Lelsie AN19

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Lelsie AN19 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Lelsie AN19
Leslie AN19 - Anastasia, week-end à Epernay, au petit matin, chez Benoît, suite

C’est à cet instant que Delphine et Aurélie apparurent dans la pièce, il était huit heures.
- Eh bien, je vois que vous ne vous embêtez pas tous les deux, dit Delphine.
- A ça non, répondit Benoît, avec une lueur dans le regard, une bonne sodomie vaut mieux qu’une mauvaise frustration.
Son regard rencontra celui de Delphine puis celui d’Aurélie. Elles lui sourirent, ironiques, puis se regardèrent d’un air complice.
Dans la nuit ou au petit matin notre petite Delphine devait avoir fait des confidences Aurélie, et chacune maintenant, savait quoi penser de notre hôte, car non seulement elles savaient que dans les faits et gestes, le dénommé Benoît était un sacré coquin, mais quand plus dès qu’il était un peu aguiché il n’hésitait pas à passer à l’action.

Dans le regard des filles, Benoît vit tout ce que cette découverte impliquait, non pas pour Delphine déjà au courant de la bisexualité de Benoît, mais pour Aurélie qui allait pouvoir maintenant le baiser avec sa belle petite queue, ce que Benoît désirait secrètement l’ayant découverte en train de se faire enfilé par moi-même.
Avec Benoît nous nous sommes séparés pour prendre le petit-déjeuner avec nos deux complices, Anastasia devant encore dormir.
Delphine et Aurélie, se montraient en cette belle matinée, chacune dans un léger déshabillé qui pour notre plus grand plaisir n’arrivait pas à cacher leur nudité…
Delphine s’affaira à mettre la table et Benoît ne se priva pas de lorgner sur ses formes pendant qu’elle se penchait. Il venait de jouir, mais un appétit féroce le dévorait, le peignoir à peine rajusté, il nous montrait un début d’érection qui ne passa pas inaperçu aux yeux d’Aurélie.
- Eh bien, dis donc, tu as l’air en forme ce matin, dis Aurélie.

Alors qu’Aurélie servait le café, Benoît, euphorique et excité, profita de ce qu’elle soit à ses côtés pour poser la main dans le pli du genou et la remonter doucement le long des jambes de la jeune transexuelle pour atteindre les fesses, qu’il frôla doucement.
Aurélie eut une légère réaction de surprise et serra quelque peu les fesses, mais elle continua son service et, laissa Benoît explorer son joli petit cul qu’aucun morceau d’étoffe ne protégeait.
- Monsieur est satisfait ? Demanda-t-elle, espiègle.
- Oui, beaucoup, dit Benoît qui abandonna les fesses d’Aurélie avec regret.
- Je serais sans doute la prochaine, dis Aurélie en regardant Benoît.
- Certainement, répondit-il.

Benoît, tout à ses pensées, ne suivait pas la conversation, pensant certainement au fond de lui-même qu’il réagissait comme un obsédé de sexe.
Mais Delphine et sa soif d’amour physique, Aurélie et sa queue prête à sodomiser, y étaient pour beaucoup, et puis il y avait aussi Anastasia…
Nous avons déjeuné tranquillement, enfin non sans se faire des œillades de temps en temps ou faire de allusions sur ce que nous pourrions faire dans la journée.

Lorsqu’Anastasia apparue les cheveux défaits et des cernes sous les yeux, suite à une matinée entre Aurélie et Delphine, elle regarda la pièce et demanda, sur un petit ton bien innocent :
- Benoît n’est pas là ?
- Il vient juste de sortir, dis Delphine.
Comme nous, Anastasia n’avait pas jugé utile de couvrir sa nudité et elle se joignit à nous pour déjeuner.
Nous étions en train de rigoler quand Benoît refit son apparition et sans un mot il se dirigea vers Anastasia pour lui dire bonjour, en se penchant pour l’embrasser son peignoir s’ouvrit et son sexe en semi érection apparut aux yeux d’Anastasia.
Ayant fini de déjeuner, elle prit délicatement le membre offert entre ses mains et découvrit le gland de sa gaine de peau, et commença à exciter les terminaisons nerveuses, des doigts et de la paume.
- C’est fou comme tu m’excites, dit Benoît, et en plus devant elles…
- Tu veux que j’arrête ? Demanda candidement Anastasia.
- Non, non je suis ravi, dit Benoît en manquant de s’étrangler.
Je sais que tu as envie de me baiser, et peut-être même prendre mon deuxième pucelage, mais il va te falloir être à la hauteur…

Benoît soupirait sous le traitement d’Anastasia, qui rajouta :
- En plus à ton âge, ta belle queue doit pouvoir servir plusieurs fois de suite, non ?
- A ma salope, soupira Benoît.
- Regarde-moi ! Tu bandes pour moi depuis longtemps, je le sais et tu as envie de faire l’amour avec moi.
- Ohhh, oui j’ai très envie, répondit Benoît qui montrait une belle érection.
Anastasia se redressant se mit sur la table, les jambes écartées en disant :
- Allez, occupes-toi de moi, mes seins meurent d’envie d’être caressés, et ma petite chatte aussi et je ne te parle pas de mon petit trou qui commence à frémir d’impatience !
Benoît s’exécutant se mit à caresser Anastasia qui soupira en disant :
- Ohhh oui, c’est ça embrasse bien les bouts. Mets ta main là, entre mes cuisses, caresses ma petite chatte et mon clito qui se meure d’impatience, là oui comme ça.
Anastasia était déchainée et Benoît n’en pouvait plus d’entendre Anastasia le provoquer.
- Donne-moi ta queue que je la branle, je vais la faire bander comme un dingue.

Benoît ne disait rien, son souffle se faisait court. Ses mains avaient pris possession du corps d’Anastasia, s’émerveillant de la chaleur de son entrecuisse, de la douceur de la peau, des formes pleines et des seins arrogants.
Petit à petit, usant de ses mains et de sa langue, offrant ses trésors à l’exploration de Benoît, Anastasia se rendit compte qu’il s’excitait trop vite, et qu’il risquait de jouir avant de l’avoir honorer, alors elle cessa de le branler et l’attira sur elle.
- Baises moi !
Benoît l’enfila d’un coup de reins, faisant frémir Anastasia qui ne put s’empêcher de s’écrier :
- Ahhh, ta bonne queue, je la sens bien !

Benoît commença à aller et venir lentement dans la grotte brûlante qui enserrait son membre. C’était une incroyable vision de voir ces deux êtres faire l’amour devant nous, nous étions excitées nous aussi et nous nous sommes caressées en continuant de les regarder.
Anastasia lui fit empaumer un sein dont le mamelon se durcissait de désir. Elle lui fit glisser son autre main sous ses fesses rebondies. Puis elle se trémoussa sous lui. Creusant son ventre pour faire saillir son mont de Vénus et darder un peu plus son clitoris qu’elle aimait certainement sentir écrasé par le pubis de son partenaire.
Répondant aux coups de boutoir, en lançant son bassin vers le pieu qui l’emmanchait pour mieux en profiter. Elle commentait toujours la copulation, excitant de plus en plus son partenaire.
Maintenant les oreilles de Benoît étaient pleines de mots crus qui sortaient de la bouche de cette jeune fille devenue en un rien de temps la pire des nymphos que la terre ait portée :
- Ta bite me bourre bien, mon cul va la sentir passé, mes seins bandent de plaisir…

Soudain, Benoît sentit sa verge se gonfler et brutalement sa semence jaillit hors de lui. Il se crispa, puis s’affala sur sa partenaire, complètement anéanti, laissant couler sa semence par saccades dans le vagin si accueillant. Elle lui caressa gentiment la tête jusqu’à ce qu’il reprenne ses esprits.
Pendant ce temps, Delphine et Aurélie en avaient profité pour se rapprocher, excitées elles aussi après s’être caressées elles allaient passer à la phase suivante.

Delphine, allongée sur le dos, dans le canapé écartais largement les cuisses, présentant à Aurélie bandant comme une furie, sa vulve humide et entrouverte.
Aurélie se jeta sur Delphine, sa poitrine écrasa les petits seins de Delphine et sa verge chercha un instant le passage menant à la terre des délices, et brutalement elle s’enfonça en elle.
La chatte de Delphine était brûlante d’excitation, lorsque la queue juvénile de la petite transexuelle la défonça, Delphine gémit de plaisir.
Elle caressa convulsivement les fesses de la belle ambigüe, puis la prenant aux hanches, tenta de lui imprimer un mouvement accéléré pour qu’elle la baise à fond.
Cette dernière, trop excitée, résista et attendit un moment avant de commencer son va-et-vient dans le vagin avide de baise. La queue complètement entrée dans la grotte d’amour, les couilles écrasées contre les fesses de sa partenaire, Aurélie savourait la possession de cette petite salope de Delphine.

- Vas-y, ma chérie ! Baise-moi ! Remplie ma chatte, je n’en peux plus, gémissait Delphine.
Elle se trémoussait sous son amante, en proie à une terrible envie de forniquer.
- Embrasse-moi, ma chérie ! Dis Delphine.
Aurélie lui ferma la bouche avec ses lèvres, elles étaient bonnes, douces, et la langue de Delphine se mit à fouiller sa bouche, jouant avec la sienne…
Delphine mettait toute sa science dans ce baiser. Et lentement Aurélie commença à limer. La verge bandée entama sa danse d’amour, entrant et sortant de la fente en folie. Très vite, le corps de Delphine se crispa, ses pieds s’appuyèrent fortement sur les reins de son amante et ses doigts s’incrustèrent dans les reins d’Aurélie.
- Oh ma chérie, comme c’est bon ta queue dans ma chatte ! Je la sens bien ! Tu me limes à fond, tu me défonces merveilleusement bien.
Delphine n’en pouvait plus, prise de spasmes elle délirait complètement.
- Tu sens comme je mouille ? Ca me coule dans la raie et ma mouille me lubrifie le cul.

Aurélie limait Delphine sans relâche et Delphine continuait son délire.
- Tâte, tu vas voir, mets ton doigt, là, ohhh oui, tu sens comme c’est tout gluant ? Mais… tu me mets ton doigt dans le trou de mon cul ? Salope, tu me sodomise avec ton doigt, mais tu es une petite vicieuse.
Aurélie tout en baisant Delphine lui faisait le cul avec son doigt, ce qui excitait encore plus la belle salope de Delphine.
- Non, ohhh non, ne l’enlève pas, au contraire, branle-moi le cul ça m’excite.
- Tu voudrais que je te foute ma queue dans ton petit cul de salope ma chérie ? Demanda Aurélie.

Delphine, au comble du bonheur, tremblait de tous ses membres et râlait de plaisir sans discontinuer. Aurélie complètement abandonné sur le corps de sa maîtresse, enserrait un sein frémissant de sa main gauche, tandis que la droite restait coincée sous les fesses de son amante, l’index encore enfoncé dans l’anus légèrement dilaté et brûlant.
Lorsque enfin ils jouirent ensembles, elles s’embrassèrent tendrement en se caressant doucement et, dans les bras l’un de l’autre hurlèrent de plaisir.

A suivre…

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Texte coquin : Lelsie AN19
Histoire sexe : Une rose rouge
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