Marie ma nouvelle voisine - 08 - La matinée du Jeudi

- Par l'auteur HDS Cello -
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Marie ma nouvelle voisine - 08 - La matinée du Jeudi Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Marie ma nouvelle voisine - 08 - La matinée du Jeudi
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Lorsque je me réveille, je sens tout de suite ta langue sur mon gland et très vite ta bouche avalant mon sexe bandé. Je te laisse faire quelques instants, appréciant les caresses buccales que tu me prodigues. Alors que je sens le plaisir monter en moi, je fais semblant de me réveiller brutalement et te demande :
« Mais que fais tu Marie ?
- Heu...J'en avais trop envie...Et puis, hier soir vous m'avez promis que je pourrais vous sucer aujourd’hui.
- Oui je te l'ai promis, mais seulement lorsque je le déciderais, ce n'est pas toi, qui doit décider de ton plaisir.
- Heu…Je suis désolé monsieur Cello... Je vous prie de m'excuser
- Je suis trop excité maintenant, aussi continue, mais je veux sentir ta langue et ta bouche partout sur moi et cela ne t'empêchera pas d'être punie pour ta prise de décision.
- Oh ! Merci monsieur Cello »

Et immédiatement, tu reprends mon sexe en bouche, t'arrêtant parfois pour passer ta langue sur la totalité de la longueur de mon sexe ou de lécher mes couilles que tu prends parfois dans la bouche.

Alors que tu me suces divinement bien, je te dis :

« Si je suis satisfait, je ne me contenterais peut être pas de ta bouche d'ici demain. Peut être que je te baiserais dès aujourd'hui, je ne sais pas encore ».

En écoutant cela, tu sembles encore plus motiver pour me procurer du plaisir, et je sens ta langue sur mes couilles, ma bite ou mon gland, léchant la moindre partie de mes attributs sexuels et alors que je sens la jouissance monter une nouvelle fois en moi, je te demande de t'occuper de mon anus. Aussitôt tu écartes mes fesses et ta langue vient sur ma raie culière, avant de fouiller mon anus le plus profond que tu peux.

Je t’ordonne alors de prendre mon sexe dans ta bouche. Te prenant alors par les cheveux, je te baise littéralement la bouche et décharge ma crème virile dans ton gosier, inondant ta bouche mais la quantité est trop conséquente pour que tu puisses tout avaler.

Après avoir nettoyer mon sexe et mes boules, tu passes ta langue sur ton menton, tes lèvres et tes seins pour récupérer le maximum de sperme.

« Hé bien dis donc, non seulement tu sembles une experte en pipe, mais tu as l'air aussi d'aimer le sperme !
- Oh oui monsieur, je suce Hervé régulièrement, même lorsqu'il ne me fait pas l'amour »

Quand nous nous levons ce jeudi matin, je sais que tu vas espérer te faire baiser dès aujourd’hui, ton mari arrivant demain soir, aussi tu viens dans mes bras, lovant ton corps sur le mien et me dit :

« Monsieur Cello ! J'ai envie de vous, de faire cocu Hervé et de devenir votre chienne soumise, votre objet sexuel ».

Pour toute réponse je t'embrasse à pleine bouche, sachant que j'ai décidé de te faire encore attendre pour te punir.

« C'est bien Marie, je vois que tu as compris ce que tu dois dire régulièrement pour que je te prennes, mais ce matin, nous avons pas mal de chose à faire et ensuite nous aurons tout le reste de la journée pour nous.
- Oh ! Oui bien sûr ! Je vais tout de suite aller préparer le déjeuner...Et tu te lèves d'un bond pour quitter le lit et te précipiter dans la cuisine.

Lorsque je te rejoins une dizaine de minutes plus tard, également nu, mon petit déjeuner est prêt et nous prenons notre café paisiblement, nus, toi près de moi, les cuisses ouvertes, pour que je te caresse, si l'envie me prend de te peloter ou de te doigter, ce que je ne tarde pas à faire, pour que tu sois excitée, mais s'en te faire jouir.

Ensuite nous allons à la salle de bain, ensemble prendre notre douche, je te propose de te laver, et avant que tu acceptes, j'ai déjà verser du savon liquide sur tes grosses mamelles que je lave en les malaxant et pétrissant de plus en plus fort, puis mes mains descendent vers ton sexe que je doigte de deux puis trois doigts dans le but de bien laver ta grotte d'amour, et enfin je te retourne et lave tes fesses que je t'oblige à écarter pour nettoyer ton oeillet. Je glisse rapidement mon majeur dans ton petit trou, rapidement suivi de l'index, le savon aidant la pénétration de ton fion.

Humm ! Je suis dans la douche, vous m'avez mis du savon partout et je sens vos mains courir sur ma peau et me la presser au niveau des outres, des fesses, glisser dans ma raie, sur mon sexe c'est délicieux ! Quand je sens que vous en avez envie, je me penche en avant, ouvrant ma raie culière et rapidement c’est 1 puis 2 doigts qui m'élargissent l'anus.

« Hoo monsieur Cello oui c'est bon, je… Humm vous savez me faire plaisir sans aller trop vite, humm… Oui, je suis à vous… »

Je te doigte le fion pendant quelques minutes, puis retirant mes doigts avant de te faire jouir, et te demande de me laver.

Je prends le savon en main excitée de cette situation et le fais courir sur vous, vos épaules, votre torse, vos bras puis votre sexe, il est bien raide, je vous branle lentement de ma main soyeuse, je caresse ensuite votre dos, vos fesses pour les savonner, glisse mes doigts dans votre raie, puis à genou je termine par les jambes ... Une fois terminé mon travail, je reste à vos pieds et reprends votre sexe pour le branler devant mon visage

"Hoo monsieur j'ai tellement envie de vous faire jouir ...
- Oui Marie, fais moi jouir, j'ai envie de jouir sur ton visage et tes grosses mamelles, et que tu me nettoies le gland avec ta langue pour finir »

Et je te prends par les épaules pour te rapprocher un peu plus de mon sexe. Alors que d'une main experte, tu me branles avec vigueur jusqu'à ce que je décharge mon foutre sur ton visage, maculant tes yeux, ton nez, ta bouche et tes cheveux, puis tu lèches mon gland afin de récolter les dernières gouttes. Je me retire alors de la douche, te laissant seule, te nettoyer le visage et faire ton shampooing.
Lorsqu'à ton tour tu sors de la douche, tu viens me rejoindre dans la chambre ou je suis en train de mettre un t'shirt et un bermuda.

« Tiens Marie, j'ai posé tes affaires pour faire notre jogging sur le lit ».

Tu découvres alors un shorty blanc en lycra et un débardeur, style "Marcel". Lorsque tu enfiles ces vêtements, tu t'aperçois que le débardeur très décolleté et très échancré, ne cache pas grand chose de ton opulente poitrine et s'arrête au milieu de tes fesses.

« Tu es magnifique ainsi ma belle salope.
- Oh ! Mais je ne vais pas pouvoir courir ainsi !
- Si bien sûr, tu veux être ma salope soumise oui ou non ?
- Oh oui monsieur Cello !
- Mais rassure toi, nous allons sortir du lotissement en voiture, afin que les voisins ne te voient pas ainsi, plus tard lorsque tu seras habituée, nous partirons d'ici.
- Bien monsieur »

Nous montons dans la voiture, et à peine sortis du lotissement, je prends un petit chemin en direction de la campagne. Au bout de deux kilomètres environ, je gare le véhicule près de l'entrée d'un champ, à quelques mètres du clairière, et te fais sortir de la voiture. Je prends mon sac à dos, et après avoir fermé la voiture à clé, nous commençons notre footing, en empruntant divers petits chemins en pleine campagne. Cela fait environ une demi heure que nous courrons et sommes ainsi éloignés de toutes habitations.
Tout au long du jogging avec un simple débardeur et un shorty, je me retiens de pleurer tant j'ai honte de courir ainsi, mais aussi de douleur, car à chaque foulée mes mamelles sautent et deviennent de plus en plus pesantes ...

Je te fais retirer ton shorty, que je place dans le sac à dos, et saisissant le bas du t'shirt, je le noue sous tes mamelles, dévoilant ainsi totalement ton fessier et ton sexe. Intimidée, tu mets une main devant ton sexe, mais très vite, tu retires ta main, trouvant que ce n'est pas facile de courir ainsi et très vite, tu te comportes normalement sans penser à ta tenue indécente.
Lorsque vous me faites enlever mon shorty et que je ne suis plus couverte que de mon débardeur noué sous mes seins, je continue à courir humiliée d'offrir à la vue de promeneurs éventuels mes fesses et mon sexe nus ... Après quelques mètres, la main devant mon sexe, je poursuis en essayant de ne plus penser, seulement courir au rythme des ballottements de mes gros seins dont j'ai l'impression qu'ils sont terriblement gonflés du traitement que je leur inflige.

Arrivant près d'un bois, nous nous y engouffrons et décide de faire une pause. Nous nous étirons quelques minutes, puis je retire ton t'shirt que je place dans le sac à dos, te retrouvant totalement nue dans le bois.

Lorsque nous faisons une pause dans les bois, je souffle en massant mes seins pour les soulager, vous me dites :

« Tu as besoin de te masser les pis, je vais m'en occuper ... »

Je sors alors une paire de menottes du sac, et t'attache alors, à une branche suffisamment haute pour que tu ne puisses te libérer.

Vous me dénudez totalement et vous sortez de votre sac des menottes, je commence à frémir mais docilement je vous laisse m'attacher les poignets à une branche haute ...

« Hé bien ! Ils sont vraiment gonflés tes gros pis de laitière ! »

Je m'approche de toi, et posant ma main entre tes cuisses, je constate que tu es trempée.

« Dis moi ma salope, mais tu es trempée et je ne pense pas que c'est seulement de la sueur. Ca t'excite de courir la chatte et le cul à l'air.
- Oh oui monsieur Cello, c'est très humiliant et excitant
- Je savais que tu aimerais cela »

Je continue à te doigter la chatte quelques instants, puis t'embrassant à pleine bouche, je malaxe et malmène tes outres que je gifle, tords et étire avant de m'éloigner de toi pour fouiller dans mon sac et prendre un martinet.

« Je t'ai promis une punition ce matin, il faut assumer de ne pas m'avoir obéis ! Allez demande moi de te malmener les outres ! »

Après avoir malaxé mes seins et m'avoir doigtée, vous me faites remarquer que je suis trempée

« Je... Heu pardon monsieur je... Heu c'est vrai je suis très excitée ... S'il vous plait punissez moi, je le mérite ... Et faites moi jouir encore des mamelles, c'est si bon
- Oui je vais te punir et te faire jouir des mamelles, et ferais de toi une putain".
- Non pitié Monsieur Cello, ne me faites pas mal »

Je te tourne vers l'arbre. Tu m'offres ainsi tes fesses et ton dos. Je commence alors par te claquer le cul en augmentant la force des coups et lorsque tu as le cul bien rouge, je prends le martinet et te donne une bonne dizaine de coup de martinet d'abord sur ton dos, puis tes fesses.
Quand je pose le martinet, de jolies stries sillonnent ton dos et surtout ton cul. Je te retourne alors face à moi, t'embrasse et lèche tes larmes, qui coulent sur tes joues tout en posant ma main entre tes cuisses. Ton sexe est trempé et je te doigte en enfonçant deux puis trois doigts dans ta chatte. Lorsque je te sens au bord de la jouissance, je retire mes doigts et m'éloigne de toi pour ranger le martinet dans le sac te laissant ainsi. Je m'approche de nouveau, et me plaquant derrière toi je saisis tes pis à pleines mains et commence à te malaxer les mamelles, de plus en plus fort, Je gifle tes outres, les étire vers le haut, pince tes tétons et les tords, puis je les pétrie comme de la pâte à pain jusqu'à te faire jouir.

Je te détache alors de l'arbre en ôtant tes menottes et te fais te rhabiller en te disant :

« Remet ton short et ton t'shirt, tu ne voudrais tout de même pas que l'on te voit ainsi dans le voisinage, même si tu es prête à offrir tes charmes à qui je veux »

Lorsque vous me pétrissez les outres comme de la pâte à pain, au moment ou je suis au bord de jouir, vous vous arrêtez :

« Hoo Monsieur Cello, continuez s'il vous plait, je heu... J'aime que vous malmeniez ainsi mes grosses miches »

Alors, vous tirez de votre sac des gants que vous aviez préparé en vous doutant que j'en demanderais plus, et vous arrachez des orties, vous étalez des feuilles urticantes sur votre main ouverte, puis vous les plaquer sur une de mes mamelles pour la malaxer ... je crie, ça fait mal même si vous ne frottez votre préparation qu'une dizaine de secondes ... vous recommencez pour l'autre sein ..., je pleure comme une fontaine et vous me demandez :

« Tu veux te soulager ? Oui ?
- Oui ! S'il vous plait tout ce que vous me demanderez, mais pitié ça brûle ! Il faut que je me soulage ! »

Alors je te détache, je te mets de la pommade dans la paume des mains et tu te malaxes les pis plus fort que je ne te l'ai jamais fait jusqu'à te faire jouir !

Vous me regardez me malaxer, compresser, les mamelles, me presser les mamelons en tirant dessus pour faire pénétrer la pommade autant que possible et en moins d'une minute je commence à haleter et je jouis de me branler les outres, debout, nue dans cette forêt ... Une fois la jouissance passée, la douleur s'apaise du fait de l'action du produit sur ma peau, je suis épuisée.

Rabaissée au rang d'objet sexuel et de putain en devenir, je frémis encore de ma jouissance mammaire et sur vos instructions humiliantes, je me rhabille soulagée de ne pas avoir été violée par des promeneurs ... quoi que j'ai la chatte en feu

Nous regagnons la voiture à travers la forêt, ce qui nous prend moins de temps qu'à travers les champs pour venir jusqu'ici. Une fois en voiture, je roule doucement, te caressant à travers ton shorty d'une main, mais sans jamais te doigter. Je reçois un appel téléphonique. C'est Laurent. La conversation est brève et lorsque je raccroche mon portable, je te dis :

« Laurent va passer à la maison dans une demi heure environ, il a quelque chose à me donner »

Tu ne réponds pas, sachant qu'une fois encore, tu vas être exposée et humiliée devant le toubib. De retour à la maison, nous prenons une bonne douche ensemble, nous lavant seuls, Une fois lavés, je me rends dans la cuisine en bermuda où tu me rejoins nue, comme tu en as maintenant l'habitude.

Tu prépares un jus d’orange et tu places trois verres sur la table, te doutant que Laurent va nous accompagner. ¨Pendant ce temps, tu me demande quel est le programme de la journée, et je te réponds que ce matin, je vais te raser le sexe et la raie culière pour que tu te sentes encore plus nue et vulnérable et que cet après midi, nous irons acheté des sous vêtements et vêtements sexy digne d'une putain.

Nous sommes en train de siroter un jus d'orange lorsque Laurent sonne à la porte. Je vais lui ouvrir et le fait pénétrer dans la maison. Il a un sac rempli de viennoiseries acheté quelques minutes plus tôt à la boulangerie. Après t'avoir embrassé, profitant d'être tout près de toi pour te toucher les pis, il s’assoit à table, alors que tu vas chercher le café.

« Alors qu'as tu à me donner de si urgent ? »

Il met sa main sans sa poche et en sort une boite de cachet et dit :

« C'est des cachets pour provoquer la lactation induite, j'ai pensé qu'avec de telles mamelles, tu aimerais que Marie aie les pis gorgés de lait, ce qui les rendrait plus gros et fermes encore.
- Oh ! Super idée mon ami, mais elle va avoir des coulées de lait en permanence ?
- Pas si elle allaite régulièrement
- Oui bien sûr mais elle n'a pas d'enfant
- Je sais cela, mais elle pourrait donner le sein à de vieux pervers, je connais de très riches, qui serait près à payer pour téter Marie
- La ! Tu m'intéresses, mais combien pourrais je en tirer ?
- Au moins 50 euros la tétée
- Tu entends ma chérie, l'argent que tu vas pouvoir gagner grâce à tes pis de vache laitière »

Tu ne réponds pas, écoutant nos propos la tête baissée et les larmes qui coulent sur tes joues
Je réfléchis quelques secondes et ajoute à l'intention de mon ami toubib :

« On pourrais faire plusieurs tarifs
- Comment cela ?
- Par exemple 50 euros pour un allaitement, 75 euros si Marie les branle pendant la tétée et 100 euros, si elle les finis par une pipe.
- Oh ! Très bonne idée, surtout que s'ils viennent prendre le sein de Marie, c'est pour y prendre du plaisir »

Le toubib ouvre alors la boite de cachet et en prend qu’il te tend et que tu avales immédiatement, puis il me donne la boite en me disant :

« N'oublie pas un cachet tous les matins et dans une dizaine de jours, elle pourra allaiter
- Je n'oublierais pas, suis trop content de ta trouvaille »

Nous finissons notre café croissant et alors que Laurent s'apprête à nous quitter, je lui propose :

« J'allais raser les poils de Marie, mais puisque tu es là, si tu veux, je te laisse lui raser la chatte et la raie culière.
- Oh ! Merci de ta confiance, c'est avec plaisir que j'accepte.
- Bien ! Tu as entendu Marie ! Va t'allonger sur la table de la terrasse, je vais chercher le nécessaire pour te raser. »

Lorsque je reviens quelques minutes plus tard, tu es allongée nue sur la table de la terrasse, les cuisses ouvertes, les mains derrière la tête, Laurent près de toi, titillant tes tétons.
Posant le tout sur une chaise près de la table, je dis à Laurent :

« Allez au boulot, et applique-toi, je veux quelle ressemble à une gamine et surtout ne la coupe pas ».

Laurent me fait la remarque suivante :

« Dis donc, j'ai remarqué que Marie avait des stries rouges sur le cul, les cuisses et le dos et des petites cloques sur les seins, tu peux m'expliquer ?
- Je vais même faire mieux, je vais laisser Marie, t'expliquer la raison de ces marques sur son corps »

Alors que Laurent attendait le matériel de rasage, toi nue sur la table, tu lui racontes comment tu as eu les marques sur ton corps

Laurent me découvre allongée sur la table de jardin, nue ... vous lui apportez tout ce qu'il faut pour me raser et me demandez de raconter d'où viennent ces marques.
Face à Laurent, je suis donc obligée de lui dire ...

« Heu et bien c'est… je heu ... j'avais très envie de sexe avec votre ami et pour me soulager la seule chose qu'il m'ait proposé, était de me fouetter le dos et les fesses avec un martinet et comme je n’étais toujours pas rassasiée, il m’a masser les seins… heu…les mamelles avec des orties ... ça m'a fait mal, mais ça m'a aussi fait jouir comme jamais ... »

J'ai peur, mais dès les premiers contacts entre le blaireau enduit de mousse à raser et ma chatte je commence à frémir et à sentir l'excitation monter. Le salaud en profite pour frotter le blaireau contre mes lèvres, mon clito, il me branle un moment avec ce gros pinceau de poils denses et souples.
Pendant que je commence à gémir malgré moi, vous souriez de me voir ainsi livrée à votre ami, docile au point de livrer mon intimité à un autre que mon mari pour la première fois ... depuis vous ...
au moment ou vous sentez que le plaisir monte en moi vous faites signe à Laurent qu'il peut commencer à raser ... vous lui donner un rasoir à lame droite, appelé aussi coupe-choux, comme chez les coiffeurs, je vous regarde apeurée qu'il puisse me couper par inadvertance ... pour ma rassurez, vous me prenez un sein et me le palpez lentement

Alors que je palpe et masse tes grosses mamelles, et que Laurent commence à te raser très lentement, je lui demande s’il connaît beaucoup de vieux pervers, qui pourraient être intéressé pour te téter. Il me répond que tu "serais une bonne vache laitière" et qu'il a des patients qui aiment le lait maternel frais.

Tout en entendant Laurent parler de moi de façon humiliante, comme d'une vache, je n'ose rien dire de peur qu'il fasse un faux mouvement et là, vous me regardez et me prenez une outre à 2 mains pour la presser à sa base et disant :

« Humm oui si tu allaitais ma chérie, tes belles mamelles gonfleraient encore et j'aimerais t'offrir le plaisir de donner la tétée à des hommes en manque ... tu es d'accord n'est ce pas ?
- Je heu… oui monsieur Cello, je heu… je ferai et accepterai tout ce que vous me demanderez »

Malgré la honte de me retrouver à allaiter des inconnus, je ne peux m'empêcher d’y consentir ... et vous ajoutez :

« Tu as envie de devenir une vache laitière ?
- Oui monsieur, votre vache laitière
- C'est bien ma grosse vache, tu vas avoir de beaux gros pis bien gonflés et pour récompenser ces hommes, qui te donneront du plaisir à te téter je te demanderai peut être aussi de les téter ... d'ailleurs Laurent, puisque tu as maintenant terminé de faire de la chatte de Marie, une belle chatte bien lisse, et que sa raie est naturellement dépourvue et poil, peut être que tu voudras te soulager dans le gosier de ma pute.
- Oui
- Mais que vas tu me donner en échange ?
- Je t offre une caisse de 12 bouteilles de champagne, elle vaut bien cela,
- Parfait ! Tu vas voir elle suce à merveille et puis demain elle pourra offrir deux bouteilles à son cocu de mari, en lui disant qu'elle les a gagnées

Je comprends que vous êtes en train de me prostituer avec votre ami et tandis qu'il sort son sexe, je me redresse résignée et ne voulant pas vous décevoir, je lui embrasse le gland, le léché, puis toute la longueur de sa bite et enfin je le gobe et commence à le sucer de mon mieux, tandis qu'il n'est pas avare de commentaires :

« Humm tu as raison, elle n'a pas que de gros pis, elle suce bien ta pute. Humm ! Vas y continue salope, fais moi jouir dans ton gosier, pense à ton mari, qui dégustera mon champagne ... »

Je malaxe de plus en plus fort tes mamelles, excité de te voir sucer Laurent.

« Oui ma chéri, Hervé va être ravi de dîner au champagne demain soir en ma compagnie »

Puis m'adressant à Laurent, je lui demande :

« 50 euros pour une tétée et 100 euros pour une prestation complète, te paraît dans les possibilité de tes clients ?
- Oui cela me parait bien, surtout qu'il y a beaucoup de demande et peu d'offre…. Hum ! Continue salope ne t'arrête pas ça me fait du bien, ...100 € s'il peuvent la téter, se faire branler et sucer c'est acceptable ... humm… vas y… je vais bientôt te crépir le gosier ... tu voudrais que je te fournisse combien de clients à la fois ? Je ... humm hooo ; je peux sans problème avoir une vingtaine de client d'un coup, à 2cl par giclée ça lui ferait 40 cl, ça va la nourrir ! Et en échange, soit tu me files un pourcentage, soit je peux la baiser ... humm hooo tiens prends ça et avale tout grosse truie hooo haaa.
- Je ne vais pas te donner de pourcentage, car l'argent gagné sera placé sur un compte pour Marie, mais tu pourras la baiser chaque fois que tu auras des clients.

Laurent se retire de ta bouche et te donne son gland à nettoyer, puis il me donne la boite de pilule en me disant :

« Un comprimé tous les matins et dans dix jours elle sera pleine de lait »

Puis il s'apprête à partir et conclu :

« Je dépose la caisse à la porte du garage si vous êtes absents ».

Et il ajoute au sujet des cachets :

« Mais je te préviens, ses pis vont gonfler pas mal ! Ils pourraient doubler de volume quand elle sera pleine, il faudra la traire tous les jours pour éviter un engorgement, ça dépend des femelles mais avec Marie, tu peux anticiper entre un demi et un litre de lait ... par outre !
- Et tu penses pouvoir fournir des clients tous les jours à ma belle laitière ? Il faudra aussi s'organiser les week-ends pour qu'elle se fasse traire, alors que ton cocu est chez lui.
- Tous les jours, oui si elle se fait traire le matin et le soir, avec un sein par client, cela fait quatre clients par jour, soit vingt par semaine. Et les 16 qui ne la tètent pas, pourraient se faire sucer pour 50 euros. Elle pourrait gagner ainsi la somme de…heu…1200 euros par jours et 6000 euros par semaine sans compter ses prestations du week-end, où tu pourras offrir ses mamelles aux enchères dans la maison de retraite ou je suis médecin, ou dans un club privé que je connais bien…
- Oui je pourrais demander 250 euros pour la baiser - cela me parait raisonnable - car elle a l’avantage de ne pas être une pro.
- Oui, tu peux leur demander au moins cela, ils sont tous très riches, j’en connais même trois qui n’ont pas d’héritier et si Marie se débrouille bien, elle pourra leurs pomper leur compte en banque en même temps que leur bite, voir hériter de leur patrimoine.
-Oui d'accord.

Sur cet accord, Laurent s'en va après avoir déposé dans votre garage 2 caisses de champagne, vous me dites :
« Alors ma chérie, tu aimes être mon objet sexuel, dis moi ?
- Je heu… oui maître, mais j'ai peur, peur que cela se sache, peur que mon mari se rende compte de quelque chose ...
- Oh ton mari ne prête plus attention et ne te touche plus, alors que crains tu ? Sans moi, tu n'aurais pas eu de plaisir aussi intense depuis plusieurs semaines

Puis prenant ton "Marcel" trop grand pour bien dévoiler tes seins et cacher un peu tes fesses, je te dis :
« Aller enfile cela, je veux te montrer un endroit que tu n’as pas vu dans la forêt.
- Je heu… Oui monsieur Cello, vous avez raison, mais j'ai quand même un peu peur, le fait de me promener dans les bois, me changera les idées ... »

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
je m'imagine être Marie,super récit

Histoire Erotique
Tres tres belle histoire tres excitante, on a hate d'avoir la suite. Le diner avec hervé vendredi soir risque d'etre tres excitant... felicitation pour ces recit geniaux. encore bravo

Histoire Libertine
Ce n'est pas de l'érotisme mais de la perversité, j'adore

Merci au lectrice et lecteur pour leurs commentaires
Merci de m'écrire à l'adresse suivante :
maitre.pervers35@gmail.com
Réponse assurée

Histoire Erotique
Du bon en persperctive... Si elle est meritante et qu elle fait du bon lait je la verrais meme avec une belle cloche autour du coup pour la recompenser!

Histoire Erotique
J adore ! Tout simplement j adore!
Alors la, "le diner de con" ( original du nom) n'a qu'a bien ce tenir, car le repas avec hervé promet d etre majestueux!!!

Histoire Erotique
On en reves, Cello le fait!!!
Un vrai plaisir de lire vos histoires, c est tellement exitant.
Cette petite Marie ne demande que ca, hate de voir hervé trop idiot pour voir quelque chose

Histoire Libertine
Oh oui merci de nous regaler d'une suite Monsieur si vous pouviez aussi continuer votre premiere serie ce serait encore plus excitant
Felicitations

Histoire Libertine
woow quelle histoire!!!!
j aimerais tellement etre a la place de Marie !!!
encore maitre!!!

Histoire Libertine
Histoire érotique ??. Plutôt vulgaire et graveleuse ! L'érotisme, le vrai, ce n'est pas çà !!

Histoire Erotique
Superbe histoire
je verrai bien ma femme à la place de marie ( que ce soit dans cette série ou dans votre série précédente)
Bravo , Continuez



Texte coquin : Marie ma nouvelle voisine - 08 - La matinée du Jeudi
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