Le bite d'André

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le bite d'André Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Le bite d'André
André, un copain de régiment se réveille : il passe un cou de fil. Pourtant je ne donne pas souvent ce numéro. Enfin les choses sont comme ça. Ils me reviennent ses souvenirs d’une bite magnifique quand il bandait dès le réveil. Je la regardais comme une erreur de la nature. Surmontant un pubis vachement poilu, sur des couilles énorme, trônait une longue bite. Sans gêne, il attrapait la queue à pleine main pour la caresser. Sa main allait et venait sans cesses, elle descendait le prépuce tout en bas pour le remonter. Il fermait les yeux, pris dans le plaisir. Il ne pouvait arrêter ce qu’il se faisait, jusqu’à l’orgasme. Nous le regardions tous avec soit désir, soit avec envie : elle était belle.
Plus tard dans l’après midi, s’il bandait à nouveau, il demandait à un camarade, son voisin de chambrée de lui prendre la queue pour le masturber. L’autre comme un con acceptait toujours. Dès qu’il faisait gicler André, à son tour il se masturbait : c’était devenu un rite.
Et aujourd’hui André me téléphone !! Je ne sais comment il fait pour connaitre mes orientations. En tout cas, ou, j’aime bien les queues, je les préfère aux vagins aussi mouillées soient-ils. J’ai tourné casaque quand j’avais 30 ans, qu’un vieil ami de la famille, un jour m’a « forcé » à me toucher devant lui. Plein de suffisance je sortais ma queue, je la caressais à peine, pour bander. J’étais étonné du résultat. Je ne pouvais faire autrement que me masturber. Je sentais mieux ma main, mon plaisir était plus fort. Et lui, le con, au lieu de me faire arrêter me regardait, me donnait des louanges. Je me suis laissé embarquer vers l’autre plaisir entre hommes. Il m’a demandé de regarder son anus. Il avait posé un doigt dessus. Il se massait le cul.
Son pantalon est tombé. Je voyais sa queue bien dressée. Le doigt seul sur son anus suffisait pour l’instant. Il s’est approché en me demandant une suite que je ne prévoyais jamais. Il fallait que je mette ma queue contre son anus. Poussé par l’importance, par certaines tentations, j’étais enclin à lui céder ma queue.
Il tendait ses fesses, ouvrait sa raie. Il me faisait envie, envie d’un corps d’homme mur, d’un cul usagé ceraitainement. Je suis venu derrière lui : il n’attendait que ça. Il a pris ma bite, l’a à peine branlé. J’ai glissé dans sa raie. Je me suis un peu baissé. Le cul tombait pile à coté de mon gland. Le prépuce a reculé seul. J’étais peau à peau avec cet homme. Il se poussait vers moi. Je sentais ma queue se durcir encore et encore. Il a écarté un peu plus son entrée. Là j’ai pénétré un corps d’homme favorable. Celui d’un habitué de la sodomie. Il m’a surpris en se baissant complètement en levrette. Il avait sa queue qui bandait, ses couilles qui descendaient, son ventre un peu épais, celui d’un cinquantenaire.
J’étais sorti de lui, il a fallut que je la lui remette encore une fois. Toujours aussi agréable à sodomiser je prenais mon pied dans ce cul usagé. Il savait l’ouvrir, le fermer à volonté. Je pistonnais sans égard, je ne pensais qu’à mon plaisir qui arrivait. Son cul me servait d’instrument, comme ma main. J’ai cru tomber à la renverse quand j’ai compris qu’il jouissait. Il avait des spasmes forts que les miens. Je lui ai tout donné, tout mon foutre. Quand je me suis retiré, il en coulait encore de son cul. Le sien était au sol gluant me semble-t-il
Et André dans tout ça ? Le lendemain il me rappelle pour me demander si j’ai bien enculé son copain. Bien sur, j’ai bien jouis en plus. Alors il me veut comme amant son prochain amant. Il plaisante sans doute, je ne suis pas un homme à homme. Il pense le contraire : quand il me voit, il me prend directement la queue dans la main. Je ne me débats même pas. Il sort mes bijoux de famille, avale la moitié de la bite. Je bande dans sa bouche, il fait descendre le prépuce, sortir le gland. Sa langue lèche le bout un tout petit moment. Il passe une main par derrière ; il me caresse de suite les fesses, puis pour finir le cul. La vache, il me fait du bien. Croyez moi c’est honnête de se sentir ainsi attaquer. Je n’ai qu’un désir : jouir dans sa bouche.
Il me tourne, me tripote les seins, les hanches, le bas ventre. J’ai envie qu’il vienne totalement dans mon anus. Enfin je sens sa grosse queue fouiller mes fesses. Il vient sans détour. Il la pose sur la pastille. Il force un peu : il est en moi. Je le sens dans le cul. Ma queue passe dans sa main. Il me branle doucement en cadence. Je ne sais comment me tenir. Je comprends ma sœur qui dit aimer la sodomie, ce genre d’amour. Je suis une pute, je me donne à une bite formidablement puissante qui défonce mon cul qui me fait mal, et j’aime ça.
Je suis son amant depuis de jour là.















André, un copain de régiment se réveille : il passe un cou de fil. Pourtant je ne donne pas souvent ce numéro. Enfin les choses sont comme ça. Ils me reviennent ses souvenirs d’une bite magnifique quand il bandait dès le réveil. Je la regardais comme une erreur de la nature. Surmontant un pubis vachement poilu, sur des couilles énorme, trônait une longue bite. Sans gêne, il attrapait la queue à pleine main pour la caresser. Sa main allait et venait sans cesses, elle descendait le prépuce tout en bas pour le remonter. Il fermait les yeux, pris dans le plaisir. Il ne pouvait arrêter ce qu’il se faisait, jusqu’à l’orgasme. Nous le regardions tous avec soit désir, soit avec envie : elle était belle.
Plus tard dans l’après midi, s’il bandait à nouveau, il demandait à un camarade, son voisin de chambrée de lui prendre la queue pour le masturber. L’autre comme un con acceptait toujours. Dès qu’il faisait gicler André, à son tour il se masturbait : c’était devenu un rite.
Et aujourd’hui André me téléphone !! Je ne sais comment il fait pour connaitre mes orientations. En tout cas, ou, j’aime bien les queues, je les préfère aux vagins aussi mouillées soient-ils. J’ai tourné casaque quand j’avais 30 ans, qu’un vieil ami de la famille, un jour m’a « forcé » à me toucher devant lui. Plein de suffisance je sortais ma queue, je la caressais à peine, pour bander. J’étais étonné du résultat. Je ne pouvais faire autrement que me masturber. Je sentais mieux ma main, mon plaisir était plus fort. Et lui, le con, au lieu de me faire arrêter me regardait, me donnait des louanges. Je me suis laissé embarquer vers l’autre plaisir entre hommes. Il m’a demandé de regarder son anus. Il avait posé un doigt dessus. Il se massait le cul.
Son pantalon est tombé. Je voyais sa queue bien dressée. Le doigt seul sur son anus suffisait pour l’instant. Il s’est approché en me demandant une suite que je ne prévoyais jamais. Il fallait que je mette ma queue contre son anus. Poussé par l’importance, par certaines tentations, j’étais enclin à lui céder ma queue.
Il tendait ses fesses, ouvrait sa raie. Il me faisait envie, envie d’un corps d’homme mur, d’un cul usagé ceraitainement. Je suis venu derrière lui : il n’attendait que ça. Il a pris ma bite, l’a à peine branlé. J’ai glissé dans sa raie. Je me suis un peu baissé. Le cul tombait pile à coté de mon gland. Le prépuce a reculé seul. J’étais peau à peau avec cet homme. Il se poussait vers moi. Je sentais ma queue se durcir encore et encore. Il a écarté un peu plus son entrée. Là j’ai pénétré un corps d’homme favorable. Celui d’un habitué de la sodomie. Il m’a surpris en se baissant complètement en levrette. Il avait sa queue qui bandait, ses couilles qui descendaient, son ventre un peu épais, celui d’un cinquantenaire.
J’étais sorti de lui, il a fallut que je la lui remette encore une fois. Toujours aussi agréable à sodomiser je prenais mon pied dans ce cul usagé. Il savait l’ouvrir, le fermer à volonté. Je pistonnais sans égard, je ne pensais qu’à mon plaisir qui arrivait. Son cul me servait d’instrument, comme ma main. J’ai cru tomber à la renverse quand j’ai compris qu’il jouissait. Il avait des spasmes forts que les miens. Je lui ai tout donné, tout mon foutre. Quand je me suis retiré, il en coulait encore de son cul. Le sien était au sol gluant me semble-t-il
Et André dans tout ça ? Le lendemain il me rappelle pour me demander si j’ai bien enculé son copain. Bien sur, j’ai bien jouis en plus. Alors il me veut comme amant son prochain amant. Il plaisante sans doute, je ne suis pas un homme à homme. Il pense le contraire : quand il me voit, il me prend directement la queue dans la main. Je ne me débats même pas. Il sort mes bijoux de famille, avale la moitié de la bite. Je bande dans sa bouche, il fait descendre le prépuce, sortir le gland. Sa langue lèche le bout un tout petit moment. Il passe une main par derrière ; il me caresse de suite les fesses, puis pour finir le cul. La vache, il me fait du bien. Croyez moi c’est honnête de se sentir ainsi attaquer. Je n’ai qu’un désir : jouir dans sa bouche.
Il me tourne, me tripote les seins, les hanches, le bas ventre. J’ai envie qu’il vienne totalement dans mon anus. Enfin je sens sa grosse queue fouiller mes fesses. Il vient sans détour. Il la pose sur la pastille. Il force un peu : il est en moi. Je le sens dans le cul. Ma queue passe dans sa main. Il me branle doucement en cadence. Je ne sais comment me tenir. Je comprends ma sœur qui dit aimer la sodomie, ce genre d’amour. Je suis une pute, je me donne à une bite formidablement puissante qui défonce mon cul qui me fait mal, et j’aime ça.
Je suis son amant depuis de jour là.

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Texte coquin : Le bite d'André
Histoire sexe : Une rose rouge
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