A l'hopital

- Par l'auteur HDS Kiteuf35 -
Récit érotique écrit par Kiteuf35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : A l'hopital Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(7.0 / 10)

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A l'hopital
Mon séjour à l’hôpital
J’avais dix-sept ans lorsque j’ai eu un grave accident, résultat : hospitalisation, alité pendant trois mois, fauteuil roulant six mois mais toujours à l’hôpital. Pendant que je suis alité j'imagine des histoires de copines qui me sucent parce que je joue la carte du malheureux qui n’a plus de fréquentation et que dans l’état où je suis cela n’ait plus possible, je leur avoue que je suis contraint de me masturber dans des mouchoirs la nuit tombée etc. ..
J'ose alors tester mon baratin et un phénomène extraordinaire se produit : les bonnes filles qu’elles sont, se sentent investi d’une mission de secours ou d’infirmière, peut être de pitié aussi, enfin cela marche et j’en profite !
L’histoire que je veux vous compter se passe la nuit dans cet hôpital, je vous passe les histoires croustillantes entre les docteurs, infirmières, aide-soignant, tout ce petit monde de la nuit hospitalière ne s’ennuie pas ! Pour ma part après ma sortie nocturne non autorisée sur mon fauteuil je rentre dans ma chambre bien décider à me branler en pensant à ces femmes qui se penchent pour nous dévoiler leur décolleté, leur marque de string, de culotte brésilienne, et pour les plus sages des sous-vêtements en coton blanc, donc je m’installe, laisse la veilleuse allumée ferme les yeux et commence mon jeu solitaire, mon pénis gonfle doucement, je crache dans la paume de ma main pour enduire ma colonne, je me masturbe comme une petite salope qui passe me voir les après-midi après leurs cours... je suis bien, je sens la jouissance qui monte le point de non-retour est là, mais la porte s’ouvre... Je remets le drap en un temps éclair, je ferme les yeux faisant semblant de dormir, c’était l’infirmière de nuit pour la piqure, elle fait silence pour ne pas me réveiller, elle s’approche du lit et tire le drap jusqu’à mon bas-ventre, mon pénis étant en érection gêne la descente du tissu. Sans réfléchir la femme insiste et découvre ma bite au garde-à-vous. Je ne bouge pas, mon cœur bat très fort, ladite demoiselle lâche un « d’accord », me pique, me recouvre et en sortant ajoute bonne nuit.
Je ne savais plus où me mettre, le lendemain je questionnai les infirmières de jour pour avoir des infos sur la belle de nuit, on me répond que c’est la nouvelle qui remplace la titulaire partie en congé maternité. Le soir même je m’efforce de ne pas dormir pour attendre ma piqueuse, je fantasmai sur sa silhouette, ces cheveux, ces formes que j’imaginais généreuses, mais je m’endormis avant qu’elle ne passe, je me réveillai en sentant l’aiguille, j’ouvre péniblement les yeux et là j’aperçois une créature divine, elle était blonde, joli visage, un corps athlétique, dans le décolleter de sa blouse d’infirmière une poitrine qui pourrait faire bander un mort, à peine je veux lui dire un mot qu’elle se retourna pour sortir de la pièce.
Zut ! Raté, ce soir je serais plus vaillant et attendrai sa venue...
La nuit tombée je me prépare à recevoir mon invité imposée, je relève mon lit, zappe de chaine en chaine, tombe sur une émission érotique de nuit, je la regarde bien sûr et me mets à bander, je glisse ma main sous les draps et me touche la verge, je vous le donne en mille, elle entre, oups ! je lui dis que je ne suis pas disponible et dois repasser plus tard, elle me répond qu’elle n’a pas que çà à faire et s’approche de moi en regardant la télévision, je ne vous dis pas la honte à dix-sept ans se faire prendre à se masturber ! Enfin la blonde agrippe le couvre lit et le tire vers le bas et bien sûr découvre ma colonne raide, j’ai vu dans ces yeux qu’elle l'avait fait exprès et pour ne pas perdre la face je lui dis « vous avez insisté ». Elle prépare la seringue et en me piquant répond « faut pas vous inquiéter, dans mon métier on voit de tout et on se doute bien qu’un jeune homme qui reçoit des filles dans l’après-midi ne joue pas aux cartes avec. » je la regarde interrogateur elle poursuit qu’elle aime bien savoir à qui elle a faire et que dans le service je suis le beau gosse qui reçoit beaucoup de filles. Je reste bouche bée en la regardant sortir, les soirs suivants nous échangeons des banalités.
Au bout d’un moment nous commençons à parler de nos vies, à mon habitude je déconne sur notre première rencontre qui n’était pas habituelle, je souligne que je fais plus attention quand l’on vient me soulager, parfois c’est elle qui demande si j’ai eu de la visite, je rétorque pas aujourd’hui, j’attendais que tu passes pour me délester, enfin les échanges se faisaient de plus en plus précis, plus émoussé et surtout plus sexy.
Jusqu’un soir après quelques paroles aux allusions sexuelles, elle sortit en disant : dommage... Je lui avais dit qu’elle ne me surprendrait plus à me branler.
Alors un jeu commença entre nous, le premier soir je fin de dormir avec la main sur ma bite, elle ricana, le deuxième je bandais plus que la veille, elle souriait, et ajoutait que c’était mieux, je ne pouvais m’empêcher de rire aussi et lui dit qu’elle aussi elle devait jouer avec moi, le soir suivant elle arriva la blouse très ouverte et se pencha pour me dévoiler sa poitrine, je bandais très fort, le lendemain le vêtement était aussi bien ouvert et il n’y avait plus de sous-vêtements me dévoilant ses seins ronds et fermes, lorsqu’elle se pencha pour me piquer je lui mis la main dans son décolleté, elle dit « TE TEU ! Tu vas me déconcentrer. »
Et la nuit tant attendue arriva, elle entre se dirige vers le lit, je bande déjà, je place ma main sur le coin du lit de façon à ce qu’elle s’appuie dessus pendant son ouvrage, elle ne bouge pas, attend, j’articule les doigts et je sens sa vulve à travers sa blouse et sa culotte, elle se retire, je me dis que c’est raté, mais elle revient avec un coton enduit d’alcool se replaçant au même endroit, ma main reprend de suite son jeu de marionnette, elle me caresse avec son coton très doucement, plus je la chatouille plus elle s’approche de ma bite, lorsque je passe entre deux boutons et lui écarte le sous-vêtement pour lui introduire le majeur dans sa vente humide elle saisit ma bite et me dit « ce soir, c’est moi qui m’occupe de toi. » Là elle dirige sa bouche vers ma queue et l’englouti la ressort en bavant dessus pour l’enduire, elle me branle me suce, je jouis très vite dans sa boîte à sucette, elle avale le tout se retourne et me dit : je finis ma tournée et je reviens, soit prêt à me baiser.
Lorsqu’elle revient je m’étais endormi, la délicate demoiselle s’est approché doucement, glisse sa main sous le drap, saisi ma queue ramollie et commence à me branler, je sens une agréable sensation, j’ouvre les yeux et je la vois la blouse ouverte se caressant la chatte lorsqu’elle voit que je suis réveillé elle tire sur le drap, ma bite apparaît raide comme la justice, elle l’engloutit en un seul coup la ressortit de sa bouche et me dit qu’elle a le minou qui lui brule tellement elle a envie de se faire défoncer, je lui réponds de grimper sur le lit et de m’enjamber pour s’empaler sur mon pieux, vu que j’ai un plâtre du bout des orteils au haut de la cuisse, elle bouche son bassin en avant en arrière, je la sens bien, elle me dit que je suis profond en elle, d’un bond elle inverse la position. Maintenant j’ai son dos en visuel et je remarque une tête de lapin playboy tatoué en bas des reins, cela m’existe encore plus, elle a saisi le barreau du lit et monte, descend sur ma queue, ce qui la fait gémir de plaisir, elle jouit en silence en couinant pour ne pas faire de bruit et continu son va et vient lentement ce qui me fait jouir à mon tour.
Pendant ce séjour à l’hôpital mes nuits furent longues et les jours plus courts.

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