Découvertes (épisode N°04)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Découvertes (épisode N°04) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Découvertes (épisode N°04)
DÉCOUVERTES (épisode N°04)

Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans persuade Marie-Ange, son épouse de près de quarante-huit ans, de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée afin de donner le change à son amant d’occasion. Elle accepte avec réticence, mais à partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires. Cette fois nos deux héros vont goûter à l’échange avec un autre couple.


IV

MELI-MELO

Marie-Ange est désormais consciente que sa sexualité s’est complètement débridé depuis les égarements dans lesquels son mari l’a entraîné sans trop de difficulté, malgré la honte qui est la sienne à chaque fois qu’elle est prise par des hommes qu’elle ne connaît pas. Pourtant, depuis un certain temps, elle est pleine de perplexité de sa conduite envers son époux. Aussi elle se décide enfin à exposer ses scrupules à Paul. Elle se rend bien compte lui dit-elle, qu'il n’y a qu'elle qui éprouve des plaisirs nouveaux en se faisant prendre par des hommes différents, ressentant à chaque fois davantage de jouissance, ce qui la transforme en une amante insatiable. Mais lui Paul, il aurait peut-être envie de coucher avec une nouvelle femme, et bien que Marie-Ange soit encore très jalouse, elle est prête à accepter si le mari était là et si elle aussi, elle pouvait participer à ce libertinage. En fait, elle voudrait constater par elle-même le comportement de son mari et surtout celui de sa « rivale ». Concrètement, elle propose à Paul sans trop s’en rendre compte, une partie carrée.

Celui-ci en a envie bien sûr, surtout depuis qu'il bande de nouveau car il a lui aussi ses fantasmes qu'il ne dévoile pas entièrement à son épouse, et sa proposition lui paraît bien séduisante. Pour pouvoir donner corps à ce désir commun, il lui propose de lire le « Nouvel Obs.» et ses petites annonces Méli-Mélo. Ils en relèvent quelques-unes, mais souvent, elles se font l'écho de personnes trop jeunes. C'est pourquoi ils décident d'un commun accord, de se cantonner aux gens de leur âge. Il y en a malheureusement très peu, enfin, au bout de plusieurs semaines, une annonce retient leur attention : “ Coupl. quinq. cherc. coupl. mm âge pr. exib. et voy. plus si harmonie rec. chz eux W.E. rég. Paris. écr. + phot. n° 9342 au journ.

Marie-Ange et Paul s'empressent de répondre à deux mains à cet appel prometteur, Paul décrivant Marie-Ange, et celle-ci son mari. Leur lettre est conçue ainsi :

Chers futurs amis,

Vous avez fait le premier petit pas, c'est à nous de faire le plus grand, c'est-à-dire de nous exposer à vous, vous expliquant ce que nous pensons être, ce que sont nos désirs et nos fantasmes, bref, il faut nous mettre à nu devant vous, en espérant vous plaire.
Marie-Ange, va sur ses quarante-huit ans, elle mesure un mètre soixante-huit et pèse cinquante-quatre kg. Elle a les seins plantés très hauts et ils ne tombent pas, ils sont un peu lourds, conséquence de son âge, taille quatre-vingt-quinze(c) pour ses soutiens-gorge. Elle n'a pas fait de chirurgie esthétique, ni de prothèse. Sa peau est douce et ferme à la fois. Elle a de très jolies cuisses et ses jambes ont un très beau galbe. Elle a les yeux verts et les cheveux auburn.
Elle a beaucoup de fantasmes, comme bien des femmes. Elle aime s'exhiber et sa curiosité naturelle et bien féminine s'excite à la vue de scènes érotiques.
Elle aime jouir, surtout par son clitoris, elle se masturbe souvent et y prend beaucoup de plaisir. Elle s'adonne à la masturbation buccale sans aucune gêne, elle avale encore difficilement le sperme, mais elle promet de faire des efforts. Elle aime aussi se faire prendre de face ou en levrette, la grosseur du sexe ne l'effraie pas. Après des années où elle a refusé la sodomie, elle vient depuis peu de l'apprécier et même récemment, elle a accepté d'être prise en même temps par ses deux orifices naturels. Apparemment, elle en a tiré une grande volupté.

C'est à mon tour de vous parler de Paul, mon mari. Cela fait trente et un ans que nous sommes mariés et nous nous aimons profondément. Depuis quelque temps, sa libido était en baisse et il n'avait plus d'érection. Il a cinquante-deux ans, il mesure un mètre soixante-dix et pèse soixante-quinze kg. C'est un intellectuel et il n'a pas assez d'activité physique. Mais s'il est un peu rond, ce n'est pas choquant. Il a les yeux verts comme moi et les cheveux poivre et sel. Il ne fume pas et n'est pas un gros buveur. Il a beaucoup d'attention et se montre très délicat en amour. « Il sait être fort sans cesser d'être tendre » (Rudyard Kipling).
Il a beaucoup de fantasmes, l'amour à plusieurs l'a toujours tenté, jusqu'ici c'est moi qui refusais cette pratique. Trois expériences récentes, avec d’autres hommes uniquement, m'ont fait changer d'avis. J'ai proposé à Paul d'avoir des expériences avec au moins un autre couple, afin qu'il ne se sente pas frustré, et qu'une autre femme puisse participer à nos jeux. J'ajoute que Paul est très voyeur et qu'il adore que sa femme s'exhibe et même se masturbe devant un ou plusieurs spectateurs.
Nous respecterons bien évidemment vos règles et nous espérons vivement vous connaître et vous apprécier dans les jours prochains, si vous le désirez.

Ci-joint une photographie récente de nous deux ensemble et notre numéro de téléphone. Pour être certain que votre appel sera compris, précisez que vous appelez pour le club des « cinquante », nous comprendrons.

Paul et Marie-Ange

Plusieurs semaines se passent, Paul et Marie-Ange pensent avoir été le jouet d'un mauvais plaisant, puis, un soir, vers vingt-deux heures le téléphone sonne, une voix féminine annonce qu'elle appelle au sujet du club des « cinquante ». C'est bien le mot de passe. Marie-Ange qui a prit le combiné branche le haut-parleur et le micro pour pouvoir éventuellement parler à plusieurs. Elle demande si la femme qui est au bout du fil est bien celle qui a reçu la réponse de l'annonce du Nouvel Observateur.

En effet, celle-ci lui dit s'appeler Claire alors que son mari se prénomme Florent. Elle a cinquante-deux ans, son mari en a soixante-cinq. Ils mesurent tous deux un mètre soixante-douze et sont de corpulence moyenne. Lui a les cheveux blancs et les yeux bleus. Elle a les cheveux platine, portés longs et roulés en chignon. Dans un premier temps, s'ils s'entendent pour une rencontre, ils veulent seulement participer chez eux à une séance d'exhibition de chaque participant, c'est-à-dire eux quatre. Le voyeurisme étant leur principale activité sexuelle. Bien sûr chacun pourra se masturber s'il le désire, et même chaque couple pourra aller plus loin et même copuler devant l'autre couple, mais sans aucune obligation d'aucune sorte de se mélanger. Elle précise que son mari et elle, ont eu une bonne impression du couple qu'ils désirent recevoir à travers le ton élégant du courrier qu'ils ont lu. Ils ont réfléchi un certain temps avant d'appeler, car ils ont souvent été déçus par d'autres couples avec lesquels ils n'ont pu s'entendre.

Marie-Ange répond qu'elle et son mari sont enchantés de cet appel, et qu'ils espèrent se plaire lors d'une rencontre qu'ils espèrent prochaine. Claire passe le téléphone a son époux, et celui-ci, après avoir salué courtoisement Marie-Ange lui demande de lui passer Paul. Florent lui demande s'ils sont à même de se rendre libres le prochain week-end. Après son assentiment, il lui propose de se retrouver à la première sortie de l'autoroute du Nord, le samedi suivant vers vingt-deux heures. Ils attendront leurs hôtes, après le péage, dans une Mercedes 300 grise métallisée. Paul précise que leur automobile est un monospace Wolskvagen de couleur vert wagon, presque noir vu de nuit. Pour toute éventualité, ils échangent leurs numéros de portables afin de se reconnaître d'une façon précise.

Le samedi suivant, après avoir dîné légèrement, Paul passe un pantalon sport et une veste de tweed sur une chemise en soie marron glacé. Marie-Ange soigne sa présentation. Une robe noire en crêpe, boutonnée de haut en bas par-devant, la jupe est en forme et elle arrive à mi-cuisse. Le haut est un décolleté bateau laissant voir ses seins lorsqu'elle se penche, emprisonnés dans un soutien-gorge en satin jaune thé, tout comme son slip d'ailleurs qu’elle porte exceptionnellement ce soir là. Elle porte des bas de soie noire formant jarretières et des escarpins en vernis noirs. C'est un appel au viol tellement elle est désirable.

Comme convenu, Paul et Marie-Ange se retrouvent sur l’autoroute du Nord à la sortie de Vémards, et, après un bref appel téléphonique sur le portable de Florent, ils repèrent la Mercedes et la suivent de très près, comme leur a recommandé leur guide. À côté de lui, une forme féminine enveloppée dans un châle à ce qu'il leur paraît. Un chignon blond apparaît de temps à autre dans les phares du monospace. Ils suivent une route départementale qui s'enfonce dans les bois d'Ermenonville et, après une bonne demi-heure de route, ils empruntent l'un derrière l'autre un chemin forestier dont le revêtement est en dur mais non goudronné. Après quelques kilomètres, ils tournent dans un petit chemin en cul-de-sac découvrant au bout une poterne. Le vantail s'ouvre, certainement télécommandé par Florent, et une porte de garage se lève également après quelques dizaines de mètres. Les deux voitures s'y engouffrent et s'arrêtent dans une vaste remise où il y a déjà deux autres automobiles et où pourrait se garer une bonne demi-douzaine d'autres véhicules, eux compris.

Tous les quatre descendent de leur véhicule, s'observant en silence avant de se saluer, restant encore dans l'expectative. Ce premier contact est très important, car la suite peut en dépendre. Aussi, après s'être rapidement dévisagés, ils entament une conversation anodine. « La route a été bonne, pas trop de circulation, il fait encore chaud pour la saison, nous sommes au mois de septembre ». Puis ils se dirigent vers une porte où se trouve un ascenseur. Paul et Marie-Ange ont remarqué que Claire claudique un peu. Peut-être s'est-elle tordue la cheville ?

Les deux maîtres des lieux ne disent rien, mais ils ont remarqué l'interrogation muette de leurs invités. L'ascenseur débouche dans un hall d'entrée et ils pénètrent immédiatement dans une grande pièce à vivre meublée avec goût, beaucoup de canapés et de fauteuils sont disposés sur des tapis luxueux autour d'une cheminée monumentale placée au centre de la pièce. Un feu de bois est allumé, les flammes dansant dans la cheminée et projetant des lueurs irréelles et chaudes. Florent est vêtu, d'une chemise et d'un pantalon noirs et d'un blaser croisé rouge. Claire porte une robe noire moulante et longue, fendue des deux côtés jusqu'à la taille. Alors que le haut est décolleté au carré ses seins assez volumineux qui sont comprimés dans un soutien-gorge à balconnet de couleur blanche émergent pour une bonne part de sa robe. Des bas à résille et des escarpins dorés complètent sa toilette. Claire prend la parole la première tout en ouvrant sa jupe sur ses jambes.

- Vous avez remarqué que je boite, j'ai un pied bot, seule ma jambe est atrophiée, mes cuisses et mon autre jambe, comme vous pouvez le voir sont normales. Je ne veux pas de pitié et si ce handicap pouvait vous gêner, je ne voudrais pas vous retenir.

Paul et Marie-Ange se montrent stupéfaits de cette tirade, surtout que le léger handicap de Claire n'enlève rien à sa grâce naturelle, beaucoup de femmes voudraient être aussi belle à son âge de surcroît. Marie-Ange sent que c'est à elle de faire le premier pas, s'approchant de Claire elle l'embrasse à la commissure des lèvres tout en l'entourant de ses bras.

- Vous vous méprenez sur les sentiments que nous pourrions avoir sur ce genre de difficulté, vous êtes très belle Claire, si vous le voulez bien nous ne reparlerons plus jamais de votre problème.

L'atmosphère s'est détendu d’un seul coup, et les hôtes offrent café et friandises à leurs invités. Ensuite ils parlent brièvement de ce qu'est leur vie professionnelle et mondaine. La conversation s'engage bientôt sur leurs fantasmes et leurs difficultés sexuelles. En fait, Florent a les mêmes problèmes que Paul, leur parcours de recherche de partenaires pour contenter chacun son épouse a été identique, sauf que pour eux, déçus par les couples qu'ils ont reçus il n’y a jamais eu d'échanges. Paul et Marie-Ange précisent que c'est la première fois qu'ils rencontrent un autre couple, car jusqu'ici, Paul a seulement offert des amants à Marie-Ange. Celle-ci décrit sans complexe devant leurs hôtes un peu ébahis ses premières expériences érotiques et lubriques.

Claire, à présent rassurée sur la suite à donner à leur rencontre, demande à Marie-Ange, si elle veut bien en même temps qu'elle masturber chacune leur mari et leur faire une fellation. Après l'assentiment de cette dernière, les deux femmes dégrafent donc les pantalons de leur époux respectif, et, elles aspirent leur sexe durant quelque temps mais sans aller jusqu'à les faire éjaculer. Ensuite, chaque homme commence à embrasser sa femme et à découvrir le haut de son corps. Pour Paul, c'est facile, il déboutonne les trois premiers boutons, libérant ainsi les seins emprisonnés dans le soutien-gorge. Un petit geste vers l'agrafe du dos, et la poitrine devenue opulente de sa femme se présente sous les yeux de Florent et de Claire attentifs. Paul caresse les seins et fait durcir les pointes.

À ce moment, Florent rabat les bretelles de la robe de Claire et fait comme Paul pour le soutien-gorge de sa femme, celle-ci détournant sa tête pour qu'on ne la voie pas rougir de honte. La poitrine de Claire n'a rien à envier à celle de Marie-Ange. Plantée plus bas, et bien qu’elle tombe légèrement, elle est avantageusement gonflée et naturelle n'ayant de toute évidence pas connu la chirurgie esthétique. Ses pointes sont très larges et brunes. Les succions de son mari les lui durcissent, aussi elle se laisse aller en arrière sur le canapé en gémissant faiblement.

Florent en profite pour écarter les pans de la robe fendue. Il caresse les jambes et les cuisses gainées de bas résilles, en dénouant le cordon du slip en dentelles blanche qui couvre le ventre tendu de la femme mûre. Claire essaie bien de se dérober en maintenant ses jambes serrées, mais son mari insiste en la grondant sèchement. Alors, s’abandonnant aux doigts de son époux qui la force à déplier amplement ses cuisses, son ventre bombé et son sexe couvert d'une toison grisonnante apparaissent à la vue du couple. Florent caresse le mont de vénus bien apparent et écartant la fourrure abondante, il entrouvre les lèvres du vagin gonflé de sa femme, alors qu’elle gémit et ondule de plaisir tout en gardant ses yeux hermétiquement clos. Il la masturbe habilement pendant un certain temps jusqu'à ce qu'un orgasme fulgurant la secoue violemment et la laisse toute pantelante, ses jambes largement déployées, son corps s’étant affaissé dans une pose alanguie sur le canapé, son sexe encore agité de soubresauts et laissant suinter des filets de mucus vaginal.

Paul et Marie-Ange ont assisté avec délectation à cette exhibition, mais ils savent que cela va être bientôt à eux de se produire. Claire reprend petit à petit ses esprits, elle est un peu rouge et toute confuse en regardant ses invités qui lui sourient calmement. Paul déboutonne le reste de la robe de Marie-Ange et la fait glisser par les épaules jusqu'à terre. Elle ne porte plus que son slip et ses bas. Il la fait se lever et fait rouler la petite culotte le long de ses hanches jusqu'à ses pieds. Elle est à présent en face au couple qui regarde avec envie son sexe bombé et imberbe. Paul l'a rasée complètement avant de venir, enduisant les lèvres intimes de son épouse avec une huile aux amandes douces qui fait resplendir la vulve rebondie qui s’est gonflée sous l’excitation.

Paul la dispose à nouveau sur le canapé, ce faisant, il lui fait écarter ses cuisses et ses jambes le plus possible. Son sexe s'est largement ouvert, offrant sa vulve maintenant béante aux regards de leurs hôtes, les grandes lèvres roses et brunes laissent apercevoir l'intérieur du vagin d'un rouge carmin. Alors que le bouton du clitoris est encore recouvert de son capuchon rose, Paul le prenant entre le pouce et l'index découvre le bourgeon turgescent lui aussi très rouge. Il le malaxe entre ses doigts et Marie-Ange halète doucement. Ensuite Paul la branle sur tout le devant de sa vulve comme elle aime. Il introduit en même temps le pouce dans son vagin et appui contre la paroi, vers le point G. Marie-Ange ne tarde pas à avoir un orgasme, mais Paul continue sa masturbation pendant que Marie-Ange agite ses jambes et soulève son ventre, cherchant à se soustraire à la trop forte jouissance qui lui provoque des élancements névralgiques, mais paradoxalement, allant aussi à la rencontre des doigts qui lui donnent une telle volupté. C'est trop, elle n'en peut plus, mais elle continue à jouir. Claire et Florent se régalent du spectacle qu'elle offre. Trop énervées et sollicitée par les doigts fureteurs, les jambes de Marie-Ange se referment sur la main de Paul et serrent très fort pour ne plus sentir cette caresse qui la rend folle. La tension est trop forte, lorsque soudainement elle s’affaisse, victime d'un étourdissement éblouissant.

Les deux autres applaudissent, ne regrettant apparemment pas la venue de ce couple qui est en symbiose avec eux. Après avoir repris leurs esprits, les deux femmes vont se rafraîchir et se remaquiller dans la salle de bains. Claire en a profité pour enlever sa robe, se retrouvant ainsi comme Marie-Ange, seulement revêtue de ses bas résilles et de ses talons dorés. Sa claudication est minime, bien corrigée par une chaussure compensée, tandis que sa jambe légèrement atrophiée n'enlève rien à son allure altière. Elle a une croupe plus importante que sa compagne, ses fesses bien renflées sont un véritable appel à les flageller ou même à des velléités de les manger tellement elles semblent appétissantes.

Durant l’absence des deux femmes, les hommes se sont déshabillés ayant juste gardé leur caleçon, tout en échangeant tranquillement leur point de vue sur la poursuite de la soirée. Florent propose que leurs épouses se masturbent devant eux jusqu'à l'orgasme. Comme gage, la dernière ayant joui, devant aller faire une fellation au mari de sa concurrente. Le mari de la perdante devant par la suite faire une mignardise au sexe de la gagnante. Pour poursuivre le jeu, Paul caressera son épouse et la baisera devant les deux autres. Lorsque Paul aura éjaculé, ce sera au tour de Claire et de Florent de se donner en spectacle. Si les femmes sont d'accord, ils pourront alors changer de partenaire.

Claire et Marie-Ange reviennent enlacées, elles sont toutes deux magnifiques et les verges des deux mâles se redressent. En passant, elles leur font une petite pichenette tout en pouffant. Florent ayant annoncé le programme qu'ils ont concocté, celui-ci recueille aussitôt l'assentiment des deux femmes, bien que Claire ait quelque peu pâli à l’énoncé de devoir éventuellement prendre entre ses lèvres le sexe d’un autre homme que son mari, mais aussi, devant la perspective, dans un proche avenir, de devoir faire l’amour avec cet homme qu’elle côtoie seulement depuis quelques heures.

Mais il est grand temps de passer aux choses sérieuses. Deux méridiennes, sans aucun bras d'appui sont avancées face à face, Chaque femme s'installe en se couchant à moitié, les fesses au bord du canapé, les cuisses largement ouvertes. Elles ne sont pas gênées dans leur mouvement, et, après le top de départ donné par Florent elles se masturbent en cadence. Marie-Ange a une longue pratique de la masturbation solitaire, surtout devant son mari qui adore la voir se faire jouir. Alors que Claire commence juste à se caresser la vulve, Marie-Ange a déjà tous ses doigts en action et en quelques minutes l'orgasme la submerge, il est d'ailleurs impossible de pouvoir croire qu'elle ait pu tricher.

Claire un peu confuse prend Paul par la main et le dirige vers un divan où il s'allonge. Passant de l'autre côté du divan, elle s'agenouille, hésite un instant, puis, avec quelque réticence, elle se décide à sortir la verge de Paul de son caleçon, et à la prendre dans ses mains. Sa position lui permet de voir par trois-quarts Marie-Ange qui a gardé la même position, alors que Florent, son mari vient de s'agenouiller entre ses jambes. Comme cela, tout en effectuant une fellation sur le phallus de Paul, elle pourra voir son époux lécher la vulve de sa « rivale ». Embarrassée, elle murmure à Paul que c'est la première fois qu'elle va faire une fellation à un autre que son mari. Obéissant aux règles imposées par son époux qui ne lui laisse aucun choix, elle demande à Paul d'être indulgent car elle a la crainte de se montrer maladroite.

Celui-ci la rassure tout en lui caressant sa tête, son cou et ses épaules qu'il a à portée de ses mains. Alors, prenant délicatement dans sa bouche l'organe génital de Paul, elle regarde attentivement son mari introduire sa langue dans une autre vulve que la sienne. Un sentiment de jalousie la saisie, mais l'excitation des moments qu'ils sont en train de vivre prend le dessus, alors, tenant d'une main la verge tendue, elle laisse l'autre main descendre vers sa vulve où elle se masturbe tout en aspirant le sexe de Paul de plus en plus vite. Celui-ci oubliant que ce n'est pas son épouse qui le pompe avec autant de zèle ne peut se retenir, lâchant un long jet de sperme dans la bouche de Claire. Celle-ci, d'abord surprise, avale le liquide séminal qui a jailli jusqu’au fond de sa gorge. Elle s'apprête à le recracher lorsqu'elle réalise qu'elle va se montrer odieuse. Elle s'oblige à garder dans sa bouche la verge qui tressaute lâchant par saccades ses flots de foutre, avalant tout ce qui ne déborde pas par la commissure de ses lèvres. Paul est horriblement gêné, aussi, se penchant vers cette femme qu'il trouve si troublante, il lui prend les lèvres et avec sa langue, il nettoie son propre sperme qui coule de la bouche féminine. Reconnaissante, Claire applique sa bouche sur celle de Paul et leurs langues s'emmêlent soudainement avec passion.

Florent lui n'a rien vu, car sa bouche et sa langue sont trop occupées par le sexe grand ouvert de Marie-Ange. Il s'active aussi bien dans le vagin que dans la raie culière, et même, sa langue force par moments la rosace violacée et si serrée de l'anus qui l'attire de plus en plus. Il ne peut s'empêcher d'y mettre un doigt et de le rentrer au plus profond de la cavité anale qui le bouleverse et l'attire. Marie-Ange gémit de contentement, elle qui adore que l’on fouille son goulet étroit. Florent entre alors l'index et le majeur réunis, puis, il ajoute le médium et il pourfend ce postérieur qui ne demande qu'à être violé. Marie-Ange s'agite en tous sens. Elle prend un pied terrible et elle souffle à Florent.

- Oui ! Continuez. Oh j'aime ça ! Oui enfoncez vos doigts ! Comme ça. Oui ! C'est bon. Oh ! Que c'est bon ! Continuez ! Ne vous arrêtez pas. Oh ! Ouiiiiiiiiiiiiii !

Les deux autres, tête contre tête, regardent depuis un certain temps cette cavale littéralement déchaînée. Claire est surprise de voir Marie-Ange, si « bon chic, bon genre », se donner de la sorte et accepter d'être sodomisée par les doigts de son mari. Paul lui demande si elle jouit aussi de sa partie anale. Elle lui confie qu'elle n'a jamais accepté même un doigt, mais qu'elle voudrait bien être comme Marie-Ange, comment fait elle ? Paul lui dit en riant qu'il a un secret, et que plus tard si elle le veut, il le lui apprendra. Claire devient toute rouge, son cœur s’emballant à la pensée qu’elle puisse être prise dans cet endroit encore inviolé.

Après l'orgasme total de Marie-Ange, les participants récupèrent leurs forces devant un petit en-cas arrosé d'un vieux Bordeaux. Ils se connaissent maintenant assez pour oser parler franchement de ce qui vient de se passer. Claire avoue qu'elle a été surprise par l'éjaculation de Paul dans sa bouche. C'est la première fois que cela lui arrive, même son mari ne l'a jamais fait. Elle en rit, car ce n'est pas ce qu'elle croyait, et puis, avec l'excitation des événements incroyables qu’elle est en train de vivre, tout lui semble très différent.

Florent avoue que la croupe de Marie-Ange l'émoustille au plus haut point, et que, ne pouvant sodomiser son épouse qui s'y refuse, il se demande si Marie-Ange lui permettrait de s'y essayer, avec l'assentiment de Paul bien sûr ? Ceux-ci donnent aussitôt leur commun accord, mais à condition que la suite du programme qu'ils ont concocté en commun soit respecté. Claire a une appréhension, si elle doit faire l’amour avec Paul, après l'avoir fait avec son mari, devra-t-elle subir la verge de Paul dans son anus ? Elle s'en sent incapable, elle est trop effrayée du viol de sa dernière intimité alors que Paul l'a plaisanté sur ce sujet en lui promettant de lui révéler ses secrets. En aparté, elle s'en ouvre à son mari qui se veut rassurant, leurs deux invités savent tout de même se tenir, et Paul, à l'air trop bien élevé pour lui imposer par la force une sodomie non acceptée. Il lui promet de lui en parler en dehors d'elle et de Marie-Ange, pour ne pas la gêner.

Marie-Ange et Paul s’installent sur le divan, où ce dernier était allongé pour la fellation que Claire a bien voulu lui faire. Mais Marie-Ange préfère retourner sur la méridienne. Elle s'agenouille, le dos tourné et pose sa tête sur ses bras posés sur le dossier. L'invite est très compréhensible, surtout qu’en écartant ses cuisses et ses jambes, le buste à l’horizontal, sa position est devenue des plus indécentes. On ne peut nier qu’elle appelle ainsi son mari à la prendre en levrette. Paul a compris, elle a trop joui et mouillé depuis déjà presque trois heures, aussi il lui faut un bon vit dans la chatte qui ne demande qu'à être envahi. Il se présente donc, flamberge au vent, s'engouffrant dans la moule si hospitalière de son épouse. Il la baratte rondement, la faisant gueuler de plaisir et de volupté. Promptement, il se vide complètement en elle et se retire impuissant. Marie-Ange a une envie furieuse de sentir encore un membre dans sa vulve grande ouverte, aussi elle appelle le seul homme présent.

- Florent, venez, je n'en peux plus, venez vite, j'ai besoin de votre sexe en moi, je vous en supplie ayez pitié, je veux jouir encore, venez.

Celui-ci n'y tient plus, aussi il prend d'assaut cette cavale en émoi. Il s'enfonce, le plus profondément possible, dans cet orifice en ébullition dans lequel il pénètre sans douceur. Marie-Ange lui souffle.

- Venez dans mon derrière, d'un seul coup ! Allez ! N'hésitez pas ! Sodomisez-moi, mon cher.

Florent retire sa verge du vagin dégoulinant, le présentant vers la rosace qui lui paraît malgré tout bien serrée. Mais son envie est trop pressante, aussi, ne pouvant se retenir, il enfonce sa queue d'un seul élan dans ce cul qu'il convoite si avidement. Marie-Ange grimace de surprise et de douleur, mais elle ne veut pas que son partenaire si bien élevé se retire, excitée, elle lui lance des paroles contradictoires.

- Oh ! J'ai mal, Ooooh ! Non ! Arrêtez ! Non ! Continuez, continuez. Non ne vous retirez pas. Continuez, j'aime ça, bien à fond, allez-y enfoncez votre verge dans mon derrière Oh ! Oh ! Oooooooooooh..... Oh allez doucement, vous allez trop fort, je vais être déchirée. Oh ! Ooooh Oui ! Non ! Continuez ! Ah ! Oui ! Ah ! Non ! Ah ! Oui ! Ah ! Non ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Oh ! Oui ! Sodomisez-moi, c'est tellement bon, Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......Oh ! Oh ! Oui ! Oui ! Oui ! Encore, encore, ne vous arrêtez pas. Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr....

Perdant toute retenue, il ne la ménage plus, la forçant brutalement avec son membre impétueux. Le conduit anal enserre sa verge étroitement et lui procure un plaisir intense. Il laboure le fondement avec violence, raclant les chairs distendues jusqu’au plus profond du rectum., Mais, après quelques minutes de chevauchée sauvage, ils s'abattent ensemble épuisés sur la méridienne. La mouille et les foutres que Marie-Ange a reçus se sont mêlés, la mixtion coule copieusement entre le ventre de Florent et les fesses de Marie-Ange maculant abondamment leurs cuisses. Lorsqu’il se retire du derrière qu’il vient de sodomiser, un cratère sombre apparaît qui met quelque temps à se refermer, laissant voir des chairs brunâtres et rouges violacées qui laissent s’écouler des traînées de foutre.

Claire est atterrée par une telle violence sexuelle et par la vue effroyable de l’anus encore dilaté de sa compagne. Paul lui dit que c'est la première fois qu'il voit son épouse dans un tel état. L'association des deux couples l'a fait littéralement exploser. Claire, après que Marie-Ange se sois remise de ses émotions, l'emmène prendre un bain car elle en a bien besoin. De toute façon Florent et Paul sont hors d'état de servir pendant un bon moment, Il leur faut beaucoup plus de temps que leur femme, pour pouvoir songer à s'occuper de nouveau de Claire.

Une heure et demie après, alors que les hommes devisent tranquillement assis sur les canapés, leurs deux femmes reviennent. Florent à ce moment propose de regarder un petit film léger qu'il a tourné avec Claire. Celle-ci devient rouge pivoine et proteste que cela ne peut intéresser leurs amis, mais son mari a déjà lancé la cassette. L'écran géant de la télévision laisse apparaître une Claire plus jeune de quinze à vingt ans. Elle est au bord d'une piscine, et, sous le commandement d'une voix qui se révèle être celle de Florent, elle se déshabille lentement en y mettant des formes et en protestant de temps en temps. C'est très frais et très excitant. Après un fondu, on voit Claire quelques années plus tard dans une chambre. Elle est nue et se masturbe avec une grande application. Une autre scène dans la même chambre, la caméra devant être télécommandé, où l'on voit Florent qui baise son épouse. Il s'arrange pour qu'on puisse la contempler sous tous les angles et la vulve de Claire apparaît bientôt en gros plan, le membre de son mari allant et venant dans les chairs distendues.

Les sexes des deux hommes se sont redressés. Florent dit qu'il faut maintenant passer aux choses sérieuses ce qui fait pâlir Claire. Prenant son épouse par la main, il la fait s'allonger sur le canapé. Il lui glisse un oreiller sous la tête et se mettant à côté d'elle, il la masturbe lentement avec ses doigts tout en l'embrassant sur les lèvres. Au bout de quelque temps, Claire gémit, son plaisir étant manifeste. Florent se redressant enjambe le corps de son épouse, il présente sa verge devant le sexe qu'il dégage de ses poils abondants, et d'un seul coup, il entre dans sa chatte onctueuse. Claire, après un sursaut brusque à cette pénétration soudaine, soulève ses jambes et les croise autour du torse de son époux.

Dans cette position, Marie-Ange et Paul distinguent parfaitement le phallus de Florent qui s’engage dans un lent va et vient dans la cavité vaginale grande ouverte. La rosace de l'anus de la femme est très serrée, mais il se dilate spasmodiquement en suivant les mouvements imprimés par la verge, qui entre et qui sort du vagin. C'est très pornographique, mais en même temps très beau. Les deux spectateurs ne se lassent pas, de ce va-et-vient, ainsi que des gros plans de l'anus et de la chatte bien mis en évidence. Florent qui a maintenant bien récupéré, baise sa femme longuement. Il éjacule cependant au bout d'une demi-heure et les deux amoureux s'embrassent tendrement. Apparemment, Claire n'a pas eu d'orgasme et son ventre se soulève, comme à la recherche du sexe qui vient de le quitter.

Florent s'est détaché à regret de son épouse, il laisse sa place à Paul. Celui-ci en s'approchant de Claire lui demande si elle veut vraiment qu'il la prenne. Celle-ci a un sourire et tendant ses bras elle l'attire vers elle. Elle enfonce sa langue dans sa bouche et lui fait ainsi comprendre qu'elle le désire aussi. Paul qui la soutient par les épaules la fait glisser vers lui pour que son bassin soit au bord du canapé. Il lui remet le coussin en dessous de sa tête, puis, s'agenouillant sur le tapis, son sexe se présente ainsi à la hauteur de la chatte largement ouverte. D'un coup de rein, il se glisse dans la grotte si aimablement offerte. Cette position lui permet d'aller tout droit au plus intime de la femme qui le sent fouiller au plus profond de son être. Paul s'active lentement car il ne veut pas décharger trop vite.

Florent vient embrasser les lèvres de sa femme, alors que Marie-Ange qui veut se rendre utile, butine avec sa bouche la poitrine largement étalée de Claire. Celle-ci a pour la première fois de sa vie l'impression d'avoir une multitude de bouches, de doigts, de sexes, qui la caressent et la pénètrent partout. Elle laisse aller son corps vers les chairs qui la fouillent, qui la frôlent et se frottent contre elle, puis, dans un long râle de jouissance qu'elle contient depuis trop longtemps, elle part dans un délire voluptueux, alors que plusieurs orgasmes successifs la secouent et la font trembler de toutes parts. Elle pleure et elle rit, avouant n'avoir jamais joui comme cela, elle embrasse en même temps son mari, Paul et Marie-Ange. Une joie immense s'étale sur son visage. Paul qui s’était retenu le plus longtemps possible, a laissé gicler son foutre au fond de la matrice de la voluptueuse blonde dans le même temps où elle jouissait.

Mais le temps est venu de se reposer car il est maintenant cinq heures du matin. Les deux couples sont épuisés. Après avoir repéré leurs chambres, Marie-Ange et Paul s'endorment immédiatement dans les bras l'un de l'autre. Le lendemain matin, Paul émerge difficilement du profond sommeil dans lequel il était enfoui. Se retrouvant seul dans son lit, il regarde sa montre : dix heures trente. Le soleil filtre à travers les rideaux de la chambre et il sent une bonne odeur de café ; tournant la tête, il voit un plateau sur une desserte, et surtout Claire, en déshabillé transparent qui est assise dans un fauteuil et qui le regarde en souriant.

- Bonjour, vous ! Mon mari et votre épouse n'ont pas voulu vous réveiller, ils viennent de partir à Meaux faire quelques courses. Ils resteront absents deux bonne heures. Je suis chargée de vous garder, et bien sûr de vous restaurer lors de votre réveil, mais je n'ai pu attendre car vous m'avez promis de me révéler un secret. De plus je voulais vous remercier infiniment ainsi que votre épouse, car j'ai connu cette nuit les plus beaux moments de ma vie. Jamais, jamais je n'aurais pu imaginer ressentir ce que j'ai éprouvé. Merci Paul, pour la peine je vous embrasse.

Celle-ci venant vers le lit ne se soucie pas de laisser voir son corps nu au travers de la transparence du voile qui la recouvre. Aussi, Paul qui couche à poil sur le dessus du lit sent sa verge qui se dresse comme une trique. Claire se penche pour l'embrasser, alors que Paul la renverse dans le lit et il l'embrasse avec fougue. Claire au bout d'un moment se dégage et le sermonne.

- Allons, allons, un peu de sérieux Monsieur. Il faut d'abord vous restaurer, sans cela vous ne serez pas en forme pour m'honorer et m'apprendre tous vos trucs !

Claire prend le plateau, le dépose sur le lit, puis elle sert Paul qui a une faim de loup. Elle le regarde avec dans ses yeux une grande amitié et certainement aussi une grande reconnaissance. Il l'a révélée cette nuit d'une certaine façon, aussi elle lui en porte une grande gratitude. Elle débarrasse le plateau, puis faisant glisser son déshabillé, elle s'installe entièrement nue sur le lit à côté de Paul.

- Eh ! Bien Monsieur, je veux connaître ce grand secret afin que mon mari puisse me sodomiser. Vous me l'avez promis la nuit dernière et nous avons deux heures pour y arriver.

Paul argumente, disant qu'il lui a fallu plusieurs années pour persuader et faire accepter cette pratique à Marie-Ange. Claire n'en démord pas. Elle veut elle, être capable, quitte à souffrir, de se faire sodomiser et même d'aimer cela. Paul à moitié convaincu par les arguments de la belle blonde se lève et fouille dans son sac de voyage, il revient avec un tube de crème et un flacon. Il explique à Claire qu'il va d'abord avec son auriculaire, pas plus gros qu'un thermomètre, lui enduire l'œillet de son anus de gel émollient. Ensuite il essaiera avec le majeur, puis le médium et enfin le pouce. Il lui faudra bien huiler le conduit, et l'habituer aux va-et-vient des doigts, il va faire du mieux possible et il n'a pas l'intention de lui faire du mal en la forçant.

Claire reconnaissante l'embrasse tendrement sur les lèvres. Alors, Paul lui demande de s'allonger sur le dos et de lever les jambes, il lui demande de ne pas se contracter et de le laisser faire. Il enduit la rosace du gel, qui se trouve être un lubrifiant dilatateur. Avec son petit doigt, il décontracte la rosace très plissée de la femme, puis il introduit doucement la crème tout au début de l'anus. Le plus difficile cela va être de passer l'anneau étroit du sphincter. Enfin après une contraction du rectum de Claire, le doigt s'est faufilé dans le conduit anal. Tout en s'occupant de son derrière, pour la déconcentrer de ce qui la focalise, il lui broute le vagin et lui lèche son clitoris. La mouille ne tarde pas à couler, aussi il s'en sert avec la crème pour en enduire les parois du canal rectal, il ressort son doigt et refait une provision de crème et de liqueur vaginale. La douceur dont fait montre Paul décontracte Claire et, par la même occasion, les muscles du sphincter se relâchent également. Maintenant, Paul a pu entrer l'index, il continue à badigeonner l'anus qui s'ouvre peu à peu. C'est maintenant au tour du majeur. Il va aller plus loin puisque c’est le plus long doigt d’une main. Il a un peu de mal à passer et Claire lâche un petit cri.

- Oh ! Non ! Arrêtez, j'ai mal. Non, continuez, excusez-moi. Oh ! Ooooh....... Oui cela ne fait rien, poussez. Oh ça me brûle, non n'arrêtez pas Paul. Il faut y arriver, entrez vos doigts, ne les retirez pas.

Celui-ci avec son pouce, enduit les bords du canal d'entrée et il écarte le plus possible la cavité qui se présente. Claire halète un peu, le vagin et le clitoris sollicités par la langue de Paul y sont certainement pour quelque chose, adoucissant la douleur aiguë qui la transperce. Elle souffre atrocement de son conduit rectal qui est vigoureusement envahi, et dans lequel elle ressent une sensation de brûlure insoutenable. Mais elle veut y arriver, pour son mari et pour elle. En conséquence, elle se prête le plus possible aux mains diaboliques de Paul. Celui-ci, a vidé la moitié du tube de lubrifiant dans l'orifice très serré. Il demande à Claire de se relever et de venir se mettre à califourchon sur lui en lui tournant le dos. Il sera plus à l'aise ainsi pour atteindre son derrière avec ses doigts. Claire à cheval sur Paul voit sa verge bien dressée, toute droite en face d'elle. Elle se l'enfile dans sa chatte trempée et s'active au-dessus de Paul.

Celui-ci en profite, pour entrer de nouveau ses trois doigts réunis dans son rectum. Claire pousse un cri de douleur, mais en même temps qu'elle sent les trois doigts s'activer dans sa gaine rectale, le sexe de Paul glisse dans le vagin, lui procurant une sensation étrange à travers la paroi mince séparant les deux conduits. Elle éprouve une émotion extraordinaire, Paul qui s'en est aperçu en profite pour faire aller et venir ses doigts de plus en plus vite. Maintenant Claire crie sa jouissance. C'est fou, elle n'en revient pas de se conduire ainsi, elle si réservée. Elle crie à Paul.

- Viens mon chéri. Oh ! Oui défonce-moi, que c'est bon, j'ai mal mais je jouis, encore, encore ! Oh ! Oui ! C'est trop bon. Oui ! Oui ! Oui ! Sodomise-moi ! Baise-moi ! Encule-moi ! Mais je suis folle, je dis n'importe quoi ! Oh ! Oui Ouiiiiiiiiiiiiii......... Encore ! Encore ! Encore ! Oh!........... Ahrrrrrrrr........

Paul a profité de cette longue diatribe, pour lui enfoncer un quatrième doigt dans le cul. C'est presque la grosseur d'une bite. Claire s'empale sur le sexe de Paul profondément entré dans son vagin, et par la même occasion sur les quatre doigts réunis qui pistonnent sans relâche son rectum. Cela dure maintenant depuis presque une demi-heure et à ce rythme Paul ne va plus pouvoir tenir, mais Claire non plus, elle râle de plus en plus sa jouissance, alors que l'orgasme la saisit presque au même moment où Paul qui n'en peut plus, décharge tout son foutre en criant de bonheur. Les deux amants s'écroulent, rompus par la chevauchée endiablée à laquelle ils viennent de se soumettre. Se séparant, ils se retournent, puis s'enlaçant, ils cherchent leur bouche pour s'embrasser passionnément. Rien ne leur est jamais arrivé à tous les deux d'une telle intensité. Claire est anéantie.

- Que nous arrive-t-il. Oh ! Paul Je t'aime, je t'aime, qu'as tu fais de moi, je ne me reconnais plus, quel bonheur tu m'as donné mon chéri, je t'aime.

Paul est plus calme, son cœur bat bien sûr à cent à l'heure et il trouve cette femme extraordinaire, mais il faut qu'ils se reprennent tous les deux.

- Claire, il est bientôt treize heures trente, ton mari et mon épouse ne vont pas tarder, qu'allons-nous leur dire ?

Claire reprend son calme et dit avec douceur.

- La vérité, que nous avons fait l'amour et que nous en sommes heureux. Que sais-tu ce qu'ils ont pu faire, eux. D'ailleurs il y a presque une heure qu'ils devraient êtres rentrés.

Paul rit.
- C'est vrai, ils se sont certainement arrêtés quelque part. Florent raffole du cul de Marie-Ange, quand il va savoir en plus qu'il va pouvoir t'enculer tout son saoul, il va être aux anges.

Claire pouffe.
- Ne sois pas si grossier nous ne sommes plus des bêtes. Maintenant que nous avons repris nos esprits, tu veux dire que mon mari va pouvoir me sodomiser à satiété, et bien j'en suis ravie. Merci Paul, jamais je ne te remercierais assez. J'espère que tu auras l'occasion de « m'enculer », après que mon mari aura tiré profit de son « droit de cuissage ». Après tout il n'y a que tes doigts qui m'ont préparé et défloré l'anus !

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Texte coquin : Découvertes (épisode N°04)
Histoire sexe : Une rose rouge
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