sous les jupes
Récit érotique écrit par Mholla [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
sous les jupes
Nous allons nous promener dans le quartier, il fait un beau soleil aujourd’hui. Le bébé dans la poussette dort paisiblement, Martine la pousse doucement en évitant soigneusement les chocs. Parfois l’ombrelle penche un peu et elle stoppe et s’empresse de la redresser avant de continuer son chemin. Elle est vêtue d’un t-shirt jaune et d’une minijupe à petits carreaux bleue et blanc sagement boutonnée devant. Chaque fois qu’elle se penche pour réajuster l’ombrelle on peut découvrir le haut en dentelle de ses bas Dim up et pas mal de gens se sont retournés en nous croisant.
En franchissant un carrefour, je me retourne et je remarque quelqu’un qui nous suit déjà depuis un moment. Il traverse la rue l’air de ne pas s’occuper de nous. Chaque fois qu’elle doit descendre un trottoir ou le remonter c’est un spectacle, Martine doit souvent se pencher pour manoeuvrer la poussette et ensuite redresser l’ombrelle. Si sur le boulevard au milieu du monde, elle faisait un peu attention, cette fois dans les rues désertes elle se penche beaucoup plus et on aperçoit le bas de ses fesses. Le type s’est rapproché et nous suit toujours, se cachant vers les portes d’immeuble si je me retourne. Notre bébé s’est réveillé et elle le sort de la poussette pour l’aider à faire quelques pas. Penchée en tenant les mains de notre enfant, Martine laisse voir généreusement ses fesses sans se préoccuper de sa pudeur. Le type se rince l’œil en la voyant s’occuper de notre bébé. Martine semble ne se douter de rien et continue tranquillement. Enfin nous arrivons dans notre rue, je me retourne et constate à regrets qu’il a disparu. Devant mon air boudeur, Martine me demande ce que j’ai, je réponds que c’est à cause des boutons fermés de sa jupe. Elle déboutonne sa jupe jusqu’à la taille un peu agacée de la voir s’ouvrir dès qu’elle marche avec notre bébé. Elle est peu rassurée car nous sommes dans notre quartier et elle craint à tout moment de croiser un voisin.
Tandis que nous arrivons au pied de notre immeuble, j’aperçois mon complice assis sur la bordure du trottoir entre les voitures juste devant chez nous. Il a pris un autre chemin pour venir nous attendre devant chez nous, je comprends qu’il est du quartier et qu’il savait où nous habitions. Je ne dis rien et je m’approche d’elle, Martine est bien penchée entrain de placer le bébé dans son siège. Je relève sa jupe sur la taille dévoilant ses fesses rondes et nues. Agacée, elle ne bronche pas me demandant de la laisser tranquille quelques instants afin qu’elle termine. Son visage est rouge de honte et elle jette des petits coups d’oeil inquiets derrière elle
Pourtant malgré sa jupe relevée, elle finit d’arranger notre bébé dans la poussette. Le type peut apercevoir ses fesses nues et observe scrupuleusement la croupe offerte. Ayant terminer, Martine se redresse, je lui ordonne de ne pas bouger et lui déboutonne sa jupe. Je l’enlève brutalement pour la mettre sous mon bras. Stupéfiée, elle reste debout sans sa jupe, les fesses nues, je lui ordonne de ne pas bouger. Elle regarde les fenêtres de notre immeuble craignant qu’un voisin la surprenne et elle ne remarque toujours pas notre voyeur, tapis entre les voitures. Le type peut constater qu’elle n’a pas de string et il mate son pubis rasé d’un œil attentif. Très inquiète, elle me demande de pouvoir rentrer dans l’immeuble en promettant de rester sans jupe jusqu’à l’appartement. J’accepte et elle pousse la poussette devant elle, elle ouvre la porte nerveusement et entre vivement s’abriter dans le hall. A ce moment là, je lui tends sa jupe pour qu’elle se rhabille avant de prendre l’ascenseur.
En franchissant un carrefour, je me retourne et je remarque quelqu’un qui nous suit déjà depuis un moment. Il traverse la rue l’air de ne pas s’occuper de nous. Chaque fois qu’elle doit descendre un trottoir ou le remonter c’est un spectacle, Martine doit souvent se pencher pour manoeuvrer la poussette et ensuite redresser l’ombrelle. Si sur le boulevard au milieu du monde, elle faisait un peu attention, cette fois dans les rues désertes elle se penche beaucoup plus et on aperçoit le bas de ses fesses. Le type s’est rapproché et nous suit toujours, se cachant vers les portes d’immeuble si je me retourne. Notre bébé s’est réveillé et elle le sort de la poussette pour l’aider à faire quelques pas. Penchée en tenant les mains de notre enfant, Martine laisse voir généreusement ses fesses sans se préoccuper de sa pudeur. Le type se rince l’œil en la voyant s’occuper de notre bébé. Martine semble ne se douter de rien et continue tranquillement. Enfin nous arrivons dans notre rue, je me retourne et constate à regrets qu’il a disparu. Devant mon air boudeur, Martine me demande ce que j’ai, je réponds que c’est à cause des boutons fermés de sa jupe. Elle déboutonne sa jupe jusqu’à la taille un peu agacée de la voir s’ouvrir dès qu’elle marche avec notre bébé. Elle est peu rassurée car nous sommes dans notre quartier et elle craint à tout moment de croiser un voisin.
Tandis que nous arrivons au pied de notre immeuble, j’aperçois mon complice assis sur la bordure du trottoir entre les voitures juste devant chez nous. Il a pris un autre chemin pour venir nous attendre devant chez nous, je comprends qu’il est du quartier et qu’il savait où nous habitions. Je ne dis rien et je m’approche d’elle, Martine est bien penchée entrain de placer le bébé dans son siège. Je relève sa jupe sur la taille dévoilant ses fesses rondes et nues. Agacée, elle ne bronche pas me demandant de la laisser tranquille quelques instants afin qu’elle termine. Son visage est rouge de honte et elle jette des petits coups d’oeil inquiets derrière elle
Pourtant malgré sa jupe relevée, elle finit d’arranger notre bébé dans la poussette. Le type peut apercevoir ses fesses nues et observe scrupuleusement la croupe offerte. Ayant terminer, Martine se redresse, je lui ordonne de ne pas bouger et lui déboutonne sa jupe. Je l’enlève brutalement pour la mettre sous mon bras. Stupéfiée, elle reste debout sans sa jupe, les fesses nues, je lui ordonne de ne pas bouger. Elle regarde les fenêtres de notre immeuble craignant qu’un voisin la surprenne et elle ne remarque toujours pas notre voyeur, tapis entre les voitures. Le type peut constater qu’elle n’a pas de string et il mate son pubis rasé d’un œil attentif. Très inquiète, elle me demande de pouvoir rentrer dans l’immeuble en promettant de rester sans jupe jusqu’à l’appartement. J’accepte et elle pousse la poussette devant elle, elle ouvre la porte nerveusement et entre vivement s’abriter dans le hall. A ce moment là, je lui tends sa jupe pour qu’elle se rhabille avant de prendre l’ascenseur.
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