Petite verge contre jouets sexuels. Hélas !

- Par l'auteur HDS Reve -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Petite verge contre jouets sexuels. Hélas ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2013 dans la catégorie En solitaire
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Petite verge contre jouets sexuels. Hélas !
Hélas !

(Fin du chapitre précédent):- Comment as-tu pu résister à toutes ces tentations?
- J’ai pensé à toi tous les jours. J’ai prié pour que tu m’aimes en retour. Quand mes sens s’émouvaient au spectacle des démonstrations je répétais ton prénom, je pensais fortement à toi.
- Ca marche des trucs pareils ?
- Oui, crois-moi. Mais puisque tu doutes encore, retrouvons un endroit calme et tu auras la preuve que je suis restée vierge.

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
Il est des situations où seul un mufle peut refuser un cadeau de cette nature. Rose veut me prouver sa bonne conduite. Rose se prétend vierge ! Depuis un an elle m’attend, depuis un an cette fille qui n’avait pas froid aux yeux s’est réservée pour moi et elle vient me proclamer son amour. C’est difficile à croire. Sa virginité aurait traversé les embûches dressées sur son chemin par sa cousine Claudine. Cela tient du miracle, de l’inespéré. Il y a en moi du saint Thomas, je ne peux pas croire sans voir. Or Rose propose de me montrer : je peux voir, vérifier, si je le veux ! J’en ai le souffle coupé.

Je l’ai aimée, puis à cause de son histoire avec Rodolphe et petite culotte en main j’ai douté d’elle et de ses bonnes mœurs. J’ai voulu ignorer son amour, j’ai eu peur d’un tempérament de feu et je l’ai renvoyée aux pièges de Claudine. Elle a vu les sexes des copains de sa cousine exhibés pour la séduire pendant un an. Elle a subi les railleries de ces excités et là elle décide de me prouver, à date anniversaire, la force de son caractère et de son amour : elle n’a pas succombé dans ces conditions difficiles à toutes les vilaines tentations du sexe. C’est incroyable ! Elle ne peut pas prendre le risque de me mentir sur l’état réel de son vagin. Donc elle dit vrai, donc j’ai douté à tort de son amour et de sa sincérité : je suis le dernier des imbéciles. Elle est debout devant moi, elle me tend les bras, elle quémande un baiser.

- Rose, je te demande pardon. Pardonne mes soupçons, mes doutes injurieux, mes insinuations stupides, les épreuves auxquelles ma jalousie t’a soumise. Pardon
Elle lit dans mon regard mon repentir, elle se jette sur moi :- Mais non, je veux juste savoir si tu m’aimes encore. Tout le reste m’indiffère. Je t’aime, m’aimes-tu? Tu m’as tellement manqué. Serre-moi dans tes bras.

Nous nous embrassons, nous partons à la recherche du temps perdu. Sur la mousse, derrière un buisson, Rose devient femme. Malgré l’inconfort du sous-bois elle est brûlante, elle étouffe des cris de jouissance. Je m’inquiète de mes lacunes.
- Mon chéri tu es parfait. J’ai été heureuse entre tes bras. Reprends-moi. Je suis ta femme désormais.

Nous nous fiançons, nous nous marions. Rose est enthousiaste. Notre couple nage dans le bonheur. La petite taille de mon pénis ne fait pas obstacle. Pourtant après plus de deux ans de mariage, un soir Rose a oublié d’éteindre l’ordinateur. A-t-elle oublié ou volontairement laissé une trace d’un sujet qui lui tient sérieusement à cœur afin de m‘envoyer un message ? J’examine l’historique avec un pincement au cœur .Elle a consulté différents sites traitant de la taille du sexe masculin, a peut-être lu sans s’y attarder que dans certaines ethnies les hommes à petit sexe jouissaient de plus de considération : pour moi ce serait une consolation. Mais ce renseignement ne correspondait pas à l’attente de sa recherche car elle a scruté en détail une classification en cinq catégories, du micro-pénis en I, au XXL classé 5. En dernier un site intitulé «  Extenseur de pénis » a retenu son attention. En gros il présentait le développeur : cet instrument permet d’agrandir et d’allonger le pénis et augmente le plaisir sexuel. Elle a introduit le sujet parmi ses favoris. Rose n’a donc pas évacué le souci. Faudra-t-il acheter l‘appareil avec l‘espoir d‘augmenter longueur et diamètre de ma bite ? « Mon mignon » est-il considéré comme insatisfaisant, petit ? A quoi bon, je n’atteindrai jamais les dimensions supérieures et Rose pourra toujours rêver d’un mieux possible. Elle n’en parle pas. Je me résigne au silence.

Et même dans les jours suivants Rose semble jouir plus intensément. Je me suis trompé, elle me réserve le sort heureux des petits porteurs aimés du beau sexe dans certaines tribus. Quand je quitte son nid d’amour, je vois avec émotion les crêtes de ses petites lèvres pencher vers l’extérieur et m’offrir le spectacle attendrissant des pulsations de l’entrée rose et nacrée de son vestibule. Je ne peux me retenir, j’y applique un dernier baiser plein de dévotion. J’en viens à cette conclusion : Rose a voulu se conforter dans le choix d’un mari à petit pénis, troublée par la mode actuelle qui valorise la grande taille du pénis. Un membre grand et gros compte plus dans notre civilisation que toutes ses autres qualités. Pour moi c’est si beau un sexe de jeune femme après l’amour. J’oublie mon inquiétude. Hélas, un nouveau signal m’alerte bientôt. A la recherche d’un médicament, j’ouvre un tiroir de la commode de notre chambre. Erreur, ce n’est pas mon tiroir, celui-ci contient de la lingerie féminine. Rose a bon goût, je soulève une pièce de dentelle pour l’admirer et dessous je découvre un sex-toy de bonne dimension : seize centimètres utiles plus une imitation de scrotum. Elle a acheté la bonne moyenne.
- Ah ! Ciel ! Rose a besoin d’un complément. Ce n’est plus une question, c’est une certitude. Il lui faut d’autres sources de plaisir. Je suis navré de l’apprendre par accident. Que vais-je encore trouver dans ce tiroir ?

Je palpe la lingerie, un objet plus dur résiste à mes doigts. Dans une boîte, je déniche un œuf vibrant, sa télécommande et le mode d‘emploi. Rose a la panoplie de la jouisseuse. Elle possède de quoi se donner des frissons et atteindre l’orgasme sans moi. Quand utilise-t-elle cet œuf vibrant ? Devant moi et je ne m’en rends pas compte ? Est-ce possible ? Ailleurs : au travail, dans le bus? Seule ou avec l’aide d’un tiers éventuellement? Qui l’a dirigée dans ses choix ? Je pense immédiatement à Claudine ! J’ai aperçu la cousine dans les parages à plusieurs reprises. Il y a de quoi inquiéter. Je range les objets soigneusement.

La situation est grave. La malheureuse épouse a commis une grosse imprudence en m’épousant. Elle croyait à l’amour, elle était certaine de jouir quand nous nous aimions, ne se souciait plus de connaître des membres plus importants, elle me garantissait que j’étais un mari parfait sur tous les plans, y compris au lit. Et vlan, je m’aperçois qu’elle ressent le besoin de recourir à des jouets sexuels pour assouvir ses besoins, pour atteindre des plaisirs que je dois être incapable de lui donner. Une fois de plus je me sens humilié. Pourquoi complète-t-elle nos accouplements de cette manière ? Pourquoi ne m’associe-t-elle pas à ces jeux ? Elle utilise ces objets en secret, c’est-ce qui m’anéantit. J’imagine la scène. Rose se sent seule, Rose a envie de passer un moment agréable, elle sort son vibromasseur. (Elle a une bonne excuse, son mari n’est pas là.) Il faut le rendre glissant : elle le porte à la bouche, le couvre de salive. L’objet descend vers sa fente, attaque le capuchon du clitoris. Elle appuie sur l’interrupteur, laisse vibrer sur ce point sensible. Arrive la nécessité de parcourir la vulve, de se glisser entre les grandes lèvres. Les nymphes exigent leur part de frémissement. La tête du vibro trouve un orifice, s’y enfonce, pénètre, heurte les bords du conduit, dépasse en profondeur la zone limite où s’arrête mon petit pénis, avance encore, devient l’ami le plus intime des profondeurs inexplorées, s’agite, remonte, se met à aller et venir, manié par un poignet souple, secondé par des doigts si doux sur le gardien de la grotte, ce clitoris énervé d‘où partent des ondes électriques. Introduit-elle vraiment toute la tige, soit en la poussant soit en s’asseyant dessus jusqu’à toucher son utérus ?

Ah ! Si elle m‘aimait, elle me confierait le soin de lui faire connaître ces contrées où on perd pied, où seul compte l’oubli de l’instant présent et la sensation d’échapper à la pesanteur, de partir dans un autre monde ouaté, rose ou bleu layette. Hélas ou elle craint de blesser mon orgueil de mâle vaincu par ce sinistre robot, ou elle a honte d’avouer ce transfert réclamé par ses sens. Voilà un domaine inconnu, elle ne me permet pas de l’y accompagner. Nous devons tout faire à deux : sauf ça? Pourquoi cette restriction ? Je suis frustré, son plaisir est égoïste. Rose me vole ma part d’un bonheur que nous devrions partager. Comment sortir de cette situation ? Je saute dans ma voiture, fais un saut en ville, reviens et m’étonne à peine de son souffle oppressé et des perles de transpiration sur son front : j’en connais l’origine, elle a été interrompue en plein orgasme par mon retour. Peut-être même l’œuf se cache-t-il encore dans son corps, au repos sur ordre affolé de la télécommande.

- Mais, Rose ma chérie, que t’arrive-t-il ? Tu es toute rouge et tu transpires. Que t’arrive-t-il?
- J’ai fait un cross pour me tenir en forme. Je prends une douche.

L’eau coule, je visite le fameux tiroir. L’œuf vibrant a disparu, l‘emballage est vide, abandonné en surface. Mon retour a été plus rapide que prévu par ma femme, ou elle a perdu la notion du temps à cause de ses jeux érotiques. Elle voguait dans les nuages propulsée par les secousses ininterrompues du petit moteur, elle vibrait autour de son œuf, occupée à pousser ou réduire les vibrations selon les élans de ses terminaisons nerveuses, électrisée, tendue à la recherche de l’explosion libératrice. Elle n‘a pas eu le temps de ranger son jouet… Sueur et couleur écarlate du visage ont bien pour explication celle que j’ai envisagée : Rose s’est offert un petit plaisir en mon absence. Cette fois c’est plus qu’une supposition. Elle est chaude. Je la cueille à la porte de la salle de bain, peignoir ouvert, je l’enlace et l’embrasse comme un mari fou d’amour, je la couche sur le lit et j’entame des préliminaires. Sa liqueur vaginale est épaisse, gluante et plus amère que d’habitude, ses réactions aux lapements de ma langue, aux suçotements de mes lèvres ou aux effleurements de mes doigts sont plus brusques. Rose se prête au jeu, s’offre avec joie, mais des grimaces révélatrices d’excès confirment mes suppositions.

- Ma chérie, j’ai pour toi un petit cadeau.
- Ah ! C’est gentil de penser à moi. Des fleurs ? Un parfum?
- Vois.

Elle ouvre fébrilement le paquet cadeau, prend le vibromasseur en main et s’exclame :-Mais qu’est-ce que c’est ?… Euh, mon amour, j’ai soif, voudrais-tu me chercher une bouteille d’eau ?

Le brave petit mari interrompt ses caresses et serviable sort, ramène l’eau et un verre, curieux de voir les réactions de la simulatrice. Elle sait parfaitement ce qu‘est le cadeau, mais feint de l‘ignorer. Elle en connaît parfaitement le fonctionnement et les vertus Un bruit sourd précède mon retour. Une bretelle de soutien-gorge dépasse du tiroir de la commode. Rose vient de vérifier que son vibromasseur est à sa place. Le mien est une réplique exacte du sien, elle a connu un doute. Son visage sourit de soulagement. Elle continue à jouer à l’ignorante : Le véritable ignorant c’est moi, mais j’ai hâte de passer à la pratique.
- Voilà un étrange cadeau.
- J’aurais pensé que Claudine t’avait instruite. Elle ne l’a pas fait ? Tant mieux, il me reste des choses à t’apprendre. Couche-toi et laisse-moi te faire apprécier cet objet. Touche-le : il est lisse, doux au toucher. A quoi te fait-il penser ?
- Oh ! Paul, tu ne veux pas dire… Oh, j’ai peur de me tromper… Il fait du bruit…C’est un poste radio ?

Franchement, elle se fout de moi. Je lui demanderais volontiers si elle écoute « radio-masturbation » sur le sien et quel chant elle entonne lors de l’orgasme. Ne gâchons pas notre soirée par un débordement incontrôlé de bile. Mieux vaut agir en toute sérénité, malgré les tremblements nerveux de mes doigts, malgré une déception amère face à sa comédie.

- Je l’enduis de ma salive. Ouvre tes belles jambes. Je le couche sur ta fente adorable. Tu sens, faut-il passer à la vitesse supérieure. Tu aimes ?
- Ouihihi !Ca chatouille. Mon Dieu, il fait trembler mon clitoris… Oh ! Ah ! Il entre dans mon vagin. Paul, c’est fort, c’est bon… Ah ! Je pourrai l’utiliser ? Oh ! Encore ! C’est bon…si bon, continue, relâche, enfonce, plus loin, reviens, fais tourner la pointe à l’entrée, plus haut.

Rose oublie qu’elle ignore, commande la manœuvre. Je suis heureux d’obéir à la succession des ordres gémis, saccadés, je redeviens l’ouvrier de son plaisir, son complice dévoué, apprécié. Il n’ya plus chez ma femme de honte ou de souci de ne pas me froisser.

Rose fait des petits bonds, se tord sur le drap, tape des pieds, chiffonne le drap, soulève son bassin, geint. J’enfonce l’engin, je le fais aller et venir. Doucement, avec amour et précaution. Elle a eu le temps d’expulser l’œuf, le vibromasseur ne heurte aucun corps étranger. Son bassin se met à tourner autour de l’axe qui la pénètre. L’addition de l’action de l’œuf vibrant déjà utilisé et des effets du vibromasseur a un résultat rapide. Rose éclose se met à gémir, serre ses poings, tourne de l’œil, s’ébroue et retombe inerte, cherche à retrouver un rythme de respiration régulier, son regard quitte les zones vagues, m’examine :- Quel merveilleux cadeau. Ouf… je n’en reviens pas, j’ai chaud…Mon amour, vite prends-moi.
Ma petite queue achève l’ouvrage. Rose me serre à m’étouffer. A son retour sur terre elle déclare :
- Mon amour, c’est formidable. Mais avons-nous réellement besoin de ça pour atteindre l’orgasme ?
Cesse de faire un complexe d’infériorité. Tu me suffis. Ta verge m’a bien fait jouir. Et puis n’est-ce pas trop long et trop gros. Je ne voudrais pas déformer mon vagin, car après tu t’y perdrais.

C’est pousser le bouchon un peu loin. Je ravale ma colère « après tu t’y perdrais ». Cette attention sonne comme une condamnation, appuie sur la taille réduite de ma quéquette. Son baiser sur mon gland est un geste de pitié.

- Mon cadeau te déplaît-il ?
- Non, mais… Oh ! Tu es si gentil d’essayer de me combler. Embrasse-moi encore. Tu es chou, mimi ! Tu me gâtes trop
- Oui, mais je t’interdis d’utiliser ce robot sans moi. Je veux partager tes jeux, lire ton plaisir sur ta face, voir tes tétons se dresser, ton visage se couvrir de sueur et rougir comme ton cou et la plage supérieure de tes seins. Je veux voir dans tes yeux naître le trouble de la volupté, je veux les voir chavirer au sommet de la jouissance. Partage avec moi ces moments uniques.

Elle a une hésitation. Est-ce que je ferais allusion à l’état dans lequel je l’ai trouvée plus tôt ? Elle se reprend :- C’est évident. Tu regarderas. Je préfèrerais même que tu l’utilises sur moi et en moi. Montre-moi ce truc, c’est un ?
- Un vibromasseur. Je suis content de son aide. Nos rapports seront plus chauds.
- Ca compensera…
Sa phrase reste en suspens. Sans le vouloir peut-être, elle vient une nouvelle fois de me rappeler ma petite taille : je me perdrais dans son vagin agrandi, mais la taille de ce jouet compenserait quoi ? La réponse va de soi : compenserait mon manque de longueur. Elle a raison de se mordre les lèvres, j’ai compris. D’ailleurs il y a un certain temps qu’elle le pense : son achat de vibromasseur en témoigne. Il y a un problème dans notre couple. Ai-je utilisé la bonne méthode pour le résoudre ? Nous verrons avec le temps, je n’ai pas la science innée, je tâtonne en espérant ne pas me tromper.

Nous utilisons assidument ce substitut de verge pendant une semaine. Un soir je perfectionne les connaissances de Rose, je lui offre un œuf vibrant, le jumeau de celui qu’elle utilise en cachette. Elle ouvre de grands yeux, ne réclame pas de bouteille d’eau, me laisse introduire l’œuf dans sa grotte, rit, s’amuse de me voir commander les vibrations à distance. Je pousse son plaisir plusieurs fois au paroxysme, je la vois toute rouge et couverte de sueur : l’effet se répète, je tente un rappel à une situation antérieure, vécue huit jours auparavant.
- On dirait que tu viens de terminer un cross.

Rose tique, me regarde et tente de déchiffrer mon message, puis trouve une réplique :- Peut-être, mais c’est tellement meilleur qu’un cross ! Où vas-tu chercher ces idées géniales ? Quel bon mari. Viens m’achever, j’ai envie de toi et de ta petite queue.
- J’essaie de te faire oublier la petitesse de ma queue. Hélas !

Ma queue n’est plus « mignonne», elle passe à l’état reconnu ouvertement de « petite ». Le mot est lâché, je me sens petit. L’expression lui a-t-elle échappé dans un moment d‘euphorie ? A force de le penser, l’exprimer ne l’effraie plus, n’est plus tabou. Un jour, Rose pourra se vanter d’être réaliste, de dire les choses comme elle les pense, avec sincérité, à la manière de celles qui déclarent :- « Moi, je suis franche, je dis tout. » Elle ne sait pas comme l’énoncé d’une vérité peut parfois faire mal.


La crise économique du pays nous frappe. Rose perd son emploi. Elle s’ennuie à la maison. Je lui conseille de se trouver des activités culturelles ou sportives, de ne pas se morfondre entre quatre murs. Pourquoi pas de devenir bénévole dans une association en attendant de retrouver un emploi rémunéré ? Elle me prend au mot :
- Mon chéri, j’ai trouvé de quoi m’occuper. J’irai à l’aquagym le lundi après midi, je ferai de la gymnastique rythmique le jeudi de quatorze heures à dix-sept heures avec le club local. S’il me reste du temps après mon ménage, je m’inscrirai au parcours de cross le vendredi après-midi.

Elle ne lésine pas, ne choisit pas, accumule les activités.
- Formidable. Tu ne te laisses pas abattre. Les recruteurs aiment les personnes actives. Tu retrouveras vite un emploi.
Merci mon amour. Tes encouragements me font du bien.

L’usage du vibromasseur ou de l’œuf s’avère inutile, ils dorment dans le tiroir de ma table de nuit. Rose redouble d’activité amoureuse avec moi. Nous vivons une nouvelle lune de miel.
- Tu es si gentil, si prévenant. Je t’aime chaque jour davantage. Aujourd’hui plus qu’hier et moins que demain.
Déclaration enfantine, mais toujours agréable à entendre. Les jouets de Rose disparaissent aussi. Elle les cache mieux peut être. Peu importe puisqu’elle m’aime.

Elle est très occupée. Elle a accepté la charge du secrétariat de l’association. Benoît le coach sportif chapeaute les trois activités auxquelles ma femme s’adonne régulièrement. Le mercredi après-midi Rose et Benoît confectionnent ensemble le rapport des activités passées et dressent le programme de la semaine suivante. Rose trouve pratique de rédiger ses textes et tableaux sur notre ordinateur. Benoît est une vieille connaissance, il est marié à Brigitte et père de deux charmantes filles de quinze et dix-sept ans. C’est un homme d’âge mûr, au contact sympathique, de caractère jovial, presque un père pour ma jeune épouse. Le maire s’est félicité publiquement d’avoir recruté cet oiseau rare, compétent et dévoué, pour la direction des loisirs de la commune. C’est un homme digne de confiance.

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