le Graal, elle s’approche du petit trou de Catherine qu’elle lèche avec amour. Vraiment gênant, pour moi. Au-dessus de ma bouche, la langue de ma copine se tortille dans l’anus de son amie, laquelle prend visiblement son pied. La troisième larronne est allongée à côté de nous et se doigte avec une frénésie sauvage. Nos gémissements s’élèvent de la clairière. La proximité avec Sarah m’empêche de jouir. J’ai envie de prendre Catherine. Je tourne la tête.
- Catherine, laisse-moi te prendre…
- Oh oui, oui, viens maître encorne moi
Nous nous séparons, ce qui semble frustrer un peu Sarah. Je me place derrière Catherine. Ma copine a alors la mauvaise idée de s’allonger devant celle que je m’apprête à pénétrer. Sans hésiter, la belle blonde plonge sa tête dans la toison rousse de sa prêtresse. Je regarde vers le haut pour éviter de voir cette scène et m’introduis dans le trou de Catherine. Il est trempé, chaud, accueillant, y glisser me fait un bien fou. Je prends bien ses hanches, m’enfonce doucement, une résistance, je pousse, elle crie, je continue à m’enfoncer inexorablement en elle, essaie d’investir sa largeur. Je tire, pousse, tire, pousse, je suis aux nues. Pour oublier l’activité buccale de ma partenaire, qui touche de trop près l’intimité de mon aînée, je plonge mon regard droit devant moi, dans l’obscurité de la forêt. Je me contracte et explose au plus profond de Catherine. A ce moment-là, une grande frayeur s’empare de moi. Je ne sais pas si c’est la faim, leur breuvage ou la fatigue, mais il me semble voir, entre deux torches, une ombre géante dont je distingue mal les contours, une ombre qui donne l’impression de nous observer.
Effrayé, je me retire brusquement de Catherine, qui bronche à peine et continue ses ébats avec Sarah. Je bascule sur mon derrière, rampe vite vers Julie, qui est toujours en train de se caresser comme une damnée. Je la secoue, elle me regarde.
- Enfin, j’ai cru que tu ne viendrais jamais t’occuper de moi, dit-elle dans un seul souffle.
Ses yeux sont un peu vagues.
- Non, Julie, regarde, là…
Elle ne m’écoute pas. Elle se lève, m’embrasse, me couvre de baisers. Impossible à raisonner non plus, celle-là. Sa petite taille m’excite. Quelle différence avec sa sœur ! Rassuré par ces bras qui me serrent, j’oublie la vision, la laisse me caresser, me faire à nouveau bander, s’asseoir sur moi, lui rends ses baisers. Je ne sens presque pas son poids. Assis sur l’herbe, elle m’étreint et commence un sensuel va-et-vient. Tout son corps ondule. Elle halète dans mon oreille. Elle est tendre et si délicieuse…
Les deux autres viennent s’installer à côté de nous et nous caressent pendant que nous nous laissons aller aux joies du sexe. À ce stade, je me contrefiche de la présence de ma copine. Je veux en finir. J’accélère le rythme, sens le fond du vagin de Julie. Je pousse, pousse, elle crie. Se contracte. Je sens des secousses par saccades autour de mon sexe. À son souffle, celui des deux autres se joint, comme si elles ressentaient le même plaisir au même moment. Je me lâche, sens ma semence se répandre en elle, puis couler sur mes cuisses. L’orgasme m’assomme, je plonge dans une sorte de coma.
Quand je me réveille, je me retrouve allongé au milieu de la pierre, tout autour de moi, des petits feux et les filles qui font une sorte de ronde, je replonge dans le sommeil.
Je ne sais pas comment je suis rentré mais je me suis réveillé dans mon lit, seul, la bouche pâteuse et mal a la tête. Un brin de toilette, je descends déjeuner, elles sont toutes les trois dans la cuisine. Je verse du café dans la tasse de Sarah. Je n’ose pas la regarder. Les deux autres non plus, d’ailleurs. Je ne sais pas trop comment me comporter.
- Tu es bien calme, ce matin, Pierre… dit Julie.
- Ben oui. Après cette nuit…
- Alors, ce n’est pas cher payé, n’est-ce pas ? Une petite goutte de sang en offrande et un peu de patience en échange de ma fleur, rétorque Catherine.
Je me demande si j’ai bien compris. Elles ont zappé un truc, ou quoi ? Et quel sang ? Instinctivement, je regarde mes mains, mes bras. Pas la moindre trace de coupure.
- Mais je n’ai pas donné de goutte de sang ! T’es folle ?
- Mais si ! Avec une aiguille nous avons pris une goutte dans ton doigt. Tétanisé que tu étais. On l’a mélangé au sang de Julie et au mien puis on l’a versé sur la sauge que j’ai brûlée, pour donner de la force au rituel. T’as oublié ou quoi ?
- Et Julie et toi, vous avez eut aussi le doigt percé ?
- Non, c’est notre sang qui a coulé quand tu as explosé notre pucelage.
Je regarde les deux sœurs dans les yeux. Elles ont le même regard que d’habitude, jovial, plein de vie avec en plus une petite flamme lubrique.
- Vous étiez vierge ?
- Oui, on s’est offerte à notre dieu hier soir à travers toi et je pense que ça va marcher.
- Qu’est-ce qui va marcher ?
- On va toutes les deux porter son enfant.
- Non, ce n’est pas possible, vous ne prenez rien ?
- Non, maintenant, tout est possible pour nous.
Je ne savais plus quoi dire. Elles semblent déjà avoir oublié nos ébats de la veille. Je n’insiste pas, retourne dans la cuisine pour chercher du lait. Ma copine me suit. Elle s’approche de moi et glisse dans mon oreille :
- Hier soir notre maître est entré en toi, il y est encore, viens me rejoindre dans la chambre.
Je l’ai suivie. Une fois dans la chambre, elle a allumé des bougies puis m’a demandé de me coucher sur le lit.
Elle se déshabille à son tour et en chantant une sorte de mélopée elle vient se blottir contre moi avec un petit rire coquin. Je l’embrasse à pleine bouche et la caresse pendant qu’elle se saisit de mon sexe et commence à le branler. Elle me souffle à l’oreille :
- Je suis toute mouillée tu sais…
De mes mains j’écarte ses jambes et mes doigts ouvrent ses lèvres et plongent dans son antre tout chaud et humide. L’excitation monte en flèche et je lui dis :
- Attend, Je me déshabille, je mets un préservatif et j’arrive.
- Non, je n’en veux pas.
Elle me déshabille, Je m’allonge alors complètement, mon sexe dressé est tendu à me faire mal. Elle se met à califourchon sur moi en me tournant le dos, c’est elle qui dirige ma queue vers sa chatte, elle la fait pénétrer en la tenant fermement serrée dans sa main. Elle reste quelques secondes comme ça, mon sexe entièrement fiché dans le sien, puis commence à faire de lents va-et-vient en gémissant doucement… Je contemple son cul se soulever puis retomber sur moi, je saisis ses deux fesses par en dessous et l’accompagne dans ses mouvements. Mon Dieu quel spectacle ! Tout cela commence à me rendre fou, elle le sent bien et en rajoute encore en me caressant les bourses et en disant :
- Oh oui ! C’est booon ! Maître, Je veux être ta petite salope !
- Oui, vas-y petite salope ! Baise bien ma queue !
À chaque mouvement, elle se laisse retomber sur moi, puis, je la soulève à nouveau jusqu’à sortir presque entièrement d’elle, avant qu’elle vienne à nouveau se planter sur mon épieu. Nos cris de plaisir se mêlent et vont crescendo dans la pénombre de ma chambre. Non ce n’est pas un rêve, comment se pincer d’ailleurs, j’ai les deux mains très occupées ! Un orgasme foudroyant s’empare de nous. Je garde le contrôle me retiens et n’éjacule pas. Elle s’écroule sur le lit, reprend son souffle, regarde mon chibre bandé et me propose de la prendre en levrette. Nous nous retournons tous les deux. C’est moi cette fois-ci qui prends l’initiative et qui la pilonne sans ménagement, le claquement de mes hanches contre ses fesses achève de m’exciter :
- Tiens ! Lààà ! Prends ça ! Han ! Han !
- Oui, maître, je suis ta chienne, ta fidèle servante.
Elle sait bien s’y prendre dans toutes les positions, elle fait onduler son corps dans un mouvement très sensuel qui provoque chez moi des frissons et une sensation incroyable de plaisir, et passe une main par en-dessous pour venir me caresser les couilles. Quelle coquine décidément !
À chaque coup de boutoir elle laisse échapper un cri aigu, j’augmente encore la cadence et pousse plus fort en elle, elle pose une main en opposition contre le mur et le lit se déplace bientôt dans la chambre tant nos ébats sont intenses… Je n’en peux plus, je la besogne si fortement que je vais exploser, je fais sortir mon sexe de sa chatte et, un jet de sperme jaillit sur son dos, jusque dans sa rousse chevelure. Elle râle, s’empale à nouveau sur moi, Je m’enfonce rapidement en elle à nouveau et je continue de jouir dans son sexe dans un long grognement animal, elle hurle son plaisir dans un « Ouiiiiii » très évocateur… Nous tombons tous les deux, vaincus par la fatigue. Je la caresse tendrement et dépose des baisers partout sur son corps,
- Moi aussi, j’aurais la protection du maître, moi aussi, je vais porter son enfant.
- Tu es folle ou quoi ?
- Non, j’obéis au maître depuis presque cinq ans, c’est lui qui a pris ma fleur. Depuis, à chaque solstice je m’arrange pour qu’il ait une ou deux vierges à déflorer et à inséminer. Jusqu’à maintenant ça n’a pas marché mais hier soir, il y avait une telle intensité de sa présence que je pense que ce sera la bonne, il suffit d’attendre.


A suivre

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