ma coiffeuse

- Par l'auteur HDS Kyzer -
Récit érotique écrit par Kyzer [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : ma coiffeuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
ma coiffeuse
C'est un samedi après-midi, il est 16h40 quand j'entre dans le salon de coiffure. Je sais que ma coiffeuse est là et que le salon ne doit pas tarder à fermer. Je dois abuser de mon meilleur sourire et lui dire que je suis invité à une soirée le jour même pour qu'elle accepte de me coiffer. Depuis des mois, j'essaie de la contacter par Minitel. Elle répond souvent très vite et me propose de la joindre par téléphone. J'ai toujours peur de la déranger, mais cette fascination me poursuit et me bloque aussi.
C'est ainsi que je ne vis mes aventures qu'à travers des rêves. Une timidité maladive m'empêche de la contacter directement et j'ai du rassembler toutes mes forces pour venir. Elle semble pressée mais s'occupe de moi avec un soin très professionnel. Le contact de ses doigts dans mon cuir chevelu est très doux et me procure déjà un plaisir pour le moins inattendu. Pendant le moment de répit qu'elle me laisse pour laisser agir le shampooing, je ne me lasse pas de la regarder dans le reflet de la glace.

Son salon n'est pas très grand, elle vaque à ses occupations sans vraiment me porter attention. Elle revient vers moi pour moi rincer les cheveux et je ferme les yeux me laissant aller à la douceur conjuguée de l'eau délicatement tiède et de ses mains. C'est presque à regret que je sens l'eau s'arrêter, mais le contact de la serviette dont elle se sert pour me sécher sommairement à lui aussi des mérites que je ne soupçonne pas. Je l'accompagne docilement, m'installe et la laisse officier après lui avoir expliqué comment je désire me faire couper les cheveux. Elle me parle pour faire passer le temps, nous échangeons des banalités sur la météo, la vie professionnelle et la raison de ma présence dans son salon car elle m'avoue ne pas se souvenir de moi. Je lui avoue venir parfois passer un week-end à la campagne, et c'est lors d'une de ces occasions que j'ai fait sa connaissance. Je comprends aisément qu'elle ne se souvienne pas de moi, ni de mes passages devant son salon simplement dans le but de l'apercevoir. Elle dégage une grande sympathie. Juchée sur son tabouret à roulettes, elle tourne autour de moi dans une valse de coups de ciseaux qui nous rapproche de la fin de son travail. Je bouge les jambes sans cesse car je redoute que ce moment arrive. Elle est habillée en blanc avec un tee-shirt ample et une jupe en jean de la même couleur. Des escarpins finissent sa tenue, et lors de ses mouvements j'essaie de la regarder sans trop le montrer. Je pense qu'elle n'est pas dupe et elle sait tout aussi bien que moi que les hommes aiment de plus en plus se faire coiffer par des femmes. Lorsqu'elle se trouve sur mon côté, le fait de relever ses bras pour me couper les cheveux me laisse entrevoir la bride de son soutien-gorge. Ces petites visions rapides ne tardent pas à me faire de l'effet et j'écarte légèrement les jambes pour être plus à l'aise. Lors d'un déplacement pour couper les cheveux qui tombent sur mon front, sa jambe droite après avoir frôlé la mienne reste quelques secondes en appui sur cette dernière. Cette sensation, quoique éphémère, n'en est pas moins savoureuse et je bouge légèrement occasionnant une très légère entaille au-dessus de ma tempe. Elle se confond en excuses, je lui avoue que c'est moi le coupable et que je ne n'avais qu'à me tenir tranquille. Nous échangeons un sourire complice à travers la glace et elle peut continuer sa coupe. Cette dernière tire à sa fin et je me retrouve debout, prêt à payer, encore très excité par les moments vécus.

A partir de ce moment là, le compte à rebours commence. Il faut que je trouve un moyen de rester plus longtemps, comment faire sans attirer son attention. C'est elle qui va me permettre de vivre ce moment le plus fort de mon existence :
- Vous ne voulez vraiment pas que je vous nettoie cette petite plaie ?
- Non, je pense que cela va aller, je ne veux pas vous déranger, merci.
- Si, si, suivez-moi. De toute façon je vais fermer le salon. Il n'y en a pas pour longtemps et vous ne me dérangez pas.

Je la laisse passer devant. En la suivant, j'en profite pour la regarder un peu plus, je vis pleinement l'instant présent. Elle possède une toute petite pièce derrière son salon. Un petit coin cuisine, ce qui me semble être des toilettes et un canapé.
- C'est ici que je mange lorsque je fais la journée continue, me précise-t-elle.
Elle ouvre un placard et en sort un paquet de coton et un flacon d'alcool à 90°.
- Attention, cela va piquer un peu !
Elle me fait face et tamponne doucement le coton imbibé d'alcool sur ma tempe. Je ferme les yeux et la grimace que je fais est due à la compression de mon sexe depuis trop longtemps comprimé.
- Je vous fais mal ? Me demande-t-elle.
- Non, pas vraiment.
Ma réponse est plus un murmure qu'une phrase et je commence à avoir les jambes qui tremblent.
Toute cette timidité contenue depuis des mois et le fait d'être là avec elle, seul. La tête me tourne.
L'odeur de l'alcool mêlé à mon excitation me donne un teint livide qui soudain lui fait peur.
- Que se passe-t-il, vous êtes si blanc ?
- Ce n'est rien, la fatigue sans doute. J'ai beaucoup voyagé cette semaine. Puis-je me mettre un peu d'eau sur le visage ?
- Mais oui, allez-y. Vous êtes bien sûr que tout va aller ?
- Merci, ne vous faites pas de soucis inutilement.
L'eau froide sur mon visage me fait le plus grand bien mais mon trouble est ailleurs.
- Vous trouverez une serviette dans la salle d'eau.
- Merci.

Pendant que je me dirige dans la salle d'eau, elle repart dans son salon. Je m'enferme dans les toilettes. Il y a un petit lavabo, une serviette et une savonnette. Dans le fond... pourquoi se gêner... Au point où j'en suis... Je ne peux pas me refuser cela... Il n'y a personne, j'en ai envie... elle m'excite tant... advienne ce que pourra... Je m'assois sur la lunette, je quitte mon pantalon, je ne peux plus me lever... victime d'un soubresaut de pudeur, malgré tout...
Mon sexe est trop raide. Je baisse mon slip et j'entreprends de me mouiller fortement la main avec de la salive. C'est vraiment incroyable. Je me branle tranquillement les yeux mi-clos. Cette femme qui peuple mes rêves est ici, à quelques mètres et moi. L'excitation est à son comble. Je gémis de plus en plus fort... je serre mes lèvres, je grogne... halète, râle... et bloque ma respiration... Et je sens le gland se gonfler encore, un spasme sous mes doigts, quand soudain la magie s'éteint :
- Vous ne vous sentez pas bien ?
- Si, si, tout va bien, j'arrive.

Le gland se ramollit, diminue. Les spasmes sous mes doigts s'éloignent. Je n'ai pas lâché mon sexe pendant ma réponse... Je me rajuste prestement et sort des toilettes tout aussi vite. Ma tête est encore pleine de ce moment exquis mais cette fois je crois que l'aventure tire à sa fin. Ma coiffeuse est assise sur son canapé, les jambes croisées. Elle me regarde ironiquement :
- Vous aviez l'air plutôt mal en point. Quand je suis revenue de fermer la boutique et que je ne vous ai pas vu, je me suis déjà étonnée, mais après, c'est en vous entendant que j'ai un peu pris peur !
Je balbutie une phrase incompréhensible et inintelligible. Je ne sais pas quoi faire pour me donner une contenance que je ne suis pas prêt de retrouver. Dans un espace aussi clos, elle n'a pas du rater grand-chose de mes activités !
- Vous sortirez par derrière. Mais avant, vous voulez boire un verre pour vous remettre de vos émotions ?
Elle m'a lancé çà avec un grand éclat de rire et je me demande dans quel état je suis lorsque je lui réponds :
- Quand même, je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité.
Elle n'a que cure de ma réponse et fouille déjà dans son frigo d'où elle sort d'autorité deux boites de bière.
- Asseyez-vous donc, et ne soyez pas si timide.
Elle n'a pas tort, moins de cinq minutes avant, je m'astiquais dans ses toilettes et maintenant je joue les coincés.

La voilà de retour, quelle merveille ces bières bien fraîches, nous discutons de cette campagne environnante tout à fait exceptionnelle, je lui dis en plaisantant que vu la discrétion qui entoure son salon cet endroit est idéal pour travailler, elle me regarde droit dans les yeux et me dit :
- Je ne veux pas vous choquer mais je me promène toujours sans vêtements quand je suis seule.
Et moi de lui répondre,
- Ne vous gênez pas pour moi.
J'ai à peine fini de dire cela, qu'elle se lève face à moi et ôte son tee-shirt. Elle a un buste très droit, une taille fine et la voilà qui passe les mains dans son dos pour enlever le soutien-gorge que je devinais un moment plus tôt. Ses seins sont beaux et fermes avec de petites auréoles claires et des tétons très durs. Elle défait le bouton de sa jupe et j'entends le crissement de la fermeture éclair. Elle la fait glisser à ses pieds pour me montrer le string que j'imagine si souvent dans mes rêves. Elle l'enlève, d'abord les hanches, puis par-devant sa chatte taillée en petit triangle impeccable, le string finit par tomber à ses pieds. Ce petit sexe aux replis si net me fait envie. J'ai envie d'y poser mes lèvres, elle agrippe mes cheveux.
- Alors vous vouliez en profiter tout seul ?

Elle commence à déboutonner ma chemisette et la jette sur le canapé ensuite elle descend ses mains sur mon pantalon le dégrafe et le laisse glisser à terre, je porte rarement de sous-vêtements mais aujourd'hui j'ai un maillot de bain. Son visage est à cinq centimètres de ce maillot de bain. Là tout près de son visage... dans le maillot... une bosse... inclinée en travers... Amusée, elle pose le doigt dessus, le faisant courir tout du long, çà vibre... Une ficelle sur le nombril... elle tire dessus... la ceinture du maillot se relâche totalement... Sa main est posée sur la bosse du maillot... Un gland qui pointe le bout de son nez juste au bord du maillot... Une main sur mes reins qui descend vers mes fesses... cela devient très intéressant, d'autant plus que c'est très nouveau pour moi... tout au moins avec ma coiffeuse... Elle glisse sa main dans mon maillot et permet à mon sexe de se libérer, bien raide, collé au ventre, gonflé d'une manière arrogante, avec un gland turgescent, un méat presque ouvert, tendu... tendu vers ses lèvres, qu'elle mouille abondamment. Je pose une main sur sa tête et la caresse doucement. S'approchant de ce sexe bien gonflé, sa tête toujours posée sur mon ventre, elle pose ses lèvres abondamment mouillées de salive sur le bout du gland. Juste le bout... Elle touche le méat avec la langue... Puis elle pousse tout doucement, me régalant du moment présent.

Ses lèvres atteignent la collerette, hyper tendue... Elle me sent vibrer... Elle ne va pas plus loin, par plaisir... Sa langue peut tourner autour... Il est si tendu que c'est déjà volumineux dans sa bouche...
Juste le gland. Sa main enserre le reste de mon sexe et le branle doucement... Dans le bas de mon dos, elle a investi mon anus, et je laisse le plaisir monter... Elle me suce, comme un sucre d'orge, essayant de m'arracher un gémissement de plaisir... Elle me branle dans sa bouche de plus en plus fort. Elle tente une pénétration buccale maximum, pour voir... Doucement, le sexe s'enfonce, sa bouche se remplit, sa gorge le taquine... Elle me sent gémir de plus en plus fort. Elle serre ses lèvres de plus en plus fort, je grogne... halète, râle... et bloque sa respiration... Elle le ressort un peu, ne reprenant que le gland entre mes lèvres. Et je sens le gland se gonfler encore.
- Non, non, je lui implore.
Elle lève la tête et me dit simplement :
- Qu'est ce que cela peut faire ?
Avant de me reprendre en bouche, un spasme sous ses doigts, entre ses lèvres, et encore un autre spasme... Et çà coule dans sa bouche en telle quantité qu'elle doit avaler... plusieurs fois... Les spasmes se succèdent, envoyant à chaque fois une giclée sur le palais... Son doigt dans mon anus subit les contractions de ce dernier. C'est un plaisir inconnu. Puis toujours entre ses lèvres, le gland se ramollit, diminue. Les spasmes sous mes doigts s'éloignent. Elle ne m'a pas lâché pendant toute mon éjaculation, et elle m'a fait gémir mon plaisir... Je décide de lui rendre sa caresse. Je la relève et l'embrasse tendrement. Je la fais pivoter pour l'installer sur le canapé, les jambes repliées, face à moi.

Avec mes deux mains j'écarte les cuisses, sa chatte m'apparaît plus belle que jamais dans mes rêves. Je la prends par les cuisses et la tire un peu vers moi de façon à faire avancer son bassin. Quand elle est dans la position que je désire, je plonge ma tête et, langue en premier, je lui titille le clitoris. Ma langue pénètre sa chatte, d'une de ses mains, elle écarte ses grandes lèvres pour que cela soit plus facile pour moi. Ainsi libéré de ces deux belles barrières que sont les grandes lèvres, je peux me lâcher et lui lécher la chatte avidement, rapidement de bas en haut en accélérant le mouvement.
Je remonte un peu et lui titille l'anus, au contact de ma langue, elle se contracte. Je sens son anus se contracter et m'empêcher d'entrer, mais je ne m'arrête pas. Je continue doucement mais fermement à la lécher, et ce qui doit arriver, arrive. Au bout d'un certain moment, elle se décontracte. Mes caresses buccales commencent à lui faire de l'effet. A tel point qu'elle pousse ses fesses plus fort sur mon visage pour que ma langue aille plus loin dans ses reins. Elle caresse sa poitrine puis sa main descend combler le vide au-dessus de ma langue. Elle relève ma tête, des ses deux mains elle écarte le plus possible sa chatte et elle attend. Je comprends directement ce qu'elle veut, j'attrape mon sexe d'une main et présente le bout de son gland à l'entrée de sa chatte. Elle sent son entrée être envahie complètement, je m'agrippe à ses hanches et, avec une douceur incroyable je la pénètre. Cette pénétration est très longue, et pendant tout ce temps elle s'arrête de respirer. Quand je suis bien au fond de sa chatte, elle ouvre la bouche et l'air semble brûler sa gorge. Comme un plongeur qui crève la surface de l'eau à la recherche d'une gorgée d'air.
- Oh mon dieu, oh mon dieu que c'est bon !

Je ne bouge pas, j'ai l'impression que sa chatte est en feu, tellement mon sexe me brûle. Alors, doucement, comme une locomotive qui démarre, je commence à aller et venir. Ensuite, de seconde en seconde, j'augmente la vitesse, elle se pince les lèvres. Je me dégage pour la retourner doucement sur le canapé. Je me mets à genoux derrière elle, et pour dégager ses fesses, les lui écarte doucement à deux mains.
Comme d'un commun accord, elle écarte les genoux... Et devant cette superbe chatte offerte, je ne peux résister longtemps...

J'y pose mon gland turgescent. C'est chaud... C 'est très humide... Je m'y enfonce doucement, très doucement. appréciant cette chaleur progressive, enveloppante, jusqu'à la garde... et je reste là, la tenant par les hanches, et sans bouger, car je sens que je vais exploser. Elle doit le sentir aussi, elle retourne son visage vers moi, et son regard, plein de malice, semble apprécier ce moment intense...
Croisant nos regards, j'y vis une formidable invite à me laisser aller, là, dans ses reins, le plus fort possible. Je ne bouge plus du tout, retardant le plus possible le moment fatidique... mais le plaisir continue de monter... de monter... Je vais jouir et son invitation du regard suffit... brutalement mon foutre explose au plus profond de sa chatte, très fortement. Cela lui arrache un petit cri de plaisir... Je reste là, sentant mon organe se ramollir. Le plaisir enfui... emportant avec lui ses délicieuses secondes jouissives, mêlées des regrets de ne pas avoir pu les faire durer plus longtemps. Je me retire, et je reste toujours à genoux...

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