Découvertes (épisode N°03)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Découvertes (épisode N°03) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Découvertes (épisode N°03)
DÉCOUVERTES (épisode N°03)

Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans a sa libido au plus bas, des problèmes de prostate dû à son âge et à son embonpoint l’empêchent de remplir ses devoirs conjugaux. En un mot il ne bande plus. Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Paul devine que sa sensualité réclame des preuves physiques et concrètes. Elle assure bien son mari de son amour indéfectible, mais il pressent qu'elle voudra un jour prendre un amant. Ses masturbations solitaires qu'il peut observer lorsqu'elle croit qu'il est endormi ne lui suffiront bientôt plus. Sur le principe, il ne serait pas contre, mais s'il y a adultère, il préférerait y participer, même et surtout comme voyeur.

Il persuade son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée afin de donner le change à son amant d’occasion. Elle accepte avec réticence, mais se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément.

À partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.


III

MASTURBATION MONDAINE ET VIOL DES PAYSANS


Par la suite, Paul révèle à Marie-Ange son souhait de la voir se masturber devant un ou plusieurs inconnus ou même devant d’autres couples. Celle-ci conteste cette proposition, pensant que depuis quelque temps, elle en a déjà fait beaucoup, mais là, il lui demande une chose à laquelle elle ne se sent pas d'aptitude particulière. Passive, elle accepte de faire voir son intimité, de se faire toucher, de se faire caresser et même de se faire prendre dans son sexe, d’accord. Mais jusqu'ici, soit elle avait les yeux bandés ou alors elle jouait l’endormissement, à moins d'être forcée comme dans les toilettes du café ou bien au cinéma, avec d'ailleurs l'assentiment de son polisson de mari et sans qu'elle voit ses partenaires. Mais elle se sent complètement incapable d'avoir des initiatives et de se donner elle-même en spectacle. Paul doit beaucoup insister et user d'arguments très convaincants pour qu'elle accepte de faire un essai. Pour échafauder son plan, il utilise Internet et ses multiples annonces coquines. Après de nombreux échanges de mails, il sélectionne deux correspondants qui lui paraissent remplir les conditions qu'il espère.

Le premier est un couple dont la femme Inès est presque frigide, elle ne peut jouir que par sa masturbation solitaire. La vue d'une autre femme se prêtant à la même activité décuple son imagination et ses fantasmes et l'aide à se satisfaire. Si elle ne veut pas avoir de rapports avec d'autres, elle autorise malgré tout que le mari de la femme qu'elle contemple soit présent, c'est la seule concession qu'elle accepte. Son mari Grégory peut bien sûr assister, mais il ne doit ni la caresser, ni la pénétrer, ni s'occuper d'une autre partenaire. Marie-Ange, après bien des hésitations accepte d'aller chez ce couple bizarre. Elle n'a heureusement pas les mêmes inhibitions que cette femme, mais si cela fait plaisir à Paul qu'elle s'exhibe devant ces inconnus, après tout elle a déjà montré son sexe si souvent depuis quelque temps. Il lui faudra seulement se caresser et peut être même s’abandonner en laissant voir sa jouissance devant une femme qui fera comme elle et un homme qui ne pourra qu'admirer ses jambes et sa chatte, qu'elle se promet d'ailleurs de mettre en valeur ce jour-là.

Un soir donc, Paul et Marie-Ange se présentent devant un immeuble du boulevard Haussmann. Après avoir donné leurs noms dans un parlophone, ils accèdent par un ascenseur qui les mène au cinquième étage dans un appartement cossu et bourgeois de ce boulevard bien connu du VIIIe arrondissement de Paris. L'homme qui les reçoit porte une veste d'intérieur en Cachemire et paraît avoir une quarantaine d'année. Il a le cheveu rare, et, avec sa grosse moustache, il ressemble au major Thomson. En effet, il a une manière très britannique de se comporter. Il introduit le couple dans un salon, lui aussi meublé et décoré dans le style Victorien de la vieille Angleterre. Son épouse les accueille avec un air très réservé, et même un peu pincé. Elle porte une robe longue en velours de satin de forme très ample et de couleur grenat, son décolleté carré est recouvert d'un voile noir à peine transparent. Elle est brune, ses cheveux, ramenés en chignon sévère sont noirs de jais. Ses yeux sont assortis eux aussi à sa chevelure. Elle peut avoir quarante ans au plus et a un type hispanique très prononcé.

Après les salutations d'usage et l'offre de coupes de champagne, les deux couples s'installent dans des bergères profondes disposées l'une en face de l'autre à trois mètre de distance, sans aucune table pour les séparer. Inès ne dit pas un mot, elle est complètement refermée sur elle même et regarde dans le vide, hautaine. Grégory s'agenouille au pied de sa femme, puis, commençant par le bas de sa robe, il dégrafe un à un la bonne quarantaine de petits boutons qui la ferme jusqu'à la taille. Ensuite il rabat chaque pan de la jupe, découvrant les jambes de son épouse, qui, il faut bien l'avouer, sont admirables. Elles sont gainées par des bas de soie violet attachés à un porte-jarretelles rose. Sa peau très brune contraste sur les sous-vêtements roses, accentuant encore plus la vision de cette présentation très érotique.

Grégory, après avoir laissé un certain temps ses hôtes se régaler de cette vision mirifique prend à deux mains la culotte de satin rose, la faisant glisser lentement jusqu'au sol, puis il la dégage des pieds de son épouse et lui retire ses escarpins en velours violet. Ensuite, il lui écarte ses genoux vers l'extérieur, faisant s'entrouvrir ses cuisses, dévoilant ainsi entièrement le sexe de sa femme. La chatte est très glabre, sauf sur le mont de vénus où une touffe de poils très noirs est taillée en triangle. Les grandes lèvres sont très brunes, bleu foncé presque violet, on aperçoit un filet rouge sang entre ses lèvres à peine entrouvertes, le vagin palpite spasmodiquement et les jambes tremblent un peu. Sous son apparence très froide, cette femme laisse transparaître une sensualité certaine.

Grégory se relève alors, et demande à Paul, si Marie-Ange, peut elle aussi, laisser voir son intimité. Celui-ci acquiesce silencieusement et se met en mesure de déshabiller son épouse. Marie-Ange porte une robe en crêpe noire à plis, avec des jupons vaporeux en dessous alors qu'un décolleté pigeonnant met en valeur ses seins proéminents. Paul ne peut comme Grégory dévoiler les jambes de Marie-Ange, sa robe se dégrafant dans le dos. Aussi, il la fait mettre debout et il lui enlève sa robe en la lui passant par-dessus sa tête. Elle se retrouve en soutien-gorge de satin noir et en jupon de dentelle blanche. Puis il fait glisser doucement le jupon jusqu'à ses pieds.

Marie-Ange est maintenant revêtu de son soutien-gorge, de sa culotte et du porte-jarretelles, ces trois accessoires affriolants confectionnés en satin noir. Ses bas fumés mettent en valeur ses jambes toujours aussi magnifiques. Elle se rassoit sous la pression des mains de Paul qui maintenant fait glisser sa culotte noire au bas de ses jambes. Comme Grégory, Paul écarte alors les genoux de sa femme, faisant apparaître la vulve complètement rasée, les grandes lèvres se sont désunies alors que son pertuis laisse suinter un peu de mouille. C'est le résultat de l'excitation qui depuis un moment a gagné Marie-Ange.

Inès regarde avec passion cette vulve palpitante qui est à hauteur de ces yeux et si proche. Ses mains viennent naturellement se disposer de chaque côté de son sexe en écartant les grandes lèvres. La vulve rouge sang jaillit devant les yeux attentifs et émoustillés des trois spectateurs. La main droite d'Inès caresse son mont de vénus alors que lentement un doigt effleure l'entrée du vagin où un second doigt décapuchonne le clitoris devenu turgescent et le fait vibrer avec le premier doigt qui a rejoint le second, pressant énergiquement le bouton, l'écrasant presque. Les jambes d'Inès se referment et s'ouvrent convulsivement, elle agite ses doigts de plus en plus violemment et râle longuement sa jouissance en gardant sa main enserrée comme dans un étau dans ses cuisses refermées comme une pince. Son corps a des soubresauts voluptueux et se détend d'un seul coup comblé. Puis, elle refait surface lentement, son regard étant fixé sur l'entrejambe de Marie-Ange qui est restée dans la même position, ses cuisses bien disjointes, offrant son bas-ventre aux regards du couple assis en face d'elle.

Marie-Ange comprend que c'est à elle de se produire. Elle n'a plus d'inquiétude, le spectacle que cette femme si froide lui a offert l’a aiguillonné, aussi elle a bien l'intention de lui faire voir qu'elle aussi elle sait se faire jouir seule avec ses doigts. Elle effleure doucement son mont de vénus, puis avec les doigts tendus de la main droite, elle frotte rapidement cet endroit qui la fait fondre de plaisir, son petit doigt vient titiller son clitoris, pendant ce temps, les doigts de sa main gauche fouillent son vagin dégoulinant de mouille. Elle ralentit ses caresses, les arrêtent même, et reprend de plus en plus vite. L'alternance de ses attouchements et la vigueur qu'elle met à explorer sa vulve largement ouverte la font se trémousser en tous sens. Bientôt, elle bredouille des mots sans suite, le plaisir délectable et phénoménal qu'elle retire de sa masturbation la faisant divaguer. Elle s'écroule soudain dans un orgasme bouleversant et brutal et reste prostrée, immobile, étendue les jambes grandes ouvertes, affalée dans sa bergère et offrant au couple ébahit sa chatte impudique et frémissante.

Inès à la stupéfaction de son mari et de Paul se relève d'un bond et vient s'agenouiller entre les cuisses de Marie-Ange. Appliquant sa bouche sur la vulve béante, elle dévore avidement ce sexe si désirable. Marie-Ange a des soubresauts frénétiques, des orgasmes successifs la soulèvent, elle pousse des petits cris de jouissance, demandant à la femme d'arrêter, qu'elle n'en peut plus, mais celle-ci la broute jusqu'à l'épuisement de Marie-Ange qui s'effondre anéantie. Inès qui a repris ses esprits se relève et quitte la pièce sans un mot.

Marie-Ange se relève et se rhabille, puis, se rafraîchit dans la salle de bain. Grégory s’excuse auprès de Paul de l'attitude étrange de sa femme. Peu après, le couple prend congé sans avoir revu Inès. Ils commentent en rentrant chez eux le comportement étrange de cette femme. Marie-Ange avoue être bien mieux dans sa peau qu'Inès et de sa fausse pudibonderie. Elle n'a plus aucun préjugé à prendre du plaisir surtout ce soir où elle a joui sans aucune honte, au contraire elle est pleinement satisfaite de la jouissance qu'elle s'est donnée et qu’elle a reçu.

Marie-Ange n'a plus maintenant de raison pour refuser à son mari de se masturber devant des étrangers, elle y prend même un certain plaisir. Le souvenir du spectacle de cette femme si rigide et si hautaine, se tripotant son sexe devant eux, lui donne même une bouffée de chaleur. La semaine suivante, quand Paul lui propose une autre expérience, elle accepte sans hésiter. Le soir venu, elle prépare son corps à se dévoiler, cette fois devant deux couples qui se masturberont devant eux ensemble. Les hommes devront branler leur verge, pendant que leurs femmes se titilleront leur clitoris et se fouilleront leur vulve, afin de prendre leur pied ensemble. C'est ce que l'annonce du Minitel a précisé, il y a quelques jours.

Ils ont rendez-vous en banlieue ouest près de Vaucresson, en bordure du Bois des Fausses Reposes. La propriété où ils s'introduisent vers vingt-deux heures date du début du siècle. La grande bâtisse à colombages comprend des toits d'ardoises qui débordent sur les murs indiquant qu'elle est de pure tradition normande. Un grand parc, clos de hauts murs en fait le tour et les frondaisons du bois donnent jusque dans la vaste propriété. Il y a deux grosses berlines arrêtées près du perron en fer à cheval.

Lorsqu’ils descendent de voiture, un homme d'une trentaine d'année environ vient les accueillir. Il est blond, porte un sweater bleu sur une chemise blanche à col ouvert et un pantalon de tweed gris. Il se présente comme le maître de maison et dit se prénommer Gérald. Il invite le couple à le suivre. À sa suite, ils pénètrent dans un large vestibule qui donne dans une très grande pièce de séjour meublée avec goût. Deux femmes et un homme devisent ensemble debout près d'une cheminée, où des bûches se consument en lançant des étincelles, les flammes se convulsant, lançant des lueurs étranges sur les murs environnants. Gérald fait les présentations.

- Béatrice mon épouse, Yolande et Didier des nouveaux amis, comme vous, nous sommes en train de faire connaissance.

Béatrice est adorable, elle est blonde comme son mari avec des yeux bleu violet, elle a des cheveux gonflés, très frisés, coupés court. Elle a moins de trente ans certainement, elle porte un caraco en soie bleu turquoise transparent, ses seins libres de tout soutien-gorge tendent la soie à la craquer, d'une grosseur moyenne, ils sont bien ronds et paraissent bien fermes. Pas très grande, elle est bien en chair avec quelques bourrelets, sa minijupe blanche très serrée soulignant ses larges hanches et ses fesses un peu fortes. Elle est très souriante et d'un abord très agréable.

Yolande est plus mince et plus grande. Sa grande chevelure ondulée qui lui descend presque jusqu'aux reins est d'un ton roux auburn. Ses yeux sont vert émeraude, et, malgré sa carnation de rousse, elle n'a que très peu de taches de rousseur. Elle a par contre trente-huit ou quarante ans et se montre plus réservée que Béatrice. Elle porte une robe de soie sauvage de couleur vert pomme. Deux fines bretelles retiennent le haut de la robe très décolleté sous laquelle ballottent deux petits seins en poire qui se promènent librement lorsqu'elle se penche vers un interlocuteur. Elle a, malgré sa minceur, des jambes et des cuisses un peu fortes mais bien galbées. Sa robe est transparente et son corps se dessine admirablement pour la plus grande joie des hommes présents à cette soirée. Didier porte bien sa quarantaine, il est rasé entièrement, avec le crâne bien bronzé, il est légèrement corpulent mais moins que Paul tout de même. Il porte lui aussi un sweater, de couleur noire sur un pantalon de même couleur. Paul qui a une veste en tweed en profite pour la retirer restant ainsi en polo noir, son pantalon étant noir lui aussi.

Marie-Ange pour cette circonstance, a voulu mettre ses jolies jambes en valeur. Elle a donc passé une jupe droite d'un tailleur noir, qui lui arrive à mi-cuisses, pas trop mini tout de même. Sur son body transparent en soie noire elle a mis sa veste de tailleur de même couleur. Lorsque sa veste est boutonnée sa tenue est on ne peut plus convenable et distinguée, mais lorsqu'elle ouvre le tailleur ses seins lourds explosent sous la soie transparente du body. Bien entendu, elle n'a pas mis de soutien-gorge comme les deux autres femmes. Béatrice serviable et souriante lui demande de retirer d'ailleurs sa veste permettant aux hommes présents de reluquer sans vergogne ses seins si tentants, car ce sont certainement les plus volumineux des trois femmes réunies ce soir. Ayant chacun un verre dans la main, les six nouveaux complices s'installent sur des canapés qui forment un "u". De cette façon, chacun se voit parfaitement. Gérald leur dit sa satisfaction de les voir réuni pour la première fois ce soir et annonce le déroulement des festivités.

- Chers amis et amies, nous sommes très heureux Béatrice et moi-même de vous recevoir. Vous savez que l'érotisme est notre principale préoccupation et que nous aimons nous exhiber entre gens de bonne compagnie. Nous nous masturberons donc devant vous et nous souhaitons que vous en fassiez autant. Nous ne désirons pas faire d'échanges entre couples, notre satisfaction personnelle nous suffit, aussi nous vous demandons de respecter cette clause impérative. Bien sûr, nous prendrons un grand plaisir à admirer les parties génitales de nos compagnes et de nos compagnons. Nous allons commencer mon épouse et moi-même si vous le voulez bien.

Ce disant, Gérald dégrafe sa braguette et en sort une verge imposante qu'il masturbe entre ses doigts, décalottant et recouvrant le gland turgescent. Son épouse Béatrice retrousse à peine sa minijupe tellement celle-ci dévoile jusqu'au plus haut de ses cuisses. Elle retire une petite culotte de satin blanc et expose à la vue de tous une minette recouverte d'un léger duvet blond, attestant ainsi sa couleur de cheveux naturelle. Elle se caresse lentement sa chatte et introduit un doigt dans l'ouverture de son vagin. Didier et Paul ne voulant pas se singulariser, mettent flamberge au vent et entretiennent leur érection, juste assez pour ne pas débander. Yolande a trouvé plus pratique de retirer sa robe légère, ses petits seins en poire pointent vers le ciel, alors que sa culotte enlevée laisse découvrir une chatte garnie d'une belle touffe de poils roux, plus clairs que sa chevelure. Elle s'attaque elle aussi à son vagin car apparemment elle n'est pas clitoridienne, elle enfouit rapidement plusieurs doigts à l'intérieur de sa vulve qu'elle agite violemment.

Marie-Ange n'est pas restée inactive, retroussant sa jupe jusqu’au nombril, elle a vivement retiré son slip noir, puis, s'allongeant sur les coussins du canapé tout en gardant ses pieds sur le tapis elle écarte largement ses cuisses, et, avec ses mains, elle ouvre son vagin imberbe afin que tout le monde voie sa vulve déjà imbibée de sa mouille. Ensuite, saisissant son clitoris entre deux doigts, elle le triture en tous sens, un premier orgasme ne tarde pas à onduler dans son ventre et elle halète de plaisir. Il est à remarquer qu'elle offre un spectacle magnifique d'érotisme pervers s'approchant intégralement de la pornographie la plus pure. Reprenant ses esprits, elle reprend vite ses activités masturbatoires, farfouillant d'une main dans son vagin pendant qu'elle introduit le majeur de l'autre main dans son anus. Dans ce dessein, elle a basculé ses jambes sur sa poitrine et son cul et sa chatte sont amplement exposés. Paul est étonné de cette exhibition lubrique. Marie-Ange ne l'a pas habitué à ce déchaînement. Il constate qu'elle est de plus en plus libérée sexuellement et prend apparemment beaucoup de plaisir à se montrer tout en excitant les spectateurs. Ceux-ci d'ailleurs se font aussi un grand plaisir en s'astiquant qui la queue, qui la chatte, sans interruption.

Didier n'a pu retenir son éjaculation, excité par la vue des agissements licencieux de Marie-Ange, il a trop violemment agité sa verge. Yolande en regardant Marie-Ange a elle aussi fait pénétrer un doigt dans son derrière, tout en continuant à se gamahucher la moule. Béatrice gémit de bonheur, elle a déjà eu trois orgasmes consécutifs en se frottant furieusement son petit bourgeon rose. Gérald est comme Paul, il garde son calme et il astique calmement sa verge volumineuse. Les trois femmes, après avoir joui leur content, restent étendues sur les canapés reprenant leur souffle. Béatrice et Marie-Ange, ont enlevé leur jupe pour être plus à l'aise. Toutes les trois ne portent plus qu'un seul vêtement si l’on peut dire, leurs bas, plus ou moins foncés, le haut du bas formant jarretière ce qui permet de ne pas mettre de porte-jarretelles. Pour le reste, elles sont complètement nues, formant un tableau évocateur vraiment charmant.

Gérald a servi du champagne à tous les convives, et il indique maintenant la suite du déroulement du programme souhaité. À tour de rôle, chaque femme se fera masturber par les doigts et la langue de son mari. Lorsqu'elle aura bien joui, elle fera une fellation à son époux. Bien sûr, les deux autres couples pourront contempler à chaque fois les agissements du couple en scène. À propos de scène, cette représentation se fera sur une grande table ronde de deux mètres de diamètre garnie d'un rembourrage confortable, la particularité de cette table est qu'elle n'a qu'un gros pied central dans lequel est incorporé un moteur électrique silencieux qui la fait tourner très lentement. Le plateau se trouve à soixante centimètres du sol, ce qui permet aux couples présents de pouvoir admirer sous toutes les coutures et en gros plan les corps mis en situation.

La première qui s'expose est bien sûr la maîtresse de maison. Elle monte sur la table et se dispose sur les genoux, ces derniers tournés vers l'extérieur. Son pubis, où quelques poils blonds batifolent, laisse apercevoir une petite vulve rose qui attire la convoitise des hommes présents. Son mari se glisse sur le dos en dessous d'elle, sa tête faisant face à son entrejambe. Délicatement, il entrouvre avec ses doigts le minuscule vagin de sa femme et il darde sa langue dans son joli minet. Il le lèche de bas en haut, sa langue s'entortille autour du capuchon du clitoris, et, en le titillant, découvre un mignon bouton rose qu'il gobe entre ses lèvres et qu'il suce ardemment.

Béatrice ne tarde pas à éprouver un premier orgasme, elle se laisse aller en arrière tout en tenant la tête de Gérald dans ses mains pour qu'il continue à la mignoter. Celui-ci se redresse, son épouse étant maintenant sur le dos, il prend dans une coupelle garnie de nombreux pénis artificiels un godemiché en latex très réaliste, il actionne le bouton commandant le vibrateur et il enfonce doucement l'engin dans la matrice accueillante de sa femme. Celle-ci a des spasmes violents, la jouissance la submergeant, elle lui crie d'arrêter, puis de continuer. Après plusieurs orgasmes, elle s'écroule épuisée. Gérald alors lui présente son pénis devant son visage. Elle absorbe le membre de son mari dans sa bouche et le fait glisser entre ses lèvres serrées en le tenant d'une main ferme le gland étant complètement décalotté. Sa langue virevolte autour de la hampe violacée. Béatrice sent les soubresauts qui agitent la verge de son mari, elle a sorti le gland de sa bouche lorsque Gérald lâche par saccades son sperme qui coule le long de la bouche fermée et sur le visage de son épouse. De toute évidence Béatrice n'aime pas avaler le foutre, mais elle est vraiment douée pour les fellations. Les quatre autres applaudissent. Béatrice se nettoie et descend de la table aidée par son mari. C'est maintenant au tour de Yolande et de Didier de se produire. Ils montent à leur tour sur la table.

Didier s'allonge sur le dos, pendant que Yolande se positionne à califourchon au-dessus de lui. Elle fait ainsi admirer ses très belles cuisses, un peu fortes, surmontées par un cul bien rond et ferme au-dessous duquel s'ouvre son vagin niché dans une forêt de poils roux bouclés. La langue de Didier a du mal à se frayer un passage dans cette broussaille qu'il humecte abondamment. Sa langue va-et-vient du clitoris à la rosace plissée de l'anus. Pendant que sa langue visite le vagin entrouvert, il a pris d'une main un petit godemiché en plastique dur et il le pousse inexorablement dans le rectum qui se dilate sous sa poussée énergique. Une fois le god au plus profond des entrailles de Yolande il actionne le bouton-poussoir du moteur électrique. Le phallus artificiel se met à vibrer aux confins du fondement de sa femme, pendant que sa langue et sa bouche dévorent la chatte en feu. Yolande agite son cul violemment et pousse des soupirs rauques, elle se triture ses petits seins en poire, tordant les pointes à en hurler. Elle a un orgasme interminable, délirant des mots sans suite. Soudainement sa position le lui permettant, elle saisit le sexe de son mari et l'engloutit dans sa bouche, pompant activement ce vit jusqu'à l'éjaculation qui ne tarde guère et aspirant le foutre à grandes lampées. Ce déchaînement prend bientôt fin, car elle s'affale sur son mari, exténuée par cette chevauchée effrayante. Après ces deux exhibitions fantastiques, tout le monde prend du repos avant la phase finale. Le champagne coule de nouveau à profusion, les deux femmes et les deux hommes récupèrent leurs forces.

Marie-Ange est un peu inquiète de la prestation qu'elle va devoir donner car c’est la plus âgée des trois. Essayant d'oublier qu'elle va se donner en spectacle elle dispose deux petits poufs sur la table et elle s'allonge dessus en posant ses jambes ouvertes en équerre sur la table. Il est difficile de s'offrir avec autant d'impudeur. Son sexe est dilaté par l'excitation des spectacles précédents offrant ainsi aux regards concupiscents la mouille s’écoulant abondamment sur ses cuisses. Paul se met à genoux sur la table et bouffe littéralement la chatte détrempée de son épouse. Il prend son clitoris entre ses dents et le mordille par à coups, il mord aussi les grandes lèvres et l'intérieur du vagin. Marie-Ange est comme folle, elle braille sa jouissance qui se mêle à la légère douleur des morsures. Paul prend deux nouveaux godemichés en latex dans la coupelle. Le plus gros, il l'introduit dans le vagin grand ouvert, puis il présente le plus petit devant le fessier qu'il a humecté de sa salive auparavant. Il force l'entrée du conduit rectal et transperce l'anneau du sphincter qui d'abord se contracte, puis, Marie-Ange ayant une prédilection pour la double pénétration de godes, elle se prête au va-et-vient qui glisse sur ses parois rectales et vaginales. Paul agite, fouille, farfouille, explore, sonde, creuse, transperce, défonce la matrice et le fondement de son épouse. Elle hurle qu'elle va mourir, que c'est trop bon, que c'est un salaud, qu'elle n'en peut plus, mais qu'il continue. Toute pantelante sur ses poufs, la vulve bavant de mouille, une avalanche de jouissance la submerge et la fait défaillir. Paul ne la laisse pas en paix. Il vient au-dessus d'elle et il lui enfourne sa queue dans la bouche. Elle n'a plus la force de le pomper, tout juste peut-elle serrer ses lèvres sur le mandrin de son mari. Celui-ci la pistonne comme s'il la baisait, et, rapidement, ne pouvant plus se contenir, il décharge sa semence par saccades dans la bouche hospitalière. Marie-Ange avale le tout, un peu de foutre coulant de la commissure de ses lèvres jusqu'à sa poitrine. Pour finir, elle enduit ses mamelons avec le foutre, qui dégouline et sa propre liqueur qu'elle recueille dans son vagin.

Béatrice et Yolande ainsi que Gérald et Didier applaudissent la prouesse de cette cavale voluptueuse. Chacun se rajuste et termine la soirée en se racontant les uns aux autres leurs fantasmes et quelques situations scabreuses qu'ils ont déjà vécues.

Dans les semaines qui suivent, Paul et Marie-Ange refont l’amour de nouveau normalement, avant tout en se rappelant leurs dernières aventures, particulièrement le viol du garçon de café dans les toilettes et les deux jeunes qui ont forcé Marie-Ange avec l'assentiment de Paul dans le cinéma. Ils en viennent à échanger leurs fantasmes dont ils n'ont jamais parlé en trente-cinq ans de vie commune. Paul explique que les situations qu'ils viennent de vivre il les a souvent échafaudés. Marie-Ange a du mal à lui faire part de ses rêveries osées. Enfin elle veut bien lui en révéler un. En fait, elle fait quelquefois des cauchemars où elle se retrouve dans un bois profond, liée à un arbre, nue, les yeux bandés, et que des bûcherons qui l'ont poursuivi et attaché la violent par tous ses orifices en lui faisant mille sévices. Elle se réveille souvent la nuit en constatant honteusement qu'elle est toute trempée ayant eu à son corps défendant un formidable orgasme. Les confidences de sa femme font leur petit chemin dans la tête de Paul qui cogite ferme sur la suite qu'il pourrait donner à ces songeries lubriques. Petit à petit un plan germe dans sa tête et il savoure d'avance le scénario qu'il a imaginé.

Un week-end, ils décident de partir à la campagne dans le Poitou, où ils ont des amis qui vivent dans une ferme. La route étant assez longue ils décident de pique-niquer en route. Paul arrête la voiture dans un parking en bordure d'un bois qu'il connaît très bien, décidant Marie-Ange à faire un petit tour dans la forêt avant de déjeuner. Alors, en amoureux tendrement enlacés, ils s'enfoncent dans les futaies parmi les fougères, puis après un quart d’heure de marche, une toute petite clairière entourée d'arbres et de buissons épais leur apparaît. C'est un cul-de-sac car apparemment il n'y a pas de sentier tracé puisqu’ils ont dû traverser des hautes fougères pour pouvoir arriver jusqu'ici. C'est un coin très discret où ils vont pouvoir se reposer.

Alors qu’ils ont pris place sur un tronc renversé, Paul propose à Marie-Ange un petit jeu érotique, mais d'abord, celle-ci doit accepter de se faire bander les yeux. Marie-Ange amusée laisse faire son mari à sa guise, gloussant en pensant que son époux a des velléités libidineuses. Lorsque ses yeux sont aveuglés par un foulard, il la fait mettre debout et la dirige vers un arbre aux branches basses. Elle se laisse conduire par son époux en riant, car, en cours de route, il l’a lutiné un brin et elle subodore qu’il va certainement la baiser. En silence, il attache deux paires de menottes à deux branches de l'arbre distant d'environ un mètre cinquante, puis, prestement, il attache le poignet de Marie-Ange à une menotte, et avant qu’elle proteste, l'autre poignet à la seconde menotte. Marie-Ange, tout à-coup alarmée lui demande ce qu'il veut faire. Celui-ci la rassure, et il lui dit que c'est seulement un jeu. Marie-Ange supplie Paul de la détacher car dans ce bois, elle a trop peur. Il lui dit d'accord, mais il ne retrouve pas les clés des menottes dans ses poches. Aussi lui annonce-t- il qu’il lui faut aller les chercher dans la voiture où elles sont certainement. Il dit à sa femme qu'il va faire vite et il s'en va en courant faisant beaucoup de bruit en froissant les feuillages. Celle-ci affolée larmoie.

- Paul, je t'en supplie ne me laisse pas seule, j'ai trop peur, reviens.

Le silence répond uniquement aux appels de Marie-Ange. En fait, Paul revient à pas de loup après avoir passé un coup de téléphone sur son portable et il se cache dans les fourrés. Marie-Ange est terrorisée. Elle se sent à la merci du premier venu et son rêve lui revient à la mémoire. Elle essaie bien de se détacher, mais se rend compte bien vite qu'elle est impuissante à se libérer. Elle entend un murmure de voix dans la forêt. Ce ne serait tout de même pas Paul qui reviendrait en compagnie de quelqu'un, et puis le murmure augmentant, elle se rend compte que cela vient de l'endroit qui lui semble à l'opposé de la direction qu'a prise Paul, en allant vers leur voiture.

Bientôt, Marie-Ange perçoit des bribes de conversation. Ce sont deux hommes qui parlent avec l'accent rocailleux des paysans. Marie-Ange espère qu'ils vont passer loin d'elle et ne vont pas la voir surtout qu'il n y a pas de chemin pour venir à la clairière ; avec son mari, ils ont traversé des fougères sans voir de sentier durant un bon moment. Elle est tout de même pétrifiée par la peur. Elle pense surtout à la tenue qu'elle porte. Son chemisier est plus que transparent et comme à son habitude elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle pressent que ses seins doivent êtres très visibles car ils gonflent exagérément la soie en raison de la position de ses bras attachés un peu hauts. Sa jupe évasée en cotonnade légère lui arrive à mi-cuisses, et comme bien souvent maintenant elle ne porte pas de culotte. D'ailleurs pour le voyage en automobile comme d'habitude Paul veut avoir sa chatte à portée de sa main. Elle se doute qu'en se penchant, n'importe qui peut avoir la révélation de son intimité.

Tout à coup le silence se fait, on entend le vent dans le feuillage et le gazouillis des oiseaux. Après un silence qui lui paraît très long, Marie-Ange entend une voix, qui elle, lui parait très près, trop près.

- Eh ben dis-donc Gaston Tu vois ce qu'jvois mon gars ? Une autre voix répond : - Eh ! Ben mon Jean, vlà une belle poulette qu'est prise au piège, ça c'est sûr.

Elle n'ose dire un mot. Elle entend un bruissement de feuilles puis soudain, une main lui flatte la croupe par-dessus sa jupe, elle crie affolée.

- Je vous en prie Messieurs, c'est un jeu, mon mari va arriver d'un moment à l'autre.

Les deux hommes s'esclaffent, en disant qu'on n'a pas idée de laisser une si belle bourgeoise attachée à un arbre. Que de toute façon elle va y passer, ça c'est sûr. Que son propriétaire n'avait qu'à pas la laisser-là dans cette tenue, et surtout attachée pour que tout le monde puisse en profiter. Elle sent un visage mal rasé qui égratigne ses joues et une grosse moustache suivie d'une bouche qui sent l'alcool et le tabac qui cherchent à l'embrasser. Marie-Ange se débat comme elle peut mais bientôt l'homme qui l'embrasse de force lui arrache son corsage, ses seins se retrouvant aussitôt à l’air libre. Aussitôt ils sont malaxés, griffés, tordus par quatre mains et des bouches avides qui les mordent. Elle pleure et gémit.

- Je vous en prie, mon mari va arriver, laissez-moi, ne me faites pas de mal, Oh ! Je vous en supplie, je vous donnerais de l'argent, ne me touchez plus, Non ! Non ! Nooooooooooonn....!... Oh ! Oh ! Nooooooooooonn....

Durant le cours monologue inutile de Marie-Ange les deux hommes hilares se sont rendu compte qu'elle était nue sous sa jupe, aussi, pendant qu'un des hommes la tenait à bras le corps l'autre en a profité pour dégrafer son pantalon et pour engager sa verge dans la chatte grande ouverte. C'est à ce moment qu'elle a crié un “Non” discontinu. Le goujat n'a même pas retiré son pantalon, le tissu grossier et les boutons métalliques de la braguette écorchent ses lèvres écartelées par le vit qui la défonce. Pourtant elle ne peut empêcher sa vulve de s'imbiber copieusement après quelques va-et-vient de la verge qui s'est engouffrée dans son intimité jusqu’à la garde.

À ce moment, le deuxième homme lui écarte les fesses avec ses deux grosses mains calleuses, projetant puissamment sa queue dans son anus, à sec et le plus profondément qu'il le peut. Elle hurle tant la douleur est forte. Puis ces deux verges qui se côtoient et glissent l'une contre l'autre dans ses deux conduits séparés seulement par une fine membrane lui produisent un effet phénoménal. Ses deux orifice aussi comblés et fouillés provoquent encore une fois d'étranges sensations voluptueuses dans tout son organisme. Les deux verges qui la violent lui font le même effet que lorsqu'elle a été sodomisée chez elle par son mari pendant que l'homme que Paul avait amené la prenait dans son vagin. Là aussi elle avait les yeux bandés. Elle est submergée par une houle de jouissance. Elle prend un plaisir malsain à ce viol infâme. Oh ! Que c'est bon ces deux queues qui la labourent. Elle est folle, c'est sûr, que lui arrive-t-il ? Elle n'en revient pas de son comportement. Comment peut-elle prendre tant de plaisir à ces agissements monstrueux ?.

Son liquide vaginal sort de sa matrice et dégouline le long de ses cuisses. Son conduit anal ne la fait plus souffrir quoique la verge du paysan s'est introduite sans la préparer, ne serait-ce qu’avec de la salive. Mais à présent, elle glisse parfaitement dans ce fourreau étroit lubrifié par la mouille qui s’est introduite dans son anus. Les deux hommes prennent un plaisir pervers à s'enfoncer en elle en cadence. Tout à coup ils accélèrent leur rythme, déchargeant leur semence dans des grognements inintelligibles. Marie-Ange, qui a senti monter sa jouissance depuis un bon moment part dans un orgasme inouï et crie son bonheur.

- Oh vous me faites mal. Ça me brûle, allez doucement je vous en supplie. Non ! Arrêtez salauds. Vous allez trop fort, je vais être déchiré ayez pitié, Non ! Arrêtez ! Vous aller me transpercer. Oh ! Oh ! Oui ! Non ! Continuez, Oh ! Maman ! Je vais mourir. Non ! Non ! J'ai trop mal. Mais venez, venez. Aaarrrrrrrr...... Ah ! Oui ! Ah ! Non ! Ah ! Oui ! Ah ! Non ! Oui ! Oui ! Non ! Non ! Je n'en puis plus de jouir Oh ! Oui ! Continuez, que c'est bon mon Dieu ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........

Les deux compères après s’être vidés dans la femme pantelante et brisée se reculottent. Paul qui a assisté à toute la scène sans se manifester leur fait un petit signe de contentement de loin leur faisant comprendre de s'en aller. Puis, froissant des feuilles et piétinant sur place, il se met à crier.

- Holà ! Que faites-vous-là. Attendez que je prenne mon fusil, vous allez voir ce que vous allez recevoir. Bandits !

On entend le vacarme des deux hommes qui s'enfuient alors que Paul qui fait de plus en plus de bruit arrive auprès de son épouse, essoufflé, comme s'il venait de courir depuis un bon moment.

- Ma chérie, que t’arrive-t-il ? Tu es dans un état ! Rassure-toi, je vais te détacher.

Marie-Ange, ses nerfs ayant lâché, pleure à chaudes larmes. Paul lui enlève ses menottes et son bandeau et elle se précipite alors dans ses bras et lui dit en sanglotant.

- Il y a deux brutes qui m'ont violée, pourquoi m'as-tu laissée toute seule, regarde ce qu'ils ont fait, ils m'ont arraché mon corsage et ma jupe est en lambeaux. Ils auraient pu me tuer après m'avoir violé. Ce que j'ai eu peur !

Paul la console le mieux qu’il le peut. Il prend un mouchoir en papier, nettoyant ses cuisses maculées, puis, il essuie aussi autour de son vagin et de son derrière. Il insère même un second mouchoir dans la vulve, car si le foutre est maintenant essuyé, Marie-Ange continue à éjecter un lubrifiant inépuisable qui s’écoule par saccades. Paul tout en la nettoyant lui dit goguenard.

- Eh ! Bien ma belle ! Tu as tout de même pris ton pied. Ta mouille va inonder ce sous-bois, c'est une vraie rivière !

Celle-ci, confuse, se blottit dans ses bras et avoue.

- J'avais une peur bleue tu sais. Mais lorsqu'ils se sont agités en moi, dans mes deux endroits, je ne sais pas ce qui m'a pris, cela m'a excitée et j'ai oublié qu'ils me violaient, où plutôt je n'en reviens pas j'ai aimé qu'ils me brutalisent c'est vrai. J'ai joui mon chéri, tellement c'était bon, Oh ! Pardon, pardon. Je te demande pardon.

Celui-ci l'embrasse tendrement et lui dit.

- Eh ! Bien tu vois ma chérie, ton fantasme s'est réalisé, depuis le temps que tu en rêvais. Pour la peine, tu vas me sucer et tout avaler, toi qui d'habitude n'aimes pas mon bon foutre.

Paul se garde bien de lui dire qu'il a tout organisé depuis une semaine. Aussi, c’est sans état d’âme que Marie-Ange aspire le sperme que Paul ne tarde pas à lui éjecter au fond de la gorge, et ce, jusqu'à la dernière goutte. Elle se rend compte qu’elle n'a plus d'écœurement à boire sa liqueur. Ce, depuis l'autre jour au cinéma et ensuite à Vaucresson où elle a avalé le foutre de Paul sans s'en rendre compte ; elle trouve même un certain plaisir à recevoir le foutre sur son visage et à le déguster.

Le reste de leur week-end, chez leurs amis fermiers, se déroule parfaitement. Toute la nuit ils font l'amour, se remémorant en détail les aventures que Marie-Ange vient de subir ces dernières heures. En racontant toutes ses sensations à son mari, cela les excite tous les deux, leur permettant de poursuivre ainsi leurs jeux amoureux tard dans la nuit.

De retour à Paris, en se rappelant leur première tentative, ils fantasment à nouveau sur un prochain essai. Ils en ont gardé un si bon souvenir que Marie-Ange est prête à renouveler l'expérience. Un soir, alors qu’elle est de nouveau rasée et préparée par Paul, elle n’éprouve plus d'inquiétude à se donner encore une fois à un inconnu. Ses expériences précédentes l’ayant quelque peu aguerri elle a des envies de sexes et souhaite être comblée. Malheureusement avec son mari, la pénétration est toujours très banale bien que sa verge soit de nouveau rigide, elle n’en est pas moins d’une grosseur très moyenne. À présent que Marie-Ange a goûté à des queues imposantes qui lui ont fouillé ses entrailles ses exigences sont tout autres, et puis, cette prise en "sandwich", cette pratique qu'elle redoutait et enviait tant, c'est beaucoup plus qu'elle ne pouvait le croire dans ses fantasmes. La double pénétration de ses orifices lui a révélé une sensation incroyable, décuplant la volupté qu’elle avait pu ressentir jusqu’ici et multipliant ses orgasmes.

Le soir venu, le couple reçoit un homme que Paul a choisi sans que Marie-Ange sache comment il est. Cette fois encore, après avoir été à nouveau caressé et léché sur tout son corps, elle savoure ce sexe qu'elle sent jeune et plein de fougue et qui la baise sans s'arrêter pendant presque une heure. Puis, après avoir joui tout son saoul, alors qu’elle est toujours attachée aux barreaux du lit. Paul lui demande si elle accepte de se voir retirer le bandeau qui lui couvre les yeux, ayant ainsi l'éventualité de pouvoir contempler son baiseur avant de remettre ça. Après une brève hésitation, Marie-Ange accepte, admirant ainsi le jeune garçon qui lui parait avoir à peine vingt ans et que son mari lui a procuré.

En fait, Paul ne lui pas dit qu’il a retrouvé tout simplement un des coquins du cinéma qui l'avait prise en levrette dans l'obscurité et avec qui il s'est entendu pour cette soirée à trois. N’étant plus aveuglée, il paraît inutile qu’elle soit toujours attachée. Paul lui retire donc ses liens, lui demandant de sucer le jeune homme et d'avaler toute sa semence. Docile, elle s'agenouille entre les jambes du jeune homme, s'exécutant sans discuter, avalant la verge encore gluante du sperme qu'il a déchargé peu avant dans son vagin, elle mordille le vit qui est devenu flasque et qui ne tarde pas à durcir entre ses lèvres, puis elle le pompe jusqu'à ce qu'il éjacule son foutre entre ses lèvres, et qu'elle ingurgite tout chaud au fond de sa gorge. Alors que c’est la première fois qu'elle prend entre ses lèvres le pénis d'un autre homme, elle songe que son consentement provient peut-être de l’excitation qu’elle ressent au plus haut point à se trouver dans cette situation dégradante. Cependant, alors qu’elle absorbait le vit du jeune homme, Paul lui léchait son vagin dégoulinant, fouillant de ses doigts réunis ses chairs épanouies, enfournant également de la mouille et le foutre du jeune homme dans son anus encore étroit bien qu’à présent intégralement dépucelé. Ensuite, s’étendant sur le lit conjugal il lui demande de se mettre à califourchon sur lui et de l'enjamber.

Une fois installée dans la position requise, Marie-Ange qui a bien compris ce que son mari attendait d'elle introduit sa verge dans son vagin humide. Ce dernier qui vient d'être pénétré quelques instants auparavant par la verge du jeune homme est garni d’une quantité incroyable de foutre. Alors que Marie-Ange s’est bien enfoncé sur le sexe rigide de son mari celui-ci demande au garçon qui a rapidement récupéré d'enculer sa femme. Elle se penche alors sur son époux pour l'embrasser, offrant impudiquement sa croupe au jeune homme qui dirige sa queue mince, dure et très longue dans ses fesses charnues que Paul tient fermement écartées. Le garçon plonge son membre dans l'œillet qui se distend sous sa poussée déterminée et se prête maintenant facilement à son introduction. Puis il se fraie un passage jusqu’au fond du rectum, les deux queues glissant presque l'une sur l'autre.

À nouveau, Marie-Ange se sent prise pleinement par ses deux orifices lui procurant la sensation d'être pleinement gavée, augmentant ainsi sa joie lubrique. Elle se rend compte, un peu inquiète, qu'elle prend de plus en plus de plaisir à cette double pénétration de ses cavités intimes. Que va-t-il pouvoir encore lui arriver de nouveau après cette nuit fabuleuse qui la comble de tous ses désirs les plus secrets ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Aventures de plus en plus érotiques et narrées d'une façon très littéraire. Je ne connais pas l'auteur mais il a un certain don à exprimer les envies et craintes de son épouse. J'ai moi-même la soixantaine, suis très porté sur le sexe et rêve de candaulisme pour mon épouse. Celle ci adorait faire l'amour sans aucune retenue mais l'âge a eu raison de sa libidos et si elle ne refuse pas de se faire prendre elle n'éprouve hélas guère plus de plaisir. Si vous écrivez une suite je serais votre plus fidèle lecteur. JP



Texte coquin : Découvertes (épisode N°03)
Histoire sexe : Une rose rouge
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